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S’il est un monde dont on pourrait parler tous les soirs sans revenir deux fois par an sur le même sujet, c’est bien celui des humoristes. Bien que ce site ne parle quasiment jamais des nouveaux venus, je vais faire une exception pour un jeune homme avec un physique de gendre idéal: BenH.

 

Pourquoi donc faire cette exception? Je ne le sais pas moi-même. Le spectacle semble encore en rodage, mais ce jeune homme possède deux atouts qui m’ont fait m’y arrêter. Je l’ai dit déjà, un physique plus qu’avantageux, dont vous pourrez vous régaler Mesdames (et Messieurs aussi, il n’y a pas de problème) puisqu’il n’a pas peur de se mettre à nu, dans le sens physique du terme. Ceci dit, ma première impression fut qu’il a une superbe voix, bien posée, à laquelle on ne s’attend pas, et qui fait tout son charme. Ensuite, et ce n’est pas moins important, ses textes sont écrits et dans un excellent français! Ce qui signifie qu’il n’y a pas de fautes de français sans pour autant se prendre pour un des maîtres de notre belle langue comme un descendant de Roger Peyrefitte.

Lorsqu’il arrive sur scène, il est habillé comme un jeune marié ( d’où peut-être mon impression de gendre idéal) mais d’adulte il veut retrouver son âme d’enfant, revenir en enfance, et donc porter jeans et tee shirts. Il nous conte une anecdote significative sur sa vie d’adulte, avant de passer dans les souvenirs d’enfance ( d’où le titre su spectacle : Le Monde des Grands). Il enchaîne différents types de sketchs, s’adresse à la salle, joue avec certaines personnes présentes, mais d’une manière différente de ce qu’on a l’habitude de voir. Certes on ne rit pas aux larmes, on n’est pas pliés en deux quand on le voit, mais on est loin de penser qu’il a raté son pari.

A 28 ans, coaché par Jarry, qui s’y connaît pour faire rire une salle, BenH, a bien des années devant lui, et je pense que cette halte au théâtre du Marais va mettre la puce à l’oreille à des réalisateurs, chercheurs de talents et autres castings directeurs.

Ben H c’est au théâtre du Marais, les samedis à 20h00 et les dimanches à 17h30

Théatre du Marais, 37 rue Volta dans le 3ème. Réservations au 01 71 73 97 83 ou theatredumarais.fr

 

En 1977 une bombe arrive sur les écrans : Saturdy Night Fever, avec John Travolta et surtout une bande sonore signée par les Bee Gees. En 2017, c’est la comédie musicale du même titre qui va vous faire vivre ces années disco.

Vous souvenez-vous de l’histoire de Tony Manero (qui aura les traits de Nicolas Archambault), qui vit à Brooklyn, travaille dans une boutique de peinture, mais qui, le samedi soir change du tout au tout. Il est la star d’une boite de nuit, L’Odyssée 2001. Star  parce que lorsqu’il danse, c’est vraiment génial. Naturellement, il rencontre la belle Stéphanie (Fauve Hautot) et tombe amoureux. Il lui propose de faire équipe pour un concours de danse organisé par le Club. .Pour lui, la danse est en quelque sorte sa raison de vivre, alors qu’elle est indépendante, avec un caractère bien trempé. Mais tous deux sont des danseurs spectaculaires et leur duo est fantastique, débordant de vitalité et de créativité.

C’est sur la scène du Dôme ( Le Palais des Sports) de Paris que vous allez revivre, en musique pendant quelques mois, l’histoire de ce duo fantastique. Et vous ne pourrez que vivre ou revivre pour les moins jeunes, ces années où le disco était maître du monde musical, avec plus particulièrement la musique de Bee Gees, et des tubes planétaires  comme :Stayin’Alive, How deep is your love, Night Fever, More than a woman, Jive talkin’, You should be dancing, Tragedy, parmi bien d’autres, tous n’étant pas composés par les fameux frères. Des titres cultes que vous pouvez aussi retrouver, outre sur le double CD de la musique du film, sur un album Tribute, avec  des interprètes comme Jess Glynne, Julian Perreta, Kylie Minogue, Madcon, Alex Newell ou Zak Abel, là aussi parmi d’autres.

Peu de personnes en France connaissent Nicolas Archambault, alors l’équipe d’ONSORTOUPAS, l’a rencontré pour qu’il nous parle de ce spectacle et de sa carrière:

TOUTES LES PHOTOS ET VIDÉOS  (sauf la bande annonce ci dessous) : @ Guy Courthéoux et Claude Laplace / OnSortOuPas.fr

Tarifs pour les représentations à Paris : de 39 à 89 €, les prix pour la tournée sont à vérifier sur les différents sites de vente.

Représentations à Paris du 9 Février au 30 Avril 2017.

Les jeudis et vendredis à 20h00

samedis : 15h00 et 20h30 et dimanches : 15h00 et 20h00

la tournée:

 

C’est peut-être l’opérette la plus célèbre du compositeur viennois, avec nombre d’airs connus, et c’est dans la géniale version dansée, créée par Roland Petit que vous allez pouvoir découvrir dans le cadre de Transcendanses au Théâtre des Champs Elysées à Paris.

La chorégraphie qui avait été créée par Roland Petit en ce même théâtre des Champs Elysées en 1979 pour sa femme, Zizi Jeanmaire revisitait l’opérette de Johann Strauss fils, changeant certains détails, vu que cette fois l’intrigue se situe au coeur de Paris, au célèbre restaurant ‘Chez Maxim’s, et que cela se déroule à la fin du XIXème siècle. Incroyable mais vrai, La Chauve Souris, n’avait jamais été reprise en France depuis sa création, et il a fallu que ce soient les Ballets de l’Opéra de Rome, sous la direction d’Eleonora Abbagnato, une danseuse étoile de l’Opéra de Paris, qui fassent revivre cette oeuvre. La version que nous pourrons voir est celle de Roland Petit, supervisée par Luigi Bonino.

 

Pour les représentations du vendredi 13 Janvier à 20h00 et du samedi 14 à 20h00, le rôle de Bella sera interprété par Iana Salenko, Johan aura les traits de Marian Walter (tous deux Etoiles de l’Opéra de Berlin) et Ulrich sera Marco Marangio.

Pour ceux qui auront acheté à l’avance leurs places pour le samedi en matinée à 15h00 ou le dimanche à 17h00, ils auront la chance de pouvoir applaudir Rebecca Bianchi, Etoile de l’Opéra de Rome, (Bella) et surtout l’excellent Friedemann Vogel  (Etoile de l’Opéra de Stuttgart) (Johan) ainsi que Antonello Mastrangelo (Ulrich).

LA CHAUVE SOURIS
© Yasuko Kageyama

LA CHAUVE SOURIS @Yasuko Kageyama

FRIEDEMANN VOGEL REBECCA BIANCHI MARCO MORANGIO
© Yasuko Kageyama

FRIEDEMANN VOGEL + REBECCA BIANCHI
© Yasuko Kageyama

LA CHAUVE SOURIS Friedemann Vogel répète avec Luigi Bonino

A noter que c’est la première fois que le Ballet de l’Opéra de Rome se produit à Paris.

Eleonora Abbagnato @Yasuko Kageyama

C’est l’Orchestre Lamoureux , sous la direction de David Garforth à qui reviendra l’honneur de jouer les airs célèbres de Strauss.

Prix des places: de 15€ à 110€