SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin
Après avoir passé la plus grande partie de sa vie sur scène, Sylvie Vartan nous a annoncé, il y a quelques mois, que c’est fini. Elle quitte la scène fin janvier, et la décision e »st définitive. Elle affiche 80 printemps, et a commencé à se produite sur scène alors qu’elle n’avait que 16 ans. Ses admirateurs sont nombreux, très nombreux et les 2 fois 3 soirées, celles au Dôme de paris, terminées, et celles fin janvier au Palais des Congrès marqueront donc la fin d’une époque, et nous sommes nombreux à nous remémorer ses passages sur scène. Pour ma part, je n’ai pas compté, mais je pense l’avoir vu à de nombreuses reprises, mais toujours à Paris, dans diverses salles, et lors de rendez-vous o=pour des entretiens. Olympia, Palais des Sports / Dôme de Paris, aux Folies Bergère, au Casino de Paris, à la salle Pleyel, au Théâtre Edouard 7, et même en plein air, en banlieue parisienne, où elle avait donné un petit concert estival il y a quelques années. Je n’oublie pas certains concerts de sa tournée intime commencée au Théâtre Edouard VII.
Si Benoit Cachin a travaillé sur ce livre, il ne l’a pas fait en solitaire, Sylvie s’est remémoré, comme vous pourrez le lire, ses souvenirs de ces spectacles, de ses concerts à ses débuts en première partie de Gilbert Bécaud en 1961, le concert de la place de la Nation aux côtés de Johnny Hallyday en 1963, puis la tournée d’été avec Claude François qui suivit, et un an plus tard le fameux Olympia avec Les Beatles. On connait la suite, avec de grands moments dans la salle mythique de Bruno Coquatrix, boulevard des Capucines à Paris, et enfin les grandes salles comme le Palais des Congrès où elle s’est produite devant des milliers de spectateurs dans cette immense salle à de nombreuses reprises : en 1975 où ce fut un triomphe. Elle y est revenur de nombreuses fois, toujours pour de longues semaines, avant de tenter le Palais des Sportzs ( maintenant appelé Le Dôme de Paris)
Vous saurez tout sur ces spectacles avec le superbe livre de Benoit Cachin, que vous allez découvrir en entretien exclusif :
Pour les collectionneurs, les vidéos de ces spectacles ont été éditées : en voici les jaquettes :
Il y en a quelques autres :
Il en manque quelques uns,, c’est certain, mais je ne possède que les DVDs, alors que les cassettes vidéos sont abimées. Il n’y a , à ce jour qu’un seul spectacle en format BluRay, c(‘est la dernière série de concerts à la salle Pleyel. Espérons que le spectacle du Dôme et du Palais des Congrès seront filmés, et qu’il existera DVD + Bluray et , peut-on l’espérer le 4K ultra HD..
Le très beau livre de Benoit Cachin, en collaboration avec Sylvie Vartan et disponible , vendu 39.95€
Quand on m’a proposé un spectacle avec un pianiste seul en scène, j’avoue que j’y allais un peu à reculons. Grand bien m’en a pris d’y aller et de découvrir un spectacle qui m’a captivé dès les premières notes, et cela grâce à un pianiste François Moschetta qui a co-écrit, vraisemblablement avec sa dulcinée Camille, ce spectacle qui va vous en mettre plein les oreilles.
Difficile de donner le ton de ce spectacle, mais je vais vous dresser le décor: un homme jeune ( 30 ans environ), devant un piano à queue qui va nous parler de Mozart, mais pas de n’importe quelle manière. Il y aura certes du piano classique, et François Moschetta est un véritable virtuose, qui sait nous entraîner, là où il veut qu’on aime ». On est captivé des les premières minutes ( ou dosi-je dire les premières notes) car il joue sans aucune partition. Tout est dans sa tête, ou plutôt dans ses doigts. En fait ce n’est pas un récital, c en’est pas un stand up, , c’est un mélange subtile de ces deux domaines avec beaucoup d’humour et bien entendu de musique, ce qui est somme toute normal quand on parle de ce musicien de génie qu’a été Wolfgang Amadeus Mozart.
Ce qu’on apprécie c’est ce mélange subtil de texte avec des extraits du célèbre compositeur, mais pas que. Une rencontre s’imposait, et la meilleure façon de vous donner envie de le voir, c’est de le retrouver pour parler devant son piano:
Le spectacles est court (1h15) mais on aimerait en voir un peu plus. La salle est sous le charme au bout de quelques minutes et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si on n’est pas un fan du célèbre compositeur. Franchement la salle est conquise dès les premières minutes et montre bien à quel point elle apprécie. N’hésitez pas une seconde, et allez voir MOZART ONE PIANO SHOW. C’est dans la petite salle du Théâtre Libre et vous allez être conquis. Un petit plus, François vous verra, si vous le désirez, à la sortie où vous pourrez partager vos sentiments sur son spectacle, et c’est tellement rare qu’il fallait le signaler.
François Moschetta est sur scène jusqu’au 29 décembre, du jeudi au samedi à 19.00 et le dimanche à 15h et 17h00 ( avec relâche les jeudis et vendredis en décembre. Il nous annonce être en tournée à partir de Mai 2025. Mais il a déjà un beau pedigree avec des prix comme L’académie Jaroussky, Prix filleul Charles Cros). Avec lui la musique classique est vivante et personnelle et on a envie de lui dire : Monsieur, on peut en avoir un tout petit peu plus…
Ne manquez pas ce spectacle, c’est un moment que l’on a envie de revivre
RIGOLETTO à l’Opéra Bastille, une reprise avec de superbes interprètes!
On retrouve ce décor superbe en boite de carton gigantesque et la mise en scène de Claus Guth pour cette nouvelle série de représentation à l’Opéra Bastille, sous la baguette du chef : Giacomo Sagripanti, avec des interprètes qui méritent des superlatifs: Roman Burdenko (Rigoletto), Rosa Feola (Gilda) et Liparit Avetisyan( Il Duca Di Montova) entre autres sans oublier Goderdzi Janelidze ou Aude Extremo
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
On connaît bien l’intrigue qui débute lors d’un bal : Le comte Monterone accuse le Il Duca Di Mantova, grand coureur de jupons, d’avoir déshonoré sa fille. Rigoletto, bouffon bossu du Duc, se moque de lui. Monterone jette alors une solennelle malédiction sur lui ainsi que sur le Duc. Or, c’est au tour de Gilda, fille du bossu, d’être séduite par le Duc. Rigoletto, dont Gilda est le bien le plus précieux, décide donc de se venger et emploie les services d’un tueur à gages. Mais la malédiction est déjà en marche et ne tarde pas à s’accomplir. Rigoletto, dans une suite d’enchaînements malheureux, perdra son enfant adorée.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Claus Guth qui assure le mise en scène de cette production, s’attache implacablement à mettre à nu les œuvres qu’il met en scène. Pour cette production, il a imaginé un spectacle traversé de fantômes et de fantasmes, où le spectateur revit la tragédie à travers le regard d’un Rigoletto brisé et socialement déclassé. L’Opéra débute avec une sorte de préambule où un Rigoletto qui a sombré dans une déchéance totale ouvre une boite en carton. La boite contient une robe blanche souillée de sang, et un costume de fou du roi. Et la scène se transforme, et on se retrouve à l’intérieur de cette boite en carton .
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
La tragédie permet à Verdi d’écrire quelques uns de ses airs les les plus célèbres comme : Questa o quella per me pari sono, La donna è mobile, ou Caro Nomé. La mise en scène de Claus Guth les sublime, et surtout donne un allant aux interprètes.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Le clin d’oeil aux revues à plumes est un délice:
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
et bien entendu les chœurs, dirigés par CAlessandro Di Stefano donnent de l’ampleur à ce spectacle superbe
TOUTES LES PHOTOS : Benoîte Fanton ( ONP) tous droits réservés
Représentations : à 19.30 sauf dimanches : 14.30
Samedi 7 décembre Mardi 10 décembre Vendredi 13 décembre Lundi 16 décembre Jeudi 19 décembre Dimanche 22 décembre Mardi 24 décembre Samedi 10 mai Mercredi 14 mai Dimanche 18 mai * Mercredi 21 mai Samedi 24 mai * Mardi 27 mai Vendredi 30 mai Mardi 3 juin Dimanche 8 juin Jeudi 12 juin
Je viens juste de découvrir ce concert en différents formats vu qu’il est édité sous plusieurs formats : le DVD , le bluray et le bluray UltraHD 4K, et c’est sur ce dernier que j’ai ‘re’-vécu l’expérience que j’avais découvert il y a quelques semaines au cinéma sur écran géant, qui nous proposait le montage définitif . Si les salles du groupe Pathé proposaient ce montage définitif, et que la salle affichait complet, j’avoue que je découvrais avec délice l’intégrale de ce concert auquel je n’aurais jamais pu assister, étant agoraphobe. Si je peux aller en concert dans des salles comme Le Casino de Paris, l’Olympia, le Dôme de Paris ou le Palais des congrès, l’idée de me rendre dans un stade me semble illusoire, et je me dois de remercier le producteur Thierry Suc, la star Mylène, et toute l’équipe qui nous offer ce concert que l’on peut se passer (et repasser) sur un bel écran TV.
Nevermore, c’est un peu un OVNI dans le paysage des concerts filmés. C’est du grand spectacle. On en prend plein les yeux ( et les oreilles bien entendu). l’équipe du réalisateur a employé les grands moyens et le spectateur ne peut que sortir totalement ravi et comblé. D’ailleurs sans être un fan inconditionnel de Mylène Farmer, je me suis régalé avec les concerts filmés : 2006 : Avant que l’ombre disponible en Bluray, puis 2010 au Stade de France, là aussi dans un bel écrin avec deux disques Bluray, le film du concert et un second disque avec les bonus et enfin Timeless en 2013, ou encore celui de 2019 ou de 2001 réédité en 2021.
Mais quelque soit la qualité des précédents, ce nouvel opus est incroyable, et je ne trouve pas de qualificatif pour le décrire avec des mots. Je l’ai déjà regardé 2 fois alors qu’il ne m’est parvenu que hier! quelques chiffres: La scène est hors norme :haute de 30m de haut et large de 75m ! Sans oublier le corbeau géant de 10m qui apparaît sur scène avec Mylène dedans. C’est spectaculaire, tout autant que la statue de la faucheuse. Avec quatorze stades et 620.000 billets vendus, Nevermore est la plus grande tournée des stades de l’histoire de la musique proposée en France par une artiste.
Les titres : Prologue, Du temps, Peut-être toi, Libertine, Optimistique Moi, A tout Jamais, C’est une belle journée, Tristana, Remember, Rayon Vert, puis rêverqui s’enchaine avec le 2ème partie : L’autre, Que l’aube est belle, Sans Contrefaçon, Oui…Mais non, Ode à l’Apesanteur, Que je devienne, XXL, Désenchantée, Rallumer les etoiles, avec l’épilogue et le long générique de fin.
Le spectacle est entièrement conçu par Mylène Farmer, et produit par Thierry Suc, ce qui n’est pas nouveau! Pour les amateurs Monsieur Yvan Cassar apparait au piano et se retrouve à la direction musicale du prologue, de l’épilogue et des titres l’Autre , Rêver, et que l’Aube est belle, alors que Olivier Schultheiss assure la direction musicale du spectacle, entouré de Christophe Voisin Boisvinet.
Maintenant la mauvaise nouvelle. Il s’agirait d’un 4k en version limitée et à Paris certaines FNAC seraient d’ores et déjà en rupture de stock. Alors, les fans dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde dans cette version 4K, alors que les versions DVD ou Bluray devraient pouvoir faire plaisir à tout le monde. Parlons prix
La magie, rien que ce mot fait rêver, et pas seulement les plus jeunes, il y en a pour toute la famille, et les numéros de magiciens se retrouvent sur de nombreuses scènes dans le monde, et des noms comme Houdini ou David Copperfield sont connus du grand publics, vu qu’ils ont été ovationnés par les foules. Cette année, ce sont les Folies Bergère de la rue Richer à Paris qui accueillent une troupe qui mérite le déplacement.
Luis de Matos et ses 4 comparses vont vous éblouir, vous faire rêver et réaliser l’irréalisable. J' »ai vu ce spectacle qui dure environ 2 heures, avec un entracte de 20 minutes et j’en suis sorti ébloui. Et pourtant j’en ai vu des illusionnistes, et j’avais même vu David Copperfield à Las Vegas, puis à Paris, et je l’avais même rencontré lors d’un interview avec sa fiancée d’alors : la superbe Claudia Schiffer. Mais il ne m’avait pas fait disparaître, pas de chance pour vous, je suis encore là et m’en suis remis (lol).
Bon revenons à ce spectacle qui se joue jusqu’au 1er décembre. « Luis de Matos IMPOSSIBLE Sur Scène » est bien plus qu’un simple spectacle de magie ; c’est une épopée au cœur de l’émerveillement. Cinq illusionnistes exceptionnels, parmi les meilleurs au monde, vous invitent à une aventure hors du commun, bouleversant vos sens et votre perception. Ces maîtres de la magie, avec une dextérité inégalée créent des illusions à couper le souffle qui jonglent entre l’émotion, le mystère, et l’enchantement. Préparez-vous pour un spectacle inoubliable où chaque moment promet d’illuminer votre imagination et vous plonge dans un monde où tout devient possible.
Un cast all-star et des illusions à couper le souffle, avec Luis de Matos, Aaron Crow, Dan Sperry, Norbert Ferré, Yu Hojin. Ces 5 « magiciens » viennent de différents horizons, Luis de Matos , le Portugal et il y a un français : Norbert Ferré, c’est de Corée que Yu Hojin a rejoint la troupe, aux côtés de Aaron Crow (Belgique) et Dan Sperry (Etats Unis).
Ils m’ont tellement étonné par leur spectacle que le rendez-vous avec le français s’est transformé (comme par magie!?) en un entretien mémorable, et en voici le résultat :
Quelques photos du spectacle :
représentations :
Du mardi au samedi20h00 et dimanche17h00,
voir sur le site des Folies Bergère pour les représentations supplémentaires qui se rajoutent
Durée du spectacle : 2h avec un entracte de 20 min.
Réservations : En ligne sur www.foliesbergere.com Par téléphone au 0800 001 650 Sur place aux Folies Bergère
VOLE EDDIE VOLE, entretien avec l’auteur et le metteur en scène/ comédiens : Benjamin LHOMMAS et Sophie ACCARD
Remontons le temps, et allons nous occuper des jeux Olympiques! Non, vous ne rêvez pas, je vous parle, une fois n’est pas coutume de sport!
Certains, parmi les moins jeunes se souviennent peut-être d’un sportif qui avait envie de faire une prouesse exceptionnelles lors des jeux olympiques d’hiver à Calgary en 1988. Un certain Michael Edwards, alors âgé de 25 ans , que tout le monde connaissait sous le surnom d’Eddie The Eagle, et qui fut le premier sauteur à ski représentant le fédération olympique britannique. Il détient deux records toutefois….il a terminé bon dernier aux épreuves des 70 et 90 mètres et reste donc le symbole de l’échec héroïque.
L’histoire fut de son temps un tel symbole qu’un film fut réalisé sur le contre exploit: sorti en 1996, Eddie The Eagle de Dexter Fletcher retrace les jeux de 1988 et l’expérience du contre héros. Je me souviens l’avoir vu et m ‘être beaucoup amusé à la vision de ce film d’anti héros. Et quand je me suis retrouvé dans la salle du Petit Montparnasse, je me suis remémoré dès les premières minutes du film, et j’ai passé un excellent moment.
Vous voulez savoir pourquoi, regardez donc l’entretien avec les auteurs comédiens metteur en scène : Sophie Accard et Benjamin Lhommas:
L’auteur a reçu le Prix Littéraire Armand Gatti 2024 pour ce texte, qui entre au répertoire de l’Éducation nationale. Le spectacle a reçu le label « Olympiade Culturelle Paris 2024 ».
Représentation au Petit Montparnasse, Mercredi, jeudi, vendredi & samedi à 21h
Tarifs : 38 € / 22 € / 10 € pour les moins de 26 ans (par téléphone ou au guichet)
THE LOOP au théâtre des Béliers Parisiens, entretien avec 2 des comédiens : Tristan Cottin & Stanislas Perrin
Les directeurs du Théâtre des Béliers Parisiens ( David Roussel, Arthur Jugnot, Frédéric Thibault, Florent Bruneau et l’adiministratrice Florence Lutz) savent parfaitement comment trouver de bonnes pièces, celles qui sont à l’affiche jouent quasiment à guichets fermés tous les soirs. Et ce n’est pas nouveau. Chaque fois que je suis allé voir une pièce dans ce théâtre de la petite rue Sainte Isaure dans le 18ème, j’ai vu la salle comble et les banquettes bien remplies. Ce fut le cas avec la nouveauté de cette rentrée, une comédie policière remarquable de drôlerie, écrite par Robin Goupil.
Les comédiens s’amusent visiblement autant que le public dans la salle. En fait lors des premières minutes on ne sait pas trop à quoi s’attendre, et la répétition des scènes nous faite rire de plus en plus. Il fallait donc que je parle avec deux des comédiens, et c’est chose faite où je me retrouve aux côtés de Tristan Cottin et Stanislas Perrin, je résume en disant qu’ils se retrouvent dans une salle d’interrogatoire aux Etats Unis, où arriveront une jeune fliquette et une avocate, Aurélie Boquien & Juliette Damy
Voici donc la rencontre filmée au Théâtre Des Béliers Parisiens:
LA PHOTO DE MON POTE au Théâtre Edgar, Entretien avec Rosalie Hamet
Comme souvent, le rire semble être le maître mot au Théâtre Edgar, boulevard Edgard Quinet à Paris. La salle n’est pas immense, mais les banquettes permettent quand même à 133 personnes d’assister à une représentation. Le directeur de la salle, Luq Hamett participe souvent au casting et se retrouve donc sur la scène. Pour une des pièces actuellement à l’affiche, il cède sa place à deux comédiens : Anthony Dupray, Anthony Joubert qui ont la chance de jouer avec la plus que charmante Rosalie Hamet, que vous allez retrouver en entretien ci dessous :
Vous l’avez déjà compris, on ne va pas voir du Shakespeare, non, on vient pour passer une bonne soirée avec beaucoup de rires dans la salle, et on sort avec la banane avec ces 3 comédiens qui savent se lâcher sur la scène du théâtre Edgar
Représentations : voir le calendrier e »n cliquant sur le lien ci-dessous :
Vous vous croyez allergique aux maths, peut-être est-ce une simple illusion… Il y a un spectacle actuellement au Lucernaire qui pourrait bien vous donner la preuve du contraire : c’est VERY MATH TRIP, mené de main d’expert par Manu Houdart
En effet, on ne s’ennuie pas une seconde avec ce spectacle où le public participe, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on apprend des choses, et cela en s’amusant, et c’est assez rare pour le signaler. Le spectacle n’est pas nouveau qui sillonne la France ( et la Belgique) depuis quelques années, mis en scène par Thomas Le Douarec.
Cela mérite toute votre attention, et pour cette raison j’ai pu rencontrer Manu Houdart :
Représentations les dimanches et lundi soirs à 19.00 jusque fin décembre
32,00 €
Tarif réduit accessible aux personnes âgées de plus de 65 ans, sur présentation d’un justificatif.
26,00 €
Tarif réduit accessible aux personnes âgées de moins de 26 ans, sur présentation d’un justificatif.