Le bonheur au cinéma arrive quelquefois quand on ne s’y attend pas, c’est le cas avec ce film d’animation, Ferdinand, qui est un bonheur total.
Ferdinand est un adorable taurillon au caractère paisible qui vit heureux auprès d’un fermier et de sa fille. Son existence idyllique va prendre un fin de manière brutale lorsque, suite à une balade en ville qui va très mal tourner, il se retrouve dans le pire endroit pour= lui : un camp d’entraînement pour les taureaux de combat. Ferdinand va tout faire pour rentrer chez lui et n’aura de cesse que réussir. En cours de route, il va rencontrer de nouveaux amis, notamment un , dos, et Quatro et transformer la vie de ceux qu’il croise. Mais il lui reste un obstacle de taille à surmonter… Il doit en effet affronter le plus célèbre des matadors qui fera son dernier combat dans l’arène, sous les yeux de la foule déchaînée. Le taureau au grand cœur saura-t-il rester fidèle à sa nature pacifique ?
L’idée de porter l’histoire de Ferdinand sur grand écran est née il y a plus de six ans, alors que le réalisateur Carlos Saldanha travaillait encore sur RIO 2, après avoir travaillé sur les 3 premiers épisodes de L’Age de Glace . Le réalisateur se souvient : « J’étais ravi de découvrir que Fox et Blue Sky envisageaient de développer un film adapté du livre de Munro Leaf. L’histoire et le message de tolérance de L’Histoire de Ferdinand m’avaient complètement charmé quand je l’avais lu, et il me semblait que le temps était venu d’adapter ce petit livre enchanteur pour le faire découvrir aux jeunes générations. »
On passe par toute la gamme des sentiments, avec , il faut bien l’avouer des séquences absolument hilarantes, d’autres où on est émus , et j’imagine que les plus jeunes vont pleurer, mais la sensation de bien être au sortir du film est quelque chose d’incroyable. J’ai passé 90 minutes d’un bonheur total. Je voyais l’équivalent des meilleurs Disney, je riais autant qu’avec l’Age de Glace, avec un univers hispanique vraiment extraordinaire.
Ferdinand, le film annonce :