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All posts for the month avril, 2019

Pour certains le nom Anaîs Delva n’est pas lié à une célébrité…et pourtant…

On aura pu voir AnaIs Delva à l’affiche de Cendrillon, Dracula, l’amour plus fort que la mort (mise en scène Kamel Ouali), Robin des Bois : la légende…ou presque, Salut les Copains, Spamalot (Pierre-François Martin-Laval) ou Hansel & Gretel. Elle aime le mélange bien dosé de chant et de comédie. Pour preuve, elle se produit sur la scène du Théâtre de la Tour Eiffel pour la N ième reprise de I LOVE PIAF, où elle pourra montrer l’étendue de son talent.

Ce spectacle musical raconte  la vie d’Edith Piaf et  fait revivre ses chansons, dont certaines inédites. Ce spectacle musical raconte la vie courte mais intense d’une femme qu’on appelait  » La Môme. De Shanghai à New-York, en passant par Moscou, Londres, Montréal ou Berlin, on fredonne, en français et quel que soit son âge, La Vie en Rose, L’Hymne à l’Amour, Milord ou Je ne Regrette Rien.

Les plus jeunes connaissent bien la voix d’Anaïs, puisque c’est elle qui fit le doublage français d’Elsa dans la Reine des Neiges, et qui a chanté Libérée, Délivrée….

En 2015, elle revisite les grands classiques de Disney dans l’album Anaïs Delva & les princesses de Disney, remplit la Cigale et le Trianon et effectue une tournée d’une vingtaine de dates.

Avec la complicité du réalisateur et compositeur Jules Jaconelli (Slimane, Florent Pagny…), Anaïs Delva a apporté une méticuleuse attention aux détails, cherché le ton et l’habit adéquats et fait passer les chansons par le prisme de la pop.

 

Cela fait  plus d’une raison pour rencontrer Anaïs, devant la caméra d’ONSORTOUPAS

et voici le clip de son nouveau titre : J’ai su:

I love Piaf, c’est au Théâtre de la Tour Eiffel,  du 3 Mai au 27 Juillet

Le vendredi et le samedi à 19h

TARIFS

Carré VIP : à partir de 25€
1ère Cat. : à partir de 19€
2ème Cat. : 20€

 

Comme chaque année depuis 1960, le Prix du Brigadier récompense des personnalités du théâtre.

Parmi les lauréats, , la liste est longue, citons : Françoise Sagan, Maria Casarés, Pierre Brasseur, Pierre Dux, Pierre Fresnay, Eugène Ionesco, Jean Anouilh, Jean Le Poulain, Jeanne Moreau, Roman Polanski, Jean-Paul Belmondo, François Perrier, Francis Huster, Robert Hirsch, Raymond Devos, Fabrice Lucchini, Suzanne Flon, Claude Rich, Michel Galabru, Judith Magre, Jean Piat, Michel Bouquet, Philippe Tesson…. Cette année ce sont 2 comédiennes qui ont été mises à l’honneur : Marina Hands et Francine Bergé.

Qu’est-ce qu’un Brigadier? tout simplement le bâton avec lequel on frappait les 3 coups avant le lever de rideau, coutume qui n’est plus souvent utilisée actuellement.

Certains comédiens, comme Michel Galabru, nous avaient offert un discours absolument hilarant. Sans oublier Michael Lonsdale : http://www.onsortoupas.fr/le-prix-du-brigadier-2017-cetait-au-theatre-montparnasse/

Cette année le rire ne manque pas avec les discours de Marina Hands, aux côtés de Bruno Julliard ( Mairie de Paris) et Danielle Mathieu-Bouillon, présidente de la Cérémonie de 1983, sur la scène du très beau Théâtre Montparnasse.

Puis l’acceptation de Francine Bergé :

 

 

 

Rating:

L’Opéra français certainement le plus célèbre, non seulement en France mais dans le monde entier, CARMEN, de Georges Bizet, est de retour sur la scène de l’Opéra Bastille dans une mise en scène de Calixto Bieito:

 

En Espagne, à Séville, arrêtée suite à une querelle, Carmen, bohémienne au tempérament de feu, séduit le brigadier Don José, fiancé à Micaëla, et lui promet son amour s’il favorise son évasion. Don José libère Carmen, et se fait emprisonner à son tour. Il la retrouve deux mois plus tard parmi les contrebandiers. Pour elle, José se fait déserteur, et enchaîné à sa passion dévorante pour Carmen, la poursuit de sa jalousie. La bohémienne finit par le repousser, et seule Micaëla parvient à ramener José au chevet de sa mère mourante. Dernière rencontre entre Carmen et Don José devant les Arènes de Séville : alors qu’elle attend son nouvel amant, le torero Escamillo, José tente de convaincre Carmen de revenir auprès de lui.

 

Bourré d’airs que tout le monde connaît ( L’amour est enfant de Bohème, Toréador…) CARMEN fut créé  en Mars 1875 à l’Opéra Comique et si les débuts furent critiqués, il a été joué des milliers de fois en France et de par le monde. Cette série de représentations a été mise en scène par Calixto Bieito, créée en 1999 au festival de Peralada (avec, déjà, Roberto Alagna en Don José), située de manière assez imprécise dans l’Espagne de la fin du XXe siècle, genre années 70, elle a fait escale à Venise, Barcelone, Londres, San Francisco, Oslo, entre autres.

Décors épurés, peut-être pour que les amateurs de bel canto puissent  apprécier au mieux la direction musicale, superbe, de Lorenzo Viotti, et surtout les voix des principaux protagonistes. On sait que Monsieur Roberto Alagna possède une des plus belles voix actuelles, mais personne ne songera à blamer Jean-François Borras qui fait ici un Don José remarquable. Mais  ceux qui auront la chance de voir Carmen sous les traits d’Anita Rachvelishvili, avec une voix puissante de Mezzo Soprano, ne seront pas près d’oublier cette Carmen. On a la chair de poule lorsqu’on l’écoute, et franchement on oublie tout tant c’est beau. Je ne peux pas juger de ce que je n’ai pas vu, à savoir la prestation de Ksenia Dudnikova, qui fera ses débuts à L’Opéra National de Paris du 11 au 23 Mai prochain.

DIRECTION MUSICALE   Lorenzo Viotti*, Pierre Vallet (8 mai)

MISE EN SCÈNE   Calixto Bieito

DÉCORS   Alfons Flores

COSTUMES   Mercè Paloma

LUMIÈRES   Alberto Rodriguez Vega

CHEF DES CHOEURS   Alessandro Di Stefano

Orchestre et Chœurs  de l’Opéra national de Paris

Maîtrise des Hauts-de-Seine, Chœur d’enfants de l’Opéra national de Paris

 

CARMEN   Anita Rachvelishvili (11 avr. > 8 mai) Ksenia Dudnikova* (11 > 23 mai)

DON JOSÉ   Roberto Alagna (11 > 20 avr.) Jean-François Borras (23 avr. > 23 mai)

ESCAMILLO   Roberto Tagliavini

LE DANCAÏRE   Boris Grappe

LE REMENDADO   François Rougier

ZUNIGA   François Lis

MORALÈS   Jean-Luc Ballestra

MICAËLA   Nicole Car (11 avr. > 5 mai) Anett Fritsch* (8 > 23 mai)

FRASQUITA   Gabrielle Philiponet*

MERCÉDÈS   Valentine Lemercier*

*Débuts à l’Opéra national de Paris

 

Représentations à 19h30 ( sauf dimanche : 14h30)

mercredi 17 avril 2019

samedi 20 avril 2019

mardi 23 avril 2019

vendredi 26 avril 2019

lundi 29 avril 2019

jeudi 02 mai 2019

dimanche 05 mai 2019

mercredi 08 mai 2019

samedi 11 mai 2019

mardi 14 mai 2019

vendredi 17 mai 2019

lundi 20 mai 2019

jeudi 23 mai 2019

Durée de la représentation : environ 3h00

 

TARIFS

210€  190€  175€  155€  135€  100€  70€  50€  35€  15€  5€

Excepté mercredi 17, samedi 20 avril vendredi 17 mai :  231€  209€  193  171€  149€  110€  77€  55€  39€  15€  5€

Excepté mercredi 08 mai ;  189€  171€  158€  140€  122€  90€  63€  45€  32€  15€  5€

TOUTES LES PHOTOS : Emilie Brouchon, Opera National de Paris

INFORMATIONS / RÉSERVATIONS

En ligne : www.operadeparis.fr

Via l’application Opéra national de Paris disponible sur iOS et Android pour smartphones et tablettes

Aux guichets :  du lundi au samedi (sauf jours fériés) de 10h à 18h30 au Palais Garnier (à l’angle des rues Scribe et Auber) et de 11h30 à 18h30 à l’Opéra Bastille (130, rue de Lyon). Et  une heure avant le début du spectacle les dimanches et jours fériés.

Quelques extraits :

 

 

Rating:

Prix Pulitzer du texte dramatique, le récit de Doug Wright raconte l’histoire de Charlotte von Mahlsdorf, née Lothar Bergelde

 

Qui est Charlotte von Mahlsdorf ? Entre fascination et scandale, un travesti bouscule l’Histoire.
Thierry Lopez est Charlotte  au Théâtre de Poche Montparnasse. Une femme piégée dans un corps d’homme. Un travesti allemand qui a survécu aux deux régimes les plus brutaux du XXe siècle : le nazisme et le communisme. Élégant, excentrique, il a passé sa vie à sauver les meubles de la destruction… habillé en femme. Tirée d’une histoire vraie, la pièce retrace l’enquête troublante menée par son auteur, Doug Wright, pour tenter de percer le mystère de cette figure du transgenre. Et montre comment, entre fascination et scandale, la société contemporaine s’empare et juge d’une existence libre, subversive, résonnant avec le chaos de l’Histoire. Sur scène : un seul comédien – Thierry Lopez –, et plus de trente personnages. La mise en scène, brillante est signée Steve Suissa et les éclairages ont la signature du plus grand : Jacques Rouveyrollis. L’adaptation de Marianne Groves est quant à elle un grand moment: Bravo à toute l’équipe et au producteur : Jean-Marc Dumontet. Si je me permets d’écrire ces louanges c’est que j’ai pu assister à une répétition, que j’ai donc vu ce spectacle dans ses décors, ses éclairages et que j’en suis ressorti bouleversé!

A noter que Thieery Lopez est nommé pour le Molière du Meilleur Seul en Scène, et j espère de tout coeur qu’il l’obtiendra!

Un texte captivant de bout en bout, une performance hors norme de ce comédien que vous avez peu-être vu dans Georges et Georges au Théâtre Rive Gauche, ou dans Avanti aux côtés de Francis Huster aux Bouffes Parisiens, ou plus récemment dans Nuit d’Ivresse où il reprend le rôle immortalisé par Josiane Balasko, et où il a captivé la salle qui croulait de rire à chaque réplique culte.

 

Il fallait rencontrer cet excellent comédien, tout d’abord pour Ich Bin Charlotte et ensuite on le retrouvera sur les routes de France pour quelques semaines avec Nuit D’Ivresse:

Entretien : Guy Courthéoux pour ONSORTOUPAS.FR

 

Infos pratiques:

Vu le succès, prolongations jusqu’au 10 juillet : Représentations mardi et mercredi à 19h00

Tarifs à partir de 19€ ( moins de 26 ans : 10€)

Durée du spectacle : environ 1h10

Réservations par téléphone : 01 45 44 50 21

Au Théâtre : lundi, mardi, jeudi, vendredi  de 14h00 à 18h00; mercredi, samedi, dimanche de 11h00 à 18h00

sur internet : www.theatredepoche-montparnasse.com

 

 

Rating:

Ce qu’on connaissait en France jusqu’à présent c’étaient les spectacles du Cirque du Soleil sous chapiteau. On atteint le summum avec TORUK, à l’Accor Hotel Arena.

Avec TORUK – Le premier envol nous sommes au cœur d’ un spectacle multimédia live et immersif qui transpose sur scène le monde magnifique du film AVATAR de James Cameron comme on ne l’a jamais vu auparavant. Dans un savant mélange de projections multimédia, de marionnettes et de techniques scéniques ingénieuses, soutenu par une trame sonore aux accents cinématographiques, le Cirque du Soleil donne sa vision sur le monde imaginaire de James Cameron . Cette expérience immersive live porte également la signature distinctive des metteurs en scène et pionniers du multimédia Michel Lemieux et Victor Pilon. Le spectacle est une ode à la coexistence harmonieuse des Na’vi avec la nature et aux liens inextricables qui unissent toutes formes de vie.

 

Photo Credit: Jesse Faatz

Narré par un « conteur na’vi » et peuplé de personnages inoubliables, TORUK – Le premier envol est un conte mythique se déroulant des milliers d’années avant l’intrigue du film AVATAR, soit avant que les humains ne mettent les pieds sur Pandora. Lorsqu’une catastrophe menace de détruire l’arbre des âmes, Ralu et Entu, deux garçons Omatikaya au seuil de l’âge adulte, décident de prendre les choses en main. En apprenant que le Toruk pourrait les aider à sauver l’arbre des âmes, ils se mettent en route, en compagnie de leur nouvelle amie Tsyal, vers le sommet des Montagnes flottantes pour trouver le redoutable prédateur rouge et jaune qui règne dans le ciel de Pandora. La prophétie se réalise lorsqu’une âme pure s’élève parmi les clans pour chevaucher le Toruk pour la toute première fois et ainsi sauver les Na’vi d’un sort terrible.Ralu, Entu et Tsyal sont les principaux personnages de TORUK – Le premier envol, un spectacle narré par un « conteur na’vi ». Ils sont accompagnés sur scène de la Chamane et du Chef des Omatikaya ainsi que de membres de cinq clans na’vi : les Omatikaya, les Tawkami, les Anurai, les Tipani et les Kekunan.

Pandora vous fait découvrir toute sa splendeur – Michel Lemieux et Victor Pilon, qui sont aussi les auteurs du spectacle, ont voulu transposer sur scène la beauté éblouissante et l’élan vital de Pandora – ses riches textures, sa flore luxuriante et sa force juvénile. Des Montagnes flottantes à l’arbre-maison des Omatikaya, en passant par le sanctuaire d’animaux des Anurai et la jungle verdoyante où vivent les Tawkami, les projections multimédia évoquent les paysages somptueux de Pandora et créent un environnement saisissant. Il en va ainsi des effets à grande échelle tels que le tremblement de terre, l’éruption volcanique, les torrents de lave émanant des profondeurs ainsi que les visions de la Chamane projetées sur un énorme voile, léger et vaporeux.

Il est rare que je sois aussi impressionné que je l’ai été hier soir, quand j’ai découvert ce spectacle qui se situe d’ores et déjà parmi les meilleurs spectacles que j’ai vus dans ma vie, je vous laisse imaginer le nombre de spectacles vus, sachant que le plus beau serait un autre spectacle du Cirque du Soleil, Kâ, présenté exclusivement à Las Vegas. Toruk dans une grande salle comme celle de l’Accor Arena de Paris Bercy c’est  époustouflant. La scène occupe tout le parterre et c’est du grandiose. Tout y est pour que le spectateur plonge dans l’univers de Pandora, retrouve la vision de James Cameron et du film Avatar. Mention spéciale à la créatrice des costumes, Kym Barrett , qui a fait un travail spectaculaire!!

 

Personnellement je ne regrette qu’une chose : c’est de ne pas avoir pu voir ce spectacle tous les soirs et en matinée lors des représentations parisiennes. Si j’avais la possibilité j’y retournerai de suite. Quant à vous qui me lisez, si vous avez l’occasion de trouver des places à Paris ou n’importe où ailleurs pour voir ce spectacle, n’hésitez pas; C’est du chef d’oeuvre absolu, un spectacle imaginatif, coloré avec de grands moments, comme un ballet ultra coloré  dans la première partie avec des éventails géants ou des ailes de papillon. J’en aurai pleuré de bonheur.

 

 

 

Rating:

La Dégustation : un grand cru au Théâtre, avec de très bons comédiens : Certes il y a les 2 têtes d’affiche : Isabelle Carré et Bernard Campan, mais on ne peut pas passer sous silence  les trois autres protagonistes : Mounir Amamra, Eric Viellard et Olivier Claverie.

Le décor, superbe, signé Edouard Laug, nous plonge directement dans une boutique qui vend du vin.  Ivan Calbérac qui a écrit la pièce l’a aussi mise en scène.  Le vendeur, Jacques (Bernard Campan), du genre bourru et bougon, divorcé, et célibataire depuis longtemps s’occupe de sa boutique et ne songe à rien d’autre. Mais c’est sans compter sur le destin, qui a les jolies formes d’Hortence (Isabelle Carré). elle fait dans l’associatif, et débarque par hasard dans la boutique. On sent quelque chose se passe, mais qu’il faut un coup de pouce du destin. Ce coup de pouce viendra-t-il du voisin libraire ( Eric Viellard) ou du toubib (Olivier Claverie)? Non, c’est l’arrivée d’un jeune délinquant, Steve ( Mounir Amamra), en liberté conditionnelle, qui va tout chambouler.

Si on admire tous les comédiens, le rôle de Steve est toutefois important, qui est aussi un des grands déclencheurs de rires dans la salle. Et on oublie vite son côté délinquant, c’est un jeune mec qui ne demande  qu’à apprendre, qui trouve toujours le bon côté des choses. La pièce est un superbe moment de théâtre, qui s’en sort bien côté nominations aux Molières : Nommé pour La Meilleure Comédie, pour le Meilleur Comédien (Bernard Campan), pour la Meilleure comédienne (Isabelle Carré) et enfin pour le meilleur comédien dans un second rôle (Olivier Claverie).

Vu que je trouve injuste que les 2 autres comédiens n’aient pas été mentionnés, j’ai donc voulu les rencontrer :

Commençons par Eric Viellard:

Et poursuivons ces entretiens avec Mounir Amamra, qui aurait pourtant bien mérité de figurer dans la liste des révélations masculines:

Courrez vite au Théâtre de la Renaissance pour LA DEGUSTATION:

C’est du mardi au samedi à 21h00, avec des matinées samedi et dimanche à 16h30

Prix des places : de 15€ à 59 €

Locations au 01 42 08 18 50 ou www.theatredelarenaissance.com

 

la bande annonce :

 

 

Adapté du roman d’Olivier Bourdeaut par Victoire Berger-Perrin, voici le retour parisien de EN ATTENDANT BOJANGLES, au Théâtre de la Renaissance

 

Sous le regard de leur fils (Victor Boulanger), ils dansent sur « Mr. Bojangles » de Nina Simone.  Elle (Julie Delarme) et lui  (Didier Brice). Leur amour est magique, vertigineux, c’est une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis. Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, imprévisible et extravagante. C’est elle qui les entraîne dans un tourbillon de poésie et de chimères. Mais un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour que la fête continue, coûte que coûte. L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.

Olivier Bourdeaut publie son premier roman début 2016. Le livre devient un best-seller, avec des critiques pour le moins élogieuses. En attendant Bojangles a trouvé son public, non seulement en France mais partout dans le monde. On se retrouve dans une famille idéalisée, avec amour fantaisie, amusement, tout au moins dans la première partie. Et Victoire Berger Perrin a adapté ce roman pour les planches, qui s’est d’abord joué au Théâtre de la Pépinière, avant de trouver un nouveau cadre au Théâtre de la Renaissance.

Une distribution parfaite, avec, dans le rôle principal, Julie Delarme, qui joue de son charme autant auprès de sa famille, que près des spectateurs. Du théâtre contemporain qui a trouvé son public, conquis à l’avance, pour beaucoup par la lecture du roman.

Toutes les photos : @Ch . Vootz

Raison suffisante pour rencontrer Julie Delarme, qui se confie devant la caméra d’Onsortoupas, aux côtés de Guy Courthéoux.

En attendant Bojangles, c’est au Théâtre de la Renaissance

du mercredi au samedi à 19h, le dimanche à 14h30

Plein tarif 14€ à 42€, moins de 26 ans : 12€

Réservations : : www.theatredelarenaissance.com

ou par téléphone : 01 42 08 18 50

la bande annonce ( filmée lors des représentations au Théâtre de la Pépinière)

Rating:

Un duo de comédiens, Daniel Russo et Didier Bénureau dirigés par un metteur en scène,  Eric Civanyan, qui a adapté la pièce de Jordi GALCERAN  pour la scène du Théâtre de la Gaité Montparnasse.

 

On se trouve dans le bureau d’un conseiller clientèle d’une grande banque, où un client sollicite un crédit… Les garanties financières présentées sont totalement insuffisantes et le banquier refuse le prêt, quand bien même ce prêt n’est pas une somme colossale. Après avoir expliqué l’urgence de la situation et plaidé sa cause, le client, à bout d’arguments, trouve alors un moyen tout à fait inattendu pour tenter de faire céder le banquier, et à partir de là, tout dérape ! La situation banale  explose dans un enchaînement de situations pour le moins hilarantes .

Le rôle du banquier semble avoir été écrit pour Daniel Russo, ce comédien qui ne se trompe jamais sur ses rôles, et ça, le public le sait. Et, cette fois encore chapeau :  messieurs, parce que tous méritent des éloges, le metteur en scène , comme les comédiens sur scène.

Vu que j’ai ri de bout en bout, rien de plus normal que rencontrer Daniel Russo, qui sait parler de sa carrière et des rencontres importantes qui ont jalonné sa vie, et c’est un plaisir rare. Ecoutez le, regardez le devant la caméra d’ONSORTOUPAS, et vous aurez envie, non seulement de courir au théâtre pour l’applaudir, mais surtout de l’écouter encore plus dans ses anecdotes :

LE CREDIT se joue au Théâtre de la Gaité Montparnasse jusque fin Mai

Du mardi au samedi à 21h
Samedi et dimanche à 16h

TARIFS :

Semaine
40€ (1ère catégorie)
30€ (2ème catégorie)
18€ (3ème catégorie)

Samedi soir :
43€ (1ère catégorie)
33€ (2ème catégorie)
21€ (3ème catégorie)

Locations : https://www.gaite.fr 

ou par téléphone : 01 43 22 16 18