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Après 5 blockbusters à succès, la saga se réinvente, et les spectateurs vont apprendre comment ces personnages ont pu se retrouver sur Terre

1987. Alors qu’il est en fuite, l’Autobot BUMBLEBEE trouve refuge – sous la forme d’une Coccinelle – dans la décharge d’une petite ville balnéaire de Californie. Il est découvert, brisé et couvert de blessures de guerre, par CHARLIE, une ado qui approche de ses 18 ans et cherche sa place dans le monde. Quand elle le met en marche, elle se rend vite compte qu’il ne s’agit pas d’une banale voiture jaune…

Bumblebee & Hailee Steinfeld

Hailee Steinfeld

BUMBLEBEE / Paramount Pictures.

Douze ans après le début du tournage du premier TRANSFORMERS, les créateurs n’en reviennent toujours pas : l’idée simple de faire un film à partir d’un jouet est devenue un phénomène mondial totalisant 4,3 milliards de recettes au box-office. Dans BUMBLEBEE, la saga s’aventure sur de nouveaux territoires. Au début du film, les spectateurs plongent dans l’univers de BUMBLEBEE sur Cybertron. Connu sous le nom de B-127, ce Transformer d’un jaune éclatant est un guerrier redoutable qui se bat depuis des siècles dans le conflit qui oppose les Autobots et les Decepticons. Alors que tout semblait perdu pour les Autobots, B-127 est envoyé sur Terre pour remplir une mission : protéger la planète et ses habitants, dans l’espoir d’en faire un refuge pour ses camarades. Son arrivée se complique lorsque deux Decepticons, SHATTER et DROPKICK, décident de le suivre et d’initier une attaque qui met en danger les habitants de la Terre. L’armée américaine déclare alors naturellement que les espèces extra-terrestres représentent une menace pour l’humanité. BUMBLEBEE tente d’échapper à ses ennemis en prenant l’apparence d’une Coccinelle Volkswagen jaune délabrée, mais lorsque CHARLIE, une jeune adolescente (Hailee Steinfeld), décide de retaper la voiture, elle découvre par mégarde sa véritable identité. Donc nous voilà aux origines de ces Transformers sur Terre, avec une toute nouvelle histoire.

John Cena : Agent Burns, Dropkick et Shatter

John Cena BUMBLEBEE,  Paramount Pictures.

Ce nouvel épisode de Transformers est certes dans la continuation de ce que l’on connaît, mais il est plus frais, beaucoup moins de batailles interspaciales et surtout beaucoup plus de sentiments. On adore cette amitié entre la toute jeune fille et cette Coccinelle. Décidément les Coccinelle Volkswagen doivent être les voitures les plus célèbres du cinéma. On se souvient des comédies des studios Disney avec la célèbre Choupette, mais elle est apparue dans bien d’autres films. En fait avec la 2 CV  du Corniaud, tout comme l’Aston Martin de James Bond ce sont des voitures qui ont marqué le 7ème art. Et l’Aston Martin de James Bond des autres Transformers se fait oublier par la petite Coccinelle.

Blockbusters, donc effets spéciaux, mise en sène efficace de Travis Knight. Parmi les co-producteurs : Steven Spielberg et Michael Bay, et une fois n’est pas coutume saluons l’ingéniosité de la scénariste, Chistina Hodson. Un très bon divertissement, qui ne plaira pas qu’aux petits, pour preuve, je suis loin d’être un ado, et je me suis régalé!

Bumblebee, Hailee Steinfeld / Charlie et Jorge Lendeborg Jr. / Memo  BUMBLEBEE,  Paramount Pictures.

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Bumblebee et Blitzwing

Shatter & Dropkick

Blitzwing dans BUMBLEBEE,  Paramount Pictures.

la bande annonce :

 

 

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Fear the Walking Dead en est déjà à la saison 4. Vous pouvez découvrir cette nouvelle saison ou les 4 réunies en Bluray.

Longtemps après la destruction du barrage de Tijuana, maintenant établis au Texas dans un stade de baseball, Madison et ses amis vont avoir encore à lutter contre de nouveaux ennemis. Dans cette saison 4 de Fear the Walking Dead, Madison Clark (Kim Dickens) et sa famille vont croiser le chemin de Morgan Jones (Lennie Jame : The Walking Dead), qui a décidé de ne pas repartir avec Jesus, Carol et Rick, mais de prendre la route vers le Texas. Ensemble, ils feront face à l’inconnu et à l’incertitude à mesure qu’ils rencontreront de nouveaux amis, de nouveaux ennemis et de nouvelles menaces. Ils se battront les uns pour et contre les autres, et contre une légion d’Infectés, afin de se reconstruire une existence face à la Mort.

Alycia Debnam-Carey : Alicia Clark, Lennie James : Morgan Jones – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Alycia Debnam-Carey : Alicia Clark – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Colman Domingo : Victor Strand, Danay Garcia  Luciana – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Garret Dillahunt : John Dorie, Colman Domingo : Victor Strand – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Garret Dillahunt : John Dorie – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Danay Garcia : Luciana – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Comme toutes les saisons de Fear The Walking Dead, celle-ci est passionnante de bout en bout. Parmi les principaux protagonistes et acteurs: Evan Gamble : Ennis, Sebastian Sozzi : Cole, Kevin Zagers : Melvin,  Alexa Nisenson : Charlie, Aaron Stanford: Jim,  Daryl Mitchell : Wendell, Mo Collins: Sarah, Tonya Pinkins : Martha,  Kim Dickens : Madison Clark,  Franck Dillane : Nick Clarck  , Alycia Debnam Carey : Alicia Clarck, Colman Domingo,  : Victor Strand, Danay Garcia  : Luciana Galvez,   : John Dorie, Jenna Elfman  : June/Naomi/Laura, Maggie Grace : Althea, Lennie James : Morgan Jones

Lennie James : Morgan Jones – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Colman Domingo : Victor Strand – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Jenna Elfman : Naomi, Maggie Grace : Althea – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Jenna Elfman  Naomi – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Alexa Nisenson : Charlie – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Alexa Nisenson : Charlie – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Coffret  4 Blu-ray :  16 épisodes de 45 min.
Coffret Blu-ray™ : Image : 1.78:1 / Ecran : 16/9 Son : Français et Anglais DTS-HD Master Audio 5.1 / Sous-titres : Français

Bonus : – Making-of et Retours sur les 16 épisodes – Sur le tournage avec Jenna Elfman, Maggie Grace, Garret Dillahunt, Colman Domingo – Les acteurs vous présentent les accessoiristes, les costumières et l’équipe des effets spéciaux – Les adieux de Madison – Nouveaux départs

Egalement disponible en coffret intégrale saisons 1 à 4  14 Blu-ray™ 53 épisodes de 45 min. + les bonus des 4 saisons

Garret Dillahunt : John Dorie, Jenna Elfman : Naomi, Maggie Grace : Althea – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Jenna Elfman : Naomi – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Alycia Debnam-Carey : Alicia Clark, Lennie James : Morgan Jones – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

Maggie Grace : Althea – Fear the Walking Dead _ Saison 4, Episode 9 – Photo Credit: Ryan Green/AMC

la bande annonce:

 

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1964 par Robert Stevenson : Julie Andrews, 2018 par Rob Marshall : Emily Blunt,  deux Mary Poppins avec plus de 50 ans de différence : du bonheur sur les écrans. Pratiquement parfaites sous tous rapports!

LE RETOUR DE MARY POPPINS

LE RETOUR DE MARY POPPINS

 

Mary Poppins qui a bercé des générations d’enfants, et de parents revient sur les écrans. Mais ce n’est pas un remake, donc la sublime Julie Andrews n’est pas remplacée dans la même histoire, c’est Emily Blunt qui doit tenter d’être Mary Poppins, , tâche difficile , mais c’est réussi. Le scénario est totalement différent, c’est une autre histoire, mais on retrouve la magie intacte. Les enfants de 1964 ont bien grandi, et ce sont eux qui ont des enfants. Le garçon, Michael Banks (Ben  Wishaw) s’est marié, sa femme décédée récemment et vu qu’un malheur n’arrive jamais seul, un très méchant banquier veut saisir leur maison. Sa soeur, Jane (Emily Mortimer) est d’une aide précieuse à la maison. Celle qui s’occupe de la maison , Ellen est délicieusement interprétée par Julie Walters. L’arrivée de Mary Poppins, comme auparavant par les airs, avec son parapluie magique risque fort de changer la donne.  Le réalisateur, Rob Marshall, à qui on doit la géniale version filmée du musical CHICAGO, remplit sa mission comme il se doit. Dans les premières scènes on retrouve les mimiques de la première mouture, et on s’habitue bien vite à Emily Blunt dans le rôle titre. Il fallait un ami à Mary Poppins, Dick Van Dyke en 1964 était le ramoneur. Il est cette fois les très vieux banquier, père du méchant William Wilkins (Colin Firth).

Emily Blunt

Mary Poppins

Emily Blunt, Joel Dawson , Pixie Davies , Nathanael Saleh

Colin Firth  Emily Mortimer& Ben Whishaw

Mary Poppins pour beaucoup reste mémorable par la scène où personnages réels dansaient avec des pingouins et autres créatures en images d’animation. Et cette fois encore une scène mélange animation et personnages réels avec, outre Mary Poppins et Jack (Lin-Manuel Miranda), les 3 enfants Annabel (Pixie Davies), John (Nathanael Saleh) et Georgie (Joel Sawson). Et une fois encore la scène a toutes les chances de rentrer dans les annales. Il y a aussi la dame aux ballons (Angela Lansbury) dont on ne se lasse pas. Beaucoup de musique, beaucoup de chansons, mais difficile de juger si ces nouvelles chansons composées par Marc Shaiman, Scott Wittman connaîtront le succès de supercalifragili…. des années 60.

Emily Blunt, Lin-Manuel Miranda , Pixie Davies, Nathanael Saleh Joel Dawson

Jack (lin-Manuel Miranda), Annabel (Pixie Davies), Georgie (Joel Dawson), John (Nathanael Saleh) & Mary Poppins (Emily Blunt)

Honnêtement la magie opère, mais je mettrai un petit bémol. Les enfants  ne sont pas habitués à des productions de cette longueur ( le film dure environ 2h10). Certes le premier film toujours énorme succès en DVD et Bluray durait déjà 2h14, qui avait quand même été couronné par 5 Oscars dont celui de meilleure actrice pour Julie Andrews) et pourtant semblait durer beaucoup moins.  La magie va-t-elle opérer? les titres en français, comme en version originale connaîtront-ils le même succès ( en particulier pour remplacer le cultissime Supercalifragili…) qui  est en français Luminomagifantastique, vous en jugerez selon la version que vous aurez choisie. Personnellement j’ai toujours détesté au plus haut point la pauvre voix française attribuée à Julie Andrews, et j’espère que celle de la version 2018 sera plus performante. Passons au j’ai adoré : la scène avec Meryll Streep, qui est une pure merveille!

Emily Blunt, Meryl Streep, Pixie Davies  Nathanael Saleh

Les enfants, tout comme les parents en prennent plein les yeux. C’est le cadeau de Noël des productions Disney pour toute la famille.

Emily Mortimer

Mary Poppins (Emily Blunt) .

 

les bandes annonces:

 

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Un voyage au pays des 7 mers, qui passe par Atlantide, avec des rois des mers, de curieuses créatures marines et des tonnes d’effets spéciaux!

Son père, Tom Curry, (Temuera Morrison)  est gardien de phare. Un soir il découvre une étrange créature échouée sur le rivage, Atlana (Nicole Kidman), . Ce sera le grand amour. Mais elle est reine  d’un  royaume aquatique, et le fruit de leurs amours héritera des deux. Mais lorsqu’Arthur a atteint l’âge adulte , il va devoir essayer de retrouver sa mère, accompagnée d’une princesse naïade. C’est ainsi que l’on apprend  les origines d’Arthur Curry, mi-homme, mi-créature de l’Atlantide (Jason Momoa), qui l’entraîne dans le périple de sa vie. Une aventure qui l’obligera non seulement à accepter sa véritable identité, mais à savoir s’il est digne de son destin : être né pour devenir roi.

Le film ne manque pas de personnages pittoresques. Ni de méchants, ultra méchants, comme le demi frère d’Arthur, Orm (Patrick Wilson) qui voudrait régner sur toutes les mers et anéantir toutes les terres! Il y a aussi un méchant pirate, David Kane (Yahya AbdulMateen ), dont le père meurt par la faute d’Arthur. Mais il y a les personnes qui vont aider Arthur, tout particulièrement Mera (Amber Heart) et Vulko (Willem Dafoe), sans oublier le roi Nereus (Dolph Lungren).

Je dois avouer que je suis allé voir ce film un peu à reculons. L’affiche ne me plaisait pas trop, le personnage principal au physique de rugbyman n’éveillait pas non plus mon intérêt. Seule la bande annonce laissait présager des bons effets spéciaux. Et heureuse surprise, j’ai vu le film au Pathé Beaugrenelle , dans la grande salle, avec le son Dolby Atmos, et je suis rentré dans le film au bout du pré-générique. L’histoire m’a captivé, les créatures sont un régal pour les yeux, que ce soit les poissons multicolores, comme certaines créatures sorties tout droit des enfers aquatiques. Certes le film dépasse les 2h20, mais je vous garantis que vous ne vous y ennuierez pas une seule seconde. Les personnages évoluent à l’aise dans l’eau et au bout de 3 minutes, rien ne nous étonne de les voir parler, se mouvoir dans l’eau comme sur la terre.  James Wan, le réalisateur, a vraiment réussi ce pari d’adapter le comic sur sur écrans.

Nicole Kidman est toujours aussi belle,  Amber Heart n’a rien à lui envier. Tout est réuni pour que ce film plaise au plus grand nombre. Les plongeurs (comme moi), ceux qui ont des aquariums chez eux, ceux qui se passionnent pour tout ce qui touche à la mer. J’étais comme un enfant devant ces images d’une beauté remarquable. Et je ne parle pas des combats, qui sont des merveilles de précision.

Vous l’avez compris, voilà  un très bon film pour cette période de fêtes.

En voici le film annonce en VOST :

et en version française et longue:

 

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Comédienne adorée des français, auteur de talent, Anny Duperey revient pour quelques jours sur la scène du Théâtre Edouard VII

Ce n’est pas vraiment un seul(e) en scène, vu qu’elle est accompagnée par Simon Mimoun au violon, ce n’est pas vraiment une lecture de son livre Les Chats du Hasard, parce que cette comédienne adorable vit son histoire, nous captive, joue, virevolte, devant une salle subjuguée. Quel talent! que de bonheur dans cette belle salle, la mise en scène est parfaite, signée Ninon Brétecher ! On pourrait rester des heures à l’écouter, à la regarder, et plus particulièrement si on a un animal à 4 pattes, félin si possible. On se sent concernés, on écoute encore plus attentivement.

Ce ne fut pas ma première rencontre avec cette immense comédienne, nous nous étions rencontrés dans un Festival de cinéma dans les sommets d’Avoriaz, il y a bien des années. Mais le plaisir de l’interviewer est resté intact :

Profitez des dernières représentations avant la fin de l’année, ne vous laissez pas immobiliser par des gilets quelque soit leur couleur. Venez passer un pur  moment de délices .

Les Chats de Hasard, c’est au théâtre Edouard VII, 10 place Edouard VII (tout proche de l’Olympia)

Du jeudi au samedi à 19h00 et les dimanches à 18h00, jusqu’au 30 Décembre

Réservations au 01 47 42 59 92

ou www.theatreedouard7.com

 

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Question : qu’est-ce que l’hypnose? Réponse selon le site de Cyrille Arnaud :

L’Hypnose est en fait un état modifié de conscience. Lorsqu’un sujet est sous hypnose, il demeure conscient (il ne dort pas) mais il se trouve dans un état modifié. L’Inconscient a pris le dessus sur le Conscient et l’Esprit Critique, permettant à l’hypnotiseur de plonger le sujet dans l’imaginaire et de lui faire vivre des sensations, des émotions…Comme dans un rêve, le sujet se laisse emporter des choses qui lui paraissent agréables, normales, en accord avec ses valeurs, sa morale… bien qu’il puisse se surprendre à dire ou faire des choses qui n’appartiennent pas à son quotidien, tout simplement parce que l’envie est présente. Comme dans un « mauvais rêve », le sujet se réveille si quelque chose vient le perturber.

En spectacle ou show télévisé, l’hypnotiseur ne peut pas prendre le temps, les effets visuels pour le public doivent être immédiats. Après un test de suggestibilité, il sélectionne les sujets et les plonge par des inductions classiques, rapides ou instantanées dans un état modifié afin de présenter des effets hypnotiques. Pour certains programmes télévisés, les sujets sont sélectionnés et préparés à l’avance afin de pouvoir être « opérationnels » pour des effets très impressionnants.

Vous voulez en savoir plus? Ecoutons Cyrille Arnaud nous donner quelques explications :

un teaser du spectacle?

Quelques photos :

Hypnofolies, c’est le 26 décembre à 21h00 au Théâtre Trévise, rue de Trévise Paris 9 ( tout près des Folies Bergère)

Réservations : 01 48 65 97 90

 

 

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La pièce française la plus jouée au monde, Boeing Boeing, revient sur les planches parisiennes, dans une version plus courte adaptée aux normes actuelles:

Créée en 1960 par Marc Camoletti, cette pièce a été jouée plus de 25.000 fois de par le monde,  la voilà de retour dans une grande salle parisienne après une longue absence. Il est vrai que la pièce a subi quelques changements, quelque cure de rajeunissement. Lors de sa création, la ‘norme’ du théâtre était d’une durée de 2h00, voire plus, maintenant, on est beaucoup plus proche des 90 minutes. Philippe Hersen qui a mis en scène cette nouvelle mouture a donc dû procéder à quelques coupes, ne serait-ce que pour rajeunir, et conserver le rythme. On est dans la véritable comédie de boulevard, avec portes qui claquent. Le spectateur  suit le rythme, qui rit de bout en bout.

Thierry Samitier, et Frank Lebœuf Filage de la pièce « Boeing Boeing » au théâtre Daunou à Paris

On est dans un bel appartement parisien, qui appartient à Robert (Frank Leboeuf), éternel célibataire qui jongle avec ses 3 maîtresses (Cundy Cayrasso, Marinelly Vaslon, Caroline Ami), toutes hôtesses de l’air, et qui ne se sont jamais croisées. Mais aujourd’hui, un petit accroc va tout changer dans cette mécanique bien huilée. Berthe, la bonne à tout faire, accueille un ami de son patron va ouvrir les portes de l’appartement à un ami de jeunesse de Robert (Thierry Samitier), qui ne sait pas vraiment dans quel monde il débarque. Si tous les rôles sont bien huilés et superbement joués, celui de Berthe est vraiment merveilleux pour une comédienne.

Frank Lebœuf et Véronique Demonge Filage de la pièce « Boeing Boeing » au théâtre Daunou à Paris

Nous avons rencontré Véronique Demonge, qui possède une bonne dose d’humour :

La salle est comble tous les soirs, les rires fusent de toutes parts, on comprend que cette pièce, adaptée au cinéma avec Tony Curtis et Jerry Lewis en 1965, retrouve le succès public. Il est quand même rare de rire autant, et de voir la salle complice, qui réagit immédiatement aux bons mots, aux situations. Même si vous l’aviez déjà vu, la pièce semble ne pas avoir pris de ride, c’est la meilleure preuve que c’est une réussite!

Boeing, Boeing, c’est au Théâtre Daunou, 7 rue Daunou  Paris

du mardi au samedi à 21h00 avec matinée samedi à 17h00.

Prix des places : 22 à 47 €

Réservations : 01 42 61 69 14

Thierry Samitier, Caroline Ami, Frank Lebœuf, Marinelly Vaslon, Cindy Cayrasso et Véronique Demonge « Boeing Boeing » au théâtre Daunou à Paris, à l’arrière en chemise rouge, le metteur en scène, Philippe Hersen.

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Roman ultra célèbre d’Alexandre Dumas fils, adaptée en Opéra par Verdi, en voici une autre version, le ballet, sur des musiques signées Chopin.

Tout le monde connaît l’histoire de Marie Duplessis, entrée dans l’histoire sous le patronyme de  Marguerite Gautier. Elle a inspiré à John Neumeier ce ballet, où on retrouve des compositions musicales de Frédéric Chopin. Il donne à ses personnages une véritable profondeur psychologique et rend palpable les émotions de la célèbre courtisane. Entre  scènes de bal et  pas de deux, le chorégraphe mélange souvenirs et rêves tout  en rapprochant les destinées de Marguerite et Armand de celles de Manon Lescaut et du chevalier des Grieux.

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

Ce n’est certes pas la première transposition de l’oeuvre en ballet, qui a déjà inspiré John Taras (Camille, 1946), Antony Tudor (1951), ou encore Frederick Ashton (Marguerite et Armand, 1963), mais celle-ci est vraiment époustouflante. Cette création de Neumeier, date de 1978, qui mélange les deux histoires, celle de Marguerite Gautier et celle de Manon Lescaut et l’oeuvre est entrée au répertoire de l’Opéra de Paris en 2005. Le chorégraphe a volontairement évité la musique de Verdi et choisi Frédéric Chopin.

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

La mise en scène joue sur assez peu de décors créés ainsi que les costumes par Jürgen Rose , pour laisser la place belle aux artistes, ce qui est d’autant plus impressionnant. Certes ce n’est pas un des incontournables du ballet dans sa forme classique, mais un néophyte pourra comprendre et apprécier, ce qui est quand même le plus important.

La distribution est magnifique, l’ayant vu avec Léonore Baulac, Mathieu Ganio à qui le mot perfection semble coller au mieux, mais la distribution des rôles principaux change à chaque représentation :

MARGUERITE Eleonora Abbagnato ou Amandine Albisson ou Léonore Baulac ou Laura Hecquet

ARMAND DUVAL Stéphane Bullion ou Mathieu Ganio ou Audric Bezard ou Florian Magnenet

MANON Ludmila Pagliero ou Myriam Ould-Braham ou Eve Grinsztajn ou Sae Eun Park

DES GRIEUX Mathias Heymann ou Germain Louvet ou Audric Bezard ou Artus Raveau ou Fabien Revillion

PRUDENCE Muriel Zusperreguy ou Sabrina Mallem ou Séverine Westermann ou  Roxane Stojanov

GASTON RIEUX Paul Marque ou Axel Ibot ou Axel Magliano

Laissez-vous emporter par la musique de Frédéric Chopin, par la grâce du corps de ballet de l’Opéra de Paris, par la magie de la salle de l’Opéra Garnier. Rien de tel pour vous donner envie de revenir dans cette belle salle et applaudir comme il se doit les Etoiles, Premiers Danseurs et le Corps de Ballet de l’Opéra de Paris.

photo : Svetlana_Loboff – Opera_national_de_Paris-

Représentations :

Mercredi 5 décembre 2018  – 19h30

Vendredi 7 décembre 2018  – 19h30

Samedi 8 décembre 2018  – 20h00

Lundi 10 décembre 2018  – 19h30

Mercredi 12 décembre 2018  – 19h30

Vendredi 14 décembre 2018  – 19h30

Samedi 15 décembre 2018  – 20h00

Dimanche 16 décembre 2018 – 20h00

Mardi  18 décembre 2018  – 19h30

Mercredi 19 décembre 2018  – 19h30

Vendredi 21 décembre 2018  – 19h30

Samedi 22 décembre 2018  – 14h30

Samedi 22 décembre 2018  – 20h00

Dimanche 23 décembre 2018 – 20h00

Mercredi 25 décembre 2018  – 19h30

Vendredi 27 décembre 2018  – 19h30

Mercredi 2 janvier 2019  – 19h30

Jeudi 3 janvier 2019  – 19h30

Durée du spectacle : environ 3h00, avec 2 entractes de 20 minutes

TARIFS

€150   €125   €95   €65   €30   €12

Excepté le samedi 8 décembre, le vendredi 14 décembre, le samedi 15 décembre, le vendredi 21 décembre, le samedi 22 décembre

€165   €138   €105   €72   €33   €12

 

INFORMATIONS/RÉSERVATIONS

par Internet : www.operadeparis.fr

par téléphone : 08 92 89 90 90 (0.35 € TTC/min hors coût éventuel selon opérateur depuis un poste fixe) ou au +33 1 71 25 24 23 depuis l’étranger, du lundi au vendredi de 9h à 18h et le samedi de 9h à 13h (sauf jours fériés).

aux guichets : au Palais Garnier et à l’Opéra Bastille, du lundi au samedi de 11h30 à 18h30 (sauf jours fériés) et une heure avant le début des représentations les dimanches et jours

fériés

entretien avec Eleonora Abbagnato: