Adapté d’un roman à succès de Peter Benchley publié en 1974, voila les aventures d’un énorme requin blanc, amateur de chair humaine!
À quelques jours du début de la saison estivale, les habitants de la petite station balnéaire d’Amity sont en émoi face à la découverte, sur le littoral, du corps atrocement mutilé d’une jeune vacancière. Pour Martin Brody (Roy Scheider) , le chef de la police , il ne fait aucun doute que la jeune fille a été victime d’un requin. Il décide alors d’interdire l’accès des plages mais se heurte à l’hostilité du maire, uniquement intéressé par l’afflux des touristes. Il se fera aider par un biologiste marin (Richard Dreyfuss) et d’un chasseur de requins expérimenté ( Robert Shaw).
Les requins n’effraient pas encore lors de la sortie en salles aux Etats Unis en 1976 et quelques mois plus tard en France, et avait alors fait plus que sensation vu que le film avait attiré 124 millions de spectateurs aux States (il fut alors le premier film de l’histoire du cinéma à dépasser la barre des 100 millions de $, et avait connu un score plus que mémorable en France avec plus de 6 346 000 spectateurs. Le film a connu plusieurs suites, mais qui, toutes ne connurent pas un tel engouement, et les ‘monstres marins’ se sont multipliés depuis avec plus ou moins de succès.
L’édition Vault Universal offre déjà une copie 4K absolument remarquable de qualité en plus du BluRay, avec son en Dolby Atmos ou DTS. De bons suppléments dont un making of, des scènes coupées et un bêtisier.
C’zest écrit en clair, le film n’est pas pour les enfants ( il est interdit aux moins de 12 ans) et il gardé son côté effrayant, à déconseiller donc si vous êtes sensible. Mais soyons clairs, le cinéma a bien évolué et les jeunes ados peuvent sourire s’ils sont habitués à l’hémoglobine.
IL mérite le détour et on peut se le procurer à 29.99€ sur Amazon et autres boutiques en ligne.
Cette fois le spectacle va s’installer dans un des plus beaux écrins de la capitale : Le théâtre du Chatelet:
Vu que je suis un adepte des comédies musicales depuis très longtemps, je ne pouvais manquer cet évènement, alors que d’autres comédies musicales rencontrent leur public, ce fut le cas il y a quelques jours avec Bernadette de Lourdes qui a rempli le Dôme de Paris à chaque représentations. Le Roi Lion entame sa 3ème année à Mogador, alors que Spamalot est monté au Théâtre de Paris pour longtemps.
Alors si vous aimez ce genre, ne manquez aucun de ces spectacles. Celui qui va se jouer au Chatelet sera présenté en anglais, avec sur titrages pour les non anglophones. Mais qui ne connaît pas les titres les plus célèbres? Maria, Tonight, America, Somewhere parmi bien d’autres? Il faut comprendre que le cinéma a rendu ce musical célèbre par 2 fois : en 1962 sous la direction de Jerome Robbins et Robert Wise avec Nathalie Wood, Richard Beymer & George Chakiris et puis en 2021 sous la direction de Steven Spielberg.
West side Story, 2022,Credit: Johan Persson
WESTSIDE STORY, , Credit: Johan Persson
Inutile de rappeler l’histoire de ce Roméo et Juliette actualisé à New York au début des années 60, vous connaissez l’histoire. La version qui sera représentée au Chatelet sera renouvelée dans la mise en scène par Lonny Price avec la chorégraphie conçue par Jerome Robbins. Lonny Price a travaillé pour le théâtre et le cinéma américains depuis plus de 40 ans (notamment en mettant en scène Sweeney Todd avec Emma Thompson, Sunset Boulevard avec Glenn Close et plusieurs épisodes de la série Desperate Housewives, ainsi qu’en endossant le rôle de Neil Kellerman dans l’incontournable Dirty Dancing.
J’attends donc cette nouvelle création qui tourne dans le monde entier depuis plus d’un an, et j’ai eu la chance de rencontrer Maria et Tony : Melanie Sierra et Jadon Webster, de passage à Paris pour nous parler de ce spectacle.
Exercice difficile que de réaliser un double entretien en endossant celui d’interviewer et celui de traducteur. Je vous laisse juge, certes ce sera plus facile de tout comprendre si vous êtes familier de la langue de Shakespeare. Dans le cas contraire soyez indulgent :
WEST SIDE STORY au CHATELET DU 20 Octobre au 31 décembre 2023
La troupe est constituée de 34 interprètes. 31 personnes sont sur scène à chaque représentation. La musique est jouée en direct par un orchestre de 20 musiciens. Au total, le spectacle travaille avec une équipe de 75 personnes
Le spectacle a été présenté sur trois continents – Europe, Asie et Australie – et s’est produit dans plus de 100 villes de près de 30 pays, parmi lesquels l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse, le Royaume-Uni, la Belgique, la France, l’Espagne, l’Italie, la Grèce, la Slovaquie, Monaco, Israël, la Turquie, les Émirats arabes unis, la Thaïlande, la Malaisie, le Japon, Taïwan, Singapour, la Corée du Sud, la Chine et l’Australie.
WEST SIDE STORY, Credit: Johan Persson
WEST SIDE STORY, 2022, Credit: Johan Persson
Le spectacle est la seule production de West Side Story en tournée internationale à présenter la chorégraphie originale de Jerome Robbins. Le chorégraphe Julio Monge a étudié avec Jerome Robbins et est l’une des cinq personnes au monde autorisées à reprendre ses chorégraphies originales. Il a également été consultant pour l’adaptation cinématographique de Steven Spielberg.
Représentation du mardi au dimanche,
mardi, mercredi et jeudi à 20.00
samedi et dimanche matinée 15.00 et soirée 20.00
Places de 14.90€ à 119.90€
WEST SIDE STORY, DUESBURG, 2022, Credit: Johan Persson
WEST SIDE STORY, 2022, Credit: Johan Persson
WEST SIDE STORY 2022, Duesburg, Germany Credit: Johan Persson
Secrets d’une œuvre
Présentation du spectacle, trois quart d’heure avant le début de la représentation, au Salon Diaghilev. Durée 30 mn Gratuit Sur présentation du billet du jour
Les 24, 26 et 31 octobre à 19 h 15 Les 2, 7, 9, 14, 16, 21, 23 et 28 novembre à 19 h 15 Les 5, 7, 12, 14, 19, 21, 26 et 28 décembre à 19 h 15
réservations fortement recommandées
WEST SIDE STORY, DUESBURG, 2022, Credit: Johan Persson
Un nouveau Spielberg sur les écrans : The Fabelsman
Portrait profondément intime d’une enfance américaine au XXème siècle, The Fabelmans de Steven Spielberg nous plonge dans l’histoire familiale du cinéaste qui a façonné sa vie personnelle et professionnelle. À partir du récit initiatique d’un jeune homme solitaire qui aspire à réaliser ses rêves, le film explore les relations amoureuses, l’ambition artistique, le sacrifice et les moments de lucidité qui nous permettent d’avoir un regard sincère et tendre sur nous-mêmes et nos parents.
Passionné de cinéma, Sammy Fabelman passe son temps à filmer sa famille. S’il est encouragé dans cette voie par sa mère Mitzi, dotée d’un tempérament artistique, son père Burt, scientifique accompli, considère que sa passion est surtout un passe-temps. Au fil des années, Sammy, à force de pointer sa caméra sur ses parents et ses sœurs, est devenu le documentariste de l’histoire familiale ! Il réalise même de petits films amateurs de plus en plus sophistiqués, interprétés par ses amis et ses sœurs. Mais lorsque ses parents décident de déménager dans l’ouest du pays, il découvre une réalité bouleversante sur sa mère qui bouscule ses rapports avec elle et fait basculer son avenir et celui de ses proches.
The FABELSMAN de Steven Spielberg, c’est un peu (et même beaucoup), son histoire , dans sa famille,. Il a suffi d’une soirée au cinéma pour y voir « Sous le plus grand chapiteau du monde » de Cecil B de Mille en 1953, avec une pléiade de stars dont Charlton Heston, James Stewart et Dorothy Lamour, la séquence où le train déraille va changer la vie du petit Sammy Fabelsman, qui va vouloir le reproduire avec son train électrique, puis filmer l’accident avec la petite caméra super 8. Et ce n’est que le début de l’aventure, si on peut s’exprimer ainsi, parce que pendant les 151 minutes du film, on va suivre ce déjà passionné de cinéma qui a les traits de Gabriel LaBelle, ainsi que ses parents : Paul Dano et Michelle Williams, ainsi que ses 3 sœurs, on verra l’évolution de la petite caméra vers le 16 mm, puis les petites œuvres de fiction qu’il va réaliser alors qu’il est tout juste ado. Il faut bien une histoire d’amour et Steven Spielberg nous entraine dans son sillon. On est très loin des Dents de la Mer, ET, Les Aventuriers de l’Arche Perdue, mais tout aussi loin de ses films plus ’sérieux’ comme La Liste de Schindler, Lincoln ou West Side Story.
A mes yeux, il reste le plus grand réalisateur de sa génération, tout en étant le plus prolifique. L’autre grand américain, James Cameron, est loin d’avoir autant de films à son actif. Parlons chiffres : plus de 100 millions de spectateurs pour ses films, 32 Oscars (avant ceux possibles pour la prochaine cérémonie), bref tout le monde a vu un de ses films entre les immenses succès qu’il a dirigés ou produits (comme Jurassic Park).
Burt Fabelman (Paul Dano), le jeune Sammy Fabelman (Mateo Zoryan Francis-DeFord)& Mitzi Fabelman (Michelle Williams)
Avec ce FABELSMAN, Steven Spielberg nous parle de lui, de ses souvenirs, de son amour pour le cinéma depuis son plus jeune âge, et c’est émouvant, intéressant, drôle parfois, et toujours avec une image soignée.
Les superlatifs ne suffisent pas pour dire tout le bien du WEST SIDE STORY que nous propose Monsieur Steven Spielberg; Des comédiens formidables, qui chantent et dansent avec un naturel incroyable, une direction musicale de Gustavo Dudamel plus que réussie. Le mot chef d’oeuvre est trop léger pour qualifier cette nouvelle adaptation de cette oeuvre musicale créée à Broadway en 1957 et adaptée au cinéma en 1961 par Robert Wise et Jerome Robbins.
L’action de ce nouveau film se déroule durant l’été 1957 dans les rues des quartiers adjacents de l’Upper West Side, Lincoln Square et San Juan Hill, qui englobent la zone située à l’ouest de Broadway, de la 60e Rue Ouest à la 70e Rue Ouest, jusqu’à la limite de la ville, au niveau du fleuve Hudson. Au début des années 1950, Robert Moses, le commissaire aux travaux publics de la ville de New York, a fait raser toute cette zone pour construire, entre autres, le Lincoln Center for the Performing Arts et la Fordham University. On a l’impression d’être dans un grand terrain vague, avec décombres, immeubles quasi démolis, où deux camps s’affrontent :les Sharks (les latinoaméricains) et les Jets.
Lors d’un bal où les deux camps qui se haïssent sont présents, Maria (portoricaine) interprétée par Rachel Zegler tombe amoureuse de Tony, Ansel Elgort, qui vient de sortir de prison. Mais cet amour naissant est trop difficile vu que les 2 sont dans des camps opposés. Pourtant un terrain d’entente existe, vu que Tony vit chez Valentina, la pharmacienne ( Rita Moreno) . Mais on le sait, la haine entre les 2 chefs de camps est inexorable. Inutile de vous raconter le film. Il y a des scènes qui resteront inoubliables. Celle du bal, évidemment, et celle qui se danse dans les rues de New York, qui marquera à tout jamais, avec AMERICA, que Steven Spielberg a réussie au delà de toute attente. Rien à redire sur Somewhere et autres titres célèbres. On vibre totalement, on chante presque avec eux, et les principaux protagonistes, Ansel Elgort, Rachel Zegler et Rita Moreno sont parfaits en tous points.
Ariana DeBose/Anita in 20th Century Studios’ WEST SIDE STORY.
Ariana DeBose /Anita &David Alvarez/Bernardo in 20th Century Studios’ WEST SIDE STORY.
Certes je suis un fan de comédies musicales, et j’avais adoré la version 1961, mais là je suis comblé bien au delà de toutes mes espérances; seul un génie du cinéma pouvait faire renaître cette histoire, qui n’est pas sans rappeler Roméo & Juliette, et nous donner une version 2021 parfaite en tous points. Ne manquez pas l’occasion de vibrer, de chanter, d’avoir la chair de poule, voire même de pleurer. De tels sentiments nous honorent . Nous ne pouvons que chanter les louanges à Monsieur Spielber. West Side Story est certainement les plus grand film de 2021, si ce n’est de la décennie, et restera un chef d’oeuvre éternel.
Mike Faist / Riff in 20th Century Studios’ WEST SIDE STORY. Photo courtesy of 20th Century Studios. All Rights Reserved.
Ansel Elgort /Tony in 20th Century Studios’ WEST SIDE STORY. Photo courtesy of 20th Century Studios. All Rights Reserved.
Ansel Elgort /Tony & Rachel Zegler /Maria in 20th Century Studios’ WEST SIDE STORY.
Dois je rajouter que je vais retourner plusieurs fois voir ce film qui mérite grand écran ( Imax) ou Salle Dolby (Pathé Beaugrenelle), le son et l’image étant plus qu’importants!
Un des plus grands succès de l’histoire du cinéma se voit transformé pour le public en une exposition interactive à la cité du cinéma.
Après avoir été présentée au Victoria Museum de Malbourne, elle a été vue ensuite à Philadelphie puis à Chicago avant de faire sa première en Europe, sous la houlette de Pascal Bernardin (Encore Productions, que l’on connaît plus pour ses concerts gigantesques : Rolling Stones, Madonna, Supertramp, Prince et bien d’autres). Sur les 3 premières villes, 1.100.000 spectateurs se sont précipités à la rencontre des dinosaures. C’est depuis samedi 14 Avril que les français auront la chance de découvrir cette exposition sur 1900 m2 à la Cité du cinéma à St Denis. Les chiffres sont aussi impressionnants que les bébêtes que vous pourrez voir, approcher, et dont vous pourrez même, si l’envie vous prend, toucher les excréments . Rassurez-vous, vous ne risquez rien, ceux-ci ont la forme, la texture, mais pas l’odeur…
En fait vous embarquez pour un voyage en Ferry sur l’île que vous avez découverte dans le dernier film, où on se souvient que c’est le sang d’un moustique qu’on a pu recréer ces dinosaures. Après un voyage en bateau, vous êtes VIP, vous franchissez les portes du Jurassic World, et vous allez vite vous retrouver nez à nez avec toutes sortes de dinosaures, et si vous avez pris soin de vous munir de l’audio guide, que vous pouvez louer à l’entrée, vous aurez tous les détails sur ces animaux de légende, vu qu’ils ont existé quelques 65 millions d’années avant nous! Brachiosaure, Parasaurolophus, Pachyrhinosaure, Stégaosaure, Indominus Rex et bien entendu T Rex sont au menu.
3 dinosaures, deux de 65 millions d’années, le 3ème un peu moins vieux!
Merveilles d’animation, et de création, il nous fallait en savoir un peu plus, écoutons le responsable des animations Welby Altidor:
Les créateurs de l’exposition, tout comme Steven Spielberg ont fait appel au plus célèbre des paléontologues, Jack Horner, qui, lors de la présentation à la presse de l’exposition nous donne quelques souvenirs.
Jack Horner n’est pas venu les mains vides, il a apporté un fémur de dinosaure, qu’on peut toucher à la fin de l’expo:
Photos et vidéos : @ Guy Courthéoux / onsortoupas.fr
Infos pratiques:
La cité du Cinéma, 20 rue Ampère 93200 St Denis ( métro: Carrefour Pleyel ( migne 13), Bus 139 (rue Ampère), un service voiturier est prévu.
L’exposition est ouvertes tous les jours de 10h00 à 19h00
Taris: adultes : 19.90€, enfants moins de 11 ans : 15.90€, faille 2 adultes + 2 enfants : 64.90€, audioguides : 5€ (faille : 4 audioguides pour 10€)
Réservations et coupe file : jurassicworldexposition.fr et dans les poins de vente billeterie habituels
Jurassic World est une marque et sous droits d’auteur Universal Studios et Amblin Entertainment, Inc, Licence Universal Studios, Licensing LLC, Tous droits réservés
Les ballets de France, une toute jeune troupe dirigée par Rémi Lartigue, vont proposer un ballet merveilleux et magique, dont le titre vous rappellera certainement quelque chose : Peter Pan.
Cette création originale de Michael Pink est une création européenne, après avoir connu un énorme succès outre Atlantique depuis 7 ans. Michael Pink en est le chorégraphe, sur une musique enregistrée de Philipp Feeney, des costumes de Judanna Lynn dans des décors signés Richard Graham, éclairés par David Grill.
Dans les rôles principaux : Mehdi Angot (Peter Pan), Denis Lamaj (Mouche), Mihai Mezei (Capitaine Crochet), Candice Adea ( Clochette), ainsi que Andrea Carolina, Jovana Mirosavljevic, Amandine Schwarts, Pedro Maricato. Il y aura quand même 30 personnes sur scène! Le moins que l’on puisse dire c’est que cette énième adaptation du conte de fées de J.M. Barrie, après l’animation par Disney, les films par Steven Spielberg, P.J.Hogan, Joe Wright, les comédies musicales de Jerome Kern, Leonard Bernstein et Jerome Robbins sera une merveille de technologie.
PETER PAN Marc Petrocci. Photo Michael S Levine
Écoutons Rémi Lartigue, qui est le producteur français, et qui a fondé sa compagnie de ballets : Les Ballets de France:
Vidéo :@ Guy Courthéoux
Les dates de la tournée en France à ce jour:
Première représentation : le 15 Avril au Palais des Festivals à Cannes
10 Mai : Brest
11 et 12 Mai : Brest
13 Mai : Bordeaux
14 Mai : Pau
16 Mai : Nantes
17 Mai : Dammarie-Les-Lys
18 Mai : Roubaix
19 Mai : Yerres
20 Mai : Palais des Congrès à Paris
21 Mai : Longjumeaux
23 Mai : Toulouse
24 Mai : Montpellier
Marc Petrocci et Valerie Harmon. Photo Michael S. Levine.
Tarifs pour Paris : de 30 à 82 euros Cannes de 34 à 55€ ( tarifs réduits disponibles)
Un des plus grands films de Steven Spielberg enfin en BluRay
Détenteur de 7 Oscars dont l’Oscar du meilleur film lors de sa sortie il y a déjà 20 ans, La Liste de Schindler conte l’histoire d’Oscar Schindler, qui commença à travailler dans des camps avec des juifs déportés en Pologne. Devant l’horreur de ce qu’il apercevait, il décide de sauver un maximum de juifs de ce chaos. Le personnage central est interprété magistralement par Liam Neeson, aux côtés duquel on trouve aussi Ben Kingsley et Ralph Fiennes.
Le film a été entièrement restauré depuis sa copie originale en 35 m/m par Universal qui voulait que ce pur chef d’oeuvre bénéficie du meilleur master possible, et on peut le dire de suite: c’est une réussite totale, la perfection même. Normal, toute la restauration a été supervisée par ce grand génie du cinéma qu’est Spielberg.
La définition, la finesse des images sont un exemple de ce qu’excellence peut atteindre. Sans oublier la luminosité qui fera jaillir les images sur votre écran.
Ce coffret en édition limitée contient : – Le Blu-ray du film – Le DVD avec les bonus (pourquoi un DVD plutôt qu’un BluRay?) – Le DVD-rom de la copie digitale – Un livret de photos du film (16 pages) – Un livret sur l’histoire du tournage (16 pages) – 3 cartes recto/verso avec images et citations du film
Bon, c’est clair, Voilà un BluRay qui se doit d’être dans toute vidéothèque digne de ce nom
5* tant pour le film que pour la qualité du BluRay