SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin
Après avoir passé la plus grande partie de sa vie sur scène, Sylvie Vartan nous a annoncé, il y a quelques mois, que c’est fini. Elle quitte la scène fin janvier, et la décision e »st définitive. Elle affiche 80 printemps, et a commencé à se produite sur scène alors qu’elle n’avait que 16 ans. Ses admirateurs sont nombreux, très nombreux et les 2 fois 3 soirées, celles au Dôme de paris, terminées, et celles fin janvier au Palais des Congrès marqueront donc la fin d’une époque, et nous sommes nombreux à nous remémorer ses passages sur scène. Pour ma part, je n’ai pas compté, mais je pense l’avoir vu à de nombreuses reprises, mais toujours à Paris, dans diverses salles, et lors de rendez-vous o=pour des entretiens. Olympia, Palais des Sports / Dôme de Paris, aux Folies Bergère, au Casino de Paris, à la salle Pleyel, au Théâtre Edouard 7, et même en plein air, en banlieue parisienne, où elle avait donné un petit concert estival il y a quelques années. Je n’oublie pas certains concerts de sa tournée intime commencée au Théâtre Edouard VII.
Si Benoit Cachin a travaillé sur ce livre, il ne l’a pas fait en solitaire, Sylvie s’est remémoré, comme vous pourrez le lire, ses souvenirs de ces spectacles, de ses concerts à ses débuts en première partie de Gilbert Bécaud en 1961, le concert de la place de la Nation aux côtés de Johnny Hallyday en 1963, puis la tournée d’été avec Claude François qui suivit, et un an plus tard le fameux Olympia avec Les Beatles. On connait la suite, avec de grands moments dans la salle mythique de Bruno Coquatrix, boulevard des Capucines à Paris, et enfin les grandes salles comme le Palais des Congrès où elle s’est produite devant des milliers de spectateurs dans cette immense salle à de nombreuses reprises : en 1975 où ce fut un triomphe. Elle y est revenur de nombreuses fois, toujours pour de longues semaines, avant de tenter le Palais des Sportzs ( maintenant appelé Le Dôme de Paris)
Vous saurez tout sur ces spectacles avec le superbe livre de Benoit Cachin, que vous allez découvrir en entretien exclusif :
Pour les collectionneurs, les vidéos de ces spectacles ont été éditées : en voici les jaquettes :
Il y en a quelques autres :
Il en manque quelques uns,, c’est certain, mais je ne possède que les DVDs, alors que les cassettes vidéos sont abimées. Il n’y a , à ce jour qu’un seul spectacle en format BluRay, c(‘est la dernière série de concerts à la salle Pleyel. Espérons que le spectacle du Dôme et du Palais des Congrès seront filmés, et qu’il existera DVD + Bluray et , peut-on l’espérer le 4K ultra HD..
Le très beau livre de Benoit Cachin, en collaboration avec Sylvie Vartan et disponible , vendu 39.95€
Quand on m’a proposé un spectacle avec un pianiste seul en scène, j’avoue que j’y allais un peu à reculons. Grand bien m’en a pris d’y aller et de découvrir un spectacle qui m’a captivé dès les premières notes, et cela grâce à un pianiste François Moschetta qui a co-écrit, vraisemblablement avec sa dulcinée Camille, ce spectacle qui va vous en mettre plein les oreilles.
Difficile de donner le ton de ce spectacle, mais je vais vous dresser le décor: un homme jeune ( 30 ans environ), devant un piano à queue qui va nous parler de Mozart, mais pas de n’importe quelle manière. Il y aura certes du piano classique, et François Moschetta est un véritable virtuose, qui sait nous entraîner, là où il veut qu’on aime ». On est captivé des les premières minutes ( ou dosi-je dire les premières notes) car il joue sans aucune partition. Tout est dans sa tête, ou plutôt dans ses doigts. En fait ce n’est pas un récital, c en’est pas un stand up, , c’est un mélange subtile de ces deux domaines avec beaucoup d’humour et bien entendu de musique, ce qui est somme toute normal quand on parle de ce musicien de génie qu’a été Wolfgang Amadeus Mozart.
Ce qu’on apprécie c’est ce mélange subtil de texte avec des extraits du célèbre compositeur, mais pas que. Une rencontre s’imposait, et la meilleure façon de vous donner envie de le voir, c’est de le retrouver pour parler devant son piano:
Le spectacles est court (1h15) mais on aimerait en voir un peu plus. La salle est sous le charme au bout de quelques minutes et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si on n’est pas un fan du célèbre compositeur. Franchement la salle est conquise dès les premières minutes et montre bien à quel point elle apprécie. N’hésitez pas une seconde, et allez voir MOZART ONE PIANO SHOW. C’est dans la petite salle du Théâtre Libre et vous allez être conquis. Un petit plus, François vous verra, si vous le désirez, à la sortie où vous pourrez partager vos sentiments sur son spectacle, et c’est tellement rare qu’il fallait le signaler.
François Moschetta est sur scène jusqu’au 29 décembre, du jeudi au samedi à 19.00 et le dimanche à 15h et 17h00 ( avec relâche les jeudis et vendredis en décembre. Il nous annonce être en tournée à partir de Mai 2025. Mais il a déjà un beau pedigree avec des prix comme L’académie Jaroussky, Prix filleul Charles Cros). Avec lui la musique classique est vivante et personnelle et on a envie de lui dire : Monsieur, on peut en avoir un tout petit peu plus…
Ne manquez pas ce spectacle, c’est un moment que l’on a envie de revivre
WICKED un film très attendu….et cela mérite le déplacement, même s’il dure plus de 2 h 30
On entend les superlatifs de partout, avec des records d’entrées aux Etats Unis. Voilà donc le film sur les écrans français depuis quelques jours. Qu’en est-il? la comédie musicale va-t-elle faire des scores en France?
WICKED nous montre le parcours des sorcières légendaires du monde d’Oz. Oui, le film est un préquel du fameux Magicien d’Oz sorti sur les écrans en 1939 avec la sublime Judy Garland dans ce musical réalisé par Victor Fleming et qui fut un des premiers films en couleurs. Oui, on va enfin comprendre pourquoi il y avait une gentille sorcière et une méchante à la peau verte.
Elphaba (Cynthia Erivo) est une jeune femme incomprise à cause de la couleur verte de sa peau . Mais elle n’a pas le moindre soupçon de l’étendue de ses pouvoirs. À ses côtés, on va voir la très belle Glinda (Ariana Grande) qui, est aussi populaire que privilégiée, mais ne connait pas vraiment la vraie nature de son cœur. Leur rencontre à l’Université de Shiz, dans le fantastique monde d’Oz, va marquer les débuts d’une amitié totalement improbable, voire impossible mais qui s’avèrera profonde. Elles vont devoir se rendre devant le fameux Magicien d’Oz et leur rencontre va mettre à mal cette amitié et voir leurs chemins s’éloigner. Tandis que Glinda, assoiffée de popularité, se laisse séduire par le pouvoir, la détermination d’Elphaba à rester fidèle à elle-même et à son entourage aura des conséquences particulièrement inattendues. Leurs aventures extraordinaires au pays d’Oz les mèneront finalement à accomplir leur destinée en devenant respectivement la Bonne et la Méchante Sorcière de l’Ouest. Mais cela ne se verra pas dans le film, il faudra attendre la suite qui est prévue en sortie le 21 Novembre 2025. Oui je sais, cela va être difficile d’attendre jusque là.
Ariana Granda is Glinda in WICKED, directed by Jon M. Chu
Ariana Grande is Glinda & Cynthia Erivo is Elphaba in WICKED, directed by Jon M. Chu
Jeff Goldblum is The Wizard of Oz & Michelle Yeoh is Madame Morrible in WICKED, directed by Jon M. Chu
On nous dit que le film bat des records de fréquentation outre Atlantique, qu’en sera-t-il en France? Les américains sont très friands de comédie musicale et THE WIZARD OF OZ est un véritable classique. En France le genre comédie musicale ne rencontre pas le même succès, même si cela semble évoluer depuis quelques années. Le mercredi de sa sortie il arrive en tête des recettes : WICKED : 87 246 entrées (dont 54 772 en Avant première) suivi de Conclave : 36907 entrées dont 9386 en avant première. Cela présage un beau score final, mais il ne faut pas oublier que Disney est très haut avec Vaïana 2, et que Muphasa le Roi Lion arrive aussi dans quelques jours (le 18 décembre).
Ariana Grande – Glinda in WICKED, directed by Jon M. Chu
Jonathan Bailey i- Fiyero in WICKED, directed by Jon M. Chu
La Cité d’Emeraude WICKED, directed by Jon M. Chu
Je l’ai vu en salle, en Dolby Atmos, en séance de début d’après midi, et je dois bien avouer qu’on était loin d’une salle pleine, mais la vo sous-titrée est quand même plus destinée à un public adulte, alors que le VF attire plus les jeunes. Ceci dit, je suis vite rentré dans le film de Jon M. Chu avec la naissance d’Elphaba et son arrivée en scolarité en fin d’adolescense. La rencontre explosive avec Glinda, et l’arrivée d’un beau jeune prince, Fiyero (Jonathan Bailey) vont changer le cours des choses surtout lorsqu’elle devra aller dans le domaine d’Oz et de son magicien qui le dirige (Jeff Goldblum). On ne peut passer sous silence Michele Yeoh (Madame Morrible), Ethan Slater (Boq), Bowen Yang (Pfanee) ou Marissa Bode (Nessarose).
Cynthia Erivo -Elphaba & Ariana Grande -Glinda WICKED, réalisé par Jon M. Chu
Le pape est mort! Vive le nouveau pape! encore faut-il en trouver un, et c’est le but de ce CONCLAVE, qui est vraiment passionnant de bout en bout, avec quelques grands comédiens au générique dont celui qui a le premier rôle : Ralph Fiennes. A ses côtés, Stanley Tucci, Isabella Rosselini, John Lightgow, Carlos Diehz. Raconté ainsi, on peut penser que c’est un film catho, par les cathos et pour les cathos. Détrompez-vous, c’est plus proche d’une affaire policière à résoudre, que d’une histoire de religion. D’ailleurs le film a conquis de nombreux spectateurs et vient de se voir notifier de 6 nominations pour les prochains Golden Globes, qui, comme chacun le sait, sont un peu l’antichambre des Oscars:
Savez-vous comment un pape est nommé? Si vous ne le saviez pas, on réunit tous les cardinaux du monde entier, ils s’enferment dans le Vatican, et votent tous de manière totalement anonyme pour celui qu’ils voudraient voir à la tête du Pontificat. Cela se déroule dans le plus grand des secrets, et à la fin de chaque vote, on brule les bulletins et une fumée indique aux croyants si le pape a été choisi. Si c’est une fumée noire qui se montre , il n;’ya a pas de nouveau pape, et on se réunit encore et encore jusqu’à ce qu’une majorité se dessine et c’est alors que la fumée est blanche pour le grand bonheur des fidèles. Ici, on nous montre des petits secrets d’alcove, d’autres connus du pape décédé et de lui seul, et ce sont des mystères qui finissent par nous intéresser, avec certaines machinations, certaines tractations. Bref on rentre rapidement dans l’histoire et on a très vite envie d’en savoir plus sur qui sera le nouveau pape de l’Eglise Catholique.
On croit vraiment à l’histoire. Est-elle tiré d’une réalité, on peut en douter. Mais des comédiens sont tellement exceptionnels, plus particulièrement Ralph Fiennes et Stanley Tucci q’on vibre dans notre fauteuil. Je l’ai dit et je le répète: si les cathos seront très intéressés, les autres y verront une énigme policière dans un milieu qui leur est inconnu, et c’est là que le réalisateur, Edward Berger a réussi son exploit. Quelle que soit votre croyance, et même si vous ne croyez pas en un dieu ou une religion, vous serez intéressé par cette histoire, qui se déroulerait de nos jours, et non pas il y a quelques siècles. Le livre de Robert Harris était déjà superbe, le film l’est tout autant, qui dure 2 heures.
MIAM! une petite comédie en musique pour les petites têtes blondes (ou brunes ou rousses). Entretien avec l’auteur et une interprète
Voir un spectacle pour une avant première c’est assez rare, mais se retrouver dans une salle avec 90% de jeunes enfants dans les 6/8 ans peut être, c’est bien la première fois que cela m’arrive
Voici le résultat de l’après spectacle :
MIAM est un spectacle pop qui nous plonge dans le monde du goût et des aliments, une traversée gustative en chansons pour toute la famille.
Avec cette création musicale destinée au jeune public, Aude Léger (chant, basse), Philippe Bégin (chant, guitare) et Sébastien Buffet (chant, batterie) nous rappellent que les histoires de nourriture sont aussi souvent des histoires familiales. Un régal pour le cœur, les yeux et les oreilles !
Parti à l’autre bout du monde sur un coup de tête, le père de Mary lui a laissé la gestion de MIAM, le restaurant familial. Avec Joe le cuisinier et Elvis le serveur, Mary doit relever le défi et tout faire pour accueillir ses clients au mieux. En chemin, elle se transforme en MC Patate, reine des pommes de terre, tombe amoureuse d’un chou vert, reçoit la visite de la DDPP et replonge dans ses souvenirs de petite fille. Sur des compositions musicales originales, ce concert pop nous met l’eau à la bouche pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
RIGOLETTO à l’Opéra Bastille, une reprise avec de superbes interprètes!
On retrouve ce décor superbe en boite de carton gigantesque et la mise en scène de Claus Guth pour cette nouvelle série de représentation à l’Opéra Bastille, sous la baguette du chef : Giacomo Sagripanti, avec des interprètes qui méritent des superlatifs: Roman Burdenko (Rigoletto), Rosa Feola (Gilda) et Liparit Avetisyan( Il Duca Di Montova) entre autres sans oublier Goderdzi Janelidze ou Aude Extremo
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
On connaît bien l’intrigue qui débute lors d’un bal : Le comte Monterone accuse le Il Duca Di Mantova, grand coureur de jupons, d’avoir déshonoré sa fille. Rigoletto, bouffon bossu du Duc, se moque de lui. Monterone jette alors une solennelle malédiction sur lui ainsi que sur le Duc. Or, c’est au tour de Gilda, fille du bossu, d’être séduite par le Duc. Rigoletto, dont Gilda est le bien le plus précieux, décide donc de se venger et emploie les services d’un tueur à gages. Mais la malédiction est déjà en marche et ne tarde pas à s’accomplir. Rigoletto, dans une suite d’enchaînements malheureux, perdra son enfant adorée.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Claus Guth qui assure le mise en scène de cette production, s’attache implacablement à mettre à nu les œuvres qu’il met en scène. Pour cette production, il a imaginé un spectacle traversé de fantômes et de fantasmes, où le spectateur revit la tragédie à travers le regard d’un Rigoletto brisé et socialement déclassé. L’Opéra débute avec une sorte de préambule où un Rigoletto qui a sombré dans une déchéance totale ouvre une boite en carton. La boite contient une robe blanche souillée de sang, et un costume de fou du roi. Et la scène se transforme, et on se retrouve à l’intérieur de cette boite en carton .
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
La tragédie permet à Verdi d’écrire quelques uns de ses airs les les plus célèbres comme : Questa o quella per me pari sono, La donna è mobile, ou Caro Nomé. La mise en scène de Claus Guth les sublime, et surtout donne un allant aux interprètes.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Le clin d’oeil aux revues à plumes est un délice:
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
et bien entendu les chœurs, dirigés par CAlessandro Di Stefano donnent de l’ampleur à ce spectacle superbe
TOUTES LES PHOTOS : Benoîte Fanton ( ONP) tous droits réservés
Représentations : à 19.30 sauf dimanches : 14.30
Samedi 7 décembre Mardi 10 décembre Vendredi 13 décembre Lundi 16 décembre Jeudi 19 décembre Dimanche 22 décembre Mardi 24 décembre Samedi 10 mai Mercredi 14 mai Dimanche 18 mai * Mercredi 21 mai Samedi 24 mai * Mardi 27 mai Vendredi 30 mai Mardi 3 juin Dimanche 8 juin Jeudi 12 juin
LE NOM DE LA ROSE, le génial film de Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery, Christian Slater et Michael Lonsdales, c’est désormais en 4K Bluray HD et c’est du grand art
Je me souvenais avoir vu ce film lors de sa sortie en salles, mais ce n’était pas hier. En effet le film est apparu sur les écrans français le 17 décembre 1986, il y a donc 38 ans. Jean-Jacques Annaud avait alors créé l’évènement avec ce film assez long (2h12) avec une belle brochette de comédiens. Outre ceux déjà cités dans le titre il y avait aussi : Helmut Qualtinger, F. Murray Abraham, Ron Pearlman, et le seul personnage féminin: Valentina Vargas.
Le réalisateur nous plonge dans les années de l’inquisition, en 1327, où des moines disparaissent mystérieusement dans une abbaye bénédictine. Le franciscain, Guillaume de Baskerville aidé du jeune novice Adso von Melk va mener l’enquête. C’est l’époque où l’Eglise, en pleine crise, se voit disputer son pouvoir spirituel et temporel. C’est aussi l’apogée de l’inquisition. Un film sombre mais que l’on peut facilement qualifier de chef d’oeuvre. Le film avait attiré près de 5 millions de spectateurs en France et quelques 7.1 millions de $ sur le sol américain.
Le film a vu sa carrière se poursuivre avec la sortie an cassette VHS, puis en DVD, et c’est maintenant que la sortie en BluRay 4K lui donne une nouvelle vie, et cela grâce à une société née en 2005, L’Atelier d’Images, qui possède quelques titres formidables à son catalogue comme : Rollerball, JFK, Hellraiser 1/2/3/4, ou encore : Né un 4 Juillet ou Barton Fink. Nous reviendrons sur ces titres.
Le 4k est absolument fabuleux, que je rentrerai parmi mes top 10.
Informations techniques :
Langues : Français 2.0, anglais 5.1, DTS Master Audio Stéréo
SOUS-TITRES : Français
FORMAT : 16:9 compatible 4/3, format d’origine respecté 1.85
SUPPLÉMENTS :
Bonus 4K :
Masterclass, Institut Lumière 89 min – Inédit
Le Commentaire audio
La bande-annonce originale
Nouveau film annonce 2024
Bonus Blu-ray :
Nouveau film annonce 2024
Dans les archives du Nom de La rose (30 mn env.) Inédit
VOLE EDDIE VOLE, entretien avec l’auteur et le metteur en scène/ comédiens : Benjamin LHOMMAS et Sophie ACCARD
Remontons le temps, et allons nous occuper des jeux Olympiques! Non, vous ne rêvez pas, je vous parle, une fois n’est pas coutume de sport!
Certains, parmi les moins jeunes se souviennent peut-être d’un sportif qui avait envie de faire une prouesse exceptionnelles lors des jeux olympiques d’hiver à Calgary en 1988. Un certain Michael Edwards, alors âgé de 25 ans , que tout le monde connaissait sous le surnom d’Eddie The Eagle, et qui fut le premier sauteur à ski représentant le fédération olympique britannique. Il détient deux records toutefois….il a terminé bon dernier aux épreuves des 70 et 90 mètres et reste donc le symbole de l’échec héroïque.
L’histoire fut de son temps un tel symbole qu’un film fut réalisé sur le contre exploit: sorti en 1996, Eddie The Eagle de Dexter Fletcher retrace les jeux de 1988 et l’expérience du contre héros. Je me souviens l’avoir vu et m ‘être beaucoup amusé à la vision de ce film d’anti héros. Et quand je me suis retrouvé dans la salle du Petit Montparnasse, je me suis remémoré dès les premières minutes du film, et j’ai passé un excellent moment.
Vous voulez savoir pourquoi, regardez donc l’entretien avec les auteurs comédiens metteur en scène : Sophie Accard et Benjamin Lhommas:
L’auteur a reçu le Prix Littéraire Armand Gatti 2024 pour ce texte, qui entre au répertoire de l’Éducation nationale. Le spectacle a reçu le label « Olympiade Culturelle Paris 2024 ».
Représentation au Petit Montparnasse, Mercredi, jeudi, vendredi & samedi à 21h
Tarifs : 38 € / 22 € / 10 € pour les moins de 26 ans (par téléphone ou au guichet)
Entretien avec Stéphane Chevallier, nouvel éditeur vidéo BUBBLEPOP
Ce n’est pas tous les jours que le petit monde des éditeurs vidéo s’agrandit. On le sait la majorité des titres sont détenus par des ‘majors’ (Gaumont, Universal, Paramount, Warner et bien d’autres) et nombre d’entre eux se sont regroupés sous le label ESC, (ce que peu de personnes du grand public savent).
En parlant du marché de la vidéo, vous serez peut-être surpris que ce marché n’est pas en perte de vitesse, bien au contraire. Certes la VHS est morte, mais le DVD, et le BluRay se portent bien, et pour les aficionados, le HD (4K) se porte au mieux. Alors lorsqu’on nous annonce un nouvel éditeur, on a très vite envie de tout savoir, et une rencontre avec un des responsables s’avérait la meilleure manière d’entamer une nouvelle collaboration
THE LOOP au théâtre des Béliers Parisiens, entretien avec 2 des comédiens : Tristan Cottin & Stanislas Perrin
Les directeurs du Théâtre des Béliers Parisiens ( David Roussel, Arthur Jugnot, Frédéric Thibault, Florent Bruneau et l’adiministratrice Florence Lutz) savent parfaitement comment trouver de bonnes pièces, celles qui sont à l’affiche jouent quasiment à guichets fermés tous les soirs. Et ce n’est pas nouveau. Chaque fois que je suis allé voir une pièce dans ce théâtre de la petite rue Sainte Isaure dans le 18ème, j’ai vu la salle comble et les banquettes bien remplies. Ce fut le cas avec la nouveauté de cette rentrée, une comédie policière remarquable de drôlerie, écrite par Robin Goupil.
Les comédiens s’amusent visiblement autant que le public dans la salle. En fait lors des premières minutes on ne sait pas trop à quoi s’attendre, et la répétition des scènes nous faite rire de plus en plus. Il fallait donc que je parle avec deux des comédiens, et c’est chose faite où je me retrouve aux côtés de Tristan Cottin et Stanislas Perrin, je résume en disant qu’ils se retrouvent dans une salle d’interrogatoire aux Etats Unis, où arriveront une jeune fliquette et une avocate, Aurélie Boquien & Juliette Damy
Voici donc la rencontre filmée au Théâtre Des Béliers Parisiens: