Le Paradis Latin innove régulièrement et depuis quelques semaines, 2 nouvelles têtes d’affiche sont les stars de MON PREMIER CABARET
Quelle raison d’attendre pour les interviewer?
Voilà le résultat :
Et si on parlait des adultes? Voilà l’entretien avec le nouveau chef du Paradis Latin, François Courcier, qui vous dévoile quelques plats, créés par Guy Savoy pour que les palais exigeants soient totalement satisfaits
LES 1000 Scènes du Palais des Congrès Paris, entretien avec les 2 auteurs : Djénane Kareh Trager et Eric Bureau…
Il y a quelques jours, je vous parlais du superbe livre sur Sylvie Vartan, avec un entretien avec son auteur : SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin. Revoilà la plus belle pour aller danser en couverture d’un autre beau livre, cette fois consacré au Palais des Congrès qui avait accueilli Sylvie et sa troupe en 1977, Sylvie qui a été maintes fois sur cette immense scène et y fera ses adieux un dimanche après midi en Janvier. Elle n’a pas été la seule à s’y produire, mais elle restera pour toujours celle qui en a foulé la première fois cette scène immense.
N’est-ce pas une raison suffisante pour en parler. Aloes retrouvons nous avec les 2 auteurs : Djénane Kareh Trager et Eric Bureau pour un petit entretien dans les locaux du Parisien à Paris 15 :
Le livre est abondement illustré. Comme le disent les auteurs, il est impossible de citer tous ceux qui sont montés sur cette scène prestigieuse depuis 1977. Personnellement hormis les concerts de 1977 où je n’étais pas encore parisien, j’y ai vu nombre de grands comme Charles Aznavour, Liza Minelli Serge Lama sans oublier les comédies musicales célèbres, comme la création se Starmania avec des dizaines de téléviseurs sur la scène et où les stars avaient pour nom France Gall et Michel Berger, Daniel Balavoine, Diane Dufresnes, René Joly, Fabienne Thibaut et Nanette Workman. . Ce ne fut pas la dernière fois que j’y ai applaudi des « musicals, comme par exemple Roméo et Juliette, Notre Dame de Paris, et il est impossible de ne pas parler de Chantal Goya, qui battra les records de fréquentation, vu qu’elle établira le record dans ses concerts de 2025. J’y ai vu certains bides, et des spectacles qui s’oublient sitôt vus, mais gardons les meilleurs, qui nourrissent nous souvenirs. C’est tout l’intérêt de ce bel ouvrage, qui mériterait un ou 2 tomes supplémentaires.
L’ouvrage de 200 pages est disponible au prix de 40€
WILLOW, réalisé par Ron Howard avec Val Kilmer et Joanne Whalley et produit par Georges Lucas sort en 4K Ultra-bluray
Je me souvenais avoir vu ce film il y a très longtemps, mais je l’ai totalement re-découvert dans sa version 4K qui est absolument magnifique. Alors remontons le temps et revenons en 1988, où Ron Howard nous proposait un peu d’héroïc Fantasy avec ce film, produit par Georges Lucas… Il avait déjà connu de beaux succès au box office avec Splash et Cocoon et n’en restera pas là avec des oeuvres comme Backdraft, Horizons Lointains, Apollo 13, The Grinch, ou encore le Da Vinci Code parmi tant d’autres films mémorables.
Au casting de ce Willow, Val Kilmer et Joanne Whalley et surtout Warwick Davies, qui a un rôle merveilleux que celui d’un homme de petite taille, qui voudrait être magicien, et qui, au départ vit dans un village où tous sont de sa taille, avec une belle famille, et c’est l’arrivée inopinée d’un bébé, que la méchante reine Bavmorda (Jean March) veut absolument détruire, car les mages ont prédit un destin funeste si le bébé reste en vie…Vous comprenez que ce n’est pas facile dé décrire plus avant. L’apprenti sorcier se doit de protéger le bébé, et va donc partir sans savoir de quoi il en résulte et son chemin va croiser celui de Madmartigan (Val Kilmer). Je me garderai de vous en dévoiler plus. Mais je suis resté scotché à mon écran jusqu’à la dernière image. Le film n’a pas pris une ride, même si les effets spéciaux en étaient encore à leurs balbutiements, vu que le film date de 1988, et que les effets spéciaux avaient pris de l’importance avec Star Wars, une dizaine d’années plus tôt. Et tout est parfait à ce niveau, où les effets entre les mini nains,( taille d’un doigt), les nains, et les humains sont vraiment superbes;
Quand je dis que le film n’a pas pris une ride, c’est vrai, même s’il est certain que si le film devait faire l’objet d’un remake de nos jours, il pourrait être perfectionné, mais pas changé à 100%. La qualité de ce 4K est remarquable, et les éditeurs ont compris que le 4K était l’avenir, en proposant 2 disques dans le fourreau : le 4 K et le Bluray ‘normal’ où vous aurez en suppléments : Des scènes coupées présentées par Ron Howard, mais aussi : *Willow un héros improbable +le journal Vidéo de Warwick Davis, un making of, les coulisses d’une aventure avec Ron Howard, et un petit documentaire : du ‘morf’ au ‘morphing’ avec Denis Muren – Matta Paintings.
Présentation des 2 disques :
le 4k UltraBluray 2160p 16/9 2.39
Langue : Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DTS 5.1), Français (DTS-HD High Res Audio Polonais (Dolby Digital 5.1), Italien (DTS 5.1), Allemand (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Allemand (DTS-HD High Res Audio),, Castillan (DTS 5.1), Japonais (Dolby Digital 5.1)
Sous titres : Français, Néerlandais, Allemand, Castillan
le bluray : 1080p haute def 16/9, 2.39
son : DTS 5.1 : français, , allemand, espagnol, italien, castillan et anglais en DTS 5.1
Des ‘Alien’ sur grand écran, puis en vidéo cela ne manque pas depuis le premier opus en 1979 signé Ridley Scott avec Sigourney Weaver. Puis celui de James Cameron en 1986, le 3 de David Fincher en 1992 et ce n’est pas fini, Jean-Pierre Jeunet prit le relève en 1997 avec Alien Résurrection alors que Ridley Scott s’attelait aux 2 suivants : Prometheus et Alien Covenant en 2012 et 2017. Ce nouveau film Alien Romulus est signé Fede Alvarez où un groupe de jeunes gens va devoir affronter les Xénomorphes.
Alors qu’il entreprend des fouilles dans une station spatiale abandonnée, un groupe de jeunes voyageurs se retrouve confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers… et bien entendu, perdus dans l’espace, ils ont bien peu de chances de s’en sortir. Les jeunes interprètes ( Cailey Spaeny, David Jonsson, Isabella Merced et Archie Renaux sont plutôt convaincants et tous les autres sont des inconnus, comme Spike Fearn, Aileen Wu, ). Si on voit le nom de Ridley Scott au générique…ce n’est pas parce qu’il a réalisé le film, mais c’est qu’il l’a produit. Donc une certaine garantie de qualité que de voir sa signature sur ce 7 opus. Et il faut bien avouer que cette suite réussit à garder toute notre attention. On sait ce qu’on va voir, et on ne peut pas être trop surpris. Sans être un très grand film, cela se laisse regarder avec la dose de frissons qui tient ses promesses. le scénario est l’œuvre de l’uruguayen Rodolfo Sayagues
Les surprises et les différents aliens vont réjouir les spectateurs. Je ne dirai pas que c’est le meilleur, mais ce n’est pas non plus le pire de la série. On ne s’ennuie pas, on frémi souvent et c’est quand même ce qui nous pousse à aller voir ce genre de films
SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin
Après avoir passé la plus grande partie de sa vie sur scène, Sylvie Vartan nous a annoncé, il y a quelques mois, que c’est fini. Elle quitte la scène fin janvier, et la décision e »st définitive. Elle affiche 80 printemps, et a commencé à se produite sur scène alors qu’elle n’avait que 16 ans. Ses admirateurs sont nombreux, très nombreux et les 2 fois 3 soirées, celles au Dôme de paris, terminées, et celles fin janvier au Palais des Congrès marqueront donc la fin d’une époque, et nous sommes nombreux à nous remémorer ses passages sur scène. Pour ma part, je n’ai pas compté, mais je pense l’avoir vu à de nombreuses reprises, mais toujours à Paris, dans diverses salles, et lors de rendez-vous o=pour des entretiens. Olympia, Palais des Sports / Dôme de Paris, aux Folies Bergère, au Casino de Paris, à la salle Pleyel, au Théâtre Edouard 7, et même en plein air, en banlieue parisienne, où elle avait donné un petit concert estival il y a quelques années. Je n’oublie pas certains concerts de sa tournée intime commencée au Théâtre Edouard VII.
Si Benoit Cachin a travaillé sur ce livre, il ne l’a pas fait en solitaire, Sylvie s’est remémoré, comme vous pourrez le lire, ses souvenirs de ces spectacles, de ses concerts à ses débuts en première partie de Gilbert Bécaud en 1961, le concert de la place de la Nation aux côtés de Johnny Hallyday en 1963, puis la tournée d’été avec Claude François qui suivit, et un an plus tard le fameux Olympia avec Les Beatles. On connait la suite, avec de grands moments dans la salle mythique de Bruno Coquatrix, boulevard des Capucines à Paris, et enfin les grandes salles comme le Palais des Congrès où elle s’est produite devant des milliers de spectateurs dans cette immense salle à de nombreuses reprises : en 1975 où ce fut un triomphe. Elle y est revenur de nombreuses fois, toujours pour de longues semaines, avant de tenter le Palais des Sportzs ( maintenant appelé Le Dôme de Paris)
Vous saurez tout sur ces spectacles avec le superbe livre de Benoit Cachin, que vous allez découvrir en entretien exclusif :
Pour les collectionneurs, les vidéos de ces spectacles ont été éditées : en voici les jaquettes :
Il y en a quelques autres :
Il en manque quelques uns,, c’est certain, mais je ne possède que les DVDs, alors que les cassettes vidéos sont abimées. Il n’y a , à ce jour qu’un seul spectacle en format BluRay, c(‘est la dernière série de concerts à la salle Pleyel. Espérons que le spectacle du Dôme et du Palais des Congrès seront filmés, et qu’il existera DVD + Bluray et , peut-on l’espérer le 4K ultra HD..
Le très beau livre de Benoit Cachin, en collaboration avec Sylvie Vartan et disponible , vendu 39.95€
Quand on m’a proposé un spectacle avec un pianiste seul en scène, j’avoue que j’y allais un peu à reculons. Grand bien m’en a pris d’y aller et de découvrir un spectacle qui m’a captivé dès les premières notes, et cela grâce à un pianiste François Moschetta qui a co-écrit, vraisemblablement avec sa dulcinée Camille, ce spectacle qui va vous en mettre plein les oreilles.
Difficile de donner le ton de ce spectacle, mais je vais vous dresser le décor: un homme jeune ( 30 ans environ), devant un piano à queue qui va nous parler de Mozart, mais pas de n’importe quelle manière. Il y aura certes du piano classique, et François Moschetta est un véritable virtuose, qui sait nous entraîner, là où il veut qu’on aime ». On est captivé des les premières minutes ( ou dosi-je dire les premières notes) car il joue sans aucune partition. Tout est dans sa tête, ou plutôt dans ses doigts. En fait ce n’est pas un récital, c en’est pas un stand up, , c’est un mélange subtile de ces deux domaines avec beaucoup d’humour et bien entendu de musique, ce qui est somme toute normal quand on parle de ce musicien de génie qu’a été Wolfgang Amadeus Mozart.
Ce qu’on apprécie c’est ce mélange subtil de texte avec des extraits du célèbre compositeur, mais pas que. Une rencontre s’imposait, et la meilleure façon de vous donner envie de le voir, c’est de le retrouver pour parler devant son piano:
Le spectacles est court (1h15) mais on aimerait en voir un peu plus. La salle est sous le charme au bout de quelques minutes et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si on n’est pas un fan du célèbre compositeur. Franchement la salle est conquise dès les premières minutes et montre bien à quel point elle apprécie. N’hésitez pas une seconde, et allez voir MOZART ONE PIANO SHOW. C’est dans la petite salle du Théâtre Libre et vous allez être conquis. Un petit plus, François vous verra, si vous le désirez, à la sortie où vous pourrez partager vos sentiments sur son spectacle, et c’est tellement rare qu’il fallait le signaler.
François Moschetta est sur scène jusqu’au 29 décembre, du jeudi au samedi à 19.00 et le dimanche à 15h et 17h00 ( avec relâche les jeudis et vendredis en décembre. Il nous annonce être en tournée à partir de Mai 2025. Mais il a déjà un beau pedigree avec des prix comme L’académie Jaroussky, Prix filleul Charles Cros). Avec lui la musique classique est vivante et personnelle et on a envie de lui dire : Monsieur, on peut en avoir un tout petit peu plus…
Ne manquez pas ce spectacle, c’est un moment que l’on a envie de revivre
WICKED un film très attendu….et cela mérite le déplacement, même s’il dure plus de 2 h 30
On entend les superlatifs de partout, avec des records d’entrées aux Etats Unis. Voilà donc le film sur les écrans français depuis quelques jours. Qu’en est-il? la comédie musicale va-t-elle faire des scores en France?
WICKED nous montre le parcours des sorcières légendaires du monde d’Oz. Oui, le film est un préquel du fameux Magicien d’Oz sorti sur les écrans en 1939 avec la sublime Judy Garland dans ce musical réalisé par Victor Fleming et qui fut un des premiers films en couleurs. Oui, on va enfin comprendre pourquoi il y avait une gentille sorcière et une méchante à la peau verte.
Elphaba (Cynthia Erivo) est une jeune femme incomprise à cause de la couleur verte de sa peau . Mais elle n’a pas le moindre soupçon de l’étendue de ses pouvoirs. À ses côtés, on va voir la très belle Glinda (Ariana Grande) qui, est aussi populaire que privilégiée, mais ne connait pas vraiment la vraie nature de son cœur. Leur rencontre à l’Université de Shiz, dans le fantastique monde d’Oz, va marquer les débuts d’une amitié totalement improbable, voire impossible mais qui s’avèrera profonde. Elles vont devoir se rendre devant le fameux Magicien d’Oz et leur rencontre va mettre à mal cette amitié et voir leurs chemins s’éloigner. Tandis que Glinda, assoiffée de popularité, se laisse séduire par le pouvoir, la détermination d’Elphaba à rester fidèle à elle-même et à son entourage aura des conséquences particulièrement inattendues. Leurs aventures extraordinaires au pays d’Oz les mèneront finalement à accomplir leur destinée en devenant respectivement la Bonne et la Méchante Sorcière de l’Ouest. Mais cela ne se verra pas dans le film, il faudra attendre la suite qui est prévue en sortie le 21 Novembre 2025. Oui je sais, cela va être difficile d’attendre jusque là.
Ariana Granda is Glinda in WICKED, directed by Jon M. Chu
Ariana Grande is Glinda & Cynthia Erivo is Elphaba in WICKED, directed by Jon M. Chu
Jeff Goldblum is The Wizard of Oz & Michelle Yeoh is Madame Morrible in WICKED, directed by Jon M. Chu
On nous dit que le film bat des records de fréquentation outre Atlantique, qu’en sera-t-il en France? Les américains sont très friands de comédie musicale et THE WIZARD OF OZ est un véritable classique. En France le genre comédie musicale ne rencontre pas le même succès, même si cela semble évoluer depuis quelques années. Le mercredi de sa sortie il arrive en tête des recettes : WICKED : 87 246 entrées (dont 54 772 en Avant première) suivi de Conclave : 36907 entrées dont 9386 en avant première. Cela présage un beau score final, mais il ne faut pas oublier que Disney est très haut avec Vaïana 2, et que Muphasa le Roi Lion arrive aussi dans quelques jours (le 18 décembre).
Ariana Grande – Glinda in WICKED, directed by Jon M. Chu
Jonathan Bailey i- Fiyero in WICKED, directed by Jon M. Chu
La Cité d’Emeraude WICKED, directed by Jon M. Chu
Je l’ai vu en salle, en Dolby Atmos, en séance de début d’après midi, et je dois bien avouer qu’on était loin d’une salle pleine, mais la vo sous-titrée est quand même plus destinée à un public adulte, alors que le VF attire plus les jeunes. Ceci dit, je suis vite rentré dans le film de Jon M. Chu avec la naissance d’Elphaba et son arrivée en scolarité en fin d’adolescense. La rencontre explosive avec Glinda, et l’arrivée d’un beau jeune prince, Fiyero (Jonathan Bailey) vont changer le cours des choses surtout lorsqu’elle devra aller dans le domaine d’Oz et de son magicien qui le dirige (Jeff Goldblum). On ne peut passer sous silence Michele Yeoh (Madame Morrible), Ethan Slater (Boq), Bowen Yang (Pfanee) ou Marissa Bode (Nessarose).
Cynthia Erivo -Elphaba & Ariana Grande -Glinda WICKED, réalisé par Jon M. Chu