Il y a eu le RUNNING MAN en 1987 réalisé par Paul Michael Glazer avec Arnold Schwarzenegger, sorti en France en 1988, et il y a le film qui vient de sortir sur les écrans avec Glen Powell!, mais hormis le sujet, ce sont deux films aux antipodes, bien que derrière l’histoire il y ait toujours Monsieur Stephen King
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On est dans le futur, mais pas demain. Léa télévision propose des programmes dotés de prix faramineux. The Running Man est l’émission numéro un : un jeu de survie impitoyable où des candidats, appelés les Runners, doivent échapper pendant 30 jours à des tueurs professionnels, sous l’œil avide du public captivé. Chaque jour passé augmente la récompense à la clé — et procure une dose d’adrénaline toujours plus intense.
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Ben Richards (Glen Powell), est, quant à lui, un ouvrier qui vient de se faire virer . Il est désespéré et prêt à tout pour sauver sa fille gravement malade, et va donc accepter l’impensable : participer à ce show mortel, poussé par Dan Killian (Josh Brolin), un producteur charismatique et surtout cruel, voire sadique . Mais personne n’avait prévu que Ben, par sa rage de vivre, son instinct et sa détermination, devienne un véritable héros du peuple… et une menace pour tout le système. Alors que les audiences explosent, le danger monte d’un cran. Ben devra affronter bien plus que les Hunters : il devra faire face à un pays entier accro à le voir tomber. Autres comédiens : William H. Macy, Lee Pace, Emilia Jones, Michael Cera, Daniel Ezra, Jayme Lawson, Colman Domingo.
Je n’ai plus guère de souvenir du premier opus, mais dans ma mémoire j’avais aimé. Cette fois, on est dans l’action à 33km/h et on ne s’ennuie pas une seconde. On rentre dans le film dès les premières minutes, juste le temps de nous expliquer la situation, et une fois ceci, le film tourne à toute vitesse, et nous n’avons pas le temps de nous ennuyer, jusqu’à la dernière minute.