Des ‘Alien’ sur grand écran, puis en vidéo cela ne manque pas depuis le premier opus en 1979 signé Ridley Scott avec Sigourney Weaver. Puis celui de James Cameron en 1986, le 3 de David Fincher en 1992 et ce n’est pas fini, Jean-Pierre Jeunet prit le relève en 1997 avec Alien Résurrection alors que Ridley Scott s’attelait aux 2 suivants : Prometheus et Alien Covenant en 2012 et 2017. Ce nouveau film Alien Romulus est signé Fede Alvarez où un groupe de jeunes gens va devoir affronter les Xénomorphes.
Alors qu’il entreprend des fouilles dans une station spatiale abandonnée, un groupe de jeunes voyageurs se retrouve confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers… et bien entendu, perdus dans l’espace, ils ont bien peu de chances de s’en sortir. Les jeunes interprètes ( Cailey Spaeny, David Jonsson, Isabella Merced et Archie Renaux sont plutôt convaincants et tous les autres sont des inconnus, comme Spike Fearn, Aileen Wu, ). Si on voit le nom de Ridley Scott au générique…ce n’est pas parce qu’il a réalisé le film, mais c’est qu’il l’a produit. Donc une certaine garantie de qualité que de voir sa signature sur ce 7 opus. Et il faut bien avouer que cette suite réussit à garder toute notre attention. On sait ce qu’on va voir, et on ne peut pas être trop surpris. Sans être un très grand film, cela se laisse regarder avec la dose de frissons qui tient ses promesses. le scénario est l’œuvre de l’uruguayen Rodolfo Sayagues
Les surprises et les différents aliens vont réjouir les spectateurs. Je ne dirai pas que c’est le meilleur, mais ce n’est pas non plus le pire de la série. On ne s’ennuie pas, on frémi souvent et c’est quand même ce qui nous pousse à aller voir ce genre de films
SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin
Après avoir passé la plus grande partie de sa vie sur scène, Sylvie Vartan nous a annoncé, il y a quelques mois, que c’est fini. Elle quitte la scène fin janvier, et la décision e »st définitive. Elle affiche 80 printemps, et a commencé à se produite sur scène alors qu’elle n’avait que 16 ans. Ses admirateurs sont nombreux, très nombreux et les 2 fois 3 soirées, celles au Dôme de paris, terminées, et celles fin janvier au Palais des Congrès marqueront donc la fin d’une époque, et nous sommes nombreux à nous remémorer ses passages sur scène. Pour ma part, je n’ai pas compté, mais je pense l’avoir vu à de nombreuses reprises, mais toujours à Paris, dans diverses salles, et lors de rendez-vous o=pour des entretiens. Olympia, Palais des Sports / Dôme de Paris, aux Folies Bergère, au Casino de Paris, à la salle Pleyel, au Théâtre Edouard 7, et même en plein air, en banlieue parisienne, où elle avait donné un petit concert estival il y a quelques années. Je n’oublie pas certains concerts de sa tournée intime commencée au Théâtre Edouard VII.
Si Benoit Cachin a travaillé sur ce livre, il ne l’a pas fait en solitaire, Sylvie s’est remémoré, comme vous pourrez le lire, ses souvenirs de ces spectacles, de ses concerts à ses débuts en première partie de Gilbert Bécaud en 1961, le concert de la place de la Nation aux côtés de Johnny Hallyday en 1963, puis la tournée d’été avec Claude François qui suivit, et un an plus tard le fameux Olympia avec Les Beatles. On connait la suite, avec de grands moments dans la salle mythique de Bruno Coquatrix, boulevard des Capucines à Paris, et enfin les grandes salles comme le Palais des Congrès où elle s’est produite devant des milliers de spectateurs dans cette immense salle à de nombreuses reprises : en 1975 où ce fut un triomphe. Elle y est revenur de nombreuses fois, toujours pour de longues semaines, avant de tenter le Palais des Sportzs ( maintenant appelé Le Dôme de Paris)
Vous saurez tout sur ces spectacles avec le superbe livre de Benoit Cachin, que vous allez découvrir en entretien exclusif :
Pour les collectionneurs, les vidéos de ces spectacles ont été éditées : en voici les jaquettes :
Il y en a quelques autres :
Il en manque quelques uns,, c’est certain, mais je ne possède que les DVDs, alors que les cassettes vidéos sont abimées. Il n’y a , à ce jour qu’un seul spectacle en format BluRay, c(‘est la dernière série de concerts à la salle Pleyel. Espérons que le spectacle du Dôme et du Palais des Congrès seront filmés, et qu’il existera DVD + Bluray et , peut-on l’espérer le 4K ultra HD..
Le très beau livre de Benoit Cachin, en collaboration avec Sylvie Vartan et disponible , vendu 39.95€
Quand on m’a proposé un spectacle avec un pianiste seul en scène, j’avoue que j’y allais un peu à reculons. Grand bien m’en a pris d’y aller et de découvrir un spectacle qui m’a captivé dès les premières notes, et cela grâce à un pianiste François Moschetta qui a co-écrit, vraisemblablement avec sa dulcinée Camille, ce spectacle qui va vous en mettre plein les oreilles.
Difficile de donner le ton de ce spectacle, mais je vais vous dresser le décor: un homme jeune ( 30 ans environ), devant un piano à queue qui va nous parler de Mozart, mais pas de n’importe quelle manière. Il y aura certes du piano classique, et François Moschetta est un véritable virtuose, qui sait nous entraîner, là où il veut qu’on aime ». On est captivé des les premières minutes ( ou dosi-je dire les premières notes) car il joue sans aucune partition. Tout est dans sa tête, ou plutôt dans ses doigts. En fait ce n’est pas un récital, c en’est pas un stand up, , c’est un mélange subtile de ces deux domaines avec beaucoup d’humour et bien entendu de musique, ce qui est somme toute normal quand on parle de ce musicien de génie qu’a été Wolfgang Amadeus Mozart.
Ce qu’on apprécie c’est ce mélange subtil de texte avec des extraits du célèbre compositeur, mais pas que. Une rencontre s’imposait, et la meilleure façon de vous donner envie de le voir, c’est de le retrouver pour parler devant son piano:
Le spectacles est court (1h15) mais on aimerait en voir un peu plus. La salle est sous le charme au bout de quelques minutes et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si on n’est pas un fan du célèbre compositeur. Franchement la salle est conquise dès les premières minutes et montre bien à quel point elle apprécie. N’hésitez pas une seconde, et allez voir MOZART ONE PIANO SHOW. C’est dans la petite salle du Théâtre Libre et vous allez être conquis. Un petit plus, François vous verra, si vous le désirez, à la sortie où vous pourrez partager vos sentiments sur son spectacle, et c’est tellement rare qu’il fallait le signaler.
François Moschetta est sur scène jusqu’au 29 décembre, du jeudi au samedi à 19.00 et le dimanche à 15h et 17h00 ( avec relâche les jeudis et vendredis en décembre. Il nous annonce être en tournée à partir de Mai 2025. Mais il a déjà un beau pedigree avec des prix comme L’académie Jaroussky, Prix filleul Charles Cros). Avec lui la musique classique est vivante et personnelle et on a envie de lui dire : Monsieur, on peut en avoir un tout petit peu plus…
Ne manquez pas ce spectacle, c’est un moment que l’on a envie de revivre
WICKED un film très attendu….et cela mérite le déplacement, même s’il dure plus de 2 h 30
On entend les superlatifs de partout, avec des records d’entrées aux Etats Unis. Voilà donc le film sur les écrans français depuis quelques jours. Qu’en est-il? la comédie musicale va-t-elle faire des scores en France?
WICKED nous montre le parcours des sorcières légendaires du monde d’Oz. Oui, le film est un préquel du fameux Magicien d’Oz sorti sur les écrans en 1939 avec la sublime Judy Garland dans ce musical réalisé par Victor Fleming et qui fut un des premiers films en couleurs. Oui, on va enfin comprendre pourquoi il y avait une gentille sorcière et une méchante à la peau verte.
Elphaba (Cynthia Erivo) est une jeune femme incomprise à cause de la couleur verte de sa peau . Mais elle n’a pas le moindre soupçon de l’étendue de ses pouvoirs. À ses côtés, on va voir la très belle Glinda (Ariana Grande) qui, est aussi populaire que privilégiée, mais ne connait pas vraiment la vraie nature de son cœur. Leur rencontre à l’Université de Shiz, dans le fantastique monde d’Oz, va marquer les débuts d’une amitié totalement improbable, voire impossible mais qui s’avèrera profonde. Elles vont devoir se rendre devant le fameux Magicien d’Oz et leur rencontre va mettre à mal cette amitié et voir leurs chemins s’éloigner. Tandis que Glinda, assoiffée de popularité, se laisse séduire par le pouvoir, la détermination d’Elphaba à rester fidèle à elle-même et à son entourage aura des conséquences particulièrement inattendues. Leurs aventures extraordinaires au pays d’Oz les mèneront finalement à accomplir leur destinée en devenant respectivement la Bonne et la Méchante Sorcière de l’Ouest. Mais cela ne se verra pas dans le film, il faudra attendre la suite qui est prévue en sortie le 21 Novembre 2025. Oui je sais, cela va être difficile d’attendre jusque là.
Ariana Granda is Glinda in WICKED, directed by Jon M. Chu
Ariana Grande is Glinda & Cynthia Erivo is Elphaba in WICKED, directed by Jon M. Chu
Jeff Goldblum is The Wizard of Oz & Michelle Yeoh is Madame Morrible in WICKED, directed by Jon M. Chu
On nous dit que le film bat des records de fréquentation outre Atlantique, qu’en sera-t-il en France? Les américains sont très friands de comédie musicale et THE WIZARD OF OZ est un véritable classique. En France le genre comédie musicale ne rencontre pas le même succès, même si cela semble évoluer depuis quelques années. Le mercredi de sa sortie il arrive en tête des recettes : WICKED : 87 246 entrées (dont 54 772 en Avant première) suivi de Conclave : 36907 entrées dont 9386 en avant première. Cela présage un beau score final, mais il ne faut pas oublier que Disney est très haut avec Vaïana 2, et que Muphasa le Roi Lion arrive aussi dans quelques jours (le 18 décembre).
Ariana Grande – Glinda in WICKED, directed by Jon M. Chu
Jonathan Bailey i- Fiyero in WICKED, directed by Jon M. Chu
La Cité d’Emeraude WICKED, directed by Jon M. Chu
Je l’ai vu en salle, en Dolby Atmos, en séance de début d’après midi, et je dois bien avouer qu’on était loin d’une salle pleine, mais la vo sous-titrée est quand même plus destinée à un public adulte, alors que le VF attire plus les jeunes. Ceci dit, je suis vite rentré dans le film de Jon M. Chu avec la naissance d’Elphaba et son arrivée en scolarité en fin d’adolescense. La rencontre explosive avec Glinda, et l’arrivée d’un beau jeune prince, Fiyero (Jonathan Bailey) vont changer le cours des choses surtout lorsqu’elle devra aller dans le domaine d’Oz et de son magicien qui le dirige (Jeff Goldblum). On ne peut passer sous silence Michele Yeoh (Madame Morrible), Ethan Slater (Boq), Bowen Yang (Pfanee) ou Marissa Bode (Nessarose).
Cynthia Erivo -Elphaba & Ariana Grande -Glinda WICKED, réalisé par Jon M. Chu
Le pape est mort! Vive le nouveau pape! encore faut-il en trouver un, et c’est le but de ce CONCLAVE, qui est vraiment passionnant de bout en bout, avec quelques grands comédiens au générique dont celui qui a le premier rôle : Ralph Fiennes. A ses côtés, Stanley Tucci, Isabella Rosselini, John Lightgow, Carlos Diehz. Raconté ainsi, on peut penser que c’est un film catho, par les cathos et pour les cathos. Détrompez-vous, c’est plus proche d’une affaire policière à résoudre, que d’une histoire de religion. D’ailleurs le film a conquis de nombreux spectateurs et vient de se voir notifier de 6 nominations pour les prochains Golden Globes, qui, comme chacun le sait, sont un peu l’antichambre des Oscars:
Savez-vous comment un pape est nommé? Si vous ne le saviez pas, on réunit tous les cardinaux du monde entier, ils s’enferment dans le Vatican, et votent tous de manière totalement anonyme pour celui qu’ils voudraient voir à la tête du Pontificat. Cela se déroule dans le plus grand des secrets, et à la fin de chaque vote, on brule les bulletins et une fumée indique aux croyants si le pape a été choisi. Si c’est une fumée noire qui se montre , il n;’ya a pas de nouveau pape, et on se réunit encore et encore jusqu’à ce qu’une majorité se dessine et c’est alors que la fumée est blanche pour le grand bonheur des fidèles. Ici, on nous montre des petits secrets d’alcove, d’autres connus du pape décédé et de lui seul, et ce sont des mystères qui finissent par nous intéresser, avec certaines machinations, certaines tractations. Bref on rentre rapidement dans l’histoire et on a très vite envie d’en savoir plus sur qui sera le nouveau pape de l’Eglise Catholique.
On croit vraiment à l’histoire. Est-elle tiré d’une réalité, on peut en douter. Mais des comédiens sont tellement exceptionnels, plus particulièrement Ralph Fiennes et Stanley Tucci q’on vibre dans notre fauteuil. Je l’ai dit et je le répète: si les cathos seront très intéressés, les autres y verront une énigme policière dans un milieu qui leur est inconnu, et c’est là que le réalisateur, Edward Berger a réussi son exploit. Quelle que soit votre croyance, et même si vous ne croyez pas en un dieu ou une religion, vous serez intéressé par cette histoire, qui se déroulerait de nos jours, et non pas il y a quelques siècles. Le livre de Robert Harris était déjà superbe, le film l’est tout autant, qui dure 2 heures.
VAIANA 2, le meilleur de Disney en animation depuis longtemps, qui plaira à tous, de 5 à 85 ans…
Cela faisait longtemps que je n’avais autant apprécié un long métrage d’animation des studios Disney. Certes je reconnais que tous les films dirigés par Disney furent géniaux, tout comme nombre de suivants, comme LE ROI LION, LA REINE DES NEIGES et tant d’autres, mais les dernières productions m’avaient laissé froid. Mais là je suis bien obligé de crier au génie. Le film, dirigé par Davis G. Derrick Jr, Jason Hand et Dana Leroux Miller est une pure merveille et je ne suis pas le seul à le penser parce qu’aux dernières nouvelles le film fait carton plein tant enFrance qu’aux Etats Unis, et dans le reste du monde, au point qu’il bat tous les records, et on le sait le public ne se trompe jamais.
Après avoir reçu une invitation inattendue de ses ancêtres, Vaiana entreprend un périple incroyable avec ses amis : Maui, Sina, Tui, qui la conduira jusqu’aux eaux dangereuses situées aux confins des mers des îles du Pacifique. Elle y vivra des péripéties comme jamais vécues auparavant, en pleine mer, à la recherche du pays du bout du monde. Les rencontres dangereuses seront de la partie et je ne vous les dévoilerai certainement pas. L’effet de surprise fait partie du jeu. Quant à l’animation et les nouveaux personnages qu’elle va rencontrer, c’est absolument génial. Je me trémoussais de joie sur mon siège, dans une salle comble, avec uniquement des adultes, l’ayant vu à une séance du soir en Version originale. Je n’ai pas vu la version française, mais on m’a reporté qu’elle n’a pas grand chose à envier à la version que j’ai découverte.
J’ai toujours été fan des films d’animation, et maintenant la concurrence est rude, qui nous a proposé de très bons films depuis quelques années, mais avec ce VAIANA 2, les studios EDisney nous mettent une grande claque.
Et ce n’est pas fini, parce que dans quelques jours ( le 18 décembre pour être précis) on va découvrir MUFASA LE ROI LION, dont j’ai pu découvrir en avant première les 50 premières minutes, et là aussi c’est de la bombe. Je ne vous en dit pas plus, j’attends de le voir en entier pour vous en parler plus avant, mais je crois que les studios Disney vont empocher le jackpot de l’année avec ces deux productions.
MIAM! une petite comédie en musique pour les petites têtes blondes (ou brunes ou rousses). Entretien avec l’auteur et une interprète
Voir un spectacle pour une avant première c’est assez rare, mais se retrouver dans une salle avec 90% de jeunes enfants dans les 6/8 ans peut être, c’est bien la première fois que cela m’arrive
Voici le résultat de l’après spectacle :
MIAM est un spectacle pop qui nous plonge dans le monde du goût et des aliments, une traversée gustative en chansons pour toute la famille.
Avec cette création musicale destinée au jeune public, Aude Léger (chant, basse), Philippe Bégin (chant, guitare) et Sébastien Buffet (chant, batterie) nous rappellent que les histoires de nourriture sont aussi souvent des histoires familiales. Un régal pour le cœur, les yeux et les oreilles !
Parti à l’autre bout du monde sur un coup de tête, le père de Mary lui a laissé la gestion de MIAM, le restaurant familial. Avec Joe le cuisinier et Elvis le serveur, Mary doit relever le défi et tout faire pour accueillir ses clients au mieux. En chemin, elle se transforme en MC Patate, reine des pommes de terre, tombe amoureuse d’un chou vert, reçoit la visite de la DDPP et replonge dans ses souvenirs de petite fille. Sur des compositions musicales originales, ce concert pop nous met l’eau à la bouche pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
RIGOLETTO à l’Opéra Bastille, une reprise avec de superbes interprètes!
On retrouve ce décor superbe en boite de carton gigantesque et la mise en scène de Claus Guth pour cette nouvelle série de représentation à l’Opéra Bastille, sous la baguette du chef : Giacomo Sagripanti, avec des interprètes qui méritent des superlatifs: Roman Burdenko (Rigoletto), Rosa Feola (Gilda) et Liparit Avetisyan( Il Duca Di Montova) entre autres sans oublier Goderdzi Janelidze ou Aude Extremo
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
On connaît bien l’intrigue qui débute lors d’un bal : Le comte Monterone accuse le Il Duca Di Mantova, grand coureur de jupons, d’avoir déshonoré sa fille. Rigoletto, bouffon bossu du Duc, se moque de lui. Monterone jette alors une solennelle malédiction sur lui ainsi que sur le Duc. Or, c’est au tour de Gilda, fille du bossu, d’être séduite par le Duc. Rigoletto, dont Gilda est le bien le plus précieux, décide donc de se venger et emploie les services d’un tueur à gages. Mais la malédiction est déjà en marche et ne tarde pas à s’accomplir. Rigoletto, dans une suite d’enchaînements malheureux, perdra son enfant adorée.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Claus Guth qui assure le mise en scène de cette production, s’attache implacablement à mettre à nu les œuvres qu’il met en scène. Pour cette production, il a imaginé un spectacle traversé de fantômes et de fantasmes, où le spectateur revit la tragédie à travers le regard d’un Rigoletto brisé et socialement déclassé. L’Opéra débute avec une sorte de préambule où un Rigoletto qui a sombré dans une déchéance totale ouvre une boite en carton. La boite contient une robe blanche souillée de sang, et un costume de fou du roi. Et la scène se transforme, et on se retrouve à l’intérieur de cette boite en carton .
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
La tragédie permet à Verdi d’écrire quelques uns de ses airs les les plus célèbres comme : Questa o quella per me pari sono, La donna è mobile, ou Caro Nomé. La mise en scène de Claus Guth les sublime, et surtout donne un allant aux interprètes.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Le clin d’oeil aux revues à plumes est un délice:
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
et bien entendu les chœurs, dirigés par CAlessandro Di Stefano donnent de l’ampleur à ce spectacle superbe
TOUTES LES PHOTOS : Benoîte Fanton ( ONP) tous droits réservés
Représentations : à 19.30 sauf dimanches : 14.30
Samedi 7 décembre Mardi 10 décembre Vendredi 13 décembre Lundi 16 décembre Jeudi 19 décembre Dimanche 22 décembre Mardi 24 décembre Samedi 10 mai Mercredi 14 mai Dimanche 18 mai * Mercredi 21 mai Samedi 24 mai * Mardi 27 mai Vendredi 30 mai Mardi 3 juin Dimanche 8 juin Jeudi 12 juin
Je viens juste de découvrir ce concert en différents formats vu qu’il est édité sous plusieurs formats : le DVD , le bluray et le bluray UltraHD 4K, et c’est sur ce dernier que j’ai ‘re’-vécu l’expérience que j’avais découvert il y a quelques semaines au cinéma sur écran géant, qui nous proposait le montage définitif . Si les salles du groupe Pathé proposaient ce montage définitif, et que la salle affichait complet, j’avoue que je découvrais avec délice l’intégrale de ce concert auquel je n’aurais jamais pu assister, étant agoraphobe. Si je peux aller en concert dans des salles comme Le Casino de Paris, l’Olympia, le Dôme de Paris ou le Palais des congrès, l’idée de me rendre dans un stade me semble illusoire, et je me dois de remercier le producteur Thierry Suc, la star Mylène, et toute l’équipe qui nous offer ce concert que l’on peut se passer (et repasser) sur un bel écran TV.
Nevermore, c’est un peu un OVNI dans le paysage des concerts filmés. C’est du grand spectacle. On en prend plein les yeux ( et les oreilles bien entendu). l’équipe du réalisateur a employé les grands moyens et le spectateur ne peut que sortir totalement ravi et comblé. D’ailleurs sans être un fan inconditionnel de Mylène Farmer, je me suis régalé avec les concerts filmés : 2006 : Avant que l’ombre disponible en Bluray, puis 2010 au Stade de France, là aussi dans un bel écrin avec deux disques Bluray, le film du concert et un second disque avec les bonus et enfin Timeless en 2013, ou encore celui de 2019 ou de 2001 réédité en 2021.
Mais quelque soit la qualité des précédents, ce nouvel opus est incroyable, et je ne trouve pas de qualificatif pour le décrire avec des mots. Je l’ai déjà regardé 2 fois alors qu’il ne m’est parvenu que hier! quelques chiffres: La scène est hors norme :haute de 30m de haut et large de 75m ! Sans oublier le corbeau géant de 10m qui apparaît sur scène avec Mylène dedans. C’est spectaculaire, tout autant que la statue de la faucheuse. Avec quatorze stades et 620.000 billets vendus, Nevermore est la plus grande tournée des stades de l’histoire de la musique proposée en France par une artiste.
Les titres : Prologue, Du temps, Peut-être toi, Libertine, Optimistique Moi, A tout Jamais, C’est une belle journée, Tristana, Remember, Rayon Vert, puis rêverqui s’enchaine avec le 2ème partie : L’autre, Que l’aube est belle, Sans Contrefaçon, Oui…Mais non, Ode à l’Apesanteur, Que je devienne, XXL, Désenchantée, Rallumer les etoiles, avec l’épilogue et le long générique de fin.
Le spectacle est entièrement conçu par Mylène Farmer, et produit par Thierry Suc, ce qui n’est pas nouveau! Pour les amateurs Monsieur Yvan Cassar apparait au piano et se retrouve à la direction musicale du prologue, de l’épilogue et des titres l’Autre , Rêver, et que l’Aube est belle, alors que Olivier Schultheiss assure la direction musicale du spectacle, entouré de Christophe Voisin Boisvinet.
Maintenant la mauvaise nouvelle. Il s’agirait d’un 4k en version limitée et à Paris certaines FNAC seraient d’ores et déjà en rupture de stock. Alors, les fans dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde dans cette version 4K, alors que les versions DVD ou Bluray devraient pouvoir faire plaisir à tout le monde. Parlons prix