Quand il s’agit de comédies musicales, je réponds toujours PRESENT. J’en ai vu beaucoup depuis que je chronique les spectacles, que ce fut en radio, en presse écrite, ou désormais sur ce site. Et encore, je me rince souvent les oreilles et revoyant des classiques du genre, parmi lesquels Hello Dolly ou Funny Girl avec Barbra Streisand, les Miz en public à Londres, The Phantom Of The Opéra, toujours enregistré à Londres, sans oublier Mama MIA et sa suite en film, ou encore WEST SIDE STORY, THE ROCKY HORROR PICTURE SHOW, GREASE, EVITA, et j’en passe. J’ai découvert Starmania avec Balavoine, France Gall etc… sur la scène du Palais des Congrès, tout comme d’autres musicals made in France. Alors quand on m’a dit STAR MUSICAL, je n’ai pas hésité, et j’y suis allé un peu à l’aveuglette en me demandant quand même de quoi il s’agissait.
STARMUSICAL
Sa bande son est la plus chantée de l’histoire, sur scène le défilé ininterrompu de chansons et de chorégraphies font de STARMUSICAL la comédie musicale Feelgood par excellence ! C’est l’histoire généreuse et drôle d’un homme qui découvre avec stupéfaction l’héritage que lui a légué son défunt père; une bâtisse austère, bardée d’affiches et de tags, aux abords désaffectés… Par curiosité, il ouvre une de ses portes et entre comme par magie dans les coulisses hautes en couleurs du cabaret de vos stars préférées. Un voyage rythmé par les plus grands tubes des comédies musicales témoins de ces 50 dernières années, de Hair à Starmania, et The Greatest Showman, Roméo & Juliette, Les 10 Commandements, Mamma Mia, Babylon, Moulin Rouge, Cabaret, Priscilla Folle du Désert, 1789, Mozart, Notre Dame de Paris…Hormis The Greatest Showman, les autres musical(s) ont été montés sur scène à Paris. Sur scène c’est une troupe de 15 artistes, accompagnés par 5 musiciens et 10 danseurs, qui reprennent en solo, duo ou en collégiale les grands standards du patrimoine musical.
STARMUSICAL est une production artistique pilotée par David Alexis (Metteur en scène), Éric Melville (Directeur musical) et Delphine Attal (Chorégraphe), les 400 costumes ont été dessinés par Gianluca Falaschi et confectionnés dans les ateliers de Paola D’Inzillo à Rome, les 100 délirantes perruques et le maquillage ont été pensés par Audrey Borca.
Le spectacles est haut en couleurs, et on peut facilement envisager que ce serait le premier volet d’une série. Des idées de suite peuvent foisonner : les meilleures chansons des dessins animés, les meilleurs musicals de Broadway puisque la majorité n’a pas été monté en français, comme The Phantom of The Opera, alors que Mama Mia poursuit sa carrière, mais pas le second film. Les Miz a connu un triomphe dans le monde entier, après que Robert Hossein l’ait monté à Paris, et que le Chatelet l’ai repris avec un tel succès qu’une nouvelle série de représentations est d’ores et déjà prévue au Chatelet. La liste est longue, le nouveau temple de la comédie musicale, Le Lido a déjà monté quelques spectacles de Broadway ou de Londres comme le Rocky Horror Show ou Hello Dolly et il est certain que cela ne va pas s’arrêter. Il suffit de voir LE ROI LION, qui entame sa 4ème saison en faisant salle comble quasiment tous les soirs.
Voici quelques extraits et photos de STAR MUSICAL ( réalisés par votre serviteur et en partie, pour les photos exclusivement, par la prod)
LES 1000 Scènes du Palais des Congrès Paris, entretien avec les 2 auteurs : Djénane Kareh Trager et Eric Bureau…
Il y a quelques jours, je vous parlais du superbe livre sur Sylvie Vartan, avec un entretien avec son auteur : SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin. Revoilà la plus belle pour aller danser en couverture d’un autre beau livre, cette fois consacré au Palais des Congrès qui avait accueilli Sylvie et sa troupe en 1977, Sylvie qui a été maintes fois sur cette immense scène et y fera ses adieux un dimanche après midi en Janvier. Elle n’a pas été la seule à s’y produire, mais elle restera pour toujours celle qui en a foulé la première fois cette scène immense.
N’est-ce pas une raison suffisante pour en parler. Aloes retrouvons nous avec les 2 auteurs : Djénane Kareh Trager et Eric Bureau pour un petit entretien dans les locaux du Parisien à Paris 15 :
Le livre est abondement illustré. Comme le disent les auteurs, il est impossible de citer tous ceux qui sont montés sur cette scène prestigieuse depuis 1977. Personnellement hormis les concerts de 1977 où je n’étais pas encore parisien, j’y ai vu nombre de grands comme Charles Aznavour, Liza Minelli Serge Lama sans oublier les comédies musicales célèbres, comme la création se Starmania avec des dizaines de téléviseurs sur la scène et où les stars avaient pour nom France Gall et Michel Berger, Daniel Balavoine, Diane Dufresnes, René Joly, Fabienne Thibaut et Nanette Workman. . Ce ne fut pas la dernière fois que j’y ai applaudi des « musicals, comme par exemple Roméo et Juliette, Notre Dame de Paris, et il est impossible de ne pas parler de Chantal Goya, qui battra les records de fréquentation, vu qu’elle établira le record dans ses concerts de 2025. J’y ai vu certains bides, et des spectacles qui s’oublient sitôt vus, mais gardons les meilleurs, qui nourrissent nous souvenirs. C’est tout l’intérêt de ce bel ouvrage, qui mériterait un ou 2 tomes supplémentaires.
L’ouvrage de 200 pages est disponible au prix de 40€
SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin
Après avoir passé la plus grande partie de sa vie sur scène, Sylvie Vartan nous a annoncé, il y a quelques mois, que c’est fini. Elle quitte la scène fin janvier, et la décision e »st définitive. Elle affiche 80 printemps, et a commencé à se produite sur scène alors qu’elle n’avait que 16 ans. Ses admirateurs sont nombreux, très nombreux et les 2 fois 3 soirées, celles au Dôme de paris, terminées, et celles fin janvier au Palais des Congrès marqueront donc la fin d’une époque, et nous sommes nombreux à nous remémorer ses passages sur scène. Pour ma part, je n’ai pas compté, mais je pense l’avoir vu à de nombreuses reprises, mais toujours à Paris, dans diverses salles, et lors de rendez-vous o=pour des entretiens. Olympia, Palais des Sports / Dôme de Paris, aux Folies Bergère, au Casino de Paris, à la salle Pleyel, au Théâtre Edouard 7, et même en plein air, en banlieue parisienne, où elle avait donné un petit concert estival il y a quelques années. Je n’oublie pas certains concerts de sa tournée intime commencée au Théâtre Edouard VII.
Si Benoit Cachin a travaillé sur ce livre, il ne l’a pas fait en solitaire, Sylvie s’est remémoré, comme vous pourrez le lire, ses souvenirs de ces spectacles, de ses concerts à ses débuts en première partie de Gilbert Bécaud en 1961, le concert de la place de la Nation aux côtés de Johnny Hallyday en 1963, puis la tournée d’été avec Claude François qui suivit, et un an plus tard le fameux Olympia avec Les Beatles. On connait la suite, avec de grands moments dans la salle mythique de Bruno Coquatrix, boulevard des Capucines à Paris, et enfin les grandes salles comme le Palais des Congrès où elle s’est produite devant des milliers de spectateurs dans cette immense salle à de nombreuses reprises : en 1975 où ce fut un triomphe. Elle y est revenur de nombreuses fois, toujours pour de longues semaines, avant de tenter le Palais des Sportzs ( maintenant appelé Le Dôme de Paris)
Vous saurez tout sur ces spectacles avec le superbe livre de Benoit Cachin, que vous allez découvrir en entretien exclusif :
Pour les collectionneurs, les vidéos de ces spectacles ont été éditées : en voici les jaquettes :
Il y en a quelques autres :
Il en manque quelques uns,, c’est certain, mais je ne possède que les DVDs, alors que les cassettes vidéos sont abimées. Il n’y a , à ce jour qu’un seul spectacle en format BluRay, c(‘est la dernière série de concerts à la salle Pleyel. Espérons que le spectacle du Dôme et du Palais des Congrès seront filmés, et qu’il existera DVD + Bluray et , peut-on l’espérer le 4K ultra HD..
Le très beau livre de Benoit Cachin, en collaboration avec Sylvie Vartan et disponible , vendu 39.95€
Quand on m’a proposé un spectacle avec un pianiste seul en scène, j’avoue que j’y allais un peu à reculons. Grand bien m’en a pris d’y aller et de découvrir un spectacle qui m’a captivé dès les premières notes, et cela grâce à un pianiste François Moschetta qui a co-écrit, vraisemblablement avec sa dulcinée Camille, ce spectacle qui va vous en mettre plein les oreilles.
Difficile de donner le ton de ce spectacle, mais je vais vous dresser le décor: un homme jeune ( 30 ans environ), devant un piano à queue qui va nous parler de Mozart, mais pas de n’importe quelle manière. Il y aura certes du piano classique, et François Moschetta est un véritable virtuose, qui sait nous entraîner, là où il veut qu’on aime ». On est captivé des les premières minutes ( ou dosi-je dire les premières notes) car il joue sans aucune partition. Tout est dans sa tête, ou plutôt dans ses doigts. En fait ce n’est pas un récital, c en’est pas un stand up, , c’est un mélange subtile de ces deux domaines avec beaucoup d’humour et bien entendu de musique, ce qui est somme toute normal quand on parle de ce musicien de génie qu’a été Wolfgang Amadeus Mozart.
Ce qu’on apprécie c’est ce mélange subtil de texte avec des extraits du célèbre compositeur, mais pas que. Une rencontre s’imposait, et la meilleure façon de vous donner envie de le voir, c’est de le retrouver pour parler devant son piano:
Le spectacles est court (1h15) mais on aimerait en voir un peu plus. La salle est sous le charme au bout de quelques minutes et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si on n’est pas un fan du célèbre compositeur. Franchement la salle est conquise dès les premières minutes et montre bien à quel point elle apprécie. N’hésitez pas une seconde, et allez voir MOZART ONE PIANO SHOW. C’est dans la petite salle du Théâtre Libre et vous allez être conquis. Un petit plus, François vous verra, si vous le désirez, à la sortie où vous pourrez partager vos sentiments sur son spectacle, et c’est tellement rare qu’il fallait le signaler.
François Moschetta est sur scène jusqu’au 29 décembre, du jeudi au samedi à 19.00 et le dimanche à 15h et 17h00 ( avec relâche les jeudis et vendredis en décembre. Il nous annonce être en tournée à partir de Mai 2025. Mais il a déjà un beau pedigree avec des prix comme L’académie Jaroussky, Prix filleul Charles Cros). Avec lui la musique classique est vivante et personnelle et on a envie de lui dire : Monsieur, on peut en avoir un tout petit peu plus…
Ne manquez pas ce spectacle, c’est un moment que l’on a envie de revivre
MIAM! une petite comédie en musique pour les petites têtes blondes (ou brunes ou rousses). Entretien avec l’auteur et une interprète
Voir un spectacle pour une avant première c’est assez rare, mais se retrouver dans une salle avec 90% de jeunes enfants dans les 6/8 ans peut être, c’est bien la première fois que cela m’arrive
Voici le résultat de l’après spectacle :
MIAM est un spectacle pop qui nous plonge dans le monde du goût et des aliments, une traversée gustative en chansons pour toute la famille.
Avec cette création musicale destinée au jeune public, Aude Léger (chant, basse), Philippe Bégin (chant, guitare) et Sébastien Buffet (chant, batterie) nous rappellent que les histoires de nourriture sont aussi souvent des histoires familiales. Un régal pour le cœur, les yeux et les oreilles !
Parti à l’autre bout du monde sur un coup de tête, le père de Mary lui a laissé la gestion de MIAM, le restaurant familial. Avec Joe le cuisinier et Elvis le serveur, Mary doit relever le défi et tout faire pour accueillir ses clients au mieux. En chemin, elle se transforme en MC Patate, reine des pommes de terre, tombe amoureuse d’un chou vert, reçoit la visite de la DDPP et replonge dans ses souvenirs de petite fille. Sur des compositions musicales originales, ce concert pop nous met l’eau à la bouche pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
RIGOLETTO à l’Opéra Bastille, une reprise avec de superbes interprètes!
On retrouve ce décor superbe en boite de carton gigantesque et la mise en scène de Claus Guth pour cette nouvelle série de représentation à l’Opéra Bastille, sous la baguette du chef : Giacomo Sagripanti, avec des interprètes qui méritent des superlatifs: Roman Burdenko (Rigoletto), Rosa Feola (Gilda) et Liparit Avetisyan( Il Duca Di Montova) entre autres sans oublier Goderdzi Janelidze ou Aude Extremo
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
On connaît bien l’intrigue qui débute lors d’un bal : Le comte Monterone accuse le Il Duca Di Mantova, grand coureur de jupons, d’avoir déshonoré sa fille. Rigoletto, bouffon bossu du Duc, se moque de lui. Monterone jette alors une solennelle malédiction sur lui ainsi que sur le Duc. Or, c’est au tour de Gilda, fille du bossu, d’être séduite par le Duc. Rigoletto, dont Gilda est le bien le plus précieux, décide donc de se venger et emploie les services d’un tueur à gages. Mais la malédiction est déjà en marche et ne tarde pas à s’accomplir. Rigoletto, dans une suite d’enchaînements malheureux, perdra son enfant adorée.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Claus Guth qui assure le mise en scène de cette production, s’attache implacablement à mettre à nu les œuvres qu’il met en scène. Pour cette production, il a imaginé un spectacle traversé de fantômes et de fantasmes, où le spectateur revit la tragédie à travers le regard d’un Rigoletto brisé et socialement déclassé. L’Opéra débute avec une sorte de préambule où un Rigoletto qui a sombré dans une déchéance totale ouvre une boite en carton. La boite contient une robe blanche souillée de sang, et un costume de fou du roi. Et la scène se transforme, et on se retrouve à l’intérieur de cette boite en carton .
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
La tragédie permet à Verdi d’écrire quelques uns de ses airs les les plus célèbres comme : Questa o quella per me pari sono, La donna è mobile, ou Caro Nomé. La mise en scène de Claus Guth les sublime, et surtout donne un allant aux interprètes.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Le clin d’oeil aux revues à plumes est un délice:
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
et bien entendu les chœurs, dirigés par CAlessandro Di Stefano donnent de l’ampleur à ce spectacle superbe
TOUTES LES PHOTOS : Benoîte Fanton ( ONP) tous droits réservés
Représentations : à 19.30 sauf dimanches : 14.30
Samedi 7 décembre Mardi 10 décembre Vendredi 13 décembre Lundi 16 décembre Jeudi 19 décembre Dimanche 22 décembre Mardi 24 décembre Samedi 10 mai Mercredi 14 mai Dimanche 18 mai * Mercredi 21 mai Samedi 24 mai * Mardi 27 mai Vendredi 30 mai Mardi 3 juin Dimanche 8 juin Jeudi 12 juin
Je viens juste de découvrir ce concert en différents formats vu qu’il est édité sous plusieurs formats : le DVD , le bluray et le bluray UltraHD 4K, et c’est sur ce dernier que j’ai ‘re’-vécu l’expérience que j’avais découvert il y a quelques semaines au cinéma sur écran géant, qui nous proposait le montage définitif . Si les salles du groupe Pathé proposaient ce montage définitif, et que la salle affichait complet, j’avoue que je découvrais avec délice l’intégrale de ce concert auquel je n’aurais jamais pu assister, étant agoraphobe. Si je peux aller en concert dans des salles comme Le Casino de Paris, l’Olympia, le Dôme de Paris ou le Palais des congrès, l’idée de me rendre dans un stade me semble illusoire, et je me dois de remercier le producteur Thierry Suc, la star Mylène, et toute l’équipe qui nous offer ce concert que l’on peut se passer (et repasser) sur un bel écran TV.
Nevermore, c’est un peu un OVNI dans le paysage des concerts filmés. C’est du grand spectacle. On en prend plein les yeux ( et les oreilles bien entendu). l’équipe du réalisateur a employé les grands moyens et le spectateur ne peut que sortir totalement ravi et comblé. D’ailleurs sans être un fan inconditionnel de Mylène Farmer, je me suis régalé avec les concerts filmés : 2006 : Avant que l’ombre disponible en Bluray, puis 2010 au Stade de France, là aussi dans un bel écrin avec deux disques Bluray, le film du concert et un second disque avec les bonus et enfin Timeless en 2013, ou encore celui de 2019 ou de 2001 réédité en 2021.
Mais quelque soit la qualité des précédents, ce nouvel opus est incroyable, et je ne trouve pas de qualificatif pour le décrire avec des mots. Je l’ai déjà regardé 2 fois alors qu’il ne m’est parvenu que hier! quelques chiffres: La scène est hors norme :haute de 30m de haut et large de 75m ! Sans oublier le corbeau géant de 10m qui apparaît sur scène avec Mylène dedans. C’est spectaculaire, tout autant que la statue de la faucheuse. Avec quatorze stades et 620.000 billets vendus, Nevermore est la plus grande tournée des stades de l’histoire de la musique proposée en France par une artiste.
Les titres : Prologue, Du temps, Peut-être toi, Libertine, Optimistique Moi, A tout Jamais, C’est une belle journée, Tristana, Remember, Rayon Vert, puis rêverqui s’enchaine avec le 2ème partie : L’autre, Que l’aube est belle, Sans Contrefaçon, Oui…Mais non, Ode à l’Apesanteur, Que je devienne, XXL, Désenchantée, Rallumer les etoiles, avec l’épilogue et le long générique de fin.
Le spectacle est entièrement conçu par Mylène Farmer, et produit par Thierry Suc, ce qui n’est pas nouveau! Pour les amateurs Monsieur Yvan Cassar apparait au piano et se retrouve à la direction musicale du prologue, de l’épilogue et des titres l’Autre , Rêver, et que l’Aube est belle, alors que Olivier Schultheiss assure la direction musicale du spectacle, entouré de Christophe Voisin Boisvinet.
Maintenant la mauvaise nouvelle. Il s’agirait d’un 4k en version limitée et à Paris certaines FNAC seraient d’ores et déjà en rupture de stock. Alors, les fans dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde dans cette version 4K, alors que les versions DVD ou Bluray devraient pouvoir faire plaisir à tout le monde. Parlons prix
The Stylistics, le légendaire groupe de soul de Philadelphie revient à Paris les 28 et 29 octobre 2024 au Théâtre du Gymnase.
Les trois membres : Herb Murrell, Airrion Love & Jason Sharpnous annoncent la sortie en février prochain d’un nouvel album : FALLING IN LOVE WITH MY GIRL, où ils auront nombre de guest stars, des célébrités comme Shania Twain, Ronnie Wood of The Rolling Stones, Bill Champlin of Chicago, Gene Simmons of Kiss, Billy F Gibbons of ZZ Top, Justin Hawkins of The Darkness, the Elton John Band including Nigel Olsson and Davey Johnstone, Tower of Power et The Real Thing
Leur histoire est née dans les années 60 .Après le succès des O’Jays, des Spinners et des Delfonics, la ville de Philadelphie a toujours eu suffisamment de place pour accueillir un autre groupe de soul à succès. Ce groupe a vu le jour sous la forme des Stylistics. Les Stylistics, avec leur charisme, leur style et leur harmonie, sont devenus l’un des groupes de soul les plus vendus de tous les temps. Le quatuor a en effet enregistré dix succès consécutifs au début des années 1970. L’histoire des Stylistics n’est pas seulement celle d’un succès, c’est aussi celle d’une déception précoce qui a finalement conduit à leur ascension fulgurante. Lorsque The Monarchs et The Percussions, deux groupes de lycéens de Philadelphie au succès modéré, se sont dissous à la fin des années 1960, cela a ouvert la voie à une fusion qui allait avoir un impact sur la musique soul pendant des années. En 1968, à la suggestion d’un professeur, les deux groupes lycéens dissous décident d’unir leurs forces. Russell Thompkins Jr, Airrion Love et James Smith des Monarchs, se sont associés à James Dunn et Herbert Murrell des Percussions, et c’est ainsi que sont nés les Stylistics.
Au fil des annéess, The Stylistics ont reçu sept albums d’or, cinq singles d’or, deux singles double or, huit albums platine, un album double platine, quatre singles platine, une nomination aux Grammy Awards 1974 pour « You Make Me Feel Brand New » et une plaque sur le Walk Of Fame à Center City, Philadelphie. En mai 2004, ils ont été intronisés au Temple de la renommée du groupe vocal.
Je vais t’aimer, la comédie musicale basée sur les tubes de Michel Sardou, continue sur sa lancée. Après des représentations à guichets fermés à La Seine Musicale .
JE VAIS T’AIMER est le spectacle évènement qui réunit toutes les générations. Une création dans la pure tradition de Broadway : certains la décrivent comme d’un « Mamma Mia » à la française ! C’est l’histoire de six jeunes français qui racontent leurs amours, leurs amitiés au rythme des plus grands succès de Michel Sardou : La java de Broadway, Rouge, Le France, En Chantant, Les lacs du Connemara, Les vieux mariés, Être une femme, la fille aux yeux clairs, parmi plus de 25 chansons extraites du répertoire de cet immense artiste. Le spectacle a sa création durait 2h40 dont 20 minutes d’entracte.
Deux nouveaux venus se sont ajoutés à la troupe, qui joueront les « remplaçants » pour quelques dates, et ce ne sont pas des inconnus du grand public, puisque Lucie Bernardoni est connue pour avoir été ( être) une répétitrice de la Star Académie, et Axel Marbeuf, qui sera 1/2 finaliste de cette même émission. Rencontrer ce dernier est un moment plus qu’agréable. Il a l’humour, le charme, la gentillesse d’un nouveau venu, avec sa voix que l’on prend plaisir à écouter:
et voici un extrait filmé pendant les répétitions ( le filage) au Casino de Paris où il interprète : LA FILLE AUX YEUX CLAIRS :
Profitez des dernières de ce spectacle au Casino de Paris les 21, 22, 26, 27 et 28 septembre puis les 4, 5, 6 octobre avec deux représentations le 5 octobre.
Jacques Offenbach, est certainement le compositeur français le plus connu du grand public de par ses opérettes. Qui n’a jamais entendu ou fredonner un de ses airs célèbres comme L’air du brésilien ‘ repris en tube par Dario Moreno, sans oublier l’air de Gabrielle : Je suis veuve de Colonel , de La Vie Parisienne qui est son œuvre la plus connue aux côtés de La Périchole, La Fille du Tambour Major, La Belle Hélène et tant d’autres. Le Théâtre de Passy a eu l’heureuse idée de reprendre avec un fort succès UNE SOIREE CHEZ OFFENBACH, conçu et mis en scène par Martin Loizillon, avec un interprète de lyrique hors pair qui connait parfaitement l’œuvre d’Offenbach : Nicolas Rigas.
Ce pétillant voyage lyrique, drôle et musical, avec quatre solistes de renom (Opéra d’Avignon, Théâtre des Champs Elysées, Chorégies d’Orange, Monte-Carlo…) vont interpréter les succès les plus célèbres d’Offenbach (La Vie Parisienne, la Belle Hélène, la Périchole, les Contes d’Hoffmann…), agrémentés d’un livret « à la Feydeau », simple et joyeux, pour nous entraîner dans une grande soirée lyrique déjantée.
Côté voix : (en alternance) : Nicolas Rigas, Christine Tocci, Clémentine Decouture, Pierre-Antoine Chaumien, Guillaume Zhang, Xavier Flabat —
Piano (en alternance) Ruta Lenciauskaite, Félix Ramos
Il n’en fallait pas plus pour que je retrouve Nicolas Rigas, rencontré en d’autres occasions , mais toujours avec Offenbach dans les Grandes Ecuries de Versailles il y a quelques années.
Cette fois, c’est avec le metteur en scène Martin Loizillon que l’on s’est retrouvé au très beau Théâtre de Passy où la série de représentations se poursuit encore tous les lundis soir à 19h et les samedis à 16h jusqu’à fin mai, et peut-être au delà. le spectacle dure environ 1h20:
d’autres photos de ce spectacle :
et pourquoi pas quelque chose de chanté?
On est dans un domaine que nos parents et grands parents ont adoré (et continuent d’adorer) Je pourrais moi-même en fredonner ou chanter bien des airs. Offenbach n’a pas vieilli, même s’il a quitté ce monde en 1880. Monsieur le directeur de l’Opéra de Paris, Monsieur le Directeur de l’Opéra Comique à Paris, quand allez-vous nous monter à nouveau une de ses œuvresintemporelles , vu que cette saison a vu la reprise à Bastille des Contes D’Hoffmann?
Allez un petit plaisir : Merci l’INA pour L’air du Brésilien par Dario Moreno