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Un des plus grands pianistes actuels, Lang Lang, vient de sortir un album consacré à des musiques de Disney: films ou Disneyland

Un must à posséder à la fois par les mélomanes et par les fans de Disney :

 

Lang Lang«The Disney Book»                                     –Liste des plages

ALBUMSTANDARD

CD 1 DE L’ALBUM DELUXE

Thème de “La Belle et la Bête”

2.“Le monde est petit”

3.“Libérée, délivrée”–LA REINE DES NEIGES

4.“Il en faut peu pour être heureux”–LE LIVRE DE LA JUNGLE

5.“Dos Oruguitas”–ENCANTO (Sebastián Yatrachant)

6.“Rainbow Connection”–LES MUPPETS

7.“Réflexion”–MULAN (Guo Ganerhu)

8.“Un jour mon prince viendra”–BLANCHE-NEIGE ET LES SEPT NAINS

9.“It’s All Right”–SOUL   Jon Batistechant

10.“Ne parlons pas de Bruno”–ENCANTO

11.“Ne m’oublie pas”–COCO (Miloš guitare)

12.“When You Wish Upon a Star”–PINOCCHIO (Gina Alicechant)(Quand on prie la bonne étoile)

13.“Ce rêve bleu”–ALADDIN

14.“You’ll Be in My Heart”–TARZAN (Andrea Bocellichant)(Toujours dans mon cœur)

 

CD 2  DE L’ALBUM DELUXE

1.Thème de“La Belle et la Bête”(version piano solo)

2.“Mary Poppins Fantasy”–MARY POPPINS

3.“Nourrir les p’tits oiseaux”–MARY POPPINS

4.“Qui craint le grand méchant loup?”–LES TROIS PETITS COCHONS

5.“Je voudrais un bonhomme de neige”–LA REINE DES NEIGES

6.“Siffler en travaillant”–BLANCHE-NEIGE ET LES SEPT NAINS

7.“On se lave !”–BLANCHE-NEIGE ET LES SEPT NAINS

8.“Je souhaite”–BLANCHE-NEIGE ET LES SEPT NAINS

9.“Tendre rêve”–CENDRILLON

10.“Ma maison sous le chaume”–LE LIVRE DE LA JUNGLE

11.“Life is a Highway”–CARS : QUATRE ROUES

12.“Mon tout petit”–DUMBO

13.“L’amour brille sous les étoiles”–LE ROI LION

 

 

Quelques extraits en exclusivité :

 

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Si le premier opus était vraiment bien, celui-ci est encore meilleur, une super dose d’humour que la famille va apprécier,  et pas seulement les petites têtes blondes

Le premier film de la série était déjà hilarant et avait conquis les enfants et leurs parents. Cette fois on prend la même famille, et elle va en rencontrer une autre….Que peut-il se passer lorsque l’ado masculin se retrouve en face d’une jeune fille de son age, et cela bien entendu dans un passé plus que lointain? A n’en pas douter de drôles d’aventures, et dans cette journée émorable on se régale. Je dois êtres très jeune pour m’être éclaté comme un gosse, je ne le renie pas. Il est vrai que j’aime les films d’animation, même si récemment j’ai été déçu par Soul, peut-être trop adulte ou trop compliqué pour mon petit esprit, alors que je me suis régalé avec  les deux autres Disney, eux sur Disney +: Raya et le dernier dragon ainsi que Luca. Côté Dreamworks, j’ai adoré le premier Croods mais bien d’autres comme Spirit, Spirit l’indomptable, Dragons…. et ses suites, et j’en oublie très certainement.

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Les Croods ont survécu à leur part de dangers et de catastrophes mais ils vont maintenant devoir relever leur plus grand défi : rencontrer une autre famille.Les Croods ont besoin d’un nouvel endroit où habiter. La famille préhistorique part alors en quête d’un endroit plus sûr. Quand ils découvrent un paradis idyllique entouré de murs, ils pensent que tous leurs problèmes sont résolus… Mais une famille y vit déjà : les Betterman.Avec leur cabane dans les arbres, leurs inventions étonnantes et leurs hectares irrigués de produits frais, Les Betterman sont bien au-dessus des Croods sur l’échelle de l’évolution. Ils accueillent les Croods avec joie, mais les tensions ne tardent pas à s’intensifier entre la famille des grottes et la famille moderne.Mais une nouvelle menace va propulser les deux familles dans une aventure épique hors des murs, ce qui les obligera à accepter leurs différences et à se servir des forces des uns et des autres. Pour ces aventures, en version française, vous entendrez Antoine de Caunes et Emma de Caunes. Le film de Joel Crawford  est une pure réussite, bourré d’humour, vous ne regretterez pas d’être entré dans la salle!

le film annonce :

et un extrait :

 

Le chant de LIZ McComb, de l’esclavage aux Invalides donnera lieu à un concert superbe aux Invalides à Paris

Le monde s’apprête à commémorer les 400 ans de l’un des pires crimes contre l’humanité : la déportation en Amérique, en 1619, du premier contingent d’esclaves africains.   Leurs descendants, évangélisés, ont inventé un chant original, le « negro spiritual». Blues, gospel, jazz, soul, rn’b, reggae, rock, rap…toutes ces musiques modernes en sont issues !   Pendant le même Grand Siècle, l’ouverture « à l’italienne » devient la « sinfonia » et le signe de distinction des élites européennes, enrichies par le commerce triangulaire.  Ces musiques évoluent chacune dans son propre ghetto, sans presque jamais se croiser.

Les deux termes de cette dialectique transatlantique fusionneront en une splendide apothéose dans la Grande Cour des Invalides, pour la clôture de la 18ème saison des « Opéras en plein air » qui ont invité la Diva Africaine-Américaine Liz McComb, pour une rencontre historique entre spiritual et symphonie, au fil des sublimes mélodies de George Gershwin, Jerome Kern, Duke Ellington…et Liz McComb… accompagnée par l’Orchestre Symphonique des Opéras en Plein Air sous la baguette de Nicolas Guiraud.

 

Personne n’incarne mieux que Liz McComb cette fameuse devise du Cantor de Leipzig : avec sa foi chevillée à sa voix, un swing irrésistible, et cette joie extatique, teintée de blues doux-amer, qui épice et illumine son chant pour en faire un délicieux enchantement… Oui, grande prêtresse de la « soul », citoyenne d’un ciel noir, nocturne et méditatif, qui se situe bien au-delà de la vénalité d’un certain gospel contemporain, banalisé sinon frelaté, Elizabeth McComb « délasse les âmes », elle distille inlassablement le bonheur, l’espérance et la sérénité.

 

Sa musique est digne, émotive, humaine, pieuse, aussi pure et sincère que celle de Bach, mais aussi très «aguichante» pour ne pas dire érotique ou sensuelle…  (qui croit à part les Puritains que Bach ne l’était pas aussi, lui qui conçut vingt enfants avec ses deux épouses officielles ?)  Liz McComb émerveille tout autant « celui qui croit au ciel » que « celui qui n’y croit pas » pour reprendre la formule du marxiste mystique Louis Aragon…  Il y a dix ans, la Diva du Gospel faisait sensation à l’Auditorium Ravel de Lyon, avec une synthèse inouïe entre negro spiritual et musique symphonique, sous la baguette complice de Kristjan, le dernier né des Järvi.

 

Rencontre avec cette immense artiste:

 

Château d’Haroué/Lorraine : Dimanche 2 Septembre 18h (29-39-49-60€)
Hôtel National des Invalides : Dimanche 9 Septembre 18h (39-49-59-75€)

Réservations dans les points de vente habituels