Il était question d’un nouvel album de Sylvie à sortir en mars 2015, mais selon les dernières informations que nous avons recueillies, le prochain album de Sylvie ne sera disponible qu’en 2016.
Réservations : Olympia : http://www.olympiahall.com attention, il n’est pas possible de choisir sa place pour la vente sur Internet
AU GUICHET Olympia Bruno Coquatrix 28, boulevard des Capucines 75009 PARIS –
Du lundi au samedi, de 12h à 14h et de 17h à 21h30
Le dimanche et les jours fériés, 2h avant le spectacle
Tel (surtaxé) 0892 68 33 68
places de 51 à 89.50€
Pour vous faire patienter jusqu’à de plus amples détails, voici quelques photos exclusives prises lors de son passage à l’Olympia en 2010, dont certaines avec son fils David.
Le concert est disponible en Cd et DVD.
TOUTES LES PHOTOS : @ Guy Courtheoux. Tous droits réservés, aucune utilisation sans accord.
Mistinguett, un nom qui ne dira pas grand chose aux plus jeunes d’entre nous, mais qui a marqué son époque. Une reine du music hall au début du siècle dernier! Et une nouvelle reine sous les traits de Carmen Maria Vega.
Prolongations à partir du 17 avril au COMEDIA!!!!
Vous pourrez y voir le même spectacle, avec la même troupe, avec quelques tableaux revisités pour revoir ce spectacle de plus près, avec quelques surprises et quelques nouveautés. Les spectateurs pourront dîner à partir de 19h00 et assister à des Gatsby Parties après le spectacle, revivre les années folles avec le swing de ce show inoubliable!
Mistinguett ce sont les années folles, celles où le Casino de Paris renaissait, où on découvrait cet escalier géant, les plumes , les paillettes, les revues. C’est un peu ce que l’on découvre dans cette comédie musicale. Après la guerre, le Casino de Paris est quasi à l’abandon , racheté par un jeune producteur, Leon Voltera (Patrice Maktav) , qui a un point faible….l’amour du jeu. Il veut monter une nouvelle revue, et va s’acoquiner avec un truand, Scipion Sauveur (Fabian Richard). Il engage un chanteur américain, Harry Pilser ( Gregory Benchenafi) pour une revue avec Mistinguett (Carmen Maria Vega). Le truand a d’autres projets pour le Casino : le transformer en Parking! Pour cela il fait entrer sa soeur Marie (Mathilde Ollivier) dans la troupe. Mistinguett veut choisir ses boys, la troupe, et veille à tout pour ce spectacle qui devrait marquer son retour sur les planches.
Produit par Albert Cohen, à qui on doit ‘les 10 commandements’ ou 1789 les amants de la Bastille entre autres, mis en scène par François Choquet, sur des dialogues de Jacques Pessis, François Choquet et Ludovic Alexandre Vidal, ce spectacle est surtout l’occasion de découvrir de très belles chorégraphies de Guillaume Bordier, des chansons originales et quelques trop rares reprises adaptations des chansons de la reine des années folles. Cela se ressent plus particulièrement dans la première partie où on aurait envie d’entendre encore plus celle qui est vraiment la reine de ce spectacle : Carmen Maria Vega. Heureusement, on l’entend plus dans le seconde partie, avec ce qui est le titre phare du spectacle : Mon Homme. Si tous les interprètes sont au top, Carmen Maria Vega est au sommet , qui domine ce spectacle de bout en bout, avec des talents de comédienne, autant que de chanteuse. Elle est vraiment PARFAITE, et même si ce n’est que pour elle, il faut aller voir ce Mistinguett. Attention, ne vous arrêtez pas à la première partie, avec ses faiblesses, et vous verrez que la seconde partie après un entracte de 20 minutes est un pur délice.
Il faut aussi parler de la chorégraphie, et tout particulièrement du final, en rose, qui est tout simplement somptueux et qui rappellera les grands moments des illustres cabarets parisiens comme Le Lido ou Le Moulin Rouge. Plumes d’autruches, costumes , ce final en apothéose est le clou du spectacle. La salle ne s’y trompe pas, qui finit debout pour acclamer la troupe et celle qui est la nouvelle Mistinguett pour quelques mois seulement. En effet, après cette série de représentations au Casino de Paris, le show fera une longue tournée de février à juin 2015. Coté musique, 4 compositeurs ont travaillé sur les chansons originales : Alain Chamfort, Jean-Pierre Pilot, William Rousseau et Bertrand Allagnat.. Ce spectacle musical est un des événements de la rentrée et nul doute que le public va s’y précipiter pour faire tous les soirs un triomphe à la reine de la soirée : Mistinguett / Carmen Maria Vega!
Représentation du jeudi au samedi soir à 20 h 00 jusqu’au 21 décembre, puis du mardi au samedi soir jusqu’au 4 Janvier. Matinées samedi et dimanche à 15 h 00
Places de 20€ (debout) 49€ à 104€ selon les dates et horaires.
Casino de Paris : 16 rue de Clichy, Métro : Trinité
Le final
Le final
Carmen Maria Vega pose devant l’affiche avec votre serviteur
TOUTES LES PHOTOS ET LA VIDÉO avec extrait ‘ON DIT’ @ Guy Courthéoux
La Tournée : sous réserve de changements de dates
ZENITH ARENA – LILLE : à partir du 14 février 2015
AMPHITEA – ANGERS : à partir du 28 février 2015
ZENITH – NANTES METROPOLE : à partir du 7 mars 2015
ZENITH EUROPE – STRASBOURG : à partir du 14 mars 2015
PATINOIRE MERIADECK – BORDEAUX : à partir du 21 mars 2015
GALAXIE – AMNEVILLE : à partir du 28 mars 2015
ZENITH – DIJON : à partir du 4 avril 2015
MILLESIUM – EPERNAY : à partir du 18 avril 2015
DOME – MARSEILLE : à partir du 25 avril 2015
MUSIKHALL – BRUZ : à partir du 2 mai 2015
HALLE TONY GARNIER – LYON : à partir du 16 mai 2015
ZENITH D’AUVERGNE – COURNON : à partir du 23 mai 2015
ZENITH – ORLEANS : à partir du 30 mai 2015
ZENITH – CAEN : à partir du 6 juin 2015
ZENITH – ROUEN : à partir du 13 juin 2015
ZENITH – MONTPELLIER : à partir du 20 juin 2015
ZENITH – TOULOUSE : à partir du 27 juin 2015
Vous voulez voir Mistinguett ( la vraie) ? : voilà un enregistrement qui date de 1938
Après SOY DE CUBA il a quelques mois, voilà un nouveau spectacle sur la musique cubaine, BAR AT BUENA VISTA, avec les dernières légendes vivantes sur scène
Ambiance boisée et cuivrée. Vous entrez dans un bar de La Havane, l’un de ces endroits légendaires qui ont vu passer les Compay Segundo ou autre Ibrahim Ferrer. On pourrait apercevoir le fantôme d’Hemingway se servant un autre daiquiri. C’est à ce moment là que le mythe redevient réalité : devant vous, le bassin d’une danseuse chaloupe sur « Chan Chan ». La musique et la danse prennent corps avec les dix-sept artistes au sommet de leur histoire pour revisiter les grandes heures du Buena Vista. Voici le sourire buriné de Reynaldo Creagh, 96 ans, qui entonne « Guantanamera ». Et c’est ainsi que vous êtes projeté plus de cinquante ans en arrière dans le mythe cubain, quand les campesinos tissaient leurs histoires, en improvisant sur de la musique latina. Maestro Guillermo, dit Rubalca Gonzalez, trimbale ses bagues et ses doigts ridés sur les touches jaunies de son piano. Les rythmes des percussions de Luis Mariano Valiente « Betun » ou la trompette d’Elpidio Chappotín Delgado vous embarquent pour le grand voyage dans l’écho des standards qui ont vu défiler ces années suaves. L’énergie est toujours là. Si bien qu’au Bar at Buena Vista, vous avez l’impression d’être les ultimes témoins d’une histoire universelle sur le fil d’une nostalgie pleine de vie, comme Reynaldo Creagh, dernière sentinelle d’un phare qui, plus un demi-siècle après, continue à éclairer le monde.
L’idée de ce spectacle musical est née lorsque le directeur artistique de la troupe, Toby Gough, a rencontré le véritable barman du Social Club, qui préparait en fait des cocktails dans tous les bars de légende de la Havane. Il a eu envie de prendre, en plus des musiciens, le bar de légende. C’est dans ce bar que des noms prestigieux ont bu leurs cocktails en écoutant les plus grands musiciens : Marlon Brando et Marylin Monroe appréciaient cet endroit magique.
Bien des années plus tard, vous verrez ces personnages sur scène que furent: Siomara Alvilla Valdes (chanteuse), Julio Alberto Frenandez (chanteur), Reynaldo Creagh (chanteur), (pianiste), (percussionniste) et le jeune Leo Gamboa Almaguer. Ils sont très nombreux sur la scène, comme Elpidio Chappotin Delgado à la trompette, sous la chorégraphie de , tous autour du barman, Capullo, en hommage au fameux Arturo Lucas aujourd’hui décédé.
Il faut avoir vu ces anciens, certains ont plus de 90 ans, chanter avec leur voix intacte, danser comme des jeunots, jouer du piano comme des ados doués. C’est incroyable. La salle adore, se lève, mène le rythme avec les mains, avec les pieds. Ce spectacle restera dans notre mémoire pour longtemps. Ces anciens sont bien plus jeunes que nombre d’entre nous. N’hésitez pas, si vous avez l’occasion de les voir, à Paris, ou ailleurs, vous ne le regretterez certainement pas. Voilà ce qui s’appelle la joie de vivre!
PHOTOS : @ PHILIPPE FRETAULT tous droits réservés.
Le bar at Buena Vista se produira pour 6 représentations uniquement en France
les 4, 5 et 6 décembre au palais des Congrès à Paris, le 7 décembre à l’Amphi 3000 de Lyon, le 9 décembre au Silo de Marseille et enfin le 10 décembre au Zenith de Montpellier .
Pour les places à Paris, le tarif est de 32€ 65€ et 83€
Réservations: www.viparis.com, fnac.com et www.ticketnet.fr, tél surtaxés : 0892 683 622 et 0892 390 100 ou 0892 050 050
La collection en est exactement à son milieu, il reste donc 15 autres numéros pour posséder l’intégrale des titres studios ( sauf certains titres qui sont différents sur l’album et le 45 tours de l’époque, comme ce fut le cas pour un des titres de ce N° 15: Shalala..)
Néanmoins ce ‘Chanson Populaire’ contient une des chansons les plus populaires de Claude François, qui correspond tellement à l’image que nous gardons de ce chanteur, un des titres qu’on a le plus entendu, et vu en télé. Côté suppléments, rien de vraiment spécial sauf un extrait télé en duo avec Nicole Croisille, à ce jour inédit en Cd : Makin’ Woopee). J’attendais impatiemment les deux versions de ShaLala, mais bon, une fois encore un raté dans cette collection. Je me demande s’il n’aurait pas fallu consulter un vrai fan, un vrai collectionneur, quelqu’un qui avait connu Claude François, et qui aurait pu être un excellent conseiller, comme celle qui fut son habilleuse, Sylvie Mathurin, cela aurait évité ces oublis, surtout qu’un CD peut proposer plus de plages qu’un vinyle de l’époque!! Bref voilà donc les photos de ce N° 15:
Et voilà le nouveau numéro, le 14, avec des titres de l’avant dernier album de l’idole, dont : Cette année là, la solitude c’est après ( en français et en italien) et un inédit plus rare : En Méditerrannée.
Sorti récemment, le volume 13, de 1968, avec des titres comme Reste ou Eloïse, et des 45 tours jamais sortis sur des albums comme Jacques a dit et toi tu tu voudrais/ Après tout
Le Volume 12 de la Collection Claude François, disponible en kiosques et sur abonnement.
Vous êtes de plus en plus nombreux à venir sur ce site pour savoir ce que contient chaque volume. Si vous désirez vous rappeler des numéros 1 à 10 déjà parus, il vous suffit de cliquer sur ce lien :
Le N° 12 est aussi un des albums de Claude François avec d’énormes tubes de 1972 comme : LE LUNDI AU SOLEIL, BELINDA, CELUI QUI RESTE, mais aussi des titres moins connus et pourtant superbes comme SOUDAIN IL EST TROP TARD, UNE FILLE ET DES FLEURS ou ON NE CHOISIT PAS. C’était la grande époque des tubes sur mesure, avec les chanteurs appelés ‘à minettes’, comme Patrick Juvet qui avait composé le titre phare, avant de le chanter sur son propre album, en anglais (I will go to L.A., repris ensuite en anglais par Claude : Monday Morning Again). Quelques inédits, qui ne changeront en rien la notoriété de CloClo, notamment un duo avec le regretté Patrick Topaloff, Les filles ne veulent pas grand chose, dont le son, est loin d’être parfait! .
Le N° 11, Le Mal Aimé vous présente un des albums les plus vendus par CloClo de son vivant, qui avait quand même un de ses titres phares: Le téléphone pleure, que Claude François a interprété en anglais, mais aussi en espagnol. On regrettera, une fois encore que ces versions ne soient pas disponibles sur le CD. C’est ce que les fans de l’artiste attendent, qui ont tous déjà tous ses albums en CD. C’est quand même dommage de passer sous silence cette version espagnole que l’on trouve assez facilement sur le Net!
A croire que les ayant droits ne peuvent pas obtenir d’autorisation de commercialiser certains titres, alors que si on regarde les numéros à venir, il n’est nullement question d’un album avec des versions étrangères, sauf celui en italien et en anglais. Un 45 tours en japonais de Donna Donna avait déjà été édité en Cd dans l’intégrale 45 t Philips, mais de ce téléphone pleure en espagnol: que Nenni.
On regrettera aussi que ne figure pas sur ce CD la version mixée du Mal Aimé/DayDreamer, enregistré pour la dernière émission télé à Leysin……Espérons que ces titres feront l’objet d’un spécial, comme l’attendent tous les fans , anciens et nouveaux
Le ballet le plus célèbre revient sur scène avec la troupe prestigieuse du Bolchoï de Minsk.
Plus d’un siècle après sa création, Le Lac des Cygnes reste le ballet le plus joué au monde.
Piotr Ilitch Tchaïkovski, en s’inspirant d’éléments de sa vie personnelle pour composer son œuvre qui révolutionnera l’approche de la musique classique. Il faudra cependant attendre dix-neuf ans pour que ce ballet donne lieu à une première chorégraphie, par Marius Petipa (1895). Puis, en 1984, c’est Rudolf Noureev qui en donnera sa propre vision.
La tournée 2012/2013 a triomphé avec 120 représentations dans toute la France, en Suisse et en Belgique, attirant près de 200 000 spectateurs. Fort de ce succès, Le Lac des Cygnes revient donc cette année avec le Bolchoï de Minsk. Dans ce ballet en trois actes, les danseurs nous racontent l’amour du Prince Siegfried pour la princesse Odette, condamnée par le sorcier Von Rothbart à se transformer en cygne le jour, et à redevenir femme la nuit. Apprenant cette malédiction, le Prince Siegfried fera tout son possible pour briser le sort en se mariant avec Odette. Ce faisant, il s’exposera aux fourberies du sorcier et de sa fille…Quelle version allons nous découvrir, vu qu’il y a deux fins possibles?
Le ballet est dirigé par Victor Ploskina, sous la direction artistique de Yuriy Troyan, du Bolchoï de Misnk. En 1996 la réorganisation du théâtre a créé deux unités indépendantes: Opéra Théâtre et Ballet Théâtre, mais en 2008 les deux compagnies deviennent l’Opéra et Ballet National du Bolchoï de la République de Biélorussie. Le théâtre fut rénové, et inauguré le 8 Mars 2009. La production de nouveaux opéras et ballets se fait dans le bâtiment du théâtre rénové. Ces dernières années, les artistes de l’Opéra et Ballet National du Bolchoï de la République de Biélorussie ont visité plus de 30 pays et ont trouvé leurs admirateurs partout dans le monde.
J’ai pu voir ce spectacle et j’avoue que c’est une bombe. Le plus classique des ballets, dans une version des plus classiques. Sur la chorégraphie originale de Marius Petipa et Lev Ivanov, le directeur artistique, Yury Troyan a révisé la chorégraphie avec Aleksandra Tikhomirova. Les rôles d’Odette sont tenus en alternance par Volha Haiko et Irina Eromkina, et celui de Siegfried par Igor Anoshka et Oleg Eromkin. On pourra regretter que l’annonce des rôles ne soit pas faite à l’entrée de la salle. Ce spectacle, haut en couleurs et en décors est ce qui se fait de mieux en matière de ballets. La troupe compte un minimum de 35 protagonistes sur scène, sans compter l’orchestre. A aucun moment on ne peut avoir la sensation de vide, d’une scène sans personne. Toute la troupe est au sommet, etentre autres celui qui interprète le fou du roi, Konstantin Geronkik, qui danse particulièrement bien, mais dont le nom n’est pas mentionné dans le programme.
Le spectacle dure environ 2h30 avec deux entractes de 15 mns. Ne manquez pas cette occasion de voir un très grand ballet, peut-être le plus célèbre, avec la musique somptueuse de Tchaïkovski. C’est du grand art, et on peut sans problème y emmener un néophyte qui appréciera, sans nul doute, la danse classique .
Certains m’ont posé la question :
Qui interprète le fou du roi: C’est Konstantin Geronik
Voici les dates de cette tournée en 2015:
CLERMONT FERRAND – Zénith – 22 Mars 2015
LYON – Amphithéâtre – 24 Mars 2015
MÂCON – Le Spot – 25 Mars 2015
BESANÇON – Micropolis – 26 Mars 2015
METZ – Les Arènes – 27 Mars 2015
STRASBOURG – Zénith – 28 Mars 2015
DIJON – Zénith – 29 Mars 2015
CAEN – Zénith – 31 Mars 2015
ST MALO – Palais des Congrès – 01 Avril 2015
BREST – Arena – 02 Avril 2015
NANTES – Cité des Congrès – 03 Avril 2015
NANTES – Cité des Congrès – 04 Avril 2015
LIMOGES – Zénith – 05 Avril 2015
GRENOBLE – Le Summum – 07 Avril 2015
TOULON – Zénith – 08 Avril 2015
NICE – Acropolis – 09 Avril 2015
MARSEILLE – Le Dôme – 10 Avril 2015
MONTPELLIER – Zénith – 11 Avril 2015
TOULOUSE – Zénith – 12 Avril 2015
LILLE – Zénith – 15 Avril 2015
ANVERS – Stadsschouwburg – 16 Avril 2015
LIÈGE – Le Forum – 17 Avril 2015
BRUXELLES – Forest National – 18 Avril 2015
GAND – Le Capitole – 19 Avril 2015
LE HAVRE – Docks Océane – 21 Avril 2015
DUNKERQUE – Le Kursaal – 22 Avril 2015
ROUEN – Zénith – 23 Avril 2015
ORLÉANS – Zénith – 28 Avril 2015
PARIS – Palais des Sports – 29 Avril 2015
PARIS – Palais des Sports – 30 Avril 2015
ANGERS – Amphitéa – 02 Mai 2015
BORDEAUX – Patinoire Meriadeck – 03 Mai 2015
Le prix des places varie selon les salles . Pour exemple, les places au Palais des Congrès à Paris sont en vente entre 47 et 69 €.
Un des plus beaux opéras du répertoire, dans une nouvelle création à l’Opéra Bastille.
MELODRAME EN TROIS ACTES DE GIACOMO PUCCINI SUR UN LIVRET DE GIUSEPPE GIACOSA ET LUIGI ILLICA D’APRÈS LA PIÈCE DE VICTORI SARDOU
Une cantatrice amoureuse, passionnée, jalouse et impulsive ; un peintre romantique, idéaliste et défenseur des libertés ; un chef de la police affamé de chair, de pouvoir et de sang, prêt à tout pour arriver à ses fins : Puccini mêle avec art les ingrédients d’un mélodrame écrit pour Sarah Bernhardt et compose en quelque sorte l’opéra de l’opéra, une fresque à la fois primitive et décadente. Dans une Rome mythique et vraie, des profondeurs de l’église Sant’Andrea della Valle à la terrasse du Château Saint-Ange, les passions se heurtent et se déchirent, l’érotique se confond avec le sacré, l’amour avec la possession, le théâtre avec la vie. Tout est faux-semblant dans Tosca : les belles dames qui viennent prier sont des conspiratrices, les défaites sont des victoires et les fausses éxécutions sont réelles. Une œuvre vertigineuse qui, comme peu d’autres, capture l’essence du théâtre lyrique.
Pierre Audi signe cette nouvelle production de cette œuvre violente et ardente. Des décors signés Christof Hetzer, qui sont tout à la fois moderne, tout en restant dans le style de l’œuvre.
Tosca a été créé au Teatro Costanzi de Rome, le 14 janvier 1900. La première représentation parisienne a eu lieu à l’Opéra-Comique le 13 octobre 1903.
TOUTES LES PHOTOS : CHARLES DUPRAT @ opera de paris
Représentations du 10 octobre au 28 novembre 2014 à 19H30 (Sauf mention contraire)
Spoletta : CARLO BOSI (DU 10 AU 29 OCT), ÉRIC HUCHET (DU 1ER AU 28 NOVEMBRE)
Il Sagrestano : FRANCIS DUDZIAK (DU 10 AU 29 OCT) ,LUCIANO DI PASQUALE (DU 1ER AU 28 NOVEMBRE)
Prix des places de 5 à 210€ (sauf le 10 Novembre : de 5 à 168€)
Réservations au 08 92 89 90 90 (0.337 € la minute), ou aux guichets : Opéra Garnier Métro Opéra, ou Opéra Bastille Métro Bastille ou sur internet : www.operadeparis.fr
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src gen org: https://geo.dailymotion.com/player.html?video=x27lq2o
Lorsque Conchita Wurst a remporté le Grand Prix Eurovision de la chanson, j’avais écrit que j’adorais sa chanson, et que je criais bravo. Maintenant, la voir au Crazy Horse est quelque chose de totalement inattendu, et pourtant!!!
photo : JulianLaidig
C’est un autre genre de femme que celles que l’on a l’habitude de voir sur la scène du célèbre cabaret de l’avenue Georges V à Paris. Conchita porte la barbe, vraie ou fausse, possède une voix de soprano époustouflante, c’est un artiste à part entière. Ceux qui auront la chance de la voir sur scène lors de cette série de représentations pourront juger : Elle sera présente dans 3 tableaux, créés tout spécialement pour elle et autour de son répertoire musical, dont , bien entendu le titre qui l’a rendue célèbre : Rise Like a Phoenix. On la verra aussi dans le final avec toute la troupe, final revisité pour l’occasion.
photo: Antoine Poupel
Inutile de dire que le Crazy va faire les choses en grand, avec une mise en scène signée Bianca Li et des costumes de celui qui en est un fan inconditionnel: Jean Paul Gaultier pour qui elle avait déjà défilé lors de la Fashion Week en juillet dernier. Ajoutez des chaussures de Christian Louboutin, et pour couronner le tout le visuel du spectacle conçu et réalisé par les célèbres photographes Pierre et Gilles.
photo: JulianLaidig
« Paris est la cité de l’amour, synonyme de sensualité et de femmes d’exception. Le Crazy Horse représente l’ensemble de ces valeurs ; je suis ravie d’y incarner la femme sublimée et sensuelle et d’avoir l’opportunité de vivre une aventure si glamour et formidable. Me présenter sur cette scène est un rêve qui devient réalité. Le Crazy est iconique et une référence artistique absolue dans le monde entier. Je suis très fière d’être la première « femme d’un autre genre » à avoir été invitée dans ce lieu prestigieux et me réjouis de pouvoir travailler avec les fameuses Crazy Girls et une équipe de création exceptionnelle», explique Conchita Wurst.
Photo: Antoine Poupel
Andrée Deissenberg, Directrice Générale responsable de la Création, du Développement et de la Marque, explique : «Conchita montre que les voies de la féminité sont multiples. Elle est une femme portant une barbe, avec les attributs de la virilité, mais aussi d’une grande féminité. En l’invitant, le Crazy s’inscrit parfaitement dans sa propre histoire et s’associe à une prise de parole artistique. Au Crazy, temple de la féminité assumée, nous aimons la différence. » Depuis toujours, Le Crazy a prôné la tolérance, l’indépendance d’esprit et la liberté artistique et intellectuelle. La transgression et l’impertinence, vêtues d’élégance et de chic Parisien, ont fait la force et l’originalité du Crazy, qui a ouvert ses portes en 1951 sous la direction d’Alain Bernardin.
Un très joli clip qui m’a été recommandé par un de mes amis et que je me hâte de vous faire découvrir.
Mais qui donc est David Bacci? Un chanteur qui adore voyager et qui en profite pour envoyer des cartes postales musicales. La toute dernière est un single 2 titres, ‘Je Perds mon temps’ et ‘Arrêtez le temps’. C’est le clip du premier titre dont on m’a parlé, après qu’on m’ait déjà parlé d’un album sorti en 2012, qui lui avait donné l’occasion de se produire sur de nombreuses scènes en France et à l’étranger. Dans le clip , on y découvre David très dénudé, car ce garçon qui a fait pendant dix ans le tour du monde avec son sac à dos, ne craint pas de mettre son âme, ses sentiments et son corps à découvert quand la communication avec les autres passe par le don de soi. Pas de fausse pudeur! Que ce soit sur scène, sur CD ou en public, c’est quelqu’un qui va vers les autres et pour qui le mot « partage » est naturel et essentiel. Le clip est aussi interprété par la comédienne Séverine Berthelot . Le réalisateur est Jean Luc Dettome, qui est aussi le producteur de ce CD.
Après la superbe Traviata, et avant le troisième opéra de cette trilogie des meilleurs opéras italiens, La Tosca, voici le Barbier de Séville.
Dans une mise en scène de Damiano Michieletto et sous la direction musicale de Carlo Montanaro, cette nouvelle production du Barbier de Séville , L’Opéra célèbre de Giacomo Rossini créé en 1816 sur un livret de Cesare Sterbini, d’après une comédie de Beaumarchais
Le Barbier de Séville est sans doute l’opéra bouffe le plus célèbre de l’histoire de la musique et un délice toujours renouvelé. Rossini le composa en quelques semaines, empruntant ouverture ou airs à ses propres ouvrages,toutefois tous les ensembles sont originaux. Dans le final du premier acte, Rossini mêle tous les styles et enchaîne avec une virtuosité stupéfiante duo, trio,quintette et sextuor. Le Barbier de Séville fut aussi l’un des premiers triomphes européens de l’opéra et reste, malgré les années une oeuvre avec un des airs les plus connus du grand public, celui de Figaro.
L’histoire est simple et commence ainsi :A Séville, la nuit est déjà noire. Le comte Almaviva vient chanter une sérénade devant la maison du vieux docteur Bartolo. Il s’adresse à Rosina, la jeune et belle pupille du docteur. Figaro, un ancien domestique du comte, barbier-chirurgien de Bartolo, fait une joyeuse entrée. Le comte Almaviva lui demande son aide pour courtiser Rosina. Celle-ci finit par apparaître au balcon et laisse tomber un billet dans lequel elle invite le comte à se présenter. Quiproquos, contrats de mariage, déguisements, tout est fait pour que le public soit ravi, et il l’a toujours été, puisque cette oeuvre est joué avec succès depuis sa création.
L’Opéra de Paris a réuni quelques grandes voix pour cette production : RENÉ BARBERA ou EDGARDO ROCHA Il Conte d’Almaviva
CARLO LEPORE ou PAOLO BORDOGNA Bartolo
KARINE DESHAYES ou MARINA COMPARATO Rosina
DALIBOR JENIS ou FLORIAN SEMPEY Figaro
ORLIN ANASTASSOV ou CARLO CIGNI Basilio
Quelle excellente surprise que ce ‘Barbier’ à Bastille. La mise en scène signée Damiano Michieletto est intelligente, et surtout très drôle, et tout à fait actuelle. On voit par exemple une voiture, une moto, des portables sur scènes. On fume beaucoup, et même des joints de la taille d’un barreau de chaise. Le décor tournant offre 4 faces servant tour à tour. L’action se déroule sur les différents étages, le dernier étage vous promettant quelques surprises, si vous y jetez un oeil. Les yeux, en fait, il les faudrait partout. Dnas chaque scène il y a des tas de détails qui pourraient passer inaperçus, lorsqu’on est pris par le chant et les voix (irréprochables, qui seront ovationnées par la totalité de la salle). La direction d’orchestre de Carlo Montanaro sait s’effacer quand il le faut et monter en puissance à d’autres moments. Tout est fait ici pour que le spectateur soit ravi, conquis. Les décors et costumes sont hauts en couleur, les éclairages participant aussi à l’histoire. Que dire de plus. Seuls les superlatifs peuvent s’appliquer à cette nouvelle production du Barbier, production originale du Grand Théâtre de Genève. Profitez de cette occasion, rare, de sourire en allant à l’Opéra avec ce Barbier de Séville qui restera certainement dans les annales. Si vous n’aimez que les opéras représentés comme lors de leur création, ce n’est peut-être pas fait pour vous, mais il vous reste une solution pour juger: L’opéra fera l’objet d’une captation et sera diffusé ensuite sur France 3 et Culture Box à partir du 26 septembre, en plus d’une diffusion en direct sur France Musique, et dans certaines salles de cinéma le 25 septembre à 19h30.
Tarif des places de 5 à 210€
TOUTES LES PHOTOS @ Bernard-Coutant- OPERA DE PARIS
Rencontrer un géant de la danse, un grand moment…surtout lorsqu’il nous offre une nouvelle en exclusivité!
Depuis qu’il a quitté l’Opéra de Paris, Nicolas Le Riche est décidément un homme très occupé. Et actuellement il prépare deux soirées pour Transcendanses au théâtre des Champs Elysées début Novembre. Ces soirées rendent hommage en quelque sorte à différentes troupes, ou danseurs ou chorégraphes, puisque les 22/23 et 24 septembre, c’est le ballet national de Norvège qui sera célébré ( voir l’article paru : http://onsortoupas.fr/transcendanses-jiri-kylyan-et-le-ballet-national-de-norvege-a-paris/ ) . C’est donc pour nous présenter ce spectacle que Nicolas Le Riche a convié quelques rares privilégiés pour nous parler de ces deux soirées.
Pour lui cette soirée sera un peu un hommage à ses maîtres, une sorte de clin d’oeil , avec 5 pièces en solo ou avec d’autres danseurs. Le premier de ces ballets est : A suite of Dances, sur une chorégraphie de Jerome Robbins, un chorégraphe qui a vraiment beaucoup marqué le jeune retraité de 42 ans, sur une partition de Bach. Il y aura aussi un duo avec Russel Maliphant, sur une chorégraphie de Maliphant : CRITICAL MASS. Ce que le public attendra certainement, c’est le vol migratoire qui sera créé pour ces deux seules représentations en s’inscrivant dans les aires migratoires, qui ne sont jouées qu’une fois, selon la volonté de leur créateur, le chorégraphe Hervé Diasnas, qui en a composé la musique et qui sera interprété par 7 danseurs, et enfin : Odyssée, sur une chorégraphie de Nicolas Le Riche, qu’il dansera avec Clairemarie Osta. Au départ il avait été annoncé un ballet avec Eleonora Abbagnato….mais cette dernière ne pourra pas se produire et c’est en totale exclusivité que Nicolas Le Riche nous a annoncé une création dédiée à sa compagne Clairemarie….Une après midi , créé sur une musique de Debussy, qui évoque un chemin, un parcours, une sorte d’évocation intime.
Mais Nicolas Le Riche aime aussi répondre aux questions. Ainsi si on lui demande s’il aimerait revisiter les classiques de la danse en tant que chorégraphe, il parle avec franchise, en disant que cela ne fait pas partie de ses projets actuels, qu’il adore voir ces classiques, mais qu’il ne sait pas de quoi demain sera fait, et qu’il ne faut pas dire ‘Fontaine, je ne boirai pas de ton eau’. Ces classiques ont marqué leur époque . Il en est de même si on lui demande qui sont les plus grands danseurs de tous les temps. Il lui faut quand même quelques instants de réflexion pour nous donner quelques noms : Mikhaïl Barychnikov, Jean Babilée (récemment disparu), Rudolph Noureev, Vaslav Nijinski. Innatendu, il cite Michael Jackson dans cette liste ( avec le bémol….qu’il avait trop souvent la main sur la braguette!) . Il ajoute Yvette Chauviré et ne veut pas oublier un danseur anglais : Anthony Dowell pour Roméo et Juliette ou Winter Dreams.
Côté musique, il apprécie quasiment tous les genres. du rock au classique, en passant par la variété, et avoue jouer de la guitare, et que chez lui, tout le monde vit en musique, femme et enfants compris. Ne lui parlez pas en revanche d’apprendre un ballet sur vidéo…cela peut le rendre ‘fou de rage’… Voudrait-il faire du cinéma? Pourquoi pas? Il a déja fait une apparition dans de Le Scaphandre et le Papillon…dans le rôle de Nijinsky! Mais il a déjà de nombreux projets….et sa boite à idées ( dans laquelle il dépose toutes ses idées, dans tous les domaines ) regorge de projets , de possibilités de création. Il parle aussi de certaines rencontres comme celle avec Guillaume Galienne, où, lorsqu’ils se sont serré la main, avaient l’impression de se connaître depuis toujours
Bref un grand monsieur ce Nicolas. On pourrait rester des heures à l’écouter parler de sa carrière, de sa famille, on a envie de le découvrir encore un petit peu plus. On aimerait faire partie de ses amis, et on a surtout envie de le voir s’envoler comme lorsqu’il est sur scène. Et on attend avec impatience les deux soirées des 4 et 5 Novembre…puis Solaris qui devrait se créer en Mars, toujours au théâtre des Champs Elysées.
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Suite à une blessure au genou de Russel Maliphant, les représentations ont été amputées de Critical Mass. Le spectacle, en conséquent dure 1h15. Mais quel bonheur de voir Nicolas Le Riche et Clairemarie Osta seuls ou en duo sur scène. Ce sont eux qui recueillent des bravos à profusion. Dès le départ, Nicolas Le Riche donne le ton, en s’excusant pour la pièce qui ne sera pas jouée, et retourne quelques secondes en coulisses pour laisser sa partenaire , Martine Bailly, s’installer au violoncelle pour la première pièce, Suite Of Dances, que Nicolas Le Riche interprète en solo, suivi d’une chorégraphie qu’il crée pour sa carte blanche, Une Après Midi, dansée par Clairemarie Osta sur la muisque de Claude Debussy : Prélude à l’Après-midi d’un faune. Quelle grâce, quel bonheur de la voir évoluer seule sur scène, nymphe qui subjugue le public et la salle qui lui fera une véritable ovation, tout comme le duo qui termine le spectacle sur une standing ovation. Quel bonheur de voir de tels artistes sur scène!
TRANSCENDANSES , Carte Blanche à Nicolas Le Riche les 4 et 5 Novembre