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Voilà la 5ème partie de ce merveilleux voyage au Vietnam .

suite des différents articles publiés sur ce voyage au Vietnam :

http://www.onsortoupas.fr/voyager-avec-qatar-airways-vers-le-vietnam-le-luxe-de-la380-en-business-class/

http://www.onsortoupas.fr/voyage-au-vietnam-2015-2eme-partie-saigon-et-le-depart-vers-hue/

http://www.onsortoupas.fr/voyage-au-vietnam-2015-3eme-partie-hue-la-cite-imperiale-et-les-tombeaux-des-empereurs/

http://www.onsortoupas.fr/voyage-au-vietnam-2015-4eme-partie-les-tombeaux-de-la-region-de-hue-vietnam/

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On revient dans la civilisation actuelle avec la ville de Danang, ville coupée par le fleuve, avec ses ponts magnifiques, qui sont éclairés la nuit comme si vous étiez à Las Vegas. Reprenons donc là où nous étions arrêtés, Hue. Pour aller de Hue à Danang, peu de possibilités, trop proche pour y aller en avion, trop lent pour y aller en train, trop cher pour y aller en voiture ou en taxi. Donc la solution reste le bus. Et là c’est du grand n’importe quoi. C’est effectivement très peu cher, quelques euros par personne pour faire le trajet . Petite recommandation, si vous voulez voyager dans des conditions un peu meilleures et que vous êtes seul, réservez deux places, vous pourrez voyager avec vos appareils de valeur comme appareil photo et ordinateur , sans avoir de crainte  que ceux-ci soient bousculés dans la soute. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait. On vient vous chercher à votre hôtel et vous retrouvez dans un bus presque propre, avec un peu de tout, des locaux, des touristes, des portables qui sonnent, des gens qui ronflent, et j’en passe. Je ne sais pas si c’est la loi qui le veut, mais au bout de peut-être 90 minutes, le bus s’arrête dans un endroit désertique, on vous oblige à sortir du bus pour aller consommer quelque chose dans un établissement peu avenant. Je n’ai même pas osé aller visiter leurs lieux d’aisance. à 10h30 le matin, après un petit déjeuner, je n’ai ni faim, ni soif, de toutes façons j’avais pris la précaution d’apporter une petite bouteille de jus de fruits. Je ne pensais pas en m’asseyant sous un des ventilateurs que cela créerait un problème….combien je me trompais. A peine assis, on me demande de consommer quelque chose. Devant mon refus, l’employé a coupé le ventilateur, me disant que cela coûtait trop cher de s’asseoir au ‘frais’. Des français bien sympa ont vu le manège, et m’ont proposé une place près de leur ventilo, alors qu’ils avaient pris deux consommations pour 4. J’en suis quand même resté stupéfait. C’est la seule fois où j’ai vu des vietnamiens stupides, bornés et incroyablement anti-touristes, alors que l’arrêt ne se justifiait pas, si ce n’est pour arroser le chauffeur, et prendre de l’argent à tous ceux qui voyagent.

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Bref, c’est un épisode que je préfère oublier, mais qu’il ne m’est pas possible de passer sous silence. Arrivé à DaNang, le bus nous dépose à l’entrée de la ville, où les taxis ne sont pas légion, mais bon j’ai réussi à en capter un une dizaine de minutes après mon arrivée qui m’a déposé à mon hôtel. Cet Hotel est l’Hotel Varna, qui est de l’autre côté de la rivière, le côté le plus calme, le côté opposé étant une succession de bars, boutiques, restaurants, marchés etc. Cet hôtel qui a dû être il y a encore quelques années un établissement de luxe a gardé sa prestance et le personnel est d’une extrême gentillesse. A noter que lorsque j’y suis allé, il n’y avait pas de coffre dans les chambres. Il faut donc laisser son argent et cartes etc dans une enveloppe bien fermée à la réception. Le hall d’entrée est immense, genre salle de bal, avec des expos des spécialités du coin : le marbre et autres onyx. Sans que j’ai rien demandé on me donne pour une 20taine de dollars, comme réservé quelques temps auparavant, un énorme surclassement. J’ai une suite, deux pièces avec un balcon avec vue sur la rivière et sur tous les ponts. Rien que pour cela, je garde un souvenir exceptionnel de cet hôtel. Il aura toutefois deux inconvénients : le personnel ne parle pas un mot d’anglais, et encore moins de français. Alors pour demander un tire bouchon, par exemple, imaginez les mimes à réaliser. Mais ça a un côté amusant. Le second, c’est le petit déjeuner. A bannir. Sauf si on peut manger des soupes, et des plats riches le matin vers 8h00. En revanche, vous avez l’occasion de louer un scooter au garage au sous-sol. C’est vraiment pas cher, et cela vous permet de vous déplacer quand vous le voulez.

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Donc le soir, c’est vue des ponts illuminés, de la grande roue au loin, et des bars, où vous trouverez toujours quelqu’un pour vous aider dans les choix des restaurants, si ceux des guides Routard et Petit Futé ne vous plaisent pas. Bien entendu il y a toujours les marchés, mais on ne peut pas dire que celui de Danang surpasse ceux de Saigon ou de Hue. Une petite visite devrait suffire.

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Vous avez aussi un musée, entrée gratuite, mais bon, vous aurez vite fait le tour, et je vous laisse en découvrir les ‘trésors’.

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Voilà une petite vidéo, réalisée dans un des meilleurs restaurants de la ville, où vous allez apprendre comment on fait des rouleaux de printemps soi-même! Bon Appétit :

Je vous ai parlé des éclairages des ponts la nuit, certes les photos ne savent rendre justice, mais jugez-en par vous-même.

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Pour terminer, il y a la Montagne de Marbre à quelques kilomètres du centre ville, facile à trouver. Joli vue du haut de cette petite montagne :on y monte en ascenseur (payant, mais pas cher), et en bas tous les marchands du temple, qui vendent du marbre sous toutes ses formes , des mini bouddhas à 200 grammes jusqu’à ceux qui pèsent plusieurs tonnes. Cela mérite une visite, mais attention il y fait très chaud.

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La ville suivante est à une trentaine de kilomètres, il s’agit de Hoi An, dont la vieille ville est une totale splendeur, mais il vous faudra attendre quelques jours avant que vous ne puissiez voir cette ville où les lampions de toutes les couleurs éclairent de milles feux.

deux vidéos :

à suivre : ….

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Une gentille comédie d’été aux Feux de la Rampe.

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En déplacement aux Etats-Unis, Claire, (Estelle Simon) une jeune styliste a eu un coup de foudre pour Laurent (Patrick Mancini). Ils se marient sur un pari. Tétanisée par l’amour qui se dégrade, et conformément à son rêve d’enfant, elle lui apprend qu’elle le quittera après les premières vingt-quatre heures passées ensemble. A l’aube, elle a disparu. Elle rentre à Paris. L’histoire pourrait s’arrêter là, mais à son arrivée, Marc (Frédéric Anscombre) , son compagnon depuis deux ans, lui annonce la visite de son frère qu’elle n’a jamais vu. Hasard ou coïncidence, ce frère n’est autre que Laurent, son mari d’un jour.  La situation tournerait au tragique sans la venue inopinée d’Héléne (Gigi Ledron), la sœur jumelle de Claire, qui, étrangeté de la nature, est noire. Elle est à l’opposé de sa sœur. Mais arrivera-t-elle à dénouer ces problèmes?

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L’auteur, Laurence Bru, réussit à nous intéresser pendant toute la durée de cette pièce, avec une histoire totalement rocambolesque, admirablement servie par de bons comédiens. La mise en scène de Christian Garcia Reidt et Laurence Bru est assez alerte, et garde le rythme. Mais elle n’a pas su comment finir. On a nettement l’impression qu’elle s’est rendu compte tout d’un coup qu’il fallait finir, et c’est une fin en queue de poisson, un peu comme dans certains films d’horreur au cinéma, où on explique que tout cela n’est qu’un rêve, ce qui n’est pas le cas ici, rassurez-vous, mais vous serez certainement choqué par la fin, qui nous laisse sur la faim, bien que l’on sache qu’il n’est pas question de faire une suite. C’est très curieux, et si Madame Bru ré-écrivait la toute dernière partie, les spectateurs en seraient ravis. C’est en tous cas mon impression, et celle des spectateurs que j’ai entendus à la fin de la représentation. Une dernière chose. Désormais à la fin de chaque spectacle, les comédiens pressent les spectateurs QUI ONT AIME de l’écrire sur les réseaux sociaux, en citant plus particulièrement des sites de vente.  Déjà c’est lassant d’entendre le même refrain à chaque fois. Mais ici, on nous recommande d’autres spectacles. C’est le début d’une spirale sans fin. OK on a aimé ce spectacle, on en parle, mais pourquoi faire de la pub pour d’autres? Autant mettre des flyers sur les sièges, cela aura au moins l’intérêt d’offrir de la lecture en attendant que le rideau s’ouvre!!

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Un mariage est si vite arrivé, au théâtre Les Feux De La Rampe 34 rue Richer ( à côté des Folies Bergères)

du mardi au samedi à 21h30

Durée: environ 1h 45

Prix des places : 20€ (tarif internet) et 14€ tarif réduit (sur justificatif)  étudiants ou chômeurs

réservations au 01 42 46 26 19 ou

reservation.lesfeuxdelarampe@gmail.com

la bande annonce :

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Un bon film fantastique servi par d’excellents comédiens: Ryan Reynolds et Ben Kingsley.

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Le thème de Faust et de la vie éternelle, a souvent été traité au cinéma, notamment dans le sublime film de Brian de Palma : Phantom of The Paradise. Cette fois, c’est un peu différent. Un homme d’affaires richissime, Damian Hale (Ben Kingsley), se sait condamné et on lui propose une opération révolutionnaire: On transfère son savoir, son esprit dans un nouveau corps, une sorte de corps de substitution. C’est un mystérieux docteur qui lui fait cette proposition, alors qu’il est en phase terminale de la maladie qui le ronge. Difficile de résister à une telle proposition. Le transfert fonctionne, il profite à nouveau de sa jeunesse sous de nouveaux traits (ceux de Ryan Reynolds), du luxe, avec pour seul inconvénient : d’avaler une pilule à heure précise, faute de quoi, il cède à de drôles de visions. C’est en oubliant de prendre une de ses pilules qu’il s’aperçoit que derrière tout cela un secret terrible se cache.

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SELFLESS_FP_00039.JPG Ryan Reynolds stars as Young Damian in Gramercy Pictures' provocative psychological science fiction thriller Self/less, directed by Tarsem Singh and written by Alex Pastor & David Pastor. Credit: Gramercy Pictures

Ryan Reynolds      Credit: Gramercy Pictures

S_12722_CROP.JPG (l-r.) Ben Kingsley stars as Damian Hale and Matthew Goode stars as Albright in Gramercy Pictures' provocative psychological science fiction thriller Self/less, directed by Tarsem Singh and written by Alex Pastor & David Pastor. Credit: Alan Markfield / Gramercy Pictures

 Ben Kingsley & Matthew Goode      Credit: Alan Markfield / Gramercy Pictures

On marche au film de bout en bout, avec cette histoire certes un peu tirée par les cheveux, mais on est dans le domaine du fantastique et dès qu’on l’admet, tout est possible. Et on a trop envie d’y croire, vu que c’est un peu ce que les humains souhaiteraient. Avoir un corps de jeune homme ( femme) avec l’intelligence, l’esprit de l’homme qui a connu presque tout dans sa vie. Et ça nous est tellement bien amené qu’on se surprend à y croire, un rêve qui deviendrait réalité? Pourquoi pas? Mais on s’aperçoit quand même assez vite que les dés sont pipés, qu’il y a un grain de sable dans ce roulement bien huilé. Le scénario des frères David et Alex Pastor a donné naissance à un film passionnant signé Tarsem Singh ( The Cell, Les Immortels, et surtout le Blanche Neige qui réunissait Julia Roberts et Lily Collins). Les acteurs sont à la hauteur de la tâche, je n’ai pas cité Natalie Martinez dans le rôle de Madeline, pour ne pas en dire plus sur le scénario, et vous en garder la surprise.

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S_10749_R_CROP (l-r.) Madeline (Natalie Martinez) and daughter Anna (Jaynee-Lynne Kinchen) flee with Young Damian (Ryan Reynolds) in Gramercy Pictures' provocative psychological science fiction thriller Self/less, directed by Tarsem Singh and written by Alex Pastor & David Pastor. Credit: Alan Markfield / Gramercy Pictures

 Madeline (Natalie Martinez) , Anna (Jaynee-Lynne Kinchen)  Damian (Ryan Reynolds)
Credit: Alan Markfield / Gramercy Pictures

S_09644_R Ryan Reynolds stars as Young Damian in Gramercy Pictures' provocative psychological thriller Self/less, directed by Tarsem Singh and written by Alex Pastor & David Pastor.  Credit: Alan Markfield / Gramercy Pictures

Credit: Alan Markfield / Gramercy Pictures

En deux heures, vous n’aurez aucune envie de quitter votre siège, et c’est quand même quelque chose qui est notable, vu que nous ne sommes pas ici dans un blockbuster, mais dans un bon film d’été.

la bande annonce :

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L’arroseur arrosé version théâtre 2015?

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Paul ne peut plus supporter Sophie avec qui il vit depuis quelque temps. Pourquoi ? Lui-même n’en sait rien. Du coup,  Paul trouve, en partie grâce à sa compagne, une idée pour faire comprendre à sa chérie qu’elle doit partir. Il demande à Martin, son meilleur ami, de s’installer chez eux. Car on le sait, la cohabitation brise les ménages. La raison pour laquelle il doit emménager? Sa mère est morte dans d’horribles conditions. Son pote est totalement réticent à cette idée, et pourtant il cédera et s’installera chez eux. Mais il s’avère être un invité de choix, qui fait le ménage, les courses, la cuisine (et bien), et même sait bricoler. Tout cela devra se faire en Une Semaine Pas Plus….mais ce qui devait arriver…n’arrivera pas ou pas comme on l’attend.

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Cette comédie signée Clément Michel et mise en scène par Arthur Jugnot et David Roussel, est une mécanique bien huilée,c’est comme un moteur de Rolls Royce. Tout s’enchaîne pour que l’on passe une excellente soirée avec des comédiens qui s’en donnent à coeur joie. Ce seront en alternance : Guillaume Bouchède, Benoît Cauden, Louise Danel, Arthur Jugnot, Stefan Guerin-Tillie et Arnaud Pfeiffer.

Ce n’est pas la première série de représentations de cette pièce qui s’est jouée dans plusieurs théâtres à Paris: Le théâtre des béliers parisiens, le théâtre de la Gaité Montparnasse, le théâtre Fontaine… et je pense que les comédiens sont tous exceptionnels. Je n’ai pas vu une représentation avec Arthur  Jugnot, mais j’ai pris un réel plaisir avec la troupe présente. C’est de l’excellent théâtre, très bien écrit, où les comédiens se donnent et on sent qu’ils s’amusent autant que nous, et ça n’est pas peu dire.

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Représentations : mercredi au samedi 21h, matinée à 18h le samedi

Prix des places de 18 à 38 € avec tarifs réduits par exemple 13€ pour les moins de 26 ans)

renseignements et réservations : http://theatre-saint-georges.com/pieces/une-semaine-pas-plus/

bande annonce: ( avec d’autres comédiens)

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Une comédie française au ton bien particulier.

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On se souvient de l’affiche où du slogan qui disait. Ils Divorcent. Ils vont tout faire pour NE PAS AVOIR la garde de leurs enfants. Cette comédie de Martin Bourboulon, réunit Marina Foïs et Laurent Lafitte, des parents pas comme les autres. En fait c’est l’histoire d’un couple qui avait tout réussi, leurs métiers, leur marioage, leurs enfants. Et ils voudraient bien maintenant réussir leur divorce. Seul hic, et de taille, ils reçoivent en même temps la promotion dont ils avaient toujours rêvé. C’est alors que leur vie de couple vire au cauchemar, et ils se déclarent une guerre, dont les enfants seront le centre.

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Sur cette idée de scénario, voilà une comédie grinçante, admirablement servie par des bons comédiens, les enfants y compris : Marina Foïs, Laurent Lafitte, Alexandre Desrousseaux, Anna Lemarchand et Achille Pottier. Sans que ce soit un chef d’oeuvre, on s’amuse à ces situations totalement rocambolesques.

Le bluray est à la hauteur du film, avec un making of de 21 minutes, des scènes coupées et des bandes annonce. Commentaire audio de Martin Bourboulon, Alexandre de la Patellière et Matthieu Delaporte,  Module Papa , Module Maman

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Le son est disponible en DTS HD 2.0 et DTS HD 5.1. Format du film respecté.

 

bande annonce :

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7ème épisode de la série à succès et c’est toujours aussi passionnant.

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C’est une histoire de vengeance avec un tueur à gage des opérations spéciales britanniques (Jason Statham), qui va tout d’abord éliminer Han (Sung Kang) à Tokyo, et s’attaque ensuite à Hobbs (Dwayne Johgnson). En fait il veut tuer tous ceux qui ont fait tomber son frère. Mais en faisant exploser la maison de Dom Torreto (Vin Diesel), ce dernier va aller voir un de ses potes au gouvernement (Kurt Russel). Toute l’équipe, avec Brian O’Connor (Paul Walker) va devoir retrouver un prototype d’un genre très spécial. En fait quelque soit la qualité du scénario, ce sont les scènes d’action, les poursuites en voiture que l’on vient voir. Et là on ne peut pas être déçu. La plus belle se déroule à Abu Dhabi, et je me garderai bien de vous en donner le plus petit détail, mais celle de Los Angeles, et l’autre en pleine forêt sont des scènes à ne pas manquer.

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On ne sait pas si la série va s’arrêter là, ce qui est plus que probable, après l’accident qui a coûté la vie à Paul Walker, toujours est-il que ce 7ème épisode est absolument époustouflant. Il est rare d’entendre une salle en projection de presse applaudir à la fin d’une scène et c’est ce qui s’est produit. Et c’est totalement mérité.  C’est un nouveau réalisateur qui reprend le flambeau, alors que Justin Lin avait mis en scène les 4 derniers films. James Wan, le réalisateur australien avait déjà offert au public Conjuring, le dossier Warren dont la suite sortira l’an prochain, ainsi que Saw (en 2004) et Insidious 1 et 2.  Cette fois il change de registre et s’attaque à un bastion sur un scénario béton de Chris Morgan. Les amateurs de belles cylindrées ne seront pas en manque. C’est la fête aux belles bagnoles, et aussi la fête pour les effets spéciaux et surtout pour les cascades. Celles d’Abu Dhabi resteront à coup sur dans ma mémoire comme une des meilleures que j’ai vues à ce jour. Mais elle n’est pas la seule. Le film se déroule à 300 km/heure, et les spectateurs sont cloués à leur siège.

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Bon, je crois que vous avez compris que je me suis amusé comme un gosse, et que je vous conseille vivement de courir voir ce Fast And Furious 7 dans les salles près de chez vous. 2h20 de spectacle total.

Inutile de dire que la qualité sonore et la beauté de l’image sont à couper le souffle. Si ce film est pour moi le meilleur de la série, le BluRay est à la hauteur de nos espérances. Ajoutez le de suite à votre collection!

Pour le BluRay : Format : Couleur, DTS stéréo, Cinémascope, Audio : Italien (DTS-HD 5.1), Allemand (DTS-HD 5.1), Anglais (DTS-HD Master Audio 7.1), Français (DTS-HD 5.1), Espagnol (DTS-HD 5.1) Sous-titres : Français, Anglais, Espagnol, Allemand, Néerlandais, Portugais

Bonus (1h50) Ces bonus sont superbes,avec des explications sur les voitures volantes impressionnantes
Scènes coupées + A propos de Fast + Retour à la case départ + Voitures volantes + L’occasion fait le larron + Sauts de tour en tour + Dans la bagarre + Les voitures du film + Race Wars + Vidéoclip officiel « See youagain » + Making of

le film annonce :

 

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Plus de 800 représentations à Paris, traduite en plusieurs langues, adaptée au grand écran, revoilà la comédie: Le Carton au théâtre des Béliers parisiens.

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Studio de célibataire. 9h du mat, le téléphone sonne: Le propriétaire des lieux somme Antoine (Martin Darondeau) de déménager séance tenante, ce dernier appelle d’urgence ses potes à la rescousse. Le premier à venir, c’est Vincent (Jordi Le Bolloc’h) son meilleur ami, qui n’a pas dormi de la nuit, surexcité par la soirée qu’il vient de passer avec une créature de rêve. Une fois de plus il a trompé Marine (Anne Sophie Picard)… qui sonne quelques instants plus tard. Pour éviter les explications, Vincent se cache dans un carton vide… Puis débarquent David (Arthur Mazet), le frère de Marine, apprenti comédien. Puis Katia (Caroline Fauvet), un top model en devenir qui ne parle pas un mot de français et qui a rendez-vous avec Lorenzo (Olivier Dote Doevi), un photographe qui a une camionnette pour aider au déménagement. Ne manque au tableau que la fille du propriétaire, Emilie (Cécilia Cara)…

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Le moins que l’on puisse dire, c’est que les comédiens ne se ménagent pas, et tout particulièrement celui qui tient le rôle principal, qui ne cesse de bouger et de courir. Martin Darondeau tient la pièce sur ses épaules, mais il n’essaie pas de tirer la couverture à lui. Ce jeune comédien est totalement parfait. Et être le rôle principal de cette comédie déjantée, qui tient du boulevard autant que du café théâtre, est une vraie gageure. En un petit peu plus d’une heure, les bons mots, les situations extrêmes, les délires s’accumulent, et la troupe est au diapason. Même les petits rôles sont importants, et la salle se tord de rire de voir les comédiens évoluer dans ce taudis, où un chien ne retrouverait pas ses petits. Nous nous laissons emporter par ce tourbillon, avec une mise en scène cosignée Arthur Jugnot et David Roussel. Encore une des bonnes surprises de cet été, et une découverte pour moi, qui n’avait pas vu la version avec Arthur Jugnot, ni le film.

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Franchement une bonne soirée de rires dans ce petit théâtre encore tout jeune dans le 18ème.

Théâtre des Béliers Parisiens
14bis rue Sainte Isaure – 75018 Paris –

 

Représentations : du mercredi au vendredi à 20h45  et le Samedi à 18h00 et 21h00

Réservations :01 42 62 35 00    ou   www.theatredesbeliersparisiens.com

la bande annonce :

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L’homme invisible revu et corrigé.et c’est bien réussi.

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Un jeune ado, Michelle (Ludovico Girardello) vit avec sa mère, commissaire de police dans une petite ville italienne au bord de la mer. Pas très aimé à l’école, il n’a pas d’amis hormis une toute jeune voisine. le sport et les études ne sont pas ses points forts. Tout ce qui l’intéresse,  c’est que Stella, une des filles de sa classe s’intéresse à lui. Il sera pourtant invité à une soirée déguisée, mais se fera voler l’argent destiné à la location d’habit, et il ne lui reste qu’une solution, aller dans un drôle de bazar et essayer d’y dénicher une tenue de héros. Il n’aurait jamais pensé que sa tenue de super héros inconnu lui donnerait un tel pouvoir….vu qu’ il va devenir invisible. Tout un monde s’ouvre à lui, avec peut-être la rencontre avec Stella ( Noa Zatta), mais aussi la possibilité d’en savoir plus sur ses origines…

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Le réalisateur, Gabriele Salvatores a réussi un film charmant, en évitant bien des écueils et en donnant le rôle principal à un jeune garçon blond comme les blés (Ludovico Girardello) qui se débrouille très bien en tenant l’affiche. Dans le rôle de sa mère Valeria Golino, un peu trop absente. Mais ce film est destiné à la génération Avengers, et même aux plus jeunes, qui se régaleront des aventures de ce très jeune super héros. Certes vous n’aurez pas les effets spéciaux des superproductions et blockbusters de cet été, mais cela va reposer un peu de rester suivre les aventures de ce garçon invisible.

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le film annonce : en vost

et en VF :

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Les amateurs de danse ne peuvent pas manquer cet événement qui se déroule au théâtre du Chatelet jusqu’au 1er Août.

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C’est la 4ème fois que les étés de la dansent invitent la compagnie Alvin Ailey ( 2006, 2009 et 2012). E, 27 représentations et 18 ballets différents, vous verrez ce qui se fait de mieux dans ce domaine.La compagnie est née en 1958, et après le décès de son créateur, elle n’a connu que deux directeurs artistiques, dont l’actuel: Robert Battle. Cette troupe se produit avec plusieurs spectacles différents, comme vous pourrez en trouver les détails ci-dessous. Le spectacle que j’ai pu applaudir est éblouissant, avec 4 ballets : Night Creature (créé en 1974), puis Pas De Duke (créé en 1976,The river ( créé en 1970), avec, pour finir en apothéose : Revelations ( une création de 1960). Franchement il doit être difficile d’offrir meilleur spectacle en danse contemporaine. Revelations, qui est dansé sur des chants traditionnels gospels a tout ce qu’il faut pour que la salle soit éblouie. Et elle l’est, vu que toute la salle est en standing ovation pendant de longues minutes!  avec une reprise, et c’est très rare, d’un des airs de ce ballet haut en couleurs. Croyez-moi quand je dis avoir été ébloui. Si cela ne tenait qu’à moi, j’y retournerai dès ce soir!!!

J’aimerais citer tous les danseurs de la troupe, mais ce serait fastidieux, alors je vais en prendre quelques uns au hasard: Jacqueline Green, Kirven Douthit-Boyd, dans le pas de Duke, mais aussi Jeroboam Bozeman, Elisa Clark, Antonio Doutit-Boyd, Kirven Douthit-Boyt, Samantha Figgins, Daniel Harder, Jacqueline Harris, Yannick Lebrun, Renaldo Maurice, Megan Jakel, Michael Francis McBride, Danica Paulos, Kanji Segawa,Marcus Jarrell Willis  et bien d’autres…

After The Rain Choreography: Christopher Wheeldon Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

After The Rain
Choreography: Christopher Wheeldon
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
studio@paulkolnik.com

Antonio Douthit and Jamar Roberts in Strange Humors Choreography by Robert Battle  Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

Antonio Douthit and Jamar Roberts in
Strange Humors
Choreography by Robert Battle
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
studio@paulkolnik.com

Antonio Douthit-Boyd in Awassa Astrige/Ostrich Alvin Ailey American Dance Theater Photo ©Paul Kolnik

Antonio Douthit-Boyd in
Awassa Astrige/Ostrich
Alvin Ailey American Dance Theater
Photo ©Paul Kolnik

The River Choreography: Alvin Ailey Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

The River
Choreography: Alvin Ailey
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
studio@paulkolnik.com

Polish Pieces Choreography by Hans van Manen Music by Henryk-Mikolaj Górecki Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

Polish Pieces
Choreography by Hans van Manen
Music by Henryk-Mikolaj Górecki
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
studio@paulkolnik.com

AAADT_Night_Creature

AAADT_Night_Creature

 

Voilà le programme complet:

15//7: Four Corners* (Brown / Rux, Kirk, Yacoub) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) Bad Blood* (Dove / Anderson, Gabriel) Home (Harris / Ferrer, Xavier

16/7 : Création Rennie Harris* (Musique non encore communiquée) Four Corners* (Brown / Rux, Kirk, Yacoub) Takademe (Battle / Chandra) LIFT* (Barton / Macdonald)

17/7 : Polish Pieces* (van Manen / Górecki) Strange Humors* (Battle / Mackey) D-Man in the Waters (Part I)* (Jones / Mendelssohn) Takademe (Battle / Chandra) Home (Harris / Ferrer, Xavier

18/7 : à 15h00 : , le 24/7 et le 30/7 :  Night Creature (Ailey / Ellington) Pas de Duke (Ailey / Ellington) The River (Ailey / Ellington) Revelations (Ailey / Chants traditionnels

à 20h00 : Création Rennie Harris* (Musique non encore communiquée) Grace (Brown / Divers compositeurs) LIFT* (Barton / Macdonald)

20/7 : Bad Blood* (Dove / Anderson, Gabriel) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) Grace (Brown / Divers compositeurs) Revelations (Ailey / Chants traditionnels)

21/7 : Polish Pieces* (van Manen / Górecki) Strange Humors* (Battle / Mackey) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) The Hunt (Battle / Les Tambours du Bronx) Home (Harris / Ferrer, Xavier

22/7 : Night Creature (Ailey / Ellington) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) Création Rennie Harris* (Musique non encore communiquée) Minus 16 (Naharin / Montage musical

23/7 : Polish Pieces* (van Manen / Górecki) Awassa Astrige/Ostrich* (Dafora / Riley) D-Man in the Waters (Part I)* (Jones/Mendelssohn) Takademe (Battle / Chandra) Grace (Brown / Divers compositeurs)

Minus 16 Choreography by Ohad Naharin Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

Minus 16
Choreography by Ohad Naharin
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
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The Alvin Ailey American Dance Theatre   (James R. Brantley)

The Alvin Ailey American Dance Theatre (James R. Brantley)

Grace Choreography by Ronald K. Brown Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

Grace
Choreography by Ronald K. Brown
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
studio@paulkolnik.com

25/7: 15h00 : LIFT* (Barton / Macdonald) Création Rennie Harris* (Musique non encore communiquée) Revelations (Ailey / Chants traditionnels)

20h00 : Grace (Brown / Divers compositeurs) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) The Hunt (Battle / Les Tambours du Bronx) Minus 16 (Naharin / Montage musical

27/7 : Polish Pieces* (van Manen / Górecki) Pas de Duke (Ailey / Ellington) Strange Humors* (Battle / Mackey) Four Corners* (Brown / Rux, Kirk, Yacoub) Home (Harris / Ferrer, Xavier)

28/7 : D-Man in the Waters (Part I)* (Jones/Mendelssohn) Takademe (Battle / Chandra) Création Rennie Harris* (Musique non encore communiquée) Minus 16 (Naharin / Montage musical)

29/7 : Bad Blood* (Dove / Anderson, Gabriel) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) The Hunt (Battle / Les Tambours du Bronx) LIFT* (Barton / Macdonald

31/7 : Grace (Brown / Divers compositeurs) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) Bad Blood* (Dove / Anderson, Gabriel) Minus 16 (Naharin / Montage musical)

01/8 à 15h00 : Polish Pieces* (van Manen / Górecki) Awassa Astrige/Ostrich* (Dafora / Riley) Takademe (Battle / Chandra) Four Corners* (Brown / Rux, Kirk, Yacoub) Home (Harris / Ferrer, Xavier

et enfin, à 20h00 : LIFT* (Barton / Macdonald) Grace (Brown / Divers compositeurs) After the Rain Pas De Deux* (Wheeldon / Pärt) Revelations (Ailey / Chants traditionnels)

Exodus Choreography: Rennie Lorenzo Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

Exodus
Choreography: Rennie Lorenzo
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
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D-Man in the Waters Choreography: Bill T. Jones Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

D-Man in the Waters
Choreography: Bill T. Jones
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
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The Hunt Alvin Ailey American Dance Theater Choreography by Robert Battle Credit photo: ©Paul Kolnik paul@paulkolnik.com

The Hunt
Alvin Ailey American Dance Theater
Choreography by Robert Battle
Credit photo: ©Paul Kolnik
paul@paulkolnik.com

Alvin Ailey American Dance Theater, REVELATIONS, Take Me To The Water, Wade in The Water, Constance Stamatiou, Matthew Rushing, Renee Robinson

Alvin Ailey American Dance Theater, REVELATIONS, Take Me To The Water, Wade in The Water, Constance Stamatiou, Matthew Rushing, Renee Robinson

Lift BARTON

Lift BARTON

Four Corners Choreography by Ronald K. Brown Alvin Ailey American Dance Theater Credit Photo: Paul Kolnik studio@paulkolnik.com

Four Corners
Choreography by Ronald K. Brown
Alvin Ailey American Dance Theater
Credit Photo: Paul Kolnik
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RÉSERVATIONS

Théâtre du Châtelet 1, place du Châtelet – Paris 1er Aux caisses, du lundi au samedi, de 11h à 19h sauf dimanche et jours fériés 17, avenue Victoria, Paris 1er

Par téléphone : 01 40 28 28 40                      Par internet : www.chatelet-theatre.com

Places de 13 à 90€

 

quelques extraits :

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Tous des malades c’est du boulevard…mais pas sur les grands boulevards, et le public y court pour Marion Game.

Affiche Tous des Malades - bdef

A Bordeaux, une épouvantable tempête s’annonce et dans la pharmacie le pharmacien (Alexandre Pesle), dragueur invétéré s’occupe de la jolie préparatrice (Virginie Ledieu), qui n’a certainement pas inventé la poudre, lorsqu’une belle déléguée médicale (Sevy Villette) vient lui proposer un nouveau produit, genre Viagra. La belle mère du pharmacien (Marion Game) arrive sur les lieux, un curé pas encore défroqué (Bertrand Nadler)  et un mari cocu avec un revolver (Jean Fornerod). Vous mélangez le tout, vous faites les jeux de mots les plus attendus, avec des paroles ou des titres de chansons en prime. Vous demandez aux comédiens d’en faire des tonnes ( et dans ce cas précis, ils ont bien compris), et le public se plie en deux.

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On pourrait penser que la recette ne prendrait pas, et pourtant, le public rit de bout en bout. L’arrivée de Marion Game lui vaut une tempête d’applaudissements avant qu’elle n’ait prononcé un seul mot. C’est dire si la salle est conquise à l’avance. Et Marion Game en profite pour s’amuser sur scène avec eux. L’auteur (Jean-Jacques Thibaud) semble aussi s’être amusé à cette bouffonnerie, suivi dans son délire par le metteur en scène (Alex Goude). Ne cherchez pas de logique, laissez voir emporter dans ce tourbillon créé par les comédiens, qui emporte la salle dans son sillon.

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Tous des Malades , c’est au Palais des Glaces du mardi au samedi  à 20 h 30

locations au 01 42 02 27 17

bande annonce: