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Après le Cercle de Whitechappel, Julien Lefebvre nous offre sa nouvelle pièce écrite en collaboration avec Florence Lefebvre, sur cette grande dame à côté de la Seine, symbole de Paris. Mais connaît-on la genèse de cette tour? Si vous pensez le savoir, allez donc au Théâtre Fontaine, et vous apprendrez certainement bien des choses.

Nous sommes à Paris, en 1884. La préparation de l’Exposition Universelle de 1889 bât son plein. Gustave Eiffel s’ennuie. Bien qu’il soit l’un des plus grands ingénieurs de son temps, ses élans créatifs s’essoufflent. Il tourne en rond et songe à passer la main à son second : le jeune  Adolphe Salles. D’ailleurs, ce dernier a un plan pour la société Eiffel : prendre moins de prises de risques et donc être plus rentable. Il rejette donc le projet délirant et coûteux que lui apportent Nouguier et Koechlin, deux ingénieurs passionnés qui veulent construire le plus haut monument du monde. C’est sans compter sur Claire Eiffel, qui rêve d’accompagner son père dans de nouvelles grandes aventures architecturales. Et si cette tour à l’aspect étrange, qui serait plus proche d’un pylone,  cette soi-disant “idée du siècle”, était justement l’occasion de prouver ses compétences et de faire capoter cette idée de mariage avec Salles, qu’elle semble détester ? Mais la Tour offre de telles possibilités qu’elle va intéresser quelques personne, pas toutes bien attentionnées. Et la mise en chantier va se faire, chantier qui devient vite un tourbillon incontrôlable avec tout ce que cela implique….et surtout beaucoup de rires pour les spectateurs.

Alors qu’à 21.00 le théâtre Fontaine ne sésemplit pas, qui fait salle comble tous les soirs  avec des spectateurs qui se todent de rire avec la pièce de Sébastien Castro : J’ai envie de toi, la direction de ce théâtre est tombée sur une deuxième pépite, qui devrait à coup sur connaitre un destin proche de celui de J’ai envie de toi. Les comédiens sont vraiment extraordinaires, qui nous font revivre ces mois avec la construction du monument.  Les comédiens s’en donnent à coeur joie : Frédéric IMBERTY (Gustave EIFFEL), Margaux VAN DEN PLAS (Claire EIFFEL), Thomas RONZEAU (Aldophe SALLES), Axel BLIND (Émile NOUGUIER), Nicolas LE GUEN (Maurice KOECHLIN), Héloïse WAGNER (Armande BERNOUILLE) et Jean FRANCO  qui se démultiplie  et nous fait donc rire 5 fois plus (Alfred BERNOUILLE / TAILLESEC, SCAPARELLI, Leconte DE LISLE, Edouard LOCKROY) .

La mise en scène de Jean-Laurent Silvi avec des petits changement de décors réguliers est efficace, et nous fait vibrer du début à la fin de ces aventures. Bref une heure et demie (ou peu s’en faut) de bonheur, de rires . Un pièce visible par tout le monde, sans aucune vulgarité. Au cinéma on utilise le terme Feel Good pour un film,  gardons ce qualitatif pour cette pièce (Feel Good : se sentir bien) parce qu’on se sent vraiment bien, on a le sourire aux lèvres du début à la fin, et on sort avec une pêche d’enfer!

N’hésitez pas une seconde, prenez une dose de Plus haut que le ciel, et si vous n’avez pas peur de trop rire dans une même soirée, prenez une seconde dose de rires avec J’ai envie de Toi

Photos : @Bernard Richebé

Plus haut que le ciel : la pièce est surtitrée en anglais les mercredi, vendredi et dimanche.

Jusqu’au 19 janvier 2020 (prolongations possibles)

Théâtre Fontaine
10 rue Pierre Fontaine 75009 Paris
Métro : Pigalle, Blanche, Saint-Georges
Du mercredi au dimanche à 19h00
sauf les mercredis 25 décembre et 1er janvier
Prix des places : 10 € à 30 € selon catégorie

voir l’article sur J’ai envie de toi : http://www.onsortoupas.fr/jai-envie-de-toi-de-avec-sebastien-castro-lenorme-eclat-de-rires-de-la-rentree-l/

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Si The Shining, le film de Stanley Kubrick en 1980, vous avait effrayé(s), en voici une suite,  encore plus terrifiante, toujours d’après Stephen King

Encore profondément marqué par le traumatisme qu’il a vécu, enfant, à l’Overlook Hotel (l’hôtel terrifiant de The Shining), Dan Torrance a dû se battre pour tenter de trouver un semblant de sérénité, aidé par de bonnes doses d’alccol. Mais une rencontre avec un voisin, qui l’aide à s’en sortir, va changer sa vision de la vie, ceci avant de recevoir des messages dans sa tête en provenance d’Abra. Quand il rencontre cette Abra, une courageuse adolescente aux dons extrasensoriels, ses vieux démons resurgissent de plus belle. Car la jeune fille, consciente que Dan a les mêmes pouvoirs qu’elle, a besoin de son aide : elle cherche à lutter contre la redoutable Rose et sa tribu du Nœud Vrai qui se nourrissent des dons d’innocents comme elle pour conquérir l’immortalité, plus particulièrement après l’assassinat d’un tout jeune joueur de base ball, qu’elle va visualiser.

Dan et Abra s’engagent dans un combat sans merci contre Rose et toute sa bande. Face à l’innocence de la jeune fille et à sa manière d’accepter son don, Dan n’a d’autre choix que de mobiliser ses propres pouvoirs, même s’il doit affronter ses peurs et réveiller les fantômes du passé…

 

Si vous aimez frémir au cinéma, ne manquez surtout pas ce film de Mike Flanagan, qui n’a rien à envier à l’ultra célèbre film de Kubrick, qui avait marqué toute une génération. Le réalisateur nous en offre quelques minuscules extraits pour bien montrer qu’il rend ainsi hommage à son aîné. Je vais peut-être vous choquer, mais à l’époque j’avais été très déçu par le premier film, en ayant déchiffré tout ce qui allait se dérouler, alors que je n’avais pas lu ( et du coup je je ne l’ai jamais lu) le roman de Stephen King. Doctor Sleep est tiré du roman du même titre parus en 2013, longtemps après Shining), et on comprend bien  qu’il soit aussi adapté au cinéma.

Dans DOCTOR SLEEP, on retrouve Danny Torrance quarante ans après son séjour terrifiant à l’Overlook Hotel de SHINING. Ewan McGregor, Rebecca Ferguson et  Kyliegh Curran sont à l’affiche de ce thriller surnaturel, écrit et réalisé par Mike Flanagan, d’après le roman de Stephen King. On trouve encore au casting Carl Lumbly, Zahn McClarnon, Emily Alyn Lind, Bruce Greenwood, Jocelin Donahue, Alex Essoe et Cliff Curtis. Ewan Mac Gregor fait, une fois encore une excellente composition alors que adversaire est la méchanceté absolue, sous les traits de Rebecca Ferguson. Mais c’est celle qui fait ses premiers pas à l’écran qui domine tout qui reste toujours dans le juste ton, et on ne peut que saluer la performance de la jeune Kyliegh Curran.

Le film dure certes un peu plus de 2 heures 10, mais on ne s’y ennuie pas une seconde et dès les premières images on entre dans le monde de King, pour n’en sortir qu’au générique de fin.

 

Toutes les photos :  © 2019 WARNER BROS. ENTERTAINMENT INC.    Courtesy of Warner Bros. Pictures

 

Le film annonce  VF :

et vost :

 

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Le Théâtre des Champs-Elysées a présenté une œuvre peu connue et rarement représentée en France: Le Freischütz, le franc-tireur,  qui a les allures d’un conte de fées.

Carl Maria Von Weber est un compositeur quelque peu méconnu du grand public, si ce n’est son Invitation à la valse ( que certains appellent aussi : Invitation à la danse, une œuvre courte, et pourtant son opéra Le Freischütz, connut un triomphe lors de sa création en 1821. Admiré par Berlioz, Wagner, Debussy, Von Weber mériterait amplement que ses + de 300 œuvres soient plus largement jouées. Cet enfant de la balle a connu très tôt la vie d’un théâtre, et la musique fait partie de son éducation et de sa vie. On le considère comme le père de la musique romantique. Très vite il désire écrire un opéra qui prendra sa source dans des contes enracinés dans le fabuleux populaire, poussant le lecteur dans un passé recomposé. Avec le poète  Johann Friedrich Kind, ils se lancent dans cet opéra élégant.

L’histoire se situe en Bohème vers 1648. Max est le garde chasse du prince. Il est amoureux d’Agathe, la fille de Kuno, le chef des gardes forestiers. Ce dernier rappelle à Max que, pour lui succéder et épouser sa fille, il doit gagner l’épreuve de tir qui aura lieu le lendemain. Max vient de perdre un concours de tir, gagné haut la main par Kilian. Max en proie au désespoir, écoute les conseils de Kaspar qui lui suggère  d’utiliser des balles magiques. Naturellement, Max ne se doute pas que Kaspar est sous l’influence de Samiel, le démon, à qui il a vendu son âme.

Comment représenter ce monde sylvestre où les frondaisons cachent des secrets, des malédictions, des balles magiques. Peut-on échapper au chapeau tyrolien, et aux costumes folkloriques ? Nous sommes dans un univers cerné par les ténèbres. Des projections vidéo de forêt, d’hologrammes servent de décors. Le plateau plongé dans le noir permet les jeux d’illusions. Tout est magie, fantasmagorie, les personnages lévitent, les balles lumineuses dansent dans les airs comme des lucioles complices. Clément Dazin joue le démon Samiel, inquiétant et défiant les lois de l’équilibre. On tombe sous le charme du duo féminin. La soprano Johanni van Oostrum est une Agathe sensible qui éblouit avec la couleur de son timbre. Dans le rôle de sa confidente Annchen, la soprano Chiara Skerath est superbe. Bien sûr, Stanislas de Barbeyrac dans le rôle de Max fait passer toutes les émotions du chasseur et de l’amoureux. Vous pourrez aussi apprécier : Vladimir Baykov, Christian Immler, Thorsten Grümbel, Daniel Schumtzhard, Anas Séguin, sans oublier les choeurs qui sont formidables.

**TOUTES LES PHOTOS : @ VINCENT PONTET

Laurence Equilbey et l’ Insula Orchestra font merveille. Sa direction musicale, ferme et délicate donne à la partition toutes ses couleurs et nuances. Laurence Equilbey donne la mesure de cette œuvre capitale, injustement oubliée. N’oublions pas que cette partition était innovante, et donnait à la clarinette entre autres un relief jusqu’alors inconnu.  La densité de la partition, les fulgurances, la mélodie si élégante de cette œuvre en 3 actes sont admirablement servies dans cette mise en scène de Clément Debailleul

.Marie Laure Atinault

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Un nouveau cabaret à Paris, c’est assez rare pour le signaler. Surtout que sur la petite scène de ce cabaret vous verrez des transformistes qui ne manquent pas de talent.

Il faut tout d’abord signaler que l’ambiance est vraiment sympa, et ne pensez pas un seul instant que ce cabaret est réservé à une clientèle gay ou LGBT. Loin s’en faut! Je m’y suis rendu 2 fois et la petite salle était comble, sans distinction de sexe ou de préférence sexuelle. Ce mélange nous démontre, (mais en avait-on vraiment besoin?) que l’on peut passer d’excellentes soirées en mélangeant tout le monde.

Guy Courthéoux, Martine Superstar et Christophe Soret, le maître des lieux

Côté pratique, vous pourrez vous restaurer avec des belles planches  avec charcuteries, fromages (18€), assiette de foies gras (24€) ou mignardises dessert (16€) .

Côté consommation, vous devez vous acquitter d’un droit d’entrée de 30€ si vous avez réservé en ligne ou 35€ sur place  qui vous permet de choisir, soit deux verres de soft (coca,  jus) ou un cocktail, ou une coupe de champagne. Je vous ferai grace des différents cocktails. Vous avez des vins au verre à partir de 8€ et des bouteilles (dont un excellent Morgon à 35€).

Côté spectacle, c’est quand même pour cela que vous viendrez : 2 parties, la première débutant vers 20.30. Il est recommandé vivement de réserver et d’arriver vers 20.00 si vous voulez être super bien placés. LadisLive chante vraiment et possède un très belles voix, Le côté comique c’est LaraFullCamp, qui joue le playback, et le côté charme c’est Sweetie Bonbon, qui excelle au piano et chante aussi en duo avec LaDivaLive. Il est le seul des 3 à apparaître en homme, ainsi qu’ en femme comme vous le verrez dans l’entretien filmé

Pour mieux vous donner une idée, je me suis rendu dans la loge et ai rencontré les 3 protagonistes actuels:

Le Divas Kabaret c’est au 33 rue des Rosiers Paris 4ème

Actuellement uniquement les jeudis, vendredis et samedis!

Réservations : téléphone de 10H à 18H au 01 43 57 53 05 ou par email : contact@divas-kabaret.fr

Privatisations possibles

Pour plus de détails : www.https://divas-kabaret.fr/

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Série culte sur Canal +, voici l’adaptation théatrale.

C’est en 1988 que Christian Fechner, Canal + et Pierre Lescure lancent Palace, et donnent carte blanche à Jean-Michel Ribes. Ce sera une série loufoque qui a permis au téléspectateur de découvrir de nouveaux visages, comme Valérie Lemercier, mais aussi des comédiens déjà célèbres, comme Jean Carmet, Philippe Khorsand, Jacqueline Maillan, Claude Pieplu (la voix des Shadoks!)=, François Rollin, François Morel, avec des apparitions de célébrités : Christian Clavier, Pierre Arditi, Roger Hanin, Gérard Lanvin, Pierre Mondy, Les Nuls, Jean Yanne ou Daniel Prévost.

L’époque est bien révolue où des stars faisaient ainsi des apparitions. Et pour l’adaptation théâtrale, vous vous doutez bien que la majorité n’étant plus de ce monde, ils ne peuvent donc être remplacés. Nouvelle distribution donc: Salim Bagayoko, Joséphine de Meaux, Salomé Dienis-Meulien, Mikaëm Halimi, Mgali Lange, Jocelyn Laurent, Philippe Magnan, Karina Marimon, Coline Omasson, Thibaut Orsini, Simon Parmentier, et celui qui a attiré notre regard depusi quelques comédies musicales : Gwendal Marimoutou, que l’on avait vu dans Résiste, Madiba et Saturday Night Fever.

C’est, une fois de plus vers lui que nos regards convergent, raison de plus pour le rencontrer à nouveau:

Palace, c’est au Théâtre de Paris

du mardi au samedi à 20h30 et dimanche à 15h30

Tarifs flash jusqu’au 9 novembre : de 12 à 32€

la bande annonce :

 

 

 

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Le grand Rex, plein à craquer pour deux soirs de concert de Sylvie Vartan, en hommage à Johnny Hallyday.

Concert hommage,  avec des extraits de son dernier album Avec Toi, mais aussi des incontournables de Sylvie, entre autres La Maritza ou La Plus belle pour aller danser. Une guest star, en l’occurence David Hallyday, venu interpréter en duo avec sa mère : Sang Pour Sang, qu’il avait composé pour son illustre père.

Rien ne manquait, ni l’orchestre, ni les éclairages du génie des lumières : Jacques Rouveyrollis. Les amis de Sylvie, les admirateurs, comme Pierre Cardin, Michel Drucker, Dave, Nicoletta et bien d’autres étaient au rendez-vous et les fans étaient légion.

Pierre Cardin et Tony Scotti

Voici quelques unes des photos qui vous donneront l’ambiance de cette soirée. ces photos ont été prises le 24 Octobre, revenez dans quelques jours et vous verrez une autre sélection, celles du 23.

TOUTES LES PHOTOS (excepté l’affiche) @ Guy Courthéoux / onsortoupas.fr

Tous droits réservés.

Mais quoi de mieux qu’une vidéo avec des extraits de quelques chansons pour ceux qui n’ont pas pu assister. Voici un premier montage, et l’autre suivra dans un prochain article, avec d’autres photos. N’hésitez pas à donner vos commentaires, et à envoyer vos amis sur ce site!

Vidéo exclusive onsortoupas.fr!

 

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La rencontre entre les studios Dreamworks et les Studios Pearl donne un résultat magnifique: ABOMINABLE.

Tout commence sur le toit d’un immeuble à Shanghai, avec la rencontre d’une jeune adolescente, Yi, avec un jeune Yeti. La jeune fille, une rêveuse,  et ses amis Jin  et Peng (9 ans) vont tenter de ramener chez lui leur nouvel  ami, qu’ils ont baptisé Everest pour  qu’il retrouve sa famille sur le toit du monde. Mais pour accomplir cette mission, loin de sa mère  et de sa grand-, Yi et ses amis vont devoir se méfier du Docteur Zara , une éminente zoologiste, et vont mener une course serrée contre Burnish,  un homme puissant qui a l’intention de capturer la créature .

Ceux qui avaient aimé les 3 films d’animation DRAGONS devraient apprécier celui-ci, qui est visible par tous, même les plus jeunes. On s’amuse beaucoup, on vibre avec ces 3 enfants ou jeunes ados. On voyage dans le rêve, mais aussi dans des décors superbes comme ceux des montagnes enneigées. Et surtout on tombe ‘amoureux’ de ce jeune Yéti, de ses mimiques, et de ses pouvoirs.

Franchement j’ai eu l’impression de me retrouver tout enfant, et je m’imaginais dans la peau d’un gosse qui découvre ce film d’animation, alors que dans ma petite jeunesse, le seul ‘dessins-animés’ que l’on pouvait voir était le Disney annuel ou semi annuel.  Maintenant les films d’animation ont beaucoup évolué, tant dans les sujets traités que dans la manière dont ils sont produits et réalisés.

Abominable a été réalisé par Jill Culton avec la collaboration de Todd Wilderman, elle avait déjà participé à Monstres et Cie ou Les Rebelles De La Forêt, qui a  situé le film dans la Chine actuelle. Vous découvrirez de beaux paysages, de bons effets spéciaux, et si les plus jeunes vont adorer et sans coup férir vouloir la peluche d’Everest, les autres, même les plus âgés vont toutefois se régaler du début à la fin. ABOMINABLE, loin du titre , mais ADORABLE, TENDRE, AMUSANT, SUPERBE!

TOUTES LES PHOTOS et VIDEOS : @ UNIVERSAL PICTURES / DreamWorks Animation & Pearl Studio. Abominable, écrit et réalisé par Jill Culton.

 

En plus de toutes ces photos, un petit tour du côté de la bande annonce. A noter que le film sera projeté en version française avec quelques rares salles en Vost.

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Après le roman de John Wainwright, le film de Claude Miller voici l’adaptation théâtrale de Francis Lombrail et Frédéric Bouchet.

Nous sommes dans une bourgade de province, le soir du réveillon de Noël. Le maire de cette petite ville, monsieur Bergerot (Thibault de Montalembert), se voit convoqué au commissariat dans le cadre d’une enquête sur le viol et l’assassinat de trois jeunes filles. Au départ simple témoin,, il va passer au statut de principal suspect  pour le commissaire Toulouse ( Wladimir Yordanoff) et de son adjoint Berthil (Francis Lombrail). Le pire qui puisse arriver va se produire puisque la femme de Bergerot (Marianne Bassler) va l’accabler alors que ce dernier, s’il s’avère coupable, est passible de la peine de mort (qui n’était pas abolie à l’époque des faits). Beaucoup de souviennent du chef d’oeuvre de Claude Miller qui aréunissait Lino Ventura, Michel Serrault, Romy Schneider et Guy Marchand, avec des dialogues de Michel Audiard. Et pourtant, dès que le rideau se lève, on est scotché sur notre fauteuil, et on suit les périgrinations de ces personnages hors du commun. On oublie le film.

Indiscutablement, cette adaptation au théâtre est une pure réussite, un sujet toujours brulant, un texte passionnant, une mise en scène signée Charles Tordjman qui reste sobre et fait la part belle aux comédiens. Voilà le théâtre comme on l’aime. Tout est réuni pour que le spectateur soit passionné.

Les raisons ne manquent donc pas pour une rencontre avec l’adaptateur, comédien, et directeur du Théâtre Hébertot, Francis Lombrail. Ce dernier se retrouve devant la caméra d’Onsortoupas.fr, aux côtés de Guy Courthéoux:

EN GARDE A VUE, c’est du mardi au samedi à 21h00 et le dimanche à 15h30 au théâtre Hébertot.

Prix des places : de 18€ à 53€

Locations : 01 43 87 23 23 ou www.theatrehebertot.com

 

la bande annonce :

 

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Attendu par nombre de fans de Batman, encensé par la critique avant sa sortie en salles, que penser de Joker, qui est sorti il y a quelques jours sur les écrans?

Comment l’ennemi N°1 de Batman est-il devenu cet être si différent, si épouvantable? C’est ce que voudrait démontrer le réalisateur  Todd Phillips dans ce film de près de 2 heures. Le réalisateur veut que son film soit un récit original ( pari réussi), indépendant de toute saga ( difficile de dissocier Joker de la saga). C’est Joachin Phoenix qui campe ce personnage, qui vit  avec sa mère, qui rêve de travailler comme comique de stand-up, mais qui gagne sa vie en étant un clown à 4 sous. Il vit dans Gotham City ( re-Batman!)

Sa vie va basculer quand un de ses collègues de « travail » lui offre une arme à feu. Une mauvaise rencontre dans le métro et tout va s’enchaîner.  Son second rêve, participer à une émission de télé , talk show, animée par celui qu’il admire le plus , Murray Franklin, personnage qui a les traits de Robert de Niro.

Il faut être honnête, Joaquin Phoenix fait une véritable performance, qui est de quasi tous les plans. Robert de Niro, cabotine beaucoup moins que dans ses derniers films, et j’irai jusqu’à écrire que lorsqu’il est présent sur l’écran on prend une bouchée d’air plus pur.

Hormis ces performances d’acteurs, le film ne m’a apas intéressé plus de 5 minutes. L’ayant vu dans un grand cinéma, j’ai remarqué quand même que la salle a perdu de nombreux spectateurs tout au long de la projection. Pourquoi? Parce qu’on se sent vraiment mal, que c’est malsain, avec un côté voyeur, que ce clown fait peur non pas par son maquillage, mais par ce qui lui passe par le tête, sans parler de ses rires hystériques (il n’est pas comme celui de Stephen King), et que plus le film avance, plus on sent ce qui va arriver. De toutes façons, on sait bien que Joker ne peut pas mourir, puisqu’il sera plus tard l’ennemi de Batman.

Voilà le genre de film que je n’arrive pas à comprendre, quel que soit l’engouement, ou l’envie du public d’aller le voir. Il sort à quelques jours des vacances scolaires, alors qu’il est interdit aux moins de 12 ans, de par sa violence, tant dans les images, que dans le sujet. J’ajoute qu’aux Etats Unis le film est classé R, soit interdit aux moins de 17 ans! Heureux les jeunes américains qui ne pourront pas assister à cette oeuvre cinématographique. Il est extrêmement rare que je déconseille un spectacle, mais même si je vais à l’encontre de certains critiques, je ne peux pas adhérer ni conseiller ce film.

 

Toutes les photos : @  Niko Tavernise,  Copyright: © 2019 Warner Bros. Entertainment Inc

En voici la bande annonce :

 

 

 

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Voilà une rencontre vraiment pittoresque bien qu’inventée, celle entre Alexandrine Zola et un apothicaire, au moment où le corps du célèbre écrivain a été transporté au Panthéon.

 

Nous sommes en 1908, pour la date exacte, référez-vous à celle où la dépuoille d’Emile Zola a rejoint sa dernière demeure!

Au début de la pièce Alexandrine Zola, toujours très amoureuse de son défunt mari, bavarde avec lui, un dialogue à sens unique, mais qui nous fait comprendre sa détresse et son désaroi. L’arrivée inopinée de l’apothicaire Fleury va nous montrer cette femme, qui a des problèmes de santé, va accueillir ce nouveau venu, et parler beaucoup avec lui. D’elle, de Zola, mais aussi d’une femme à qui Emile Zola a fait deux enfants, dont elle prend grand soin. C’est le portrait d’une vraie femme, anti conformiste à laquelle on s’attache très vite. Annick le Goff a écrit cette pièce après avoir lu la biographie d’Evelyne Bloch-Dano sur l’illustre écrivain, et elle a été touchée par le fait que Madame Zola est en fait une grande inconnue pour le public. . Qui peut se vanter de savoir qu’elle était issue des bas fonds de Paris, qu’elle a été orpheline à l’âge de 7 ans, qu’elle fut blanchisseuse et qu’à 14 ans, elle ne savait ni lire, ni écrire?

On est totalement captivé par les différents récits et ceux de son nouvel ami, en tout bien tout honneur, Fleury. L’auteure, Annick Le Goff nous fait vivre cette histoire avec beaucoup de talent.  On se délecte de ces dialogues et on apprécie la mise en scène d’Anouche Setbon. Mais on vibre d’autant plus pour celle qui interprête Alexandrine : Catherine Arditi.

Il n’en fallait pas plus pour que nous ayons envie de rencontrer cette immense comédienne.

Voilà chose faite dans les locaux du Théâtre Montparnasse :

Venez vous régaler avec MADAME ZOLA, au Petit Montparnasse.

C’est du mardi au samedi à 21.00, avec matinée le dimanche à 17.00. Tarif au guichet : 18€ et 34 €

Locations : 01 43 22 77 74 ou sur www.theatremontparnasse.com   

TOUTES LES PHOTOS / @J. Stey

et voilà la bande annonce :