Ce film se déroule pendant la guerre de Secession aux Etats Unis et raconte l’histoire du premier régiment noir de l’histoire des Etats Unis, le 54ème régiment du Massachussetts. Il rassemble Matthew Broderick, qui incarne le colonel Robert Gould Shaw, aux côtés de son pote (Cary Elwes)et il se retrouve à la tête de ce régiment avec des recrues comme Denzel Washington, Morgan Freeman, parmi bien d’autres tous blacks. . Le jeune Robert Gould Shaw est promu colonel du premier régiment de soldats noirs, engagés volontaires dans une guerre qu’ils croient être la leur. Mais ils se trompent. Assignés à des tâches subalternes, méprisés par leurs officiers, ils se révoltent, Shaw à leur tête, pour partir au feu…
Réalisé par Edward Zwick, sur un scénario signé Kevin Jarre, le film s’est inspiré de 2 romans de Peter Burchard et Lincoln Kirstein et le moins que l’on puisse dire c’est qu’onn est scotché à notre fauteuil dès les premières minutes du film. On ne voit pas le temps passer que c’est déjà l’apothéose finale, que je ne vous dévoilerai pas. Le film dure 2h00, passionnant de bout en bout avec quelques scène délicates qui ne seront pas pour les plus jeunes entre autre beaucoup de sang et de morts violentes, mais c’est un film de guerre et on essaie de s’approcher au plus de la réalité.
Parmi les suppléments : Bande annonce cinéma,
Pour les détails techniques : Pour le film
Format respecté : 1.85:1
Le film : en anglais : 7.1.4 dolby Atmos, Français, Allemand, Anglais, Espagnol, Italien, Japonais 5.1 DTS HD MA
Hongrois, Portugais, Thai : 5.1 Dolby Digital
Sous titres : Français, Anglais, Allemand, Néerlandais, Danois, Italien, Espagnol, Portugais, Grec, Turc, Arabe, Chinois, Anglais SME
pour les suppléments : format standard et HD, en anglais uniquement, avec des sous titres : Français, Allemand, Italien, Espagnol, Japonais, Anglais SME
Emilia Perez, le film de Jacques Audiard, c’est vraiment une énorme claque. A voir absolument en bluray ou mieux encore en 4K ULTRA HD
Ce n’est pas tous les jours qu’on voit un film at que l’on prend vraiment une grosse claque, et c’est ce qui m’est arrivé avec un réalisateur que je classe désormais comme l’un des plus grands de sa génération : Jacques Audiard. Certes il de qui tenir, son père Michel Audiard fut un des plus grands scénaristes et dialoguistes français si ce n’est le meilleur entre les années 50 et 80, qui s’est amusé à réaliser quelques comédies loufoques . Bon sang ne saurait mentir, son fils a quand même mis en scène : De battre mon cœur s’est arrêté ou Un Prophète entre autres, et qui depuis ses débuts derrière la caméra a collectionné les récompenses, Césars, Cannes comme d’autres collectionnent les tableaux. Je crois que vous avez déjà compris que j’étais admirateur de Monsieur Jacques Audiard, et qu’après Emilia Perez, je suis prêt à créer son fan club, si ce n’est déjà fait.
Le film a raflé de très belles récompenses aux Golden Globes en plus de celles récoltées à Cannes (prix du jury et prix d’interprétation) : prix du meilleur film international, de la meilleure comédie, de la meilleure actrice dans un second rôle pour Zoe Saldaña, et de la meilleure chanson. Et ce n’est pas fini, car il est dans la ligne de mire pour quelques Oscars à Hollywood.
Rita use de ses talents d’avocate au service d’un cabinet plus enclin à blanchir des ordures criminelles qu’à servir la justice, elle fait office de main d’œuvre alors qu’elle est plus que qualifiée . Mais une porte de sortie inespérée autant qu’incroyable se présente à elle, une proposition difficile à refuser si on n’a pas froid aux yeux : aider le chef de cartel Manitas à se retirer des affaires et disparaître à jamais. Manitas a un plan qu’il peaufine en secret depuis des années : devenir, enfin, la femme qu’il a toujours rêvé d’être. Voilà pour le début de l’histoire. Tout cela sous fond musical, comme une comédie musicale ( pardon, nous sommes plus proche de la tragédie que de La Mélodie du Bonheur).
C’est un film à la gloire des femmes, d’ailleurs les actrices Zoe Saldana, Karla Sofia Gascon, Adriana Paz et Selana Gomez se sont partagées le prix d’interprétation féminine lors du dernier Festival de Cannes. À 52 ans, Karla qui a entamé sa transition de genre à 46 ans en 2018, est la révélation de ce film dont elle tient le rôle principal : celui d’un narcotrafiquant qui se sent profondément femme et change de genre pour changer de vie. Mais il s’aperçoit du manque qu’il ressent envers ses enfants, et va vouloir les revoir. Le film ne se raconte pas, je vous en ai dévoilé la trame, mais il faut le voir, le vivre pour comprendre qu’on ne ressort pas indemne du cinéma. La violence est d’usage, elle est omniprésente et va crescendo. Pourtant je n’ai pas ressenti l’envie de mettre mes mains devant les yeux pour cacher certaines violences.
Ce film est certes à réserver à un public adulte et averti mais si on aime le cinéma en tant qu’œuvre, on ne doit pas manquer ce film inclassable qui m’a vraiment pris aux tripes . On est très loin de Spielberg et encore plus de Disney, de James Cameron, de Visconti ou Pasolini. Jacques Audiard nous entraine dans un monde de violence dont on ne sort pas indemne, même s’il a su suggérer plus que montrer, et c’est peut-être là qu’il faut le féliciter.
Ce film est aussi et dirais je surtout musical avec des chansons de Clément DUCOL et Camille, et des chorégraphies de Damien JALET qui valent plus que le détour, et c’est un vrai fan de comédies musicales qui vous le dit.
Quelques détails techniques sur le BLURAY et le 4K:
Français (DTS-HD 7.1) et Espagnol Dolby Atmos compatible 7.1 Dolby True HD, piste audiovision stéréo DTS HD MA.
Nombreux suppléments / entretien avec le réalisateur
WILLOW, réalisé par Ron Howard avec Val Kilmer et Joanne Whalley et produit par Georges Lucas sort en 4K Ultra-bluray
Je me souvenais avoir vu ce film il y a très longtemps, mais je l’ai totalement re-découvert dans sa version 4K qui est absolument magnifique. Alors remontons le temps et revenons en 1988, où Ron Howard nous proposait un peu d’héroïc Fantasy avec ce film, produit par Georges Lucas… Il avait déjà connu de beaux succès au box office avec Splash et Cocoon et n’en restera pas là avec des oeuvres comme Backdraft, Horizons Lointains, Apollo 13, The Grinch, ou encore le Da Vinci Code parmi tant d’autres films mémorables.
Au casting de ce Willow, Val Kilmer et Joanne Whalley et surtout Warwick Davies, qui a un rôle merveilleux que celui d’un homme de petite taille, qui voudrait être magicien, et qui, au départ vit dans un village où tous sont de sa taille, avec une belle famille, et c’est l’arrivée inopinée d’un bébé, que la méchante reine Bavmorda (Jean March) veut absolument détruire, car les mages ont prédit un destin funeste si le bébé reste en vie…Vous comprenez que ce n’est pas facile dé décrire plus avant. L’apprenti sorcier se doit de protéger le bébé, et va donc partir sans savoir de quoi il en résulte et son chemin va croiser celui de Madmartigan (Val Kilmer). Je me garderai de vous en dévoiler plus. Mais je suis resté scotché à mon écran jusqu’à la dernière image. Le film n’a pas pris une ride, même si les effets spéciaux en étaient encore à leurs balbutiements, vu que le film date de 1988, et que les effets spéciaux avaient pris de l’importance avec Star Wars, une dizaine d’années plus tôt. Et tout est parfait à ce niveau, où les effets entre les mini nains,( taille d’un doigt), les nains, et les humains sont vraiment superbes;
Quand je dis que le film n’a pas pris une ride, c’est vrai, même s’il est certain que si le film devait faire l’objet d’un remake de nos jours, il pourrait être perfectionné, mais pas changé à 100%. La qualité de ce 4K est remarquable, et les éditeurs ont compris que le 4K était l’avenir, en proposant 2 disques dans le fourreau : le 4 K et le Bluray ‘normal’ où vous aurez en suppléments : Des scènes coupées présentées par Ron Howard, mais aussi : *Willow un héros improbable +le journal Vidéo de Warwick Davis, un making of, les coulisses d’une aventure avec Ron Howard, et un petit documentaire : du ‘morf’ au ‘morphing’ avec Denis Muren – Matta Paintings.
Présentation des 2 disques :
le 4k UltraBluray 2160p 16/9 2.39
Langue : Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS 5.1), Français (DTS-HD High Res Audio Polonais (Dolby Digital 5.1), Italien (DTS 5.1), Allemand (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Allemand (DTS-HD High Res Audio),, Castillan (DTS 5.1), Japonais (Dolby Digital 5.1)
Sous titres : Français, Néerlandais, Allemand, Castillan
le bluray : 1080p haute def 16/9, 2.39
son : DTS 5.1 : français, , allemand, espagnol, italien, castillan et anglais en DTS 5.1
Des ‘Alien’ sur grand écran, puis en vidéo cela ne manque pas depuis le premier opus en 1979 signé Ridley Scott avec Sigourney Weaver. Puis celui de James Cameron en 1986, le 3 de David Fincher en 1992 et ce n’est pas fini, Jean-Pierre Jeunet prit le relève en 1997 avec Alien Résurrection alors que Ridley Scott s’attelait aux 2 suivants : Prometheus et Alien Covenant en 2012 et 2017. Ce nouveau film Alien Romulus est signé Fede Alvarez où un groupe de jeunes gens va devoir affronter les Xénomorphes.
Alors qu’il entreprend des fouilles dans une station spatiale abandonnée, un groupe de jeunes voyageurs se retrouve confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers… et bien entendu, perdus dans l’espace, ils ont bien peu de chances de s’en sortir. Les jeunes interprètes ( Cailey Spaeny, David Jonsson, Isabella Merced et Archie Renaux sont plutôt convaincants et tous les autres sont des inconnus, comme Spike Fearn, Aileen Wu, ). Si on voit le nom de Ridley Scott au générique…ce n’est pas parce qu’il a réalisé le film, mais c’est qu’il l’a produit. Donc une certaine garantie de qualité que de voir sa signature sur ce 7 opus. Et il faut bien avouer que cette suite réussit à garder toute notre attention. On sait ce qu’on va voir, et on ne peut pas être trop surpris. Sans être un très grand film, cela se laisse regarder avec la dose de frissons qui tient ses promesses. le scénario est l’œuvre de l’uruguayen Rodolfo Sayagues
Les surprises et les différents aliens vont réjouir les spectateurs. Je ne dirai pas que c’est le meilleur, mais ce n’est pas non plus le pire de la série. On ne s’ennuie pas, on frémi souvent et c’est quand même ce qui nous pousse à aller voir ce genre de films
Je viens juste de découvrir ce concert en différents formats vu qu’il est édité sous plusieurs formats : le DVD , le bluray et le bluray UltraHD 4K, et c’est sur ce dernier que j’ai ‘re’-vécu l’expérience que j’avais découvert il y a quelques semaines au cinéma sur écran géant, qui nous proposait le montage définitif . Si les salles du groupe Pathé proposaient ce montage définitif, et que la salle affichait complet, j’avoue que je découvrais avec délice l’intégrale de ce concert auquel je n’aurais jamais pu assister, étant agoraphobe. Si je peux aller en concert dans des salles comme Le Casino de Paris, l’Olympia, le Dôme de Paris ou le Palais des congrès, l’idée de me rendre dans un stade me semble illusoire, et je me dois de remercier le producteur Thierry Suc, la star Mylène, et toute l’équipe qui nous offer ce concert que l’on peut se passer (et repasser) sur un bel écran TV.
Nevermore, c’est un peu un OVNI dans le paysage des concerts filmés. C’est du grand spectacle. On en prend plein les yeux ( et les oreilles bien entendu). l’équipe du réalisateur a employé les grands moyens et le spectateur ne peut que sortir totalement ravi et comblé. D’ailleurs sans être un fan inconditionnel de Mylène Farmer, je me suis régalé avec les concerts filmés : 2006 : Avant que l’ombre disponible en Bluray, puis 2010 au Stade de France, là aussi dans un bel écrin avec deux disques Bluray, le film du concert et un second disque avec les bonus et enfin Timeless en 2013, ou encore celui de 2019 ou de 2001 réédité en 2021.
Mais quelque soit la qualité des précédents, ce nouvel opus est incroyable, et je ne trouve pas de qualificatif pour le décrire avec des mots. Je l’ai déjà regardé 2 fois alors qu’il ne m’est parvenu que hier! quelques chiffres: La scène est hors norme :haute de 30m de haut et large de 75m ! Sans oublier le corbeau géant de 10m qui apparaît sur scène avec Mylène dedans. C’est spectaculaire, tout autant que la statue de la faucheuse. Avec quatorze stades et 620.000 billets vendus, Nevermore est la plus grande tournée des stades de l’histoire de la musique proposée en France par une artiste.
Les titres : Prologue, Du temps, Peut-être toi, Libertine, Optimistique Moi, A tout Jamais, C’est une belle journée, Tristana, Remember, Rayon Vert, puis rêverqui s’enchaine avec le 2ème partie : L’autre, Que l’aube est belle, Sans Contrefaçon, Oui…Mais non, Ode à l’Apesanteur, Que je devienne, XXL, Désenchantée, Rallumer les etoiles, avec l’épilogue et le long générique de fin.
Le spectacle est entièrement conçu par Mylène Farmer, et produit par Thierry Suc, ce qui n’est pas nouveau! Pour les amateurs Monsieur Yvan Cassar apparait au piano et se retrouve à la direction musicale du prologue, de l’épilogue et des titres l’Autre , Rêver, et que l’Aube est belle, alors que Olivier Schultheiss assure la direction musicale du spectacle, entouré de Christophe Voisin Boisvinet.
Maintenant la mauvaise nouvelle. Il s’agirait d’un 4k en version limitée et à Paris certaines FNAC seraient d’ores et déjà en rupture de stock. Alors, les fans dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde dans cette version 4K, alors que les versions DVD ou Bluray devraient pouvoir faire plaisir à tout le monde. Parlons prix
JFK c’est en Bluray HD 4K, et c’est une réussite totale. Quel plaisir de voir la version intégrale!
Ce film avait été acclamé lors de sa sortie en Janvier 1992, un grand moment de cinéma, malgré sa longueur (3 heures 21 mns) et c’est normal. Le réalisateur Oliver Stone, démonte toutes les théories habituelles et montre un oeil nouveau sur l’assassinat du président John Fitzgerald Kennely, à Dallas le vendredi 22 novembre 1963 à Dallas (Texas) à 12h30 (heure locale). La télévision française, avec sa seule chaine alors, avait montré en boucle les images, et le film d’Oliver Stone s’en sert pour ses arguments. Franchement le film démonte tout l’assassinat et surtout la théorie d’Harvey Oswald comme assassin.
Dallas, 22 novembre 1963. À 12h30, alors que le couple présidentiel circule sur Dealey Plaza à bord d’une limousine décapotable, des coups de feu retentissent ! John Fitzgerald Kennedy, touché à la gorge, reçoit une deuxième balle en pleine tête. Le président américain vient d’être assassiné. 60 ans après les faits, des zones d’ombres subsistent et les théories du complot fleurissent. Pourtant, le meurtre s’était déroulé devant des centaines de témoins, la séquence avait même été filmée et diffusée en boucle sur tous les téléviseurs du monde entier!
Jim Garrison (Kevin Costner), est le personnage central du film JFK d’Oliver Stone. Procureur de la Nouvelle Orléans, il mène sa propre enquête à la fin des années 60, persuadé que l’assassinat de Kennedy a été commis par une officine anticastriste qui réunissait à la fois des agents de la CIA et des hommes de la mafia. Il perd toutefois son procès . Jimmy Carter, avec une chambre des représentants démocrates a donc autorisé l’ouverture d’une nouvelle enquête en 1976. Un comité est constitué pour reprendre les investigations. Il conclut de son côté que l’assassinat de Kennedy est probablement l’œuvre d’une conspiration, mais ne désigne pas de coupable en dehors d’Oswald.
Oliver Stone a pris nettement parti pour son film. Harvey Oswald ne peut pas être l’assassin. Il s’est entouré de comédiens tous parfaits : Tommy Lee Jones (Clay Shaw), Gary Oldman ( Lee Harvey Oswald), Jack Lemmon ( Jack Martin), Sissy Spacek (la femme de Clay), et plus encore : Joe Pesci, Vincent d’Onofrio, Walter Matthau, Kevin Bacon, Donald Sutherland, et bien d’autres. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’on reste scotché à notre fauteuil, malgré la durée du film. Le film n’a pas pris une ride, et le version 4K relève de l’exploit, vu la qualité du rendu.
Ne vous attendez pas à de nombreuses versions, le film vous est présenté , soit en version française, soit en version originale avec sous titres français, il s’agit de la version longue, director’s cut. Le coffret comprend 2 disques , La Version 4K, et la version Bluray , et vous pouvez trouver ce double disque, Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DT-HD 5.1) sur Amazon au prix public de 29.99 €.
LE NOM DE LA ROSE, le génial film de Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery, Christian Slater et Michael Lonsdales, c’est désormais en 4K Bluray HD et c’est du grand art
Je me souvenais avoir vu ce film lors de sa sortie en salles, mais ce n’était pas hier. En effet le film est apparu sur les écrans français le 17 décembre 1986, il y a donc 38 ans. Jean-Jacques Annaud avait alors créé l’évènement avec ce film assez long (2h12) avec une belle brochette de comédiens. Outre ceux déjà cités dans le titre il y avait aussi : Helmut Qualtinger, F. Murray Abraham, Ron Pearlman, et le seul personnage féminin: Valentina Vargas.
Le réalisateur nous plonge dans les années de l’inquisition, en 1327, où des moines disparaissent mystérieusement dans une abbaye bénédictine. Le franciscain, Guillaume de Baskerville aidé du jeune novice Adso von Melk va mener l’enquête. C’est l’époque où l’Eglise, en pleine crise, se voit disputer son pouvoir spirituel et temporel. C’est aussi l’apogée de l’inquisition. Un film sombre mais que l’on peut facilement qualifier de chef d’oeuvre. Le film avait attiré près de 5 millions de spectateurs en France et quelques 7.1 millions de $ sur le sol américain.
Le film a vu sa carrière se poursuivre avec la sortie an cassette VHS, puis en DVD, et c’est maintenant que la sortie en BluRay 4K lui donne une nouvelle vie, et cela grâce à une société née en 2005, L’Atelier d’Images, qui possède quelques titres formidables à son catalogue comme : Rollerball, JFK, Hellraiser 1/2/3/4, ou encore : Né un 4 Juillet ou Barton Fink. Nous reviendrons sur ces titres.
Le 4k est absolument fabuleux, que je rentrerai parmi mes top 10.
Informations techniques :
Langues : Français 2.0, anglais 5.1, DTS Master Audio Stéréo
SOUS-TITRES : Français
FORMAT : 16:9 compatible 4/3, format d’origine respecté 1.85
SUPPLÉMENTS :
Bonus 4K :
Masterclass, Institut Lumière 89 min – Inédit
Le Commentaire audio
La bande-annonce originale
Nouveau film annonce 2024
Bonus Blu-ray :
Nouveau film annonce 2024
Dans les archives du Nom de La rose (30 mn env.) Inédit
Entretien avec Stéphane Chevallier, nouvel éditeur vidéo BUBBLEPOP
Ce n’est pas tous les jours que le petit monde des éditeurs vidéo s’agrandit. On le sait la majorité des titres sont détenus par des ‘majors’ (Gaumont, Universal, Paramount, Warner et bien d’autres) et nombre d’entre eux se sont regroupés sous le label ESC, (ce que peu de personnes du grand public savent).
En parlant du marché de la vidéo, vous serez peut-être surpris que ce marché n’est pas en perte de vitesse, bien au contraire. Certes la VHS est morte, mais le DVD, et le BluRay se portent bien, et pour les aficionados, le HD (4K) se porte au mieux. Alors lorsqu’on nous annonce un nouvel éditeur, on a très vite envie de tout savoir, et une rencontre avec un des responsables s’avérait la meilleure manière d’entamer une nouvelle collaboration
Ne me demandez pas combien il y a eu de films avec Wolverine, et combien avec Deadpool. Je serais incapable de vous répondre autre chose que : beaucoup, mais sans pouvoir me souvenir de tous.
Après avoir échoué à rejoindre l’équipe des Avengers, Wade Wilson passe d’un petit boulot à un autre sans vraiment trouver sa voie. Jusqu’au jour où un haut gradé du Tribunal des Variations Anachroniques lui propose une mission digne de lui… à condition de voir son monde et tous ceux qu’il aime être anéantis. Refus de Wade qui va donc endosser le costume de Deadpool pour tenter de convaincre Wolverine ( et oui, ce dernier n’est pas mort) de l’aider …et croyez moi, ce n’est pas gagné d’avance. Jusqu’à ce moment j’ai bien tout compris, mais la suite est un peu plus difficile à raconter, je me garderai donc de vous la donner.
On retrouve toutes les caractéristiques de ces 2 super héros sous les traits de Ryan Reynolds et Hugh Jackman dans ce film dirigé à un rythme ultra rapide par Shawn Levy. Vu que l’on n’est jamais aussi bien servi que par soi même, Ryan Reynolds endosse plusieurs ‘costumes’ pour ce film, outre co-scénariste aux côtés de Rhett Reese, Paul Wernick, Zeb Wells et du réalisateur, il est aussi coproducteur.
Si vous aimez l’action avec une bonne dose d’humour, les effets spéciaux qui claquent dans chaque scène, vous allez être servis, c’est une garantie. Il y a un chien avec une drôle de langue, d’une laideur redoutable, mais qu’on aimerait bien connaitre. Et les surprises ne manquent pas, que les fans des super héros ne manqueront pas de souligner en applaudissant à l’apparition à l’écran de certains personnages, mais je ne vous en dirai pas plus, vous en réservant la surprise, vu qu’il est certain que vous allez oublier qu’il y a du sport sur les télés et que vous préférez le climat d’une salle obscure pour vous éclater.
Ne vous y trompez pas, c’est du cinéma pop corn, on se régale de bout en bout, et qu’importe si on ne se souvient pas des épisodes précédents, celui-là peut intéresser et faire glousser les amateurs de ce genre de cinéma. Un conseil toutefois, Préférez un écran géant, une grande salle comme les salles Dolby Atmos, comme celle du Pathé Beaugrenelle, plutôt qu’une salle avec un petit écran. 127 minutes avec un post générique que vous allez apprécier.