Archives

All posts by Guy Courtheoux

Rating:

Emilia Perez, le film de Jacques Audiard, c’est vraiment une énorme claque. A voir absolument en bluray ou mieux encore en 4K ULTRA HD

Ce n’est pas tous les jours qu’on voit un film at que l’on prend vraiment une grosse claque, et c’est ce qui m’est arrivé avec un réalisateur que je classe désormais comme l’un des plus grands de sa génération : Jacques Audiard. Certes il de qui tenir, son père Michel Audiard fut un des plus grands scénaristes et dialoguistes français si ce n’est le meilleur  entre les années 50 et 80, qui s’est amusé à réaliser quelques comédies loufoques  . Bon sang ne saurait mentir, son fils a quand même mis en scène : De battre mon cœur s’est arrêté ou Un Prophète entre autres, et qui depuis ses débuts derrière la caméra a collectionné les récompenses, Césars, Cannes comme d’autres collectionnent les tableaux. Je crois que vous avez déjà compris que j’étais admirateur de Monsieur Jacques Audiard, et qu’après Emilia Perez, je suis prêt à créer son fan club, si ce n’est déjà fait.

Le film a raflé de très belles récompenses aux Golden Globes en plus de celles récoltées à Cannes (prix du jury et prix d’interprétation) : prix du meilleur film international, de la meilleure comédie, de la meilleure actrice dans un second rôle pour Zoe Saldaña, et de la meilleure chanson. Et ce n’est pas fini, car il est dans la ligne de mire pour quelques Oscars à Hollywood.

Rita use de ses talents d’avocate au service d’un cabinet plus enclin à blanchir des ordures criminelles qu’à servir la justice, elle fait office de main d’œuvre alors qu’elle est plus que qualifiée . Mais une porte de sortie inespérée autant qu’incroyable se présente à elle, une proposition difficile à refuser si on n’a pas froid aux yeux : aider le chef de cartel Manitas à se retirer des affaires et disparaître à jamais. Manitas a un plan qu’il peaufine en secret depuis des années : devenir, enfin, la femme qu’il a toujours rêvé d’être. Voilà pour le début de l’histoire. Tout cela sous fond musical, comme une comédie musicale ( pardon, nous sommes plus proche de la tragédie que de La Mélodie du Bonheur). 

C’est un film à la gloire des femmes, d’ailleurs les actrices Zoe Saldana, Karla Sofia Gascon, Adriana Paz et Selana Gomez se sont partagées le prix d’interprétation féminine lors du dernier Festival de Cannes. À 52 ans, Karla qui a entamé sa transition de genre à 46 ans en 2018, est la révélation de ce film dont elle tient le rôle principal : celui d’un narcotrafiquant qui se sent profondément femme et change de genre pour changer de vie. Mais il s’aperçoit du manque qu’il ressent envers ses enfants, et va vouloir les revoir.  Le film ne se raconte pas, je vous en ai dévoilé la trame, mais il faut le voir, le vivre pour comprendre qu’on ne ressort pas indemne du cinéma. La violence est d’usage, elle est omniprésente et va crescendo. Pourtant je n’ai pas ressenti l’envie de mettre mes mains devant les yeux pour cacher certaines violences.

Ce film est certes à réserver à un public adulte et averti mais si on aime le cinéma en tant qu’œuvre, on ne doit pas manquer ce film inclassable qui m’a vraiment pris aux tripes . On est très loin de Spielberg et encore plus de Disney, de James Cameron, de Visconti ou Pasolini. Jacques Audiard nous entraine dans un monde de violence dont on ne sort pas indemne, même s’il a su suggérer plus que montrer, et c’est peut-être là qu’il faut le féliciter.

Ce film est aussi et dirais je surtout musical avec des chansons de Clément DUCOL et Camille, et des chorégraphies de Damien JALET qui valent plus que le détour, et c’est un vrai fan de comédies musicales qui vous le dit.

Quelques détails techniques sur le BLURAY et le 4K:

‎ Français (DTS-HD 7.1) et Espagnol Dolby Atmos compatible 7.1 Dolby True HD, piste audiovision stéréo DTS HD MA.

Nombreux suppléments / entretien avec le réalisateur

Le film annonce :

 

 

 

Le Paradis Latin innove régulièrement et depuis quelques semaines, 2 nouvelles têtes d’affiche sont les stars de MON PREMIER CABARET

Quelle raison d’attendre pour les interviewer?

Voilà le résultat :

 

 

 

Et si on parlait des adultes? Voilà l’entretien avec le nouveau chef du Paradis Latin, François Courcier, qui vous dévoile quelques plats, créés par Guy Savoy pour que les palais exigeants soient totalement satisfaits

 

Rating:

LES 1000 Scènes du Palais des Congrès Paris, entretien avec les 2 auteurs : Djénane Kareh Trager et Eric Bureau…

 

Il y a quelques jours, je vous parlais du superbe livre sur Sylvie Vartan, avec un entretien avec son auteur : SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin. Revoilà la plus belle pour aller danser en couverture d’un autre beau livre, cette fois consacré au Palais des Congrès qui avait accueilli Sylvie et sa troupe en 1977, Sylvie qui a été maintes fois sur cette immense scène et y fera ses adieux un dimanche après midi en Janvier. Elle n’a pas été la seule à s’y produire, mais elle restera pour toujours celle qui en a foulé la première fois cette scène immense.

N’est-ce pas une raison suffisante pour en parler. Aloes retrouvons nous avec les 2 auteurs : Djénane Kareh Trager et Eric Bureau pour un petit entretien dans les locaux du Parisien à Paris 15 :

 

Le livre est abondement illustré. Comme le disent les auteurs, il est impossible de citer tous ceux qui sont montés sur cette scène prestigieuse depuis 1977. Personnellement hormis les concerts de 1977 où je n’étais pas encore parisien, j’y ai vu nombre de grands comme Charles  Aznavour, Liza Minelli Serge Lama sans oublier les comédies musicales célèbres, comme la création se Starmania avec des dizaines de téléviseurs sur la scène  et où les stars avaient pour nom France Gall et Michel Berger,  Daniel Balavoine, Diane Dufresnes, René Joly, Fabienne Thibaut et Nanette Workman. . Ce ne fut pas la dernière fois que j’y ai applaudi des « musicals, comme par exemple Roméo et Juliette, Notre Dame de Paris, et il est impossible de ne pas parler de Chantal Goya, qui battra les records de fréquentation,  vu qu’elle établira le record dans ses concerts de 2025. J’y ai vu certains bides, et des spectacles qui s’oublient sitôt vus, mais gardons les meilleurs, qui nourrissent nous souvenirs. C’est tout l’intérêt de ce bel ouvrage, qui mériterait un ou 2 tomes supplémentaires.

L’ouvrage de 200 pages est disponible au prix de 40€

WILLOW, réalisé par Ron Howard avec Val Kilmer et Joanne Whalley et produit par Georges Lucas sort en 4K Ultra-bluray

Je me souvenais avoir vu ce film il y a très longtemps, mais je l’ai totalement re-découvert dans sa version 4K qui est absolument magnifique. Alors remontons le temps et revenons en 1988, où Ron Howard nous proposait un peu d’héroïc Fantasy avec ce film, produit par Georges Lucas… Il avait déjà connu de beaux succès au box office avec Splash et Cocoon et n’en restera pas là avec des oeuvres comme Backdraft, Horizons Lointains, Apollo 13, The Grinch, ou encore le Da Vinci Code parmi tant d’autres films mémorables.

Au casting de ce Willow, Val Kilmer et Joanne Whalley et surtout Warwick Davies, qui a un rôle merveilleux que celui d’un homme de petite taille, qui voudrait être magicien, et qui, au départ vit dans un village où tous sont de sa taille, avec une belle famille, et c’est l’arrivée inopinée d’un bébé, que la méchante reine Bavmorda (Jean March) veut absolument détruire, car les mages ont prédit un destin funeste si le bébé reste en vie…Vous comprenez que ce n’est pas facile dé décrire plus avant. L’apprenti sorcier se doit de protéger le bébé, et va donc partir sans savoir de quoi il en résulte et son chemin va croiser celui de Madmartigan (Val Kilmer). Je me garderai de vous en dévoiler plus. Mais je suis resté scotché à mon écran  jusqu’à la dernière image. Le film n’a pas pris une ride, même si les effets spéciaux en étaient encore à leurs balbutiements, vu que le film date de 1988, et que les effets spéciaux  avaient pris de l’importance avec Star Wars, une dizaine d’années plus tôt. Et tout est parfait à ce niveau, où les effets entre les mini nains,( taille d’un doigt), les nains, et les humains sont vraiment superbes;

Quand je dis que le film n’a pas pris une ride, c’est vrai, même s’il est certain que si le film devait faire l’objet d’un remake de nos jours, il pourrait être perfectionné, mais pas changé à 100%. La qualité de ce 4K est remarquable, et les éditeurs ont compris que le 4K était l’avenir, en proposant 2 disques dans le fourreau : le 4 K  et le Bluray ‘normal’  où vous aurez en suppléments : Des scènes coupées présentées par Ron Howard, mais aussi : *Willow un héros improbable +le journal Vidéo de Warwick Davis, un making of, les coulisses d’une aventure avec Ron Howard, et un petit documentaire : du ‘morf’ au ‘morphing’ avec Denis Muren – Matta Paintings.

Présentation des 2 disques :

le 4k UltraBluray 2160p 16/9 2.39

  • Langue ‏ : Anglais (DTS-HD 5.1), ‎Français (DTS 5.1), Français (DTS-HD High Res Audio Polonais (Dolby Digital 5.1), Italien (DTS 5.1), Allemand (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Allemand (DTS-HD High Res Audio),, Castillan (DTS 5.1), Japonais (Dolby Digital 5.1)
  • Sous titres :  Français, Néerlandais,  Allemand, Castillan

le bluray : 1080p haute def 16/9, 2.39

son : DTS  5.1 : français, , allemand, espagnol, italien, castillan et anglais en DTS 5.1

la bande annonce

 

 

Le prix du brigadier remis chaque année au Théâtre Montparnasse est devenu un incontournable pour le monde du théâtre …

voici simplement les discours de remerciements des lauréats

Maxime d’Aboville :

 

Geneviève Casile:

 

Delphine Depardieu :

 

Jacques Rouveyrollis

 

 

 

Rating:

Des ‘Alien’ sur grand écran, puis en vidéo cela ne manque pas depuis le  premier  opus en 1979  signé Ridley Scott avec Sigourney Weaver. Puis celui de James Cameron en 1986, le 3 de David Fincher en 1992 et ce n’est pas fini, Jean-Pierre Jeunet prit le relève en 1997 avec Alien Résurrection alors que Ridley Scott s’attelait aux 2 suivants : Prometheus et  Alien Covenant en 2012 et 2017.  Ce nouveau film Alien Romulus est signé Fede Alvarez où un groupe de jeunes gens va devoir affronter les Xénomorphes.

 

Alors qu’il entreprend des fouilles dans une station spatiale abandonnée, un groupe de jeunes voyageurs se retrouve confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers… et bien entendu, perdus dans l’espace, ils ont bien peu de chances de s’en sortir. Les jeunes interprètes ( Cailey Spaeny, David Jonsson, Isabella Merced et Archie Renaux sont plutôt convaincants et tous les autres sont des inconnus, comme Spike Fearn, Aileen Wu,  ). Si on voit le nom de Ridley Scott au générique…ce n’est pas parce qu’il a réalisé le film, mais c’est qu’il l’a produit. Donc une certaine garantie de qualité que de voir sa signature sur ce 7 opus. Et il faut bien avouer que cette suite réussit à garder toute notre attention. On sait ce qu’on va voir, et on ne peut pas être trop surpris. Sans être un très grand film, cela se laisse regarder avec la dose de frissons qui tient ses promesses. le scénario est l’œuvre de l’uruguayen  Rodolfo Sayagues

(L-R): Cailee Spaeny as Rain Carradine and David Jonsson as Andy in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo by Murray Close. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Cailee Spaeny as Rain Carradine in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Xenomorph in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Les surprises  et les différents aliens vont réjouir les spectateurs. Je ne dirai pas que c’est le meilleur, mais ce n’est pas non plus le pire de la série.  On ne s’ennuie pas, on frémi souvent et c’est quand même ce qui nous pousse à aller voir ce genre de films

David Jonsson as Andy in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Isabela Merced as Kay in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Aileen Wu as Navarro in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Les caractéristiques techniques : SORTIE LE 18 DECEMBRE  PRIX AMAZON : 29.99€

POUR LE 4 K

Langues :

Dolby Digital Plus : Français, Allemand Italien

Dolby Atmos 7.1 : Anglais

Digital Surround 5.1 : Espagnol Castillan

Dolby Digital 2.0 Anglais audio description

Pour le Bluray :

Dolby Digital Plus 7.1 : Français et Allemand

DTS HDMA 7.1 : Anglais

Dolby Digital 2.0 Anglais audiodescription

 

  • Sous-titres : ‏ : ‎ Finnois, Italien, Castillan, Danois, Polonais, Néerlandais, Allemand, Norvégien, Français, Suédois, Tchèque

le film annonce :

 

 

Rating:

SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin

Après avoir passé la plus grande partie de sa vie  sur scène, Sylvie Vartan nous a annoncé, il y a quelques mois, que c’est fini. Elle quitte la scène fin janvier, et la décision e »st définitive. Elle affiche 80 printemps, et a commencé à se produite sur scène alors qu’elle n’avait que 16 ans. Ses admirateurs sont nombreux, très nombreux et les 2 fois 3 soirées, celles au Dôme de paris, terminées, et celles fin janvier au Palais des Congrès marqueront donc la fin d’une époque, et nous sommes nombreux  à nous remémorer ses passages sur scène. Pour ma part, je n’ai pas compté, mais je pense l’avoir vu à de nombreuses reprises, mais toujours à Paris, dans diverses salles, et lors de rendez-vous o=pour des entretiens. Olympia, Palais des Sports / Dôme de Paris, aux Folies Bergère, au Casino de Paris, à la salle Pleyel, au Théâtre Edouard 7,  et même en plein air, en banlieue parisienne, où elle avait donné un petit concert estival il y a quelques années.  Je n’oublie pas certains concerts de sa tournée intime commencée au Théâtre Edouard VII.

Si Benoit Cachin a travaillé sur ce livre, il ne l’a pas fait en solitaire, Sylvie s’est remémoré, comme vous pourrez le lire, ses souvenirs de ces spectacles, de ses concerts à ses débuts en première partie de Gilbert Bécaud en 1961, le concert de la place de la Nation aux côtés de Johnny  Hallyday en 1963, puis la tournée d’été avec Claude François  qui suivit, et un an plus tard le fameux Olympia avec Les Beatles. On connait la suite, avec de grands moments dans la salle mythique de Bruno Coquatrix, boulevard des Capucines à Paris, et enfin les grandes salles comme le Palais des Congrès où elle s’est produite devant des milliers de spectateurs dans cette immense salle à de nombreuses reprises : en 1975 où ce fut un triomphe. Elle y est revenur de nombreuses fois, toujours pour de longues semaines, avant de tenter le Palais des Sportzs ( maintenant appelé Le Dôme de Paris)

Vous saurez tout sur ces spectacles avec le superbe livre de Benoit Cachin, que vous allez découvrir en entretien exclusif :

 

Pour les collectionneurs, les vidéos de ces spectacles ont été éditées : en voici les jaquettes :

 

 

Il y en a quelques autres :

Il en manque quelques uns,, c’est certain, mais je ne possède que les DVDs, alors que les cassettes vidéos sont abimées. Il n’y a , à ce jour qu’un seul spectacle en format BluRay, c(‘est la dernière série de concerts à la salle Pleyel. Espérons que le spectacle du Dôme et du Palais des Congrès seront filmés, et qu’il existera DVD + Bluray et , peut-on l’espérer le 4K ultra HD..

Le très beau livre de Benoit Cachin, en collaboration avec Sylvie Vartan et disponible , vendu 39.95€

Rating:

Quand on m’a proposé un spectacle avec un pianiste seul en scène, j’avoue que j’y allais un peu à reculons. Grand bien m’en a pris d’y aller et de découvrir un spectacle qui m’a captivé dès les premières notes, et cela grâce à un pianiste François Moschetta  qui a co-écrit, vraisemblablement avec sa dulcinée Camille, ce spectacle qui va vous en mettre plein les oreilles.

Difficile de donner le ton de ce spectacle, mais je vais vous dresser le décor: un homme jeune ( 30 ans environ), devant un piano à queue qui va nous parler de Mozart, mais pas de n’importe quelle manière. Il y aura certes du piano classique, et François Moschetta est un véritable virtuose, qui sait nous entraîner, là où il veut qu’on aime ». On est captivé des les premières minutes ( ou dosi-je dire les premières notes) car il joue sans aucune partition. Tout est dans sa tête, ou plutôt dans ses doigts. En fait ce n’est pas un récital, c en’est pas un stand up, , c’est un mélange subtile de ces deux domaines  avec beaucoup d’humour et bien entendu de musique, ce qui est somme toute normal quand on parle de ce musicien de génie qu’a été Wolfgang Amadeus Mozart.

Ce qu’on apprécie c’est ce mélange subtil de texte avec des extraits du célèbre compositeur, mais pas que. Une rencontre s’imposait, et la meilleure façon de vous donner envie de le voir, c’est de le retrouver pour parler devant son piano:

 

Le spectacles est court (1h15) mais on aimerait en voir un peu plus. La salle est sous le charme au bout de quelques minutes et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si on n’est pas un fan du célèbre compositeur. Franchement la salle est conquise dès les premières minutes et montre bien à quel point elle apprécie. N’hésitez pas une seconde, et allez voir MOZART ONE PIANO SHOW. C’est dans la petite salle du Théâtre Libre et vous allez être conquis. Un petit plus, François vous verra, si vous le désirez, à la sortie  où vous pourrez partager vos sentiments sur son spectacle, et c’est tellement rare qu’il fallait le signaler.

François Moschetta est sur scène jusqu’au 29 décembre, du jeudi au samedi à 19.00 et le dimanche à 15h et 17h00 ( avec relâche les jeudis et vendredis en décembre. Il nous annonce être en tournée  à partir de Mai 2025. Mais il a déjà un beau pedigree avec des prix comme L’académie Jaroussky, Prix filleul Charles Cros). Avec lui la musique classique est vivante et personnelle et on a envie de lui dire : Monsieur, on peut en avoir un tout petit peu plus…

Ne manquez pas ce spectacle, c’est un moment que l’on a envie de revivre

Bravo François!