Rating:

Le film LES CHORISTES  de Christophe Barratier, qui est sorti sur les écrans en mars 2004, fait son retour en format 4K chez Pathé, et c’est une perfection.

J’avais vu le film avant sa sortie en salles, et j’avais alors eu la chance de rencontrer pour des entretiens Gérard Jugnot ( ce ne fut pas la première fois, ni la dernière d’ailleurs et quelques jours après la sortie par la magie de rencontres presse, je me suis retrouvé avec toute l’équipe, dont les jeunes et plus particulièrement Jean Baptiste Maunier à Disneyland Paris pour d’autres entretiens, après le succès fulgurant du film qui a quand même dépassé les 8 millions de spectateurs avec sa reprise en salles quelques années plus tard.

Dois je vous raconter l’histoire ? Nous sommes en 1949, Clément Mathieu (Gérard Jugnot),  professeur de musique sans emploi, arrive au « Fond de l’Étang », un pensionnat pour garçons, pour y travailler comme surveillant. Il apprendra bien vite que le directeur de l’internat,   Rachin (François Berléant) est un spécialiste des punitions sévères et il va faire en sorte de calmer les mauvais coups sur les élèves en créant une chorale …  Ce ne sont, bien entendu que les premiers moments, et on rentre dans le film sans s’en rendre compte pour avoir envie que cela ne se termine pas. Il faut bien avouer que la chanson VOIS SUR TON CHEMIN signée Bruno Coulais reste dans notre tête, bien longtemps après que l’on soit sorti du film. Quand j’ai revu ce film, restauré en 4 K il y a quelques jours, le refrain est resté longtemps dans ma tête.

On comprend le succès et on ne peut qu’être fier que Pathé ait restauré le film qui retrouve une nouvelle jeunesse. Certes Pathé ne sort pas que le film restauré en 4K, mais aussi dans une très belle version bluray

Mais , petit détail d’importance, ne vous précipitez pas aujourd’hui pour demander ce 4K, le film ne sera disponible que le 3 septembre au prix de 24.99 en 4K, il n’est actuellement disponible qu’en précommande à la Fnac et Amazon, entre autres

Rating:

Il y a des films comme ça. On se souvient de les avoir vus, mais il y a longtemps. Si on me demande  ce que j’en avais pensé alors, je pense que je dirais avoir passé un bon moment, mais dans le cas de ce film de Claude Zidi : LA COURSE A L’ECHALOTTE, j’aurais été incapable de parler de l’intrigue, mes souvenirs s’arrêtant aux deux interprètes principaux: Jane Birkin et Pierre Richard

L’histoire? un employé de banque un peu farfelu, est amoureux fou d’une jeune coiffeuse qui travaille dans  l’immeuble face à ses bureaux. Mais celle-ci en a raz le bol de sa jalousie maladive, et par la suite  des aventures incroyables va les entrainer dans un train en partance vers l’Angleterre, avec la troupe de l’Alcazar. Pour les plus jeunes, l’Alcazar de Paris était un établissement de nuit où on pouvait diner avant un spectacle drôle, qui à l’époque était orchestré par Jean-Marie Rivière. J’avais travaillé à l’Alacazar comme photographe  après le départ de ce dernier, et je dois avouer que je garde des souvenirs émus de cette époque où j’avais pu dîner avec les Monty Python, entre autres célébrités, sans oublier Roger Peyrefitte ou dans un autre registre Rika Zarai.  Les scènes dans le train sont totalement raccord avec ce que j’avais connu à l’époque, une ambiance de fête, de rires, de bien être. Le cabaret situé rue Mazarine a fermé pour être repris il y a quelques années et devenir un restaurant.

Et le film me direz-vous? Je pensais qu’il avait prix quelques rides…que nenni! Je suis resté scotché à mon fauteuil pour pouvoir rire comme bon me semblait. Et si ce n’est que pour cette raison, je ne peux que vous conseiller de vous procurer ce film de Claude Zidi, qui avait quand même attiré pas loin de 3 millions de spectateurs lors de son exploitation en salles, lors de sa sortie en octobre 1975.

Ne manquez pas l’occasion de revoir et de rire avec Jane Birkin et Pierre Richard, sans oublier Michel Aumont.

Prix de vente conseillé : 19.99€

 

 

Rating:

Du premier Jurassic signé Spielberg en 1993 en passant par celui de The Lost World en 1997, puis  à celui-ci, je n’ai jamais été déçu. Certes il y avait la découverte avec le premier Jurassic Park , et chaque nouvel opus nous replonge dans ces mondes perdus, et c’est bien le cas avec ce Jurassic World Renaissance signé Gareth Edwards; à qui on doit déjà : Monsters (2010), Godzilla (2014) ou encore Rogue One, a Star War Story en 2016 puis The Creator en 2023.

 

Cinq ans après JURASSIC WORLD : LE MONDE D’APRÈS, l’environnement de la planète s’est révélé hostile pour la plupart des dinosaures. Ceux qui subsistent vivent dans des zones équatoriales isolées, aux conditions proches de celles de leur ère d’origine. Parmi ces créatures terrifiantes, trois spécimens renferment peut-être la clé d’un remède capable de changer le destin de l’humanité. Voilà ces quelques mots pour la base du film. Quelques scientifiques plus des touristes en rade se retrouvent là où quelques spécimen non éteints de ces grosses bestioles , dangereuse, bien entendu, vivent encore, suffisamment pour qu’on ne les dérange pas (!?). Bien entendu quelques ennuis vont les envoyer sur une ile déserte (pas tant que ça), qui a servi des années plus tôt à une base chargée de surveiller (?!) ces animaux préhistoriques.

The Quetzalcoatlus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards

Mosasaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards.

Moi, je suis rentré quasi immédiatement dans ce monde incroyable et j’ai vibré jusqu’aux dernières images. Peut-être suis resté un enfants ( ce qui ne m’étonnerait pas tant que ça, puisque parmi mes derniers films préférés, il y a Dragons) et que le côté fantastique au cinéma attise toujours autant ma curiosité. Je préfère m’amuser, être dépaysé, que de mourir d’ennui dans des histoires qui ne m’intéressent pas, alors qu’elles sont encensées par la critique. Peut-être parce que mes premiers films au cinéma furent des Disney, ou des comédies avec de Funés, ou Belmondo, toujours est-il que ce que je demande au cinéma est simple: qu’il me fasse vibrer, ou rire, ou me passionner , mais surtout pas qu’il m’ennuie et me raconte des drames, comme on en lit au quotidien en lisant les infos.

Mosasaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards.

Philippine Velge & the Spinosaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards.

Je remercie donc des réalisateurs comme Spielberg, ou Gareth Edwards dans le cas présent, de m’avoir transporté dans ce monde imaginaire, cela me donne envie de revoir tous les films de la sage. Je conseillerai toutefois de voir ce nouvel opus sur écran géant. Je l’ai vu au Grand Rex en Grand Large, et j’ai pris ma claque, croyez le.

Luna Blaise & T-Rex in JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards

On peur parler du casting. La très belle Scarlett Johansson domine l’équipe, avec , à ses côtés Jonathan Bailey, Mahershala Ali, Rupert Friend, Manuel Garcia-Rulfo ou encore Luna Blaise, David Iacono sans oublier la toute jeune Audrina Miranda.

Bechir Sylvain : Leclerc, Jonathan Bailey : Dr. Henry Loomis & Scarlett Johansson / Zora Bennett  JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisation : Gareth Edwards.

Scarlett Johansson dans JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards. jasinboland@gmail.com

La bande annonce

Rating:

Qu’en est-il de ce DUNE PROPHECY ?

 

Le premier épisode de «Dune : Prophecy» permet de découvrir le personnage de Desmond Hart (Travis Fimmel),, un personnage aux pouvoirs mystérieux, qui a la particularité de ne pas exister dans la saga littéraire.  Adapté du roman «La Communauté des sœurs», écrit par Kevin J. Anderson et Brian Herbert, le fils de Frank Herbert, l’ouvrage s’inscrit dans un sous-cycle littéraire .  La série «Dune : Prophecy» revient donc 10.000 ans avant la naissance de Paul Atréides, sur la genèse de la puissante communauté connue sous le nom de Bene Gesserit et de son influence croissante au sein de l’Imperium. Le premier épisode a permis de découvrir Emily Watson( Valya Harkonnen), la Mère Supérieure, mais aussi Travis Fimmel (Desmond Hart), un personnage mystérieux qui n’existe pas dans les livres. Il est présenté dans la série comme «un ancien soldat au passé énigmatique qui cherche à gagner la confiance de l’Empereur Javicco Corrino. On apprend qu’il est le seul survivant d’une unité ayant effectué plusieurs missions sur Arrakis, où se trouve la précieuse épice. Desmond Hart était présumé mort après l’attaque d’un ver des sables qui, selon lui, a été orchestrée non pas par le peuple Fremen, mais par des traîtres agissant au sein de l’Imperium pour détourner de l’épice.

 

Il affirme également avoir hérité d’un pouvoir mystérieux depuis son face-à-face avec un ver des sables, qui lui permet de tuer ses victimes en les brûlant de l’intérieur sans entrer en contact avec elles. Desmond Hart a expressément demandé à être assigné au palais, auprès de l’Empereur, dont il gagne rapidement la confiance. Au grand dam de la Communauté dirigée par Valya Harkonnen, dont le pouvoir d’influence se trouve menacé en conséquence, surtout après l’assassinat de Pruwet Richese, le garçon censé épouser la fille de l’Empereur. Une union ardemment souhaitée par les Sœurs. Quand Valya Harkonnen est témoin de la mort de celle qui était une de ses plus fidèles disciples, elle comprend assister à la manifestation de la prophétie faite par la Mère Supérieure, Raquella Berto-Anirul, sur son lit de mort : «Tu seras celle qui verra le feu et connaîtra la vérité, la vérité brûlante comme elle l’avait elle-même précisé alors, des années plus tôt.

Le but ultime étant de permettre la venue au monde du «Kwitatz Haderach», un être doué de préscience capable de «voir» le futur, à l’instar de Paul Atréides dans la saga «Dune». Sur son lit de mort, la Mère Supérieure, Raquella Berto-Anirul a toutefois partagé une vision apocalyptique d’un ver des sables dévorant des villes sur d’autres planètes que celle d’Arrakis, du sang et du feu, ainsi que deux lumières – des yeux ? un vaisseau spatial ? – émanant de ce qu’elle a nommé «Tiran-Arafel». Il s’agit selon elle d’un «jugement divin prononcé par un tyran», une noirceur indicible susceptible de mettre en péril l’existence même de la Communauté des Sœurs. Et de l’humanité toute entière…

États-Unis : 2024
Création : Alison Schapker, Diane Ademu-John
Acteurs : Emily Watson, Sarah-Sofie Boussnina, Chloe Lea
Éditeur : HBO / Warner Bros
Durée : 6h30 environ

Le Blu-ray 4K Ultra HD de Dune : Prophecy – Saison 1 édité par HBO / Warner Bros est en vente dans un superbe SteelBook aux couleurs de la série.

Côté images :  le niveau de détail est d’une finesse  vraiment rare , et la technologie HDR apporte aux couleurs un punch sans oublier  des reflets vraiment épatants.

Côté son : C, la VO est proposée dans un mixage Dolby Atmos superbe, riche en basses, tandis que la VF est proposée avec un mixage Dolby Digital 5.1 .

Je vous laisse la surprise pour les suppléments, nombreux!

ARVE Error: Mode: lazyload not available (ARVE Pro not active?), switching to normal mode

Rating:

C’est une nouvelle tendance que de sortir  des films très anciens, comme par exemple LA STRADA de Federico Fellini (1954), LA REGLE DU JEU  de Renoir (1939) ou des films qui , sans marque le cinéma, avaient connu le succès tels que LE GORILLE VOUS SALUE BIEN (1956) et la suite, un an plus tard,  sans Lino Ventura : LA VALSE DU GORILLE avec Roger Hanin et Charles Vanel.

la bande annonce:

 

le film annonce:

Si on peut comprendre la démarche pour les deux chefs d’œuvre cités en premier, on peut se poser la question pour les ‘Gorilles’ tout comme des films tout droits sortis de l’oubli, comme ZIG ZIG qui, en 1974 avait pour seul côté positif la présence de Catherine Deneuve et Bernadette Lafont à son générique. Je pousserai le bouchon encore plus loin avec un film qui connut un vrai succès populaire lors de sa sortie, qui réunissait les Charlots et Paul Préboist, sous la baguette de Claude Zidi en 1972, mais qui aujourd’hui pourrait se classer parmi les nanars du cinéma français. Désolé pour Claude Zidi qui nous a quand même offert d’excellents films populaires comme LA MOUTARDE ME MONTE AU NEZ, LA COURSE A L’ECHALOTTE ,(à voir absolument dans la version restaurée! grandiose) sans oublier L’AILE OU LA CUISSE, LA ZIZANIE, L’ANIMAL , INSPECTEUR LA BAVURE ou encore LES RIPOUX.  Il est fort probable que ces monuments du rire bénéficient eux aussi, dans les mois à venir d’une restauration 4K , et je serai le premier à en dire tout le bien que j’en pense.

En fait, un gros éditeur :Pathé pour être honnête a décidé de sortit l’intégralité de son catalogue….ce qui représente 1700 films restaurés en 4K donc pour passer à la postérité, et vu les sorties en cours et celles à venir, la méthode c’est 1 grand film pour un nanar sur le total du catalogue, même avec un rythme rapide , cela va prendre quelques années.

 

 

Rating:

Décidément, les bonnes surprises sur grand écran sont légion en ce début d’été. On ne peut passer sous silence des films comme MISSION IMPOSSIBLE ou LILO & STITCH.  Mais la meilleure des surprises, à mon avis, est le film DRAGONS. Le titre avait connu un franc succès avec 3 films d’animation, et l’exploit est de le découvrir en images réelles! Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est une réussite totale.

Sur l’île  de Beurk,  depuis des générations Vikings et dragons s’affrontent sans merci. Mais le jeune Harold fait figure d’exception. Effacé, écrasé par la stature de son père, qui est le chef de la tribu Stoïk, ce jeune rêveur défie des siècles de tradition en se liant d’amitié avec un dragon nommé Krokmou. Leur lien improbable va révéler la vraie nature des dragons et remettre en question les fondements mêmes de la société viking. Harold va devoir trouver sa voie, qui sera aidé par le forgeron du village, Gueulfor et de sa copine Astrid. Mais une dangereuse créature réémerge des brumes du passé, menaçant à la fois les Vikings et les dragons, et c’est l’amitié entre Harold et Krokmou qui semblerait  être la clef d’un nouvel avenir.  Et si tout changeait avec ces héros?

Night Fury dragon, Toothless in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

(from left) Hiccup (Mason Thames) and Night Fury dragon, Toothless, in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Stoick (Gerard Butler) in Universal Pictures’ live- action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Voilà un film en images réelles, avec des dragons volants, des jeunes héros, qui va vous transporter dans ce monde imaginaire….qui nous semble être totalement réel. J’aurais aimé faire partie de ces héros, de ces aventures vraiment hors du commun, tout en réalisant que j’avais déjà vécu une partie de ces aventures dans les films d’animation Dragons et Dragons 2 en 2010 et 2014 voire en 2019 avec le 3ème volet en animation.

N’hésitez pas une secondfe, courrez vers le cinéma le plus proche qui affiche le film? Que vous soyez un junior, un ado, un adulte ou un senior, vous allez vous régaler et pas qu’un peu!!!

(from left) Night Fury dragon, Toothless, and Hiccup (Mason Thames) in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Mason Thames (right) as Hiccup with his Night Fury dragon, Toothless, in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

(from left) Night Fury dragon, Toothless, and Hiccup (Mason Thames) in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Mason Thames (right) as Hiccup with his Night Fury dragon, Toothless, in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Et on sait déjà que le suite en images « réelles »  de Dragons est prévu pour une sortie sur les écrans, sans que l’on puisse d’ores et déjà communiquer sur le date de sortie.

la bande annonce :

Rating:

Voilà un film étonnant. On se demande où on va dans les premières minutes, et l’histoire s’amplifie totalement tout au long du film.

Certes le visuel sur la jaquette nous laisse entrevoir qu’il s’agit d’un film fantastique, et le film ne saurait déplaire, qui va crescendo jusqu’au final, que je me garderai bien de vous dévoiler.

Certes j’aime beaucoup me retrouver dans une salle obscure pour voir un film; et plus particulièrement quand il s’agit de mastodontes comme on en voit fleurir chaque année, et actuellement ces films ne manquent pas, et encore on n’an pas encore vu le Jurassic, ni le F1.

Là, avec Companion on est très loin de ces budgets, c’est quasiment un film d’auteur, écrit et réalisé par Drew Handcock avec des acteurs pas vraiment connus : Sophie Thatcher ( ne pas confondre avec Margaret (lol), Jack Quaid (pas Denis) et Lukas Gage. Résumer le film serait trop difficile si on ne veut pas dévoiler l’intrigue. Je tente toutefois  de recopier ce qui résume les premières minutes du film : Nous entrons dans un monde futuriste où les robots « companions » sont programmés pour aimer sans condition, Companion suit Iris, une androïde qui ignore sa véritable nature. Manipulée par Joshua, son propriétaire machiavélique, elle devient l’instrument d’un complot macabre , voilà tout ce que je peux vous dévoiler

Josh et Iris semblent incarner le couple parfait. Mais lors d’un week-end entre amis dans un chalet isolé, alors que tout va bien, un secret bien gardé fait tout basculer…et il faut bien s’accrocher.

OK, je ne dévoile en rien l’intrigue, en vous donnant le sous titre sur la jaquette : Elle tuerait pour vous… COMPANION est un film étrange, et à certains moments il faut avoir le coeur bien accroché. Vous voyez le petit 16 sur la jaquette qui signifie que le film est interdit aux moins de 16 ans, mais que le DVD / Bluray /4K est interdit aux moins de 12 ans. La classification cinéma / DVD est assez incompréhensible, mais bon,, j’ai plus de 16 ans (si, si….)donc j’ai pu le voir jusqu’à la fin.

Les amateurs de ce genre de film vont se régaler, ceux qui n’aiment pas la violence ou le sang devront passer leur chemin. Je ne prétend pas que c’est un chef d’œuvre, loin s’en faut, mais je suis rentré assez rapidement dans le film, et je suis resté sur mon siège jusqu’à la fin. Le film dure environ 97 minutes et je peux vous assurer que le voir en 4K double les effets, que ce soit en visuel ou côté son. Certes ce n’est pas le chef d’œuvre de l’année, mais si vous avez le cœur bien accroché, vous ferez comme moi et ne voudrez pas manquer le dénouement. Vous remarquerez que je ne dis pas grand chose sur le film et ses détails, mais je pense que l’effet de surprise est de mise.

Allez, encore quelques photos :

 

Coté technique : Le 4k  Ultra HD est magnifique

côté langues :Anglais (Dolby Digital 5.1) Français (Dolby Digital 5.1) Italien (Dolby Digital 5.1), Allemand (Dolby Digital 5.1), , Espagnol (Dolby Digital 5.1),

Sous-titres : ‏ : ‎ Français, Espagnol, Néerlandais

la bande annonce :

Rating:

Une histoire que peu de nous connaissent vraiment, celle d’une reine du music hall, Joséphine Baker.

En 1969, elle a tout perdu, sa fortune, son château, et quasiment sa célébrité. Mais c’est sans compter sur Jean Claude Brialy qui est alors au début de sa carrière. Le cinéma français le découvre, et Jean-Claude se fait un devoir d’aider cette grande Dame et veut la voir remonter sur scène>. C’est pour cela qu’il rachète un cabaret : LA GOULUE.

Mais alors que Paris voit révolution culturelle et révolution historique il va falloir que ces 2 personnes fassent beaucoup d’efforts pour s’en sortir. La pièce raconte une histoire vraie que peu de personnes connaissent ou ont vécus. Ils  vont en franchir des obstacles. En fait l’histoire n’avait jamais été racontée. On se souvient se Joséphine Baker grande star du music hall de l’après guerre et de son retour sur la scène de Bobino.

J’ai vibré à cette histoire superbement racontée et mise en scène par Coralie Baroux sur un texte co-signé Clair Jazz zt Franck Le Hen.

Retrouver Franck devant notre caméra est toujours un plaisir et je n’allais pas me le refuser :

N’hésitez pas une seconde, ce spectacle c’est une heure et demie de bonheur

C’est actuellement tous les samedis à 17h00 au Théâtre de Passy:

tarifs :

— 39€ Carré Or
— 32€ 1ère catégorie
— 26€ 2ème catégorie
— 15€ visibilité réduite

Renseignements et réservations au 01 82 28 56 40

Mur Mure… Les murs ont des oreilles, et un cœur  et l’amour est de l’autre côté de la cloison !

Machine est une pianiste de talent. Enfin chez elle, elle va pouvoir se concentrer sur son concours de piano. Elle a décidé de prendre en main sa vie. Malgré sa grande sœur qui ne la pense pas capable d’être indépendante, de son mentor et professeur de musique pour qui elle est une éternelle élève.
Bien sûr le loyer est étrangement faible, même si le studio n’est pas un palace. Une fois seule, enfin débarrassée de son envahissante sœur, elle s’installe dans son nouveau royaume. Mais des bruits terribles, un tableau qui tourne, et une ambiance de manoir hanté, résonnent. Elle est vite terrorisée. Elle prend sur elle, elle ne veut pas donner raison aux oiseaux de mauvaises augures qui ont prédit qu’elle est incapable de vivre seule. A nous deux le fantôme…Très vite, elle comprend que de l’autre côté du mur vit un ours mal léché, et ce n’est pas rien de le dire.  Inventeur de génie, Machin veut une tranquillité absolue pour créer. Après une guerre d’usure des deux locataires, un badinage cloisonné va s’établir entre l’hyper timide et le misanthrope acariâtre. Ils ont
tous les deux beaucoup de points communs, ils sont un peu des OVNIS du monde moderne, ils n’aiment pas les réseaux sociaux, ils fuient un peu une société trop bruyante.
Petit à petit, une liaison sans contact les lie, ils ne veulent pas se voir, la puissance de leur voix, de leur imagination cimentent une histoire d’amour. La sœur de Machine est une amoureuse insatisfaite, l’ami souffre-douleur de Machin n’est pas un Don Juan, ils sont les confidents de cette relation mitoyennes hors du commun.

photo : ©Émilie Brouchon

Photographe : ©Émilie Brouchon

Jérémie Lippmann a choisi un décor mobile, un plateau tournant qui permet d’être dans l’un ou l’autre appartement. Le dispositif de Jacques Gabel insuffle un rythme soutenu. Boris Terral est à la fois le pygmalion détestable de Machine, et le rendez-vous malheureux de notre jolie pianiste. Il est très drôle et diablement séduisant.

MUR MURE – THÉÂTRE DE LA MICHODIÈRE
Texte de Lilou Fogli
Mise en scène de Jérémie Lippmann
Avec : Clovis Cornillac, Laurence Arné, Lilou Fogli, Arnaud Maillard et Boris Terral
Photographe : ©Émilie Brouchon

La comédie de Lilou Fogli est adaptée du film Un peu, beaucoup, aveuglément réalisé par Clovis Cornillac en 2015. Le passage sur scène est une réussite totale. Laurence Arné est absolument délicieuse, tendre et charmante. Clovis Cornillac aime beaucoup composer l’ours mal léché et atrabilaire. Lilou Flogli, Arnaud Maillard et Boris Terral sont épatants. Cette comédie romantique fait du bien, la fin est attendue, le public n’aurait pas aimé qu’il en soit autrement. On en ressort le cœur repeint en rose, et heureux.

Marie Laure Atinault, avec la (petite) collaboration de Guy Courthéoux

La bande annonce:

https://youtu.be/w5J2Z46D8XQ

MUR MURE – THÉÂTRE DE LA MICHODIÈRE
Photographe : ©Émilie Brouchon

Mur Mure
De Lilou Fogli
Mise en scène de Jérémie Lippmann
Décors : Jacques Gabel
Lumières : Jean-Pascal Pracht
Avec Clovis Cornillac, Laurence Arné, Lilou Fogli, Arnaud Maillard
et Boris Terral

Théâtre de La Michodiére

Représentations :

Du mercredi au vendredi à 20h
Le samedi à 16h30 et 20h30
Le dimanche à 15h

Durée : 1h45

Réservation 01 86 47 68 62

Rating:

William Arribart vous invite, avec vos enfants pour un voyage musical et magique dans l’Ile des Rêves, qui se joue actuellement au 13éme Art, place d’Italie à Paris, avant de poursuivre sa tournée dans toute la France.

C’est sur un texte écrit et mis en scène par Samuel Bousard, et des musiques de Simon Orlando que les comédiens jouent avec des décors changeants, sur une île imaginaire conçue par William Arribart. On nous promet un « musical magique familial, et on tient ses promesses. Si les adultes vont apprécier, les plus jeunes vont adorer. Le spectacle doit pouvoir se joue dans des théâtres aux capacités différentes, on comprend aisément que les décors peuvent être bouleversés en quelques secondes. Les comédiens endossent souvent plusieurs rôles, et il faut donc saluer les performances de tous, . William Arribart, mais aussi Valentin Davy, Chloé Roy, Tiffany Leonard, Mathieu Girard et Rozenn Simonet. Les chansons ont été composées par Simon Orlandi sur des paroles de Pauline Ho Van, sans oublier les costumes  créés par Vanessa Vierne.

Pour vous donner une idée de ce que vous pouvez découvrir dans ce spectacle, 2 des protagonistes, William et Tiffany sont venus devant note caméra pour nous en parler :

 

Et voici quelques photos pour vous donner un tout petit aperçu de ce que vous allez découvrir:

 

Toutes les photos : @ Benjamin Corrichon

les dates Parisiennes : jusqu’au 27 avril, du mardi au samedi à 15h00 et dimanche à 16h30

Pris des places de 25€ à 49€ réservations : 01 48 28 53 53 et www.le13emeart.com