Henry-Jean Servat, un nom qui vous sit quelque chose si vous lisez régulièrement et depuis longtemps Paris Match, ou si vous étiez un afficionado des matinales télé, il est l’ami des stars et des grands (grandes) de ce monde. Il vous en parle dans un livre qui vient de sortir aux Editions de l’Archipel : SO CHIC !
Des rencontres, il en a fait des centaines avec des personnalités aux antipodes, du spectacle à la politique, des stars internationales aux têtes couronnées. Le mieux est quand même de lui demander de nous raconter quelques unes de ces péripéties.
Vous l’avez compris, il y a de quoi écrire plusieurs livres avec toutes ces rencontres. Dans ce premier tome, voilà quelques uns de ces grands noms : Jacquelinbe Delubc, Johhny Hallyday, Zinédine Zidane, Bernadette Chirac et Claude Pompidou, Brandon Lee, Sylvester Stallone, Madonna, Sharon Stone, Brigitte Bardot, Isabelle Adjani, Jeanne Moreau, Pierre Cardin parmi bien d’autres. Le livre se lit presque d’une seule traite, plus de 240 pages où jamais il n’égratigne personne. On sent qu’il aime tous ceux et celles dont il parle, regardons quelques photos de Monsieur Servat avec des stars…
Henri-Jean Servat & Bernadette Chirac, Presidente de la fondation Claude Pompidou foundation, 10 Septembre, 2013 . (Photo by Bertrand Rindoff Petroff/Getty Images)
Le premier épisode était réussi, celui-la surpasse le premier en drôlerie et c’est du spectacle totalement déjanté!
Pourquoi raconter le film? il suffit d’en donner les lignes directrices. Les gardiens se retrouvent pourchassés pour avoir dérobé quelques objets de valeur avant de s’enfuir d’une planète où vivent des personnes à la peau dorée. Lors de cette poursuite ils vont se trouver face au géniteur de Star Lord (Chris Pratt) , un homme ultra mégalo (Kurt Russell) qui domine une planète à lui seul, où il n’y a qu’une seule personne : Pom Klimentieff, qui semble être sous ses ordres. Voilà pour le canevas, avec cela les studios Marvel ont choisi James Gunn comme réalisateur qui était déjà au même poste pour le premier épisode. On retrouve les personnages farfelus du premier film : Gamora (Zoe Saldana), Drax (Dave Battista), Bébé Groot ( avec dans la version originale la voix de Vin Diesel), Rocket (avec la voix de Bradley Cooper en version originale), Youndu (Michael Rooker), ainsi que l’apparition de Sylvester Stallone et Karen Gillan, Elisabeth Debicki, Chris Sullivan, Sean Gunn. A noter qu’une actrice française est au générique, la belle Pom Klimentieff.
Le film s’ouvre sur une séquence épique, qui nous replonge dans cet univers unique, et qui donne le ton. Et le film se poursuit sur cette voie. D’ailleurs c’est sans surprise que l’on nous promet, à la manière des James Bond : Les Gardiens de la Galaxie reviendront! avec des moments de drôlerie jusqu’à la toute dernière image. Ne manquez donc surtout pas le générique final, bourré de surprises.
Inutile de préciser que j’ai adoré, je me suis marré de bout en bout, les effets spéciaux sont formidables, les images de toute beauté, et Baby Groot est drolissime, tout comme Rocket.
Bref, rien à jeter, c’est du blockbuster avant l’été, et sans nul doute ce film va « casser la baraque » au box office dans le monde entier.
Ne cherchez pas , on n’est pas dans le film intello, on se laisse bercer par ce film où l’action est importante, et où on se régale, comme devant le meilleur dessert au monde!
Troisième épisode, et pourtant on s’y amuse toujours…..et plus encore!
Sylvester Stallone sait parfaitement ce qu’il fait. Pour moi, il est loin d’être stupide. Il a trouvé un nouveau filon après les Rocky et Rambo, et il bien raison, parce que ce troisième volet des aventures des Expendables est au niveau des deux premiers. Il a réuni tout ce qui fait un blockbuster, avec une bande d’acteurs qui se retrouvent dans des situations désagréables pour eux, avec de l’action pure, et une belle dose d’humour. Ca a marché deux fois, ça marchera aussi pour celui-ci et les suivants. Pourquoi se priver d’un genre bien à lui, le film d’action pure, 100% adrénaline, en s’entourant de potes, dont certains disparaissent pour laisser la place à d’autres. Cette fois, les anciens recrutent des nouveaux et le générique est d’enfer : Stallone, Schwartenegger, Harrison Ford, Antonio Bnaderas, Mel Gibson, Dolph Lungren, Jason Statham, Jet Li, Wesley Snipes, et les nouvelles recrues, dont Kellan Lutz, Ronda Rousey, pour n’en citer que quelques uns. Et la sauce prend dès les premières secondes.
Certes il ne faut pas chercher pour creuser le scénario, il y a un très méchant, Mel Gibson, et les autres. Barney, Christmas et le reste de l’équipe affrontent Conrad Stonebanks, qui fut autrefois le fondateur des Expendables avec Barney. Stonebanks devint par la suite un redoutable trafiquant d’armes, que Barney fut obligé d’abattre… Du moins, c’est ce qu’il croyait.Ayant échappé à la mort, Stonebanks a maintenant pour seul objectif d’éliminer l’équipe des Expendables. Mais Barney a d’autres plans… Il décide d’apporter du sang neuf à son unité spéciale et d’engager de nouveaux équipiers plus jeunes, plus vifs et plus calés en nouvelles technologies. Cette mission se révèle rapidement un choc des cultures et des générations, entre adeptes de la vieille école et experts high-tech. Les Expendables vont livrer leur bataille la plus explosive et la plus personnelle…
Ça castagne dans tous les sens, du début à la fin, avec tout le matériel disponible, des chars d’assaut, un immeuble désaffecté, avec des courses poursuites, desbagarres en veux tu, en voilà, bref tout ce qu’on aime dans le cinéma d’action avec la dose d’humour qui rend le tout bien plus sympa. Les acteurs en font des tonnes et le spectateur est ravi. C’est ce qu’on est venu voir, et on en a pour son argent.
Je ne boude pas mon plaisir à les voir tous se débattre dans des situations toujours désespérées. J’ai aimé et je le dis tout haut. Sylvester Stallone aime bien son boulot, même s’il a confié la réalisation à Patrick Hughes. Il sait ce que le public veut voir et lui en donne encore plus que ce à quoi il s’attendait. Saluons quand même les producteurs, français, Samuel et Victor Hadida, des mecs absolument adorables, que je connais depuis des années, et qui, eux aussi connaissent parfaitement leur job, qui ont réussi à être au sommet de la production pour de nombreux films.
On prend les mêmes, on en rajoute et on fait encore plus fort
Après le succès colossal du premier film, il était certain que le N°2 allait se profiler à l’horizon. Sylvester Stallone qui était aux commandes du premier film a cédé la casquette de réalisateur à Simon West, tout en gardant la partie qui lui sied le mieux, celle de scénariste. Ce second épisode est encore plus fort que le premier, encore plus d’action, même s’il montre moins d’humour. Les fusillades, les séquences d’action comme au bon vieux temps ne manquent pas, et c’est ce qu’on demande lorsqu’on va voir Expendables 2.
Les Expendables sont de retour, pour une la mission qui les touche de très près…
Church engage Barney Ross, Lee Christmas, Yin Yang, Gunnar Jensen, Toll Road et Hale Caesar – et deux nouveaux, Billy The Kid et Maggie pour une opé qui semble facile. Mais quand l’un d’entre eux est tué, les Expendables jurent de le venger. En territoire hostile et donnés perdants, ils tentent de déjouer une menace inattendue – cinq tonnes de plutonium capables de décimer le monde. Et le grand méchant sera le pire de tous les méchants.
Si la copie est d’excellente qualité, on regrettera le petit nombre de bonus. Un making of avec quelques interviews, des entretiens avec les voix françaises, les scènes coupées au montage et les scènes ratées .
Les amateurs de films d’action ne voudront manuqer Expendables 2 pour rien au monde. Les autres le verront pour le générique qui est déjà réjouissant Jet Li, Chuck Norris, Dolph Lungren, Sylvester Stallone, Arnold Schwartzenegger, Bruce Willis, Jason Statham, Jean Claude Van Damme, et encore bien d’autres.
Dans les suppléments on nous promet un N°3…attendons de voir.