Quelle aventure que celle des producteurs, qui fut d’abord un film réalisé par Mel Brooks, avant d’être une comédie musicale, puis un film sur la comédie musicale et arrivé en France tout auréolé de prix, puisque la comédie musicale a été plus primée que le célèbre HELLO DOLLY.
Ce que l’on peut dire de prime abord c’est IL FALLAIT OSER: Un producteur proche de la ruine imagine une arnaque à l’assurance en montant la pire comédie musicale, sur un scénario indigent, dirigée par le pire metteur en scène, avec un cast improbable…et surtout en faisant rire avec un personnage hitlérien qui élève des oiseaux sur une terrasse d’un immeuble newyorkais. Dans cette production française, rien ne manque, ni l’intelligence de l’adaptation, ni l’humour de Mel Brooks, ni l’extravagance du sujet. On rit énormément, et on se régale avec les numéros chantés et/ou dansés. C’est vraiment un spectacle exceptionnel et qu’il ne faut rater en aucun cas.
Avec de telles qualités, il fallait un entretien avec les producteurs. Ne lésinons pas, et partons à lé découverte des deux comédiens qui sont ces producteurs mis en valeur dans le titre
Entretien produit et réalisé par la production Guy Courthéoux /Onsortoupas, avec Benoit Cauden et Serge Postigo, ls 2 comédiens producteurs:
Et si vous ne comprenez pas mon charabia volontaire avec ces producteurs, regardez la vidéo ci dessous:
Les producteurs français de ce musical sont loin d’être ceux que vous verrez sur scène. Ils ont à leur actif la plupart des succès du Théâtre Mogador, comme GREASE, CATS, LE ROI LION, Mama MIA & CHICAGO, entre autres. Gage de succès et de plaisir du public. Ils ont réussi à donner envie au public français de découvrir la comédie musicale, alors qu’en France rares furent les productions qui ont connu un franc succés hormis Starmania, Roméo & Juliette, Notre Dame de Paris et quelques autres. Maintenant la comédie musicale a son temple avec Mogador, et il y a toujours plusieurs ‘musicals’ à l’affiche.
quelques photos du spectacle :
Pour Toutes Les Photos : Crédit / Copyright : Alessandro Pinna
Difficile de parler de ce spectacle sans utiliser de superlatifs. C’est peut-être le plus beau spectacle que j’ai vu de ma vie, tout y est parfait, et ce, de bout en bout!
Doit-on raconter l’histoire d’où fut tiré le film d’animation des studios Disney sorti en 1990? Alors allons-y pour les quelques terriens qui reviennent d’un voyage long et lointain.
Mufasa est le roi , son frère Scar ne le respecte pas, pire: il le jalouse et le hait. La naissance de Simba, fils de Mufasa, ne va pas arranger les choses, loin de là. Scar a un projet, qui ferait disparaitre à la fois Mufasa, et son rejeton. Mais Simbad ne mourra pas et va se retrouver dans la jungle avec deux amis : Timon et Pumbaa, un suricate et un phacochère. Les deux animaux sont ses seuls amis et soutiens.
Enorme succès en salles, puis en vidéo, Le Roi Lion a depuis fait le tour du Monde en tant que musical. C’est d’ailleurs la deuxième fois qu’il est monté à Paris au Théâtre Mogador. Avant de donner la place aux entretiens, voici un extrait, en fait l’Ouverture du spectacle : LE CERCLE DE LA VIE. La version française est écrite par Stéphane Laporte.
Comment mettre en scène un monument de cette taille. Explications de Véronique Bandelier, metteur en scène résidente, qui a travaillé avec les créateurs du spectacle : Julie Taymor, avec des marionnettes co-créées avec Michael Curry. Les costumes sont aussi l’oeuvre de Julie Taymor :
Vous allez en savoir plus encore lors de la présentation de quelques scènes clé : Véronique Bandelier et Anthony Lyn, metteur en scène associé chez Disney Theatrical Productions
Si la musique co signée par Elton John et Tim Rice, est importante, celui qui dirige l’orchestre, Dominique Trottein l’est d’autant plus :
Succès énorme, Le roi Lion est en passe de battre tous les records comme nous l’explique Olivier Lazzarini, directeur commercial et marketing:
Un directeur de théâtre comblé, un producteur ravi, voila les premières réactions de Laurent Bentata , qui dirige entre autres le Théâtre Mogador et co-produit ce spectacle :
Allons y pour d’autres extraits présentés, en français, par Véronique Bandelier :
Entretien avec Sébastien Perez, Zazu :
Et pour suivre d’autres entretiens avec les principaux protagonistes chanteurs, comédiens :
Terminons ces entretiens avec les deux comédiens chanteurs qui interprètent Simba et Nola adolescents / adultes : qui reçoivent des ovations du public ; Gwendal Marimoutou & Cylia
On pourrait poursuivre encore, vu que tout n’est pas dit. Les jeunes interprètes de Simba et Nala sont parfaits( tout au moins ceux que j’ai vus lors de la présentation).
N’attendez-pas, il vous faut voir ce spectacle seul en couple, en famille, en groupe, bref, ne manquez pas l’occasion de voir ce spectacle qui sera peut-être LE spectacle de votre vie.
Oh ai-je oublié de vous dire? J’AI ADORE CHAQUE SECONDE ! Dès les premières secondes jusqu’aux applaudissements, la salle participait chantait, fredonnait. Et la satnding Ovation était naturelle, la salle n’a pas eu besoin de la claque pour montrer qu’elle avait adoré!
du lundi au vendredi de 10 h à 12 h & de 14 h à 17 h.
À la caisse du Théâtre Mogador : du lundi au samedi de 12 h à 15 h et de 16 h à 19 h.
Groupes et collectivités : Bénéficier de tarifs préférentiels à partir de 10 personnes. Option possible et réservation par téléphone 01 53 33 45 33 – commercial@stage-entertainement.com
Alors que Chicago attire les foules pour quelques semaines encore, Mogador nous révèle son prochain opus avec ses interprètes:
Vous ne le saviez peut-être pas, mais le célèbre film Ghost qui réunissait Patrick Swaize, Demi Moore et WoopiGoldberg existe depuis quelques années dans une version comédie musicale, créée à Manchester, elle a été montée à Londres et Broadway parmi bien d’autres villes. C’est au très beau Théâtre Mogador à Paris que le spectacle sera monté, avec la première représentation le 26 septembre prochain.
Tout le monde se souvient d’une scène où Demi Moore réalise une poterie. Touit le monde se souvient du titre fétiche, ultra célèbre : Unchained Melody, créé dans les années 50 et reprise en 1965 par les Righteous Brothers puis par par plus de 500 interprètes de par le monde. Il ne faut pas oublier de citer Maurice Jarre qui avait créé la bande sonore du film, alors que Dave Stewart ou Glen Ballet ont composé celle du musical!. Nous en saurons bien plus dès le 26 septembre prochain!
Nous avons pu rencontrer quelques membres de la troupe en avant première. Commençons par celle qui joue les medium et qui lit l’avenir dans les cartes de Tarot pour l’occasion : Claudia Tagbo:
Bien entendu nous voulons tous savoir qui seront les comédiens et artistes qui tiendront les rôles de Mooly et Sam:
Les voici devant la caméra d’onsortoupas : Moniek BOERSMA ( qui vient des Pays Bas) et Gregory BENCHENAFI qui est actuellement sur scène dans ‘CHANCE’ le musical au Théâtre La Bruyère.
Pourquoi Ghost , comment la décision a-t-elle été prise? Réponse du directeur du Théâtre : Laurent Bentata:
Et enfin rencontre avec un autre amateur de comédies musicales, qui est un des hommes importants du Théâtre Mogador : Olivier Lazzarini:
Pour faire partie des premiers à voir ce spectacle, les réservations sont d’ores et déjà ouvertes, aux guichets du Théâtre Mogador, par téléphone au 01 53 33 45 30, sur le site
Onsortoupas vous avait présenté les productions de Stage Entertainment comme Mamma Mia, Sister Act, La Belle et la bête ou l’an dernier le Bal des Vampires. Il y a quelques semaines vous avez eu un petit extrait de la célèbre chanson Memory dans sa version française.
Aujourd’hui on vous propose de faire un petit tour dans les coulisses d’une des comédies musicales les plus célèbres.
Cats fut créé par Andrew Lloyd Webber en 1978/1979 d’après Old Possum’s Book of Practical Cats et autres poèmes de T. S. Eliot. La première s’est déroulée à Londres en 1981 et a fait le tour du monde, rencontrant un succès populaire partout, plus particulièrement grâce à son tube : Memory qui connut un triomphe grâce à Barbra Streisand. La pièce a été jouée, par exemple 6138 fois sans interruption à New York! Elle fut jouée en français en 1989, puis récemment reprise à Londres dans une nouvelle mise en scène. C’est celle que l’on va pouvoir applaudir à Paris, dans une nouvelle adaptation signée Ludovic-Alexandre Vidal et Nicolas Nebot. Joué en français, le spectacle parisien reprendra à l’identique la mise en scène de la nouvelle production londonienne, revisitée par l’équipe créative originale : le metteur en scène Trevor Nunn, la chorégraphe et metteur en scène associée Gillian Lynne, le scénographe John Napier et le compositeur Andrew Lloyd Webber.
Allons donc à petits pas de félins nous glisser dans les coulisses : commençons par les maquillages , avec Karen,la maquilleuse anglaise qui réalise tous les maquillages pour toutes les productions:
Ainsi que deux petites vidéos exclusives :
Écoutons les deux adaptateurs : Ludovic-Alexandre Vidal et Nicolas Nebot nous parler de cette adaptation :
N’oublions pas les costumes, en voici quelques uns dévoilés:
et un petit tour du côté des décors :
Et pour finir entrons à pas de chats dans une salle de répétition avant de voir deux petits extraits chantés et dansés, toujours en répétitions:
les vidéos:
Cats, le musical, en français c’est au théâtre Mogador à Paris, à partir du 1er octobre pour 90 représentations exceptionnelles.
Vu par plusieurs millions de spectateurs de par le monde, la troupe était à Paris pour quelques soirées uniquement.
Acclamé par 3 millions de spectateurs à travers le monde, « Jarocho » était à Paris pour 5 représentations exceptionnelles au Théâtre Mogador. Pour la première fois en France, la troupe de 30 danseurs et 9 musiciens dirigée par Richard O´Neal nous offrait un voyage haut en couleur au sein de la culture mexicaine. Le « son Jarocho » et les rythmes qui l’ont formé sont recréés et réinterprétés grâce aux plus grands noms de la musique et de la danse mexicaine. Le spectacle offre une interprétation libre de l’histoire de la région de Veracruz par le biais de différents styles de danse tels que le flamenco, la danse classique, la salsa ou les rythmes afro-caribéens. Du son des tambours d’Afrique à la cadence des rythmes cubains, en passant par la tradition du flamenco, « Jarocho » associe des danses, du folklore, des coutumes et des costumes typiques de Veracruz. Aux instruments traditionnels s’ajoutent des instruments contemporains pour de nouveaux accords de « La Bamba », « El torito », « El Colás » ou « La bruja ».
Sur la base de rythmes ancestraux, la musique, témoin de l’ampleur, de la force et de l’énergie de la région, a été spécialement composée et arrangée pour ce spectacle par Luis Leñero, musicien, arrangeur et directeur musical . « Jarocho » est l’un des projets culturels les plus ambitieux et originaux du Mexique où se mêlent vivacité, rythme et mouvement. « Jarocho » est mis en scène par Richard O’Neal, un des membres de l’équipe de création de Riverdance. Il fait cohabiter différents courants musicaux d’avant-garde avec 16 pièces chorégraphiées pleines d’énergie dans de beaux décors.
On sent bien la patte d’un des créateurs de Riverdance, vu que beaucoup de scènes font appel aux claquettes. Et il faut bien souligner la qualité de la pmrestation, le public ne s’y trompait pas, qui a fait une véritable ovation à la troupe. En revanche quelques petits bémols. Je ne savais pas que le flamenco faisait partie de la culture mexicaine. Si le numéro est particulièrement bien interprété, il arrive comme un cheveu sur la soupe, et dure trop longtemps. Sans être réfractaire à la culture espagnole, je n’ai pas encore compris pourquoi le Flamenco apparaissait dans Jarocho. C’est peut-être le seul bémol, si ce n’est que j’aurais beaucoup aimé retrouver encore plus l’orchestre pour les ‘tubes’ mexicains, tous ces titres que l’on apprécie et que l’orchestre a réussi, comme on l’a vu avec le final sur La Bamba, à rajeunir, et lui insuffler de nouvelles orchestrations vraiment superbes.
Si Riverdance est à 100% avec des rythmes et danses irlandaises, ce Jarocho aurait du être la version mexicaine, alors que ce n’est que la version hispanisante, ce qui peut désorienter. Mais il n’empêche que la troupe et au top du top, et que tous les numéros de claquettes sont fabuleux.
Juste un clin d’oeil, et un grand merci au directeur de salle et à son équipe, qui font tout leur possible pour aider les spectateurs! Bravo et 1000 fois merci!
Informations et réservations sur eventim.fr Points de vente habituels et au 01 53 33 45 30
C’est un des événements de la saison, l’adaptation par Roman Polanski, d’un de ses films les plus célèbres, une comédie sur les vampires, en comédie musicale.
Le film est sorti en 1967, c’est une parodie des films de vampires de la Hammer, où Roman Polanski était des deux côtés de la caméra. Le film s’est transformé en musical 30 ans plus tard où la première se déroula à Vienne, et depuis a été joué dans 12 pays et 11 langues. Il fallait bien que la France l’accueille à son tour et c’est au théâtre Mogador que cela se passe, et sous la direction de Roman Polanski.
Des décors superbes, des comédiens qui savent tout faire, comme c’est désormais la règle dans les comédies musicales. La machinerie est hollywoodienne, les costumes, les maquillages parfaits. Côté musique, on ne peut pas dire que ce soit génial. On retiendra seulement deux airs, celui de ‘Total Eclipse of the Heart’ de Bonnie Tyler, qui est un peu le leitmotiv , et celui de la danse des vampires, au moment où ils se réveillent et sortent de leur tombe ( regardez l’extrait ci-dessous). Le film faisait beaucoup rire, le musical a quelques moments d’humour, mais passer de 90 minutes à 2 h 30, a certainement enlevé une bonne partie de cet humour, et c’est dommage, hormis quelques blagues juives, qui fonctionnent bien en France, et on ne peut le reprocher, vu qu’elles sont l’oeuvre de Polanski.
Abronsius (David Alexis)
Von Krolock (Stephane Métro)
Von Krolock et Sarah
l’arrivée de Sarah au Château du Comte Von Krolock
Regardez ces petites vidéos exclusives, vous aurez une bonne idée du spectacle haut en couleurs et en ombres que vous pouvez découvrir au théâtre Mogador actuellement.
les vampires sortent de leur tombe :
le duo entre le comte Von Krolock (Stéphane Métro) et Sarah (Rafaëlle Cohen)
Extrait du Bal des Vampires Chagall (Pierre Samuel), Magda ( Moniek Boersma), Abronsius (David Alexis) Rebecca Chagall (G Geoffroy)
petit extrait :
et enfin, un petit entretien avec le comte von Krolock ( Stéphane Métro)
TOUTES LES VIDÉOS ET PHOTOS : @Guy COURTHEOUX Tous droits réservés