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Sam Bernett n’est pas un homme de l’ombre pour les Vieilles Canailles. Il les a connus à leurs débuts et  jusqu’aux derniers concerts ensemble. Une rencontre avec ce géant de la radio, entre autres, s’imposait.

Il est vrai que nombre d’entre nous ont connu Sam Bernett quand il ‘faisait’ de la Rdio sur les grandes ondes, que ce soit à RTL ou à Europe 1. J’ai eu l’occasion de travailler sur les ondes FM, et j’ai gardé de lui le souvenir d’un mec BIEN. Il n’a pas fait que de la radio vu qu’il a aussi été un des instigateurs du Disney Village, et un des directeurs de Disneyland Paris. C’est dire qu’il a des choses à raconter. La parution de son nouveau livre : VIEILLES CANAILLES, Un Fabuleux Destin, aux éditions du Cherche Midi a été l’occasion de le croiser à nouveau, et je n’attends qu’une chose, une nouvelle occasion de l’écouter et de vous faire participer.

Magique non? On se laisse bercer par ces récits. On s’imagine l’effet que cela doit faire d’être l’ami des ces canailles, mais aussi de tous les autres, que ce soit Claude François, Michel Sardou, Sylvie Vartan parmi ceux qui l’ont marqué. En feuilletant ce livre, on vibre avec lui, avec ces 3 potes qui se sont connus de la fin des années 50 au Golf Drouot jusqu’au jour funeste du décès de Mr Jean-Philippe Smet, parce que Johnny n’est pas mort, et ne le sera jamais pour ses fans.

J’ai retrouvé quelques photos dont je ne peux pas créditer leur auteur. Ce que je ferai volontiers s’il s’agit de vous.

Sam a aussi quelques photos à partager avec vous. Certaines de ces photos sont inédites et on ne peut que le remercier une fois encore:

Eddy Barclay & Sam Bernett

Dick Rivers, Henri Leproux, Sam Bernett

Jacques DUTRONC, la guitare sur l’ épaule et une poupée à la main, se promenant au jardin des Tuileries

Eddy & Johnny

Eddy Mitchell et Jacques Dutronc sur la scène du Golf-Drouot à Paris.
1965
Photo André Crudo

Johnny & Sam, diner entre potes

La Pétanque….

souvenirs d’une émission RTL

Un petit plaisir avec un grand: Serge Gainsbourg

En studio radio avec Johnny et Eddy

Les Martin Circus & Sam

Dick Rivers, Henri Leproux & Sam Bernett

Merci Sam! Merci les Vieilles Canailles!

Guy Courthéoux

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Difficile de parler de quelqu’un qui a disparu, , que l’on n’a connu que par sa musique, ce qui signifie uniquement sa voix, ses disques, ses photos et dans le cas présent le film: Respect , un film réalisé par Liesl Tommy avec Jennifer Hudson et Forest Whitaker.

La bonne idée de  « Respect, a tribute to Aretha Franklin »,  à l’affiche de l’Olympia le 7 mai 2023 c’est de présenter plusieurs chanteuses pour rendre hommage à la diva

Le spectacle intitulé ‘RESPECT – The Aretha Franklin Tribute Show’ montre les points culminants de la carrière de la reine incontestée de la Soul et présente une riche partie de son œuvre musicale en alliant divertissement, anecdotes biographiques et qualité musicale. Un groupe composé de dix musiciens, de trois choristes et de cinq chanteuses principales ont été en vedette de ce voyage musical dans l’authenticité de l’époque. La chanteuse et animatrice Menoosha Susungi a présenté la soirée, au choix en français (et anglais bien dur). Ce spectacle est dédié avec Amour et Respect à Aretha Louise Franklin. L’immortelle Queen of Soul, qui à travers son œuvre, qui restera à jamais dans nos cœurs.

Une salle en délire dès les premières minutes. Et il faut bien avouer qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même sur les titres un peu moins connus.

Les chanteuses principales, Darnita Rogers, Noreda Graves, Donniele Graves, April « Journi » Cook et Menoosha Susungi y ont  interprèté les plus grands succès internationaux d’Aretha Franklin dont « I Never Loved A Man », « Respect », « Chain Of Fools », « Natural Woman », « Think », « I Say A Little Prayer », « Don’t Play That Song » et bien d’autres encore , deux parties d’une heure chacune

 

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Voilà un spectacle qui m’a totalement désarçonné. La Bohème de Giacomo Puccini, est un des opéras qui m’a toujours enchanté. Je l’ai vu dans plusieurs mises en scène, dont celle qui avait fait les beaux jours encore récemment à l’Opéra Bastille, signée Jonathan Miller, qui a été reprise à de nombreuses reprises entre 1995 et 2017. Et en 2017 une nouvelle mise en scène de Claus Guth, qui revient actuellement sur la scène de Bastille. Et c’est là que je viens de la découvrir.

Je n’ai rien contre le rajeunissement d’une ouvre, mais là, c’est peut-être  trop. On ne peut pas oublier que La Bohème se situe dans le Paris du début du siècle dernier, mais monsieur Claus Guth a jugé bon de transposer l’action dans une station spatiale, donc dans le futur. Et c’est là où j’ai décroché. Fort heureusement, on peut écouter la direction musicale de Michele Mariotti, qui est absolument parfaite, tous comme les interprètes qui tous méritent des louanges, tant on reste sous leur charme :

Mimi  est interprétée par l’américaine Ailyn Pérez, Musette par la slovaque Slevka Zamevnikova et côté masculin, Rodolfo a la voix de Joshua Guerrero, américain lui aussi. Marcello est interprété par Andrezj Filoncczyk, Schaunard par Simone Del Savio. Le reste de la distribution de démérite pas : Gianluca Burattob (Colline / Benoit), Franck Leguerinel (Alondoro), Luca Sannal (Parpignol), sans oublier Bernard Arrieta, Pierpaolo Palloni, Paolo Bondi et Virgile Chorlet.

Certes les décors futuristes d’une station spatiale sont de toute beauté, mais on a du mal à imaginer l’oeuvre transposée deux siècles plus tard, et c’est là où le bat blesse. On a du mal a rentrer dans l’histoire, et c’est vraiment dommage. Peut-être suis-je trop vieux jeu, mais c’est bien la première fois que je n’arrive pas à rentrer dans la partitions, à moins de fermer les yeux pour me ragaler de ces belles voix.  Et pourtant ces interprètes se donnent à fond, ce qui nous permet d’oublier ces décors, surtout dans la première partie. La seconde partie on a quitté le vaisseau spatial pour se retrouver sur une terre aride, neigeuse, qui choque moins.

Toutes les photos : La Bohème 22-23 @Guergana Damianova – Opéra National de PARIS

Mais, une fois encore, on se rend à l’Opéra plus pour écouter que pour voir, et c’est, comme je viens de l’écrire, un véritable régal pour les oreilles.

Quelques extraits sonores :

 

 

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Gaby Deslys, ce nom ne vous dit certainement rien, et j’avoue qu’il y a quelques jours j’étais dans ce cas. Et pourtant ce fut la première star du music-hall, bien avant Mistinguett (elle tout le monde en a entendu parler). Alors un spectacle sur cette artiste qui fut un vrai phénomène est quand même un pari, et autant le dire tout de suite c’est un pari gagné.

Une vie assez courte, vu que Mademoiselle Gaby Deslys mourut à l’âge de 38 ans. Elle fut célèbre en France, mais se renommée et ses spectacles ont franchi la Manche et même l’Atlantique, vu qu’elle s’est produite aux Etats Unis avec un énorme succès.

Vous comprenez mieux maintenant que Jean-Christophe Born a eu l’idée de nous offrir ce spectacle sur des textes de Mireille Doering Norn. Après avoir vu ce spectacle qui se joue encore pour quelques jours au Théâtre de Passy ( et des prolongations -bis) ne sont pas totalement exclues à ce jour, j’ai eu très envie de rencontrer celle qui a prêté ses traits, et son talent pour être Gaby Deslys: Cléo SENIA.

 

Ce spectacle raconte, non pas toute la vie de cette star, mais les années où elle fut sur scène. On se passionne de bout en bout pour cette histoire, qui nous offre bien entendu des moments de chansons, avec l’aide d’un pianiste : Mark Nadler.

On voit les premiers pas sur scène, et même s’il est difficile de créer le grand escalier tel que certains ont pu connaître au Casino de Paris ou peut-être aux Folies Bergère, les costumes, les chapeaux, les tenues nous mettent totalement dans le bain. Certes il n’y a pas d’énorme ‘tube’ mais certains titres nous semblent quelque peu familiers.

Il en faut du talent pour être ainsi sur la scène de ce Théâtre de Passy, et recevoir des applaudissements mérités. C’est un des bons spectacles musicaux à découvrir actuellement, même si votre culture musicale commence bien après Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Sheila, ou même quelques décennies avant avec Fernandel, Bourvil, Luis Mariano ou Edith Piaf.

Vous voulez voir qui fut la vraie Gaby Deslys : voici quelques photos d’époque

La bande annonce :

Gaby Deslys, c’est au Théâtre de Passy, 95 rue de Passy 75016 Paris,

actuellement les lundis et mardis à 20.00 jusqu’à fin Mai

renseignements et réservations :

01 82 28 56 40
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L’opéra le plus joué  non seulement en France mais dans le monde entier est de retour dans une version où les décors ne sont que rideaux, sans accessoires qui pourraient distraire le public. On est là pour ouvrir grandes nos oreilles et écouter les voix des protagonistes de CARMEN de Georges Bizet.

Dois-je vous raconter l’histoire créée par Prosper Mérimée, de la belle gitane, Carmen, qui s’amourache d’un officier à Séville, alors que ce dernier serait promis à Micaela, qui lui est envoyée par sa mère. Mais la belle sauvageonne ne l’entend pas ainsi et va entraîner le jeune officier dans ses filets. Voilà le plus gros de la trame de ce drame  en 4 actes qui ne manque pas d’airs connus, comme « L’amour est enfant de Bohême », « La Habanera », parmi bien d’autres. Et si vous ne connaissez pas, ce qui m’étonnerait quand même, vous laisserez porter par  les mélodies de ce drame qui met aussi en scène des enfants. L’Opéra de Paris, programme régulièrement des représentations de Carmen, toujours avec des interprètes de qualité, la dernière a été mise en scène par  Calixto Bieito, mais auparavant dans une des plus belles version signée Alfredo Arias. La mise en scène à l’Opéra Comique  est des plus simples, qui joue sur les rideaux, ce qui permet d’admirer, d’écouter l’orchestre, dirigé de main de maître par Louis Langrée jusqu’au 30 avril, qui cèdera la baguette du 2 au 4 mai à Sora Elisabeth Lee.

Frédéric Antoun (Don José), Maîtrise Populaire de l’Opéra Comique

Frédéric Antoun (Don José), chœur accentus

François Lis (Zuniga), chœur accentus

Gaëlle Arquez (Carmen), Frédéric Antoun (Don José)

Elbenita Kajtazi (Micaëla)

Frédéric Antoun (Don José), Jean-Fernand Setti (Escamillo)

Vous pouvez avoir une idée de la mise en scène avec les photos qui illustrent ces quelques mots. Saviez-vous qu’il aura fallu attendre longtemps pour que l’œuvre entre au répertoire de l’Opéra de Paris. Entre sa première représentation à l’Opéra Comique en mars 1875  suivie de quelques 2889 représentations au fil du temps, et son entrée au répertoire qui ne se fera qu’en novembre 1959. Autre anecdote Maria Callas qui a été acclamée pour ses prestations vocales de Carmen sur disque ne l’a jamais joué sur scène! Le dernier DVD enregistré de Carmen en France date quand même de 2010 et fut enregistré à l’Opéra de Lille d’après une mise en scène de Jean-Claude Casadesus.

N’hésitez donc pas, même s’il ne va pas être facile de trouver une place dans la belle salle de la place Boieldieu, rénovée il y a peu, vu qu’il n’y a que peu de représentations.

François Lis (Zuniga), chœur accentus

Gaëlle Arquez (Carmen), Frédéric Antoun (Don José)

Gaëlle Arquez (Carmen), chœur accentus

Gaëlle Arquez (Carmen), François Lis (Zuniga), chœur accentus

Frédéric Antoun (Don José), Elbenita Kajtazi (Micaëla)

Jean-Fernand Setti (Escamillo)

Carmen reste aussi l’oeuvre la plus jouée à l’Opéra Comique à ce jour

Représentations les 24, 26 et 28 Avril à 20h00, le 30 Avril à 15h00 (cette représéntation à guichets fermés)

puis les 2 et 4 Mai à 20h00

Prix des places : de 63 à 150€ selon les jours et le placement

la bande annonce :

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J’aime avoir de bonnes surprises au cinéma, et ce fut le cas pour LAPLUS BELLE POUR ALLER DANSER. Fan de Sylvie Vartan depuis des lustres, je ne pouvais quand même pas manquer un film qui porte le titre le la chanson que Monsieur Charles Aznavour avait créé pour elle. Mais pas de Vartan dans le film, même si on entend la chanson interprétée par quelqu’un d’autre.

Dans ce feel good movie, on s’intéresse à la vie d’une jeune ado, interprétée par Brune Moulin, qui vit avec son père (Philippe Katerine) dans une maison  qui accueille des personnes du 3ème age, mais qui n’est pas une maison de retraite, et parmi les locataires,  Pierre Richard, Guy Marchand, Firmine Richard ou Olivier Sarrazin.

Marie-Luce , 14 ans, est élevée par son père dans une joyeuse pension de famille pour seniors qu’il dirige.  C’est bientôt la soirée du nouveau collège de Marie Luce , mais son père ne veut pas qu’elle y aille même si elle  elle n’y  est pas invitée. Mais poussée par Albert, son meilleur ami de 80 ans ( Pierre Richard) , Marie-Luce, s’y incruste, habillée en homme. Ce soir-là, tout le monde la prend pour un garçon… un garçon que l’on regarde et qui plait. Elle décide alors de s’inventer un double masculin prénommé Léo pour vivre enfin sa vie d’ado. Parce qu’elle est sous le charme d’Emile, (Loup Pinard), gay, Comme on l’imagine cela complique quelque peu les choses côté amours !

Victoria Bedos, qui avait écrit La Famille Bélier, passe cette fois à la réalisation, avec un talent certain. Le sujet pouvait être ‘casse-gueule’, mais elle s’en sort avec les félicitations du jury ( et de moi entre autres). C’est un film plein de fraicheur et de bonnes intentions qui se laisse voir avec beaucoup de plaisir, et qui fut d’ailleurs présenté au festival de l’Alpe D’Huez, où la jeune et jolie Brune Moulin est remporté le prix d’interprétation féminine.

Il n’en fallait pas plus pour que j’ai très envie de la rencontrer, et c’est chose faite :

Pour qu’il n’y ait pas de jaloux, son partenaire, Loup Pinard au aussi eu les honneurs de la caméra :

 

Mais cela ne pouvait pas être suffisant, j’avais trop envie de rencontrer celle qui a écrit et réalisé ce film : Victoria Bedos :

Quelques photos pour vous mettre dans l’ambiance :

et cerise sur le gâteau  le film annonce :

 

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Il y avait beaucoup de monde en ce samedi après midi, 45 ans après que CloClo ait quitté ce monde, et sa mémoire et son œuvre sont toujours présentes dans la mémoire collective. Qui n’a jamais fredonné Alexandrie, Alexandra, ou encore Le Lundi au Soleil, Chanson Populaire (Ca s’en va et Ca revient) . Sans oublier la chanson la plus célèbre dans le monde entier: Comme d’habitude…My Way?

Et oui, pour toute une génération, on ne peut pas oublier comment la nouvelle est tombée en ce funeste samedi 11 mars 1978 à 15h15 sur les radios, à l’époque RTL, Europe 1 et France Inter ainsi que sur les chaines TV qui ont alors modifié leurs programmes. Première réaction: incrédulité, puis tristesse, voire désespoir pour nombre de jeunes filles qui n’avaient d’yeux que pour lui. Et 45 ans plus tard, le souvenir reste, certaines chansons restent incontournables, outre celles citées ci dessus: il y avait Belles belles belles, Si j’avais un marteau, Mais quand le matin, J’attendrai, Le lundi au soleil, Le téléphone pleure, Viens à la maison ou Magnolia for Ever parmi les centaines de titres enregistrés entre 1962 et 1978.

Les artistes présents furent nombreux samedi 11/3/2023, comme par exemple celui qui à 13 ans avait conquis le cœur des familles: Roméo. Le voici en entretien exclusif réalisé ce 11 mars au cirque Bormann :

Quelques images de Roméo à 13 ans et en répétitions

Impossible de parler de Claude François sans parler de ses danseuses : les Clodettes, voici donc un entretien avec une des plus célèbres, et toujours charmante : Prisca:

Prisca Ligeron, soirée spéciale anniversaire 45 ans disparition de Claude François, 11 mars 2023, cirque Bormann, Paris, © Angélique Le Goupil / AWcreation

 

Autre moment important, une surprise avec B Claude, un jeune chanteur qui voue une admiration sans borne à Claude François,  au point d’avoir des tonnes d’objets sur le chanteur. Comment s’est passé la découverte de ce chanteur, qui est décédé plusieurs décennies avant sa naissance :

 

N’oublions pas l’article avec entretien sur ce site : Annie Philippe:

Annie Philippe parle de Claude François à l’occasion d’un hommage le 11 mars 2023 à Paris

Entretien avec Grégoire Colard , 46 ans après le décès de Claude François

 

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C’est certainement l’exposition la plus attendue de cette année. L’Egypte ancienne a toujours attiré les foules et toutes les expositions qui ont présenté des objets de cette époque très ancienne ont toujours attitré les foules. RAMSES, dès son ouverture au public, n’a pas fait exception à la règle.

Un de mes meilleurs souvenirs de voyage restera, et c’est certain la remontée du Nil en bateau, avec les visites des tombeaux. Ce fut un émerveillement de tous les instants, et depuis, je n’ai manqué aucune exposition à Paris sur le sujet, et certainement pas Toutankhamon en 2019

( http://www.onsortoupas.fr/toutankhamon-le-tresor-du-pharaon-photos-exclusives-et-entretien-avec-dominique-farout-conseiller-scientifique-de-lexposition/ )

 

Une fois encore je reste sous le charme de ces statues, de ces bijoux, de cette période de l’histoire du monde.

Buste en granit de Merenptah
© 2020 World Heritage Exhibitions
Nouvel Empire, XIXe dynastie

Ostracon représentant Ramsès IV dans un char
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Nouvel Empire, XXe dynastie
C’est la première fois que cette œuvre est présentée hors d’Égypte.

Cercueil intérieur reconstruit en cartonnage de Chechonq II
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Troisième Période intermédiaire, XXIIe dynastie

Masque funéraire en or de Oundjebaoundjed
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Troisième Période intermédiaire, XXIe dynastie

photo @Guy.Courthéoux

Et le commissaire de cette exposition n’est pas un inconnu, que je retrouve avec un plaisir certain, Dominique Farout, qui connaît tout-ou presque- sur l’Egypte ancienne.

D’autres objets :

Masque en bois plaqué or du cercueil d’Aménémopé
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Troisième Période intermédiaire, XXIe dynastie

Collier à têtes de faucon et contrepoids de la princesse Néferou-Ptah
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Moyen Empire, XIIe dynastie

Partie supérieure d’un colosse de Ramsès II en calcaire. Musée de Charm el-cheikh
© 2020 Sandro Vannini
Nouvel Empire, XIXe dynastie
C’est la première fois que cette œuvre est présentée hors d’Égypte.

Cercueil externe de Sennedjem, et son couvercle, sur un traîneau en bois
© Sandro Vannini/Laboratoriorosso
Nouvel Empire, XIXe dynastie
C’est la première fois que cette œuvre est présentée hors d’Égypte.

 

Partie supérieure d’une statue de granodiorite de Merenptah
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Nouvel Empire, XIXe dynastie

Collier de Psousennès Ier
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Troisième Période intermédiaire, XXIe dynastie

Plat en argent et or inscrit pour Oundjebaoundjed.
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Troisième Période intermédiaire, XXIe dynastie

Cercueil de Ramsès II en cèdre
Fin de la XVIIIe dynastie
© Sandro Vannini, Laboratoriorosso
World Heritage Exhibitions

Partie supérieure d’un colosse de Ramsès II en calcaire. Musée de Charm el-cheikh
© 2020 Sandro Vannini
Nouvel Empire, XIXe dynastie
C’est la première fois que cette œuvre est présentée hors d’Égypte.

photo @Guy.Courthéoux

photo @Guy.Courthéoux

photo @Guy.Courthéoux

photo @Guy.Courthéoux

un petit souvenir d’un des endroits les plus connus d’Egypte : Abou Simbel

La façade du Grand Temple de Ramsès II, Abou Simbel, Assouan
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Nouvel Empire, XIXe dynastie

Colosse de Ramsès II sur la façade d’Abou Simbel, Aswan
Photo : Sandro Vannini/Laboratoriorosso
© World Heritage Exhibitions
Nouvel Empire, XIXe dynastie

J’ai toutefois un regret, qui va me conduire à revoir cette exposition, je n’ai pas pu assister à une séance de la réalité virtuelle:

UNE EXPÉRIENCE
IMMERSIVE UNIQUE
L’exposition propose aux visiteurs une expérience de réalité virtuelle immersive présentant les monuments sans doute les plus impressionnants de Ramsès II : les temples d’Abou Simbel et la tombe de la reine Néfertari. Le fantôme de celle-ci accueillera le visiteur et l’entraînera à travers une aventure palpitante. L’expérience de réalité virtuelle (casque VR)
est une option avec un supplément tarifaire de 15 euros.

Quelques détails pratiques :

RAMSÈS & L’OR DES PHAR AONS

Exposition du 7 avril au 6 septembre 2023
Grande Halle de la Villette
211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris – France

HOR AIRES D’OUVERTURE DE L’EXPOSITION :

Tous les jours de 10h à 19h
Dernière séance à 17h30
Billets en vente sur : www.expo-ramses.com
Billetterie sur place uniquement aux guichets dédiés
de l’exposition à la billetterie de la Grande Halle située
à l’extérieur, à droite des portes d’entrée de l’exposition.

TARIFS

Billet daté :
Adulte : 24 €
Enfant de 4 à 14 ans : 20 €
Gratuit pour les enfants de moins de 4 ans
Groupes et CSE (supérieur ou égal à 20 personnes) : 22 €
PSH : 22 €

Billet open :
Adulte/enfant : 32 €
Gratuit pour les enfants de moins de 4 ans
Groupes et CSE (supérieur ou égal à 20 personnes) : 30 €
Visite guidée :
Adulte : 38 €
Enfant de 4 à 14 ans : 34 €
Groupes (supérieur ou égal à 20 personnes) : 36 €
CSE : 36 €
PSH : 36 €

Expérience en réalité virtuelle : 15 €
Audioguide : 7 €

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Les 3 Mousquetaires d’après Alexandre Dumas a été l’objet de nombreuses adaptations au cinéma: le premier en 1912, le plus connu en France en 1953 signe André Hunnebelle avec Georges Marchal, Jean Martinelli, Jacques François,  Gino Cervi et Bourvil, puis la version de Richard Lester en 1974, parmi bien d’autres. Si on ajoute celles du Masque de Fer, on dépasse largement les 40 films et adaptations plus ou moins libres comme Les 4 Charlots mousquetaires ou bien Zorro et les 3 mousquetaires, que l’on ne cite que pour l’anecdote.

® Julien Panie

® Julien Panie

® Julien Panie

® Julien Panie

® Julien Panie

Cette fois, l’adaptation est une réussite totale, œuvre signée Martin Bourboulon, (Réalisateur d’Eiffel) qui verra une deuxième partie en décembre prochain. Cette version 2023 est une réussite totale, due en grande partie aux comédiens: Tout d’abord D’ARTAGNAN sous les traits de François Civil qui crève l’écran, sans pour autant effacer les autres comédiens mousquetaires : Vincent Cassel, Romain Duris ou Pio Marmaï.

® Ben King

® Ben King

® Ben King

Je ne vous ferai pas honte en vous racontant l’histoire, que tout le monde connait : En France sous Louis XIII, le royaume est divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, et une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France. On ne peut passer sous silence Eva Green, Milady, qui devrait être encore plus importante dans le second opus.

® Ben King

® Ben King

® Ben King

® Ben King

Pour être totalement honnête, j’avais envie de voir ce films, sans plus. je ne peux pas dire que cela faisait partie de mes préoccupations. Mais je l’ai vu avec un tel plaisir que je ne peux que le recommander, et toutes les personnes à qui je l’ai conseillé, sont totalement d’accord avec moi pour dire que ce film est magnifique de bout en bout. On ne voit pas le temps passer et pourtant le film dure 2 heures et 1 mn. Voilà comment le cinéma français sait plaire au public, et sans nul doute le film devrait bien s’exporter. Sans le comparer aux 2 comédies qui ont marque le début d’année, Astérix et Alibi.2, on voit bien que les films français savent trouver leur public, comme ça a aussi été le cas avec Sage Homme, et je l’espère avec le nouveau film de Victoria Bedos : LA PLUS BELLE POUR ALLER DANSER, dans un genre totalement différent.

Courrez donc au cinéma, profitez des meilleures salles et des grands, voire très grands écrans pour voir ce film d’aventures, qui fait honneur au cinéma hexagonal.

® Ben King

® Ben King

la bande annonce :

 

 

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Voilà une belle pièce de théâtre avec d’excellents interprètes, et le public ne s’y trompe pas, qui lui fait une véritable ovation à chaque représentation.

Nous sommes à Paris, à la fin des années 40. Paul Weylberg, célèbre mécène et collectionneur d’art et séducteur invétéré, est mystérieusement assassiné. Nous nous retrouvons dans un huis-clos chez un artiste peintre,  Noël Martin qui , avec sa femme Belle, sont amis de la victime. Noël, mari jaloux, semble particulièrement nerveux à l’annonce du meurtre. Il soupçonne Belle, si coquette, si jolie et si courtisée de lui mentir sur la nature de ses relations avec feu Paul Weylberg. L’arrivé du Commissaire Maria, chargé de l’enquête, sème le trouble dans le ménage Martin, et pousse Noël dans un état d’anxiété toujours plus intense… Une autre femme va arriver et semer encore plus le trouble, sans oublier un concierge bien curieux.

 

Inutile d’en dire plus, laissons la parole à celle qui est à la fois comédienne et metteur en scène, Raphaëlle Lemann, en compagnie de celui qui est le commissaire sur scène : Philippe Perrussel:

 

N’oublions pas la bande annonce :

 

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Le Paradis Latin innove, en créant une revue totalement familiale qui est présentée en matinée les mercredis, samedis et dimanche après midi et tous les jours lors des vacances scolaires. Le nom de cette revue : MON PREMIER CABARET.

Il faut bien avouer que depuis que Monsieur Walter Butler a repris les rênes de ce cabaret historique ( L’histoire du Paradis Latin commence au tout début du XIXe siècle. Érigé à 500 mètres de Notre-Dame de Paris par Napoléon, le lieu fut d’abord un théâtre où bourgeois, intellectuels, commerçants, ouvriers et étudiants se croisaient. On pouvait alors y rencontrer Balzac, Alexandre Dumas ou Prosper Mérimée. Détruit par un incendie durant la guerre franco-prussienne de 1870,  ce n’est qu’en 1889, avec la reconstruction par Gustave Eiffel, que le Paradis Latin devient un incontournable lieu d’émerveillement et de distractions nocturnes. En 1973 le promoteur immobilier Jean Kriegel achète l’immeuble et découvre la salle. C’est Jean-Marie Rivière qui reprendra la formule cabaret en 1977, après avoir quitté l’Alcazar de la rue Mazarine. En 1995 c’est la famille Israël qui rachète les lieux et depuis 2018 LE PARADIS LATIN appartient à  Walter Butler, qui a confié la création de ses spectacles à Kamel Ouali, que les français connaissent bien,  avec la revue L’OISEAU PARADIS depuis 2019, et depuis quelques semaines, Kamel a créé cette revue totalement familiale:

Entretien avec Kamel Ouali, sur les marches de ce cabaret :

Petit tour en catimini dans les coulisses :

Vu que nous sommes dans les coulisses, je frappe à la porte de Stéphanie :

Jetons un coup d’oeil sur ces escaliers alors que les premiers spectateurs arrivent :

 

Maintenant le spectacle va débuter, et pour vous donner l’envie de voir tout ce spectacle, en voici quelques extraits :

Avant d’autres extraits, retour aux entretiens, cette fois avec le big Boss des lieux, Walter Butler :

Et Cassy Covin, le directeur artitique :

Et enfin l’incontournable, le cancan, spectaculaire!

 

Vous l’avez compris, si le soir le spectacle est moins ‘familial’, celui de l’après-midi, avec le rendez-vous à 13h30 est visible par tous. Petits et grands apprécient. Moi qui suis loin d’être un enfant, je me suis régalé de bout en bout, j’ai quand même gardé mon regard d’enfant pour vibrer avec toutes ces familles.

Les places , en tables ( sans service, ni consommation) de 30 à 70€ selon le placement. Pour profiter au mieux, je ne peux que vous recommander la première catégorie.

Réservations sur : https://www.paradislatin.com/fr/mon-premier-cabaret/

la bande annonce:

Tous les extraits ( sauf la bande annonce) copyright : Guy Courthéoux / onsortoupas.fr, ces extraits ont été filmés avec l’accord du Paradis Latin. Tous droits réservés: Le Paradis latin