BÉATRICE URIA-MONZON

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Doit-on encore présenter Carmen, l’opéra certainement le plus célèbre en France, le chef d’oeuvre avec ses airs les plus célèbres du répertoire, comme « L’Amour est enfant de bohème » et bien d’autres encore. De nombreuses mises en scène se sont succédées à L’Opéra Bastille, et je me souviens encore de la première fois où j’ai mis les pieds ….et les oreilles, avec les yeux grand ouverts en 1997 pour voir Carmen  avec Roberto Alagna puis dans la mise en scène totalement déjantée d’Alfredo Arias, que j’avais adorée, et qui en était à sa 5ème saison. J’avais adoré Béatrice Uria-Monzon. Bref je l’ai vu dans plusieurs mises en scène, dont l’actuelle de Calixto Biexto, et jamais je n’ai été déçu, ni par la mise en scène, ni par les interprètes. Et ce n’est pas aujourd’hui que cela se produira

Doit-on encore raconter cette histoire d’amour tragique qui se déroule à Séville? Je vous ferai grâce de cela. Et si vous aviez simplement envie d’en savoir plus, je ne pourrai que vous conseiller d’aller trouver une place pour cette oeuvre de Georges Bizet, d’après Proper Mérimée sur un livret d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy. Si Carmen est certainement l’Opéra le plus joué au monde, son auteur n’a pas connu la vague du succès de son vivant
Sue la scène actuellement, la mise en scène est plus moderne avec des voitures sur scène avec une direction d’orchestre confiée à Fabien Gabel qui fait ainsi ses début à l’Opéra de Paris.

Certes vous n’aurez pas la distribution avec Alagna et Uria-Monzon, mais bien difficile celui qui aurait envie de critiquer la distribution pour cette saison :

Michael Spyres est Don José, aux côtés de Gaelle Arquez (Carmen), Lucas Meachem (Escamillo), Golda Schultz qui fait ses début à l’Opéra de Paris ( Micaëla), Marc Labonnette (Le Dancaïre), Andrea Cueva Molnar (Frasquita), Loïc Félix (Le Remendado), Adèle Charvet (Mercédès), Alexandra Balinas Vieites (Zuniga), Karim Belkhadra (Lillas Pastia)) et Tomasz Kumiega (Moralès).

Carmen est peut-être mon Opéra Préféré, ou tout au moins parmi les 10 que je préfère. En fait, plus j’ai le bonheur d’aller à l’Opéra, que ce soit Bastille ou mieux encore Garnier, plus j’aime ce que je vois. Même des oeuvres que je pensais être trop longues ou ennuyeuses trouvent grâce à mes yeux. Et c’est toujours avec l’émerveillement d’un enfant que je vois, ou revois des opéras inconnus ou très connus. J’espère pouvoir vous en parler encore longtemps, avec toujours ce bonheur que je ressens , avec mes oreilles, avec mes yeux, qui s’émerveillent comme quand je déballais (il y a très longtemps de cela) les cadeaux de Noël sous le sapin. Pourquoi parler de noël, Tout simplement parce que CARMEN sera à l’affiche  pour les fêtes.

TOUTES LES PHOTOS : Guergana_Damianova-Carmen-2022-2023

prochaines représentations :

  • 03déc.

19h30

  • 28janv.

19h30

  • 31janv.

19h30

  • 03févr.

19h30

  • 09févr.

19h30

  • 12févr.

14h30

  • 15févr.

19h30

  • 22févr.

19h30

  • 25févr.

19h30

Prix des places de 15 à 290€ ( selon les dates)

Réservations sur internet (resa.internet@operadeparis.fr) , aux guichets de l’Opéra Bastille et Garnier et par téléphone

quelques extraits :

 

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Ce devait être l’évènement le 19 Septembre 2020 : CARMEN au Stade de France, mais vu les circonstances, le concert est reporté au 18 Juin 2022 :

 

C’est la deuxième fois que le plus célèbre des Opéras sera interprété dans le cadre du Stade de France, 17 ans après une représentation de cet opéra. En fait l’avantage de Carmen sur tous les autres opéras du répertoire, c’est que tout le monde en connait les airs : Toréador, La Habanera, Bohémienne, L’amour est Enfant de Bohême, parmi d’autres.

Ce soir là, ce sera l’occasion de les redécouvrir avec des voix magiques,  comme celles de Béatrice Uria Monzon (Carmen) Roberto Alagna (Don José) ou Aleksandra Kurzak (Micaela). Je ne vais pas vous donner toute la liste des personnes sur scènes, ils seront 300, chanteurs, danseurs, choeurs, orchestre… N’oublions pas toutefois l’empereur des lumières : Jacques Rouveyrollis, qui vous garantit des effets incroyables. Et surtout la direction musicale de Giorgio Croci.

Roberto ALAGNA

Roberto ALAGNA

Charles-ROUBAUD

Béatrice-URIA-MONZON

L’Opéra de Georges Bizet est un des plus joué de par le monde, et certainement le plus joué en France et vous aurez certainement envie de découvrir la mise en scène qui se veut grandiose, signée  Charles Roubaud, qui avait déjà oeuvré dans le Stade de France avec Nabucco en 2008 et Aïda en 2010. On nous parle de scène frontale contrairement à ce qui s’était fait auparavant.

Aleksandra-KURZAK

Béatrice-URIA-MONZON-et-Roberto-ALAGNA

Béatrice-URIA-MONZON-Aleksandra-KURZAK-Roberto-ALAGNA

Béatrice-URIA-MONZON

Ecoutons  Roberto Alagna et Béatrice Uria-Monzon lors des entretiens de présentation :
La première vidéo est une exclusivité pour Onsortoupas. Même si elle est courte, se retrouver aux côtés de ce personnage est un insigne honneur:

Les deux autres entretiens suivants ont été filmés lorsque les deux interprètes se trouvaient devant un petit parterre :

Cela vous fait quel effet de vous retrouver devant un tel nombre de spectateurs:

Un parcours qui impressionne?

Un entretien exclusif avec Béatrice Uria Monzon

 

Et un autre entretien avec le metteur en scène Charles Roubaud :  ( désolé mais difficile de demander à certains  à côté de nous, de se taire….)

La bande annonce :

La billeterie est ouverte, billets à partir de 29€  jusqu’aux places DIAMANT à 199€

Des packs sont prévus : à partir de 199€ et des packs très très haut de gamme, dont je vous laisse découvrir les tarifs sur le site :

https://www.stadefrance.com/fr/billetterie/carmen

OPÉRA DE PARIS, tout ou presque sur la saison 2016/2017! de très belles surprises

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Cinq siècles de musique seront parcourus au cours de la saison 2016/2017

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Un parcours qui débute au 17ème siècle avec l’opéra de Cavalli écrit en 1667, Eliogabalo, donné pour la première fois en France , dirigé par Leonardo García Alarcón et mis en scène par Thomas Jolly avec le contre-ténor Franco Fagioli mais aussi Paul Groves, Valer Sabadus et Nadine Sierra, et qui se conclut en mars 2017, avec la commande d’un nouvel opéra en français passée au compositeur Luca Francesconi, Trompe la Mort, dirigé par la chef d’orchestre Susanna Mälkki et mis en scène par Guy Cassiers, avec une distribution largement française : Cyrille Dubois, Julie Fuchs, Jean-Philippe Lafont, Laurent Naouri, Philippe Talbot, Béatrice Uria-Monzon, aux côtés de Thomas Johannes Mayer et d’Ildikó Komlósi.

Sous la direction de Philippe Jordan, Samson et Dalila de Saint-Saëns – qui n’a pas été joué à l’Opéra depuis 1991 – sera proposé dans une mise en scène de Damiano Michieletto. Anita Rachvelishvili sera Dalila et Aleksandrs Antonenko, Samson. Puis la reprise des Contes d’Hoffmann d’Offenbach dans la mise en scène de Robert Carsen avec Jonas Kaufmann, Sabine Devieilhe, Kate Aldrich, Ermonela Jaho et Stéphanie d’Oustrac. Une alternance exceptionnelle à souligner avec Roberto Alagna, qui interprètera Don José à Paris pour la première fois, et Bryan Hymel ou encore Clémentine Margaine, Varduhi Abrahamyan, Anita Rachvelishvili et Elīna Garanča pour Carmen, Ildar Abdrazakov et Roberto Tagliavini en Escamillo, Aleksandra Kurzak, Nicole Car et Maria Agresta pour Micaëla dans Carmen de Bizet que Calixto Bieito remontera sous la direction de Lionel Bringuier et de Mark Elder.

A (re)découvrir Sancta Susanna d’Hindemith et Cavalleria Rusticana de Mascagni seront proposés en une seule soirée par le metteur en scène Mario Martone sous la direction de Carlo Rizzi. Elīna Garanča sera Santuzza aux côtés de Yonghoon Lee et Elena Zaremba, et c’est Anna Caterina Antonacci qui interprètera Susanna. Dmitri Tcherniakov mettra en scène La Fille de neige de Rimski-Korsakov qui sera dirigé par le jeune chef d’orchestre russe Mikhail Tatarnikov. Aida Garifullina sera Snegourotchka aux côtés de Franz Hawlata, Luciana d’Intino, Thomas Johannes Mayer, Martina Serafin et Ramon Vargas. Moins connu du public l’opéra Les Fêtes d’Hébé de Rameau sera proposé par l’Académie de l’Opéra de Paris. C’est au chorégraphe Thomas Lebrun que revient la mission de mettre en scène cette opéra-ballet avec les artistes de l’Académie, les chantres du Centre de Musique baroque de Versailles et les musiciens du Royal College of Music de Londres qui seront dirigés par Jonathan Williams. L’Académie proposera aussi Owen Wingrave un des opéras de Britten les moins représentés dans une version pour orchestre de chambre de David Matthews dirigé par Stephen Higgins et mis en scène par le jeune metteur en scène irlandais, Tom Creed.

La Cenerentola de Rossini sera mis en scène par Guillaume Gallienne et dirigé par Ottavio Dantone qui font tous deux leurs débuts à l’Opéra de Paris avec à l’affiche des jeunes artistes comme Alessio Arduini ou Roberto Tagliavini. Les décors seront signés Eric Ruf. Un projet illustre à nouveau le souhait d’unité entre les domaines chorégraphiques et lyriques avec la nouvelle production de CosÌ fan tutte : Anne Teresa De Keersmaeker mettra en scène six jeunes chanteurs doublés de six danseurs (en alternance avec ceux de la Compagnie Rosas et du Ballet de l’Opéra). Dirigé par Philippe Jordan, CosÌ fan tutte débutera un cycle Da Ponte qui se poursuivra sur les saisons à venir.

Thomas-Joll

Thomas-Joll

Luca-Francesconi

Luca-Francesconi

Le cycle Wagner engagé par Philippe Jordan se poursuivra avec Lohengrin dans la nouvelle production de Claus Guth avec Jonas Kaufmann, présent pour la deuxième fois cette saison, aux côtés de Martina Serafin et de René Pape. Dédié à Pierre Boulez qui a fait entrer cet opéra au répertoire de l’Opéra de Paris en 1963, Wozzeck de Berg mis en scène par Christoph Marthaler et dirigé par Michael SchØnwandt sera repris à l’Opéra Bastille.

Les grandes voix viendront interpréter les spectacles du répertoire avec notamment Anja Harteros, Marcelo Álvarez, Bryn Terfel dans Tosca, Sonya Yoncheva en alternance avec Anna Netrebko face à Peter Mattei dans Eugène Onéguine, Vittorio Grigolo, Željko Lučić et Nadine Sierra dans Rigoletto, Artur Ruciński, Pretty Yende dans Véronique Gens Lucia di Lammermoor, et Stanislas de Barbeyrac dans Iphigénie en Tauride ou encore pour la reprise de La Flûte enchantée, dirigé par qui fera ses débuts à l’Opéra de Paris, avec Stanislas de Barbeyrac / Pavol Breslik pour Tamino, Michael Volle / Florian Sempey pour Papageno, René Pape / Tobias Kehrer pour Sarastro, Sabine Devieilhe / Albina Shagimuratova pour La Reine de la nuit, Christina Gansch pour Papagena, Nadine Sierra / Kate Royal pour Pamina aux côtés de José Van Dam pour Der Sprecher. Enfin, Joyce DiDonato, Juan Diego Flórez, Anja Harteros, Ludovic Tézier et Rolando Villazón donneront des récitals au Palais Garnier.

Dmitri-Tcherniakov

Dmitri-Tcherniakov

Côté Danse

Benjamin Millepied propose neuf créations et six entrées au répertoire pour cette nouvelle saison.

La qualité des compositions musicales est de nouveau au centre de la conception de cette deuxième saison et un certain nombre d’artistes contemporains collaboreront pour la première fois avec le Ballet de l’Opéra de Paris Cinq ballets de George Balanchine seront à l’affiche au cours de la saison : trois ballets abstraits réunis dans une même soirée avec l’entrée au répertoire de Mozartiana imaginé sur une partition de Tchaikovski en hommage à Mozart avec, aux côtés des solistes, les élèves de l’École de danse ; Violin Concerto, œuvre qui s’inscrit dans l’esprit des ballets « en noir et blanc » de Balanchine et Brahms-Schönberg Quartet conçu sur une musique de Brahms orchestrée par Schönberg, avec des décors et costumes signés de Karl Lagerfeld, autre grand maître de l’élégance et de la pureté des lignes. Également une entrée au répertoire avec un des rares ballets narratifs de George Balanchine, Le Songe d’une nuit d’été.

Benjamin-Millepied-Stephane-Lissner-et-Philippe-Jordan

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En amoureux de la partition de Félix Mendelssohn-Bartholdy, George Balanchine avait crée en 1962, pour le New York City Ballet, sa version de la comédie de Shakespeare. La réalisation des décors et costumes a été confiée à un autre magicien de la scène, Christian Lacroix. La Valse, cette chorégraphie de George Balanchine de 1951 sera proposée dans le cadre d’une soirée autour de Maurice Ravel, intarissable source d’inspiration chorégraphique, encadré par En sol de Jerome Robbins et par un Boléro fascinant de Sidi Larbi Cherkaoui et Damien Jalet électrisé par la scénographie de Marina Abramović et les costumes de Riccardo Tisci. Cette année verra également l’entrée au répertoire de deux œuvres de William Forsythe.

Sous le signe de l’école américaine, Trio sur une musique de Ludwig van Beethoven créé en 1996 pour le Ballet Frankfurt et Workwithinwork monté deux ans plus tard sur les Duetti pour violon de Luciano Berio. Une soirée complétée par l’entrée d’une œuvre majeure de Merce Cunningham créée en 1968. Walkaround time sur une musique de David Behrman et dans des décors imaginés d’après le Grand Verre de Marcel Duchamp.

Blake Works de Forsythe, spectacle conçu en juillet 2016 pour les danseurs du Ballet de l’Opéra national de Paris, élaboré en collaboration avec l’étoile montante de la musique électro britannique James Blake, sera présenté lors du Gala d’ouverture de la saison chorégraphique pour une soirée tournée vers la modernité avec la création de la canadienne Crystal Pite qui investira pour la première fois la scène de l’Opéra avec une pièce conçue sur une musique de Max Richter inspiré de Vivaldi. Tino Sehgal travaillera aussi pour la première fois avec le ballet de l’Opéra qu’il mettra en scène tant dans les espaces publics que dans la grande salle du Palais Garnier et In Creases de Justin Peck entraînera les danseurs sur une musique de Philip Glass pour ce programme de la rentrée. Création encore avec Tree of Codes de Wayne McGregor donnée en juillet 2015 au Festival international de Manchester pour les danseurs du Ballet de l’Opéra national de Paris et de la Company Wayne McGregor. Il fait appel ici au musicien Jamie xx qui compose une musique à la lisière de la pop et de l’électronique et à l’artiste Olafur Eliasson pour la scénographie.

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Également deux créations de Benjamin Millepied : l’une inspirée des mots et timbre de l’artiste Barbara, devenue un des symboles de la chanson française, proposée dans une même soirée avec la dernière œuvre majeure d’Antony Tudor sur la musique amoureuse d’Antonín Dvořák, The Leaves are Fading, créée en 1975 et souvent considérée comme la plus « abstraite » du chorégraphe. L’autre associe Philippe Parreno, artiste français qui a redéfini la notion même d’expérience de l’art et qui conçoit ses expositions comme un espace scénarisé donnant lieu à une série d’événements. Suivis et encadrés par Benjamin Millepied, avec la participation de William Forsythe, quatre chorégraphes, Sébastien Bertaud, Bruno Bouché, Nicolas Paul, Simon Valastro présenteront le fruit de leur travail élaboré au sein de l’Académie chorégraphique de l’Opéra national de Paris lors d’une même soirée

Après 20 danseurs pour le XXe siècle de Boris Charmatz, l’Opéra de Paris intégrera cette saison à son répertoire À bras-le-corps. C’est la majestueuse Rotonde du Glacier du Palais Garnier qui se voit investie par deux chorégraphes, Boris Charmatz et Dimitri Chamblas toujours tentés de rencontrer les spectateurs à l’extérieur des salles dédiées au spectacle.

Le Lac des cygnes de Rudolf Noureev sera repris pour les fêtes de fin d’année et La Sylphide de Pierre Lacotte terminera la saison au Palais Garnier. Les Démonstrations et le Spectacle de l’Ecole de danse, qui fêtera cette saison sa 40ème édition, ainsi qu’un Gala invitant les Ecoles de danse du XXIe siècle compléteront ce programme.  Deux compagnies internationales seront invitées : L’American Ballet Theatre avec La Belle au bois dormant remonté par Alexei Ratmansky et le Semperoper Ballett, Dresden qui présentera Impressing the Czar de William Forsythe

Indéniablement une très belle saison 2016/2017, qui montre que l’Opéra de Paris reste un des plus grands au Monde.

TOUTES LES PHOTOS @ E BAUER  Opera de Paris

Les abonnements de la saison 2016/2017 sont ouverts à la vente depuis le 10 février 2016 et la vente des spectacles à l’unité se fera à partir du 31 mai 2016 suivant un calendrier d’ouverture des ventes séquencé 3 ou 4 mois avant la première de chaque spectacle (11 dates d’ouverture).

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Un des plus beaux opéras du répertoire, dans une nouvelle création à l’Opéra Bastille.

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MELODRAME EN TROIS ACTES DE GIACOMO PUCCINI SUR UN LIVRET DE GIUSEPPE GIACOSA ET LUIGI ILLICA D’APRÈS LA PIÈCE DE VICTORI SARDOU

Une cantatrice amoureuse, passionnée, jalouse et impulsive ; un peintre romantique, idéaliste et défenseur des libertés ; un chef de la police affamé de chair, de pouvoir et de sang, prêt à tout pour arriver à ses fins : Puccini mêle avec art les ingrédients d’un mélodrame écrit pour Sarah Bernhardt et compose en quelque sorte l’opéra de l’opéra, une fresque à la fois primitive et décadente. Dans une Rome mythique et vraie, des profondeurs de l’église Sant’Andrea della Valle à la terrasse du Château Saint-Ange, les passions se heurtent et se déchirent, l’érotique se confond avec le sacré, l’amour avec la possession, le théâtre avec la vie. Tout est faux-semblant dans Tosca : les belles dames qui viennent prier sont des conspiratrices, les défaites sont des victoires et les fausses éxécutions sont réelles. Une œuvre vertigineuse qui, comme peu d’autres, capture l’essence du théâtre lyrique.

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Pierre Audi signe cette nouvelle production de cette œuvre violente et ardente. Des décors signés Christof Hetzer, qui sont tout à la fois moderne, tout en restant dans le style de l’œuvre.

Tosca a été créé au Teatro Costanzi de Rome, le 14 janvier 1900. La première représentation parisienne a eu lieu à l’Opéra-Comique le 13 octobre 1903.

 

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TOUTES LES PHOTOS : CHARLES DUPRAT  @ opera de paris

Représentations du 10 octobre au 28 novembre 2014 à 19H30 (Sauf mention contraire)

 

dimanche 19 octobre 2014- 14h30

mercredi 22 octobre 2014

vendredi 24 octobre 2014

dimanche 26 octobre 2014 – 14h30

lundi 27 octobre 2014

mercredi 29 octobre 2014

samedi 1er novembre 2014

mardi 4 novembre 2014

samedi 8 novembre 2014

lundi 10 novembre 2014

mercredi 12 novembre 2014

jeudi 13 novembre 2014

samedi 15 novembre 2014

lundi 17 novembre 2014

vendredi 21 novembre 2014

mardi 25 novembre 2014

vendredi 28 novembre 2014

les interprètes :

Floria Tosca :MARTINA SERAFIN (10, 13, 16, 19, 22, 26 OCT), OKSANA DYKA (24, 27 OCT, 1ER, 8, 12, 17, 21, 25, 28 NOV), BÉATRICE URIA-MONZON (29 OCT, 4, 10, 13, 15 NOV)

Mario Cavaradossi : MARCELO ALVAREZ (10, 13, 16, 19, 22, 26 OCT), MARCO BERTI (24, 27, 29 OCT, 8, 12, 17, 21, 25, 28 NOV), MASSIMO GIORDANO (1ER, 4, 10, 13, 15 NOV)

Il Barone Scarpia : LUDOVIC TÉZIER (10, 13, 16, 19, 22 OCT), GEORGE GAGDNIDZE (24, 27 OCT, 1ER, 8, 12 NOV), SEBASTIAN CATANA (26, 29 OCT, 4, 10, 13 NOV), SERGEY MURZAEV (15, 17, 21, 25, 28 NOV)

Cesare Angelotti :WOJTEK SMILEK (10, 13, 16, 19, 22, 24, 26, 27, 29 OCT, 1ER, 4 NOV), CARLO CIGNI (8, 10, 12, 13, 15, 17, 21, 25, 28 NOV)

Spoletta : CARLO BOSI (DU 10 AU 29 OCT), ÉRIC HUCHET (DU 1ER AU 28 NOVEMBRE)

Il Sagrestano :  FRANCIS DUDZIAK (DU 10 AU 29 OCT) ,LUCIANO DI PASQUALE (DU 1ER AU 28 NOVEMBRE)

Prix des places de 5 à 210€ (sauf le 10 Novembre : de 5 à 168€)

Réservations au 08 92 89 90 90 (0.337 € la minute), ou aux guichets : Opéra Garnier Métro Opéra, ou Opéra Bastille Métro Bastille ou sur internet : www.operadeparis.fr

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