Il y a de belles rencontres avec des personnages sympathiques, ce fut le cas avec Frédéric Zernati. Son nom ne vous dit certainement pas grand chose, c’est pourtant un grand admirateur de Charles Aznavour, et il va le prouver le dimanche 1er octobre en se produisant sur le scène de Bobino à Paris en chantant Aznavour.
L’entretien s’est fait il y a quelques jours et en voici l’intégralité :
Il a fait quelques autres rencontres, comme le prouvent des quelques photos :
Vous les avez tous reconnus, bien entendu.
Vu qu’il parle de Claude François, voilà deux vidéos disponibles sur YouTube :
et un duo Aznavour / Claude François
Rappelons que ce sera le dimanche 1er octobre à Bobino à 18h00
Assister à un concert quasi privé dans la belle salle du 1er étage de la Tour Eiffel, c’est toujours un grand moment
Cette fois on célébrait la sortie d’un CD Avec l’orchestre National de Bretagne, sous la direction d’Adrien Perruchon, avec Hughes Borsarello au violon, et une participation de Thomas Dutronc, Franck Braley et Gautier Capuçon
rencontre avec le directeur de l’orchestre : Marc Feldman:
Chaque saison débute par des surprises, il y en a de très mauvaises et aussi d’heureuses surprises, et pour une bonne surprise, COURGETTE au théâtre Tristan Bernard en est une!
Quand on ne sait pas ce que l’on va voir, tout est possible? Plus particulièrement quand on découvre une pièce lors de sa première représentation dans un théâtre parisien, ce qui est le cas, vu que la pièce a déjà été jouée en province, mais qu’elle débarque à Paris. Adaptée du roman de gilles Paris « Autobiographie d’une courgette’, et mis en scène par Pamela Ravassard, voilà qui devrait surprendre, plaire, faire vibrer bon nombre de spectateurs Bon je vous rassure, vous n’allez pas voir pousser un légume, loin s’en faut. Non! C’est l’histoire d’Icare, surnommé Courgette, qui a bientôt 10 ans et qui vit seul avec sa mère alcoolique. Un jour Icare (Garlan Le Martelot) trouve un révolver, ou un petit fusil et en voulant tuer le ciel , trop sombre pour lui, l’accident tragique arrive et sa mère disparait. Il est placé dans un foyer, LES FONTAINES où il va rencontrer d’autres enfants tout aussi écorchés ou mal adaptés. La rencontre avec un gendarme, Raymond (Vincent Viotti) va changer sa vie, l’adulte va lui redonner le gout à la vie. L’espoir renait pour tous, qui sont interprétés par la troupe : Vanessa Cailhol, Florian Choquart, et Lola Roskis Gingembre, tous ayant plusieurs rôles tout au long de la pièce.
Une rencontre s’imposait : le comédien qui a le rôle principal (Garlan Le Martelot) et celle qui a mis en scène pour le théâtre Pamela Ravassrad:
Franchement , il ne faut pas manquer cette pièce, on est ému, on vibre avec les comédiens, on ne s’ennuie pas une seule seconde, et c’est assez rare pour le noter
photo tous droits réservés. Toute diffusion, utilisation interdite sans autorisation de l’auteur.
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Représentations jusqu’au 2 décembre, mais prolongations possibles
Mardi – Mercredi 20h
Vendredi 19h
Samedi 17h et 20h30
Sylvie Vartan, Sheila, Françoise Hardy et France Gall, ces 4 filles squattaient la tête de tous les hit parades dès les années 60. Les frères Cazalot ont eu l’heureuse idée, après avoir beaucoup écrit sur Sylvie Vartan, d’écrire à 4 mains cet ouvrage de près de 400 pages sur les carrières croisées de ces idoles, de leurs débuts jusqu’à ces dernières années, avec la place belle à leurs débuts, mais aussi aux moments clés de leurs carrières.
Le livre contient un cahier central avec de nombreuses photos illustrant ces 4 filles que nous sommes nombreux à adorer encore. Il suffit de voir les spectacles récents de 2 d’entre elles pour comprendre qu’elles ne sont pas oubliées. Si France Gall n’est plus de ce monde, on peut encore l’entendre sur les ondes, Françoise Hardy ne se produit plus sur scène, mais ses titres les plus récents sont encore programmés, alors que les 2 autres ne s’entendent plus sur aucune radio, ce qui est bien dommage. Surtout quand on voit leurs spectacles. Certes la tournée style récital de Sylvie Vartan ne restera pas dans les mémoires alors que le spectacle de Sheila est une performance totale. On oublie son âge. C’est une jeune femme qui chante et danse, et la voir à la salle Pleyel il y a peu de temps montre que son public ne l’a pas oublié, et il n’y avait pas que des ‘anciens’ qui se trémoussaient dans la salle. Sincèrement j’ai été époustouflé . Si vous avez l’occasion de la voir n’hésitez pas une seule seconde. C’est absolument génial!!
Revenons au livre. Je l’ai dévoré en 2 jours, et j’ai appris bien des choses, n’ayant vécu les débuts de ces 4 filles que par on dit. Je me doutais quand même que la championne toute catégorie en vente de disques était, de loin Sheila qui arrivait à des centaines de milliers de vente de chaque 45 tours ( on dit single maintenant qu’il n’existe plus de petit format avec 4 titres). C’est le plus belle carrière qui a connu gloire dans d’autres pays, en tête des charts américains avec plus d’un titre de sa période disco. Autre carrière à l’étranger, celle de Sylvie, qui a vendu de nombreux disques en Italie et eu Japon, entre autres. France Gall a connu la célébrité en Allemagne quand sa carrière attendait l’arrivée de Michel Berger pour renaître de plus belle. Françoise Hardy a fait de la scène à ses débuts, en France et à l’étranger et ses titres les plus récents ne semblent pas avoir pris une ride.
Des explications?
Le plus simple est de rencontrer un des auteurs, Eric Cazalot:
Le livre est disponible au prix de 21.90€ éditions XO
Quelques titres des années 60 , merci à YouTube :
et juste pour le fun quelques pochettes de disques
Je n’avais rien lu sur le film, le titre m’a accroché, ainsi que l’affiche. Bien m’en a pris, je me suis régalé avec ce Sage-Homme Je l’ai découvert en salles, et le voici enfin en DVD!
Pas de chance pour Léopold ( Melvin Boomer) qui ne rêve que d’une chose : rentrer en école de médecine. Il ne fait pas partie des candidats cette année, et sol lot( de consolation est qu’il peut intégrer l’école des Sages-Femmes. Malheureusement, il ne peut pas avouer son échec à sa famille et à ses proches. Comme son nom l’indique cette école est typiquement pour le sexe féminin. Il va y aller à reculons, mais les choses vont évoluer avec celle qui va lui apprendre toutes les ficelles de ce métier, Nathalie (Karin Viard). Voilà pour le début du film, et la suite sera à la hauteur. Le public ne s’y trompe pas . je l’ai vu en plein après midi dans la salle Onyx du Pathé Beaugrenelle, et j’ai été étonné de voir que la salle , sans être remplie, affichait un beau taux de remplissage.
Le film repose sur les deux principaux interprètes, qui s’en tirent avec les félicitations du jury ( bon, ok, c’est moi le jury en l’occurrence). Je me suis laissé entraîner par cette histoire qui ne m’a pas ennuyé une seule seconde. Un scénario bien écrit et bien réalisé par Jennifer Devoldère qui a écrit le script spécialement pour Karin Viard. et le choix de Melvin Boomer semble s’être fait rapidement lors des auditions. Il faut bien avouer que ce jeune mec crève l’écran, et qu’il joue merveilleusement bien.
Si tous les films français étaient de cette qualité, il y aurait certainement plus de monde pour les voir, et avec ces jours du printemps du cinéma, nul doute que le bouche à oreille va bien fonctionner; ne vous y trompez pas, ce n’est pas un film féministe, uniquement destiné à la gent féminine. il s’agit d’une belle histoire, bien mise en images, que j’ai vraiment envie de vous recommander. Quant aux autres rôles, c’est aussi un sans faute avec Steve Tiencheu, Tracy Gotoas, Bruce Dombolo, Nadia Roz & Théodore Levisse.
Difficile de parler de quelqu’un qui a disparu, , que l’on n’a connu que par sa musique, ce qui signifie uniquement sa voix, ses disques, ses photos et dans le cas présent le film: Respect , un film réalisé par Liesl Tommy avec Jennifer Hudson et Forest Whitaker.
La bonne idée de « Respect, a tribute to Aretha Franklin », à l’affiche de l’Olympia le 7 mai 2023 c’est de présenter plusieurs chanteuses pour rendre hommage à la diva
Le spectacle intitulé ‘RESPECT – The Aretha Franklin Tribute Show’ montre les points culminants de la carrière de la reine incontestée de la Soul et présente une riche partie de son œuvre musicale en alliant divertissement, anecdotes biographiques et qualité musicale. Un groupe composé de dix musiciens, de trois choristes et de cinq chanteuses principales ont été en vedette de ce voyage musical dans l’authenticité de l’époque. La chanteuse et animatrice Menoosha Susungi a présenté la soirée, au choix en français (et anglais bien dur). Ce spectacle est dédié avec Amour et Respect à Aretha Louise Franklin. L’immortelle Queen of Soul, qui à travers son œuvre, qui restera à jamais dans nos cœurs.
Une salle en délire dès les premières minutes. Et il faut bien avouer qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même sur les titres un peu moins connus.
Les chanteuses principales, Darnita Rogers, Noreda Graves, Donniele Graves, April « Journi » Cook et Menoosha Susungi y ont interprèté les plus grands succès internationaux d’Aretha Franklin dont « I Never Loved A Man », « Respect », « Chain Of Fools », « Natural Woman », « Think », « I Say A Little Prayer », « Don’t Play That Song » et bien d’autres encore , deux parties d’une heure chacune
Gaby Deslys, ce nom ne vous dit certainement rien, et j’avoue qu’il y a quelques jours j’étais dans ce cas. Et pourtant ce fut la première star du music-hall, bien avant Mistinguett (elle tout le monde en a entendu parler). Alors un spectacle sur cette artiste qui fut un vrai phénomène est quand même un pari, et autant le dire tout de suite c’est un pari gagné.
Une vie assez courte, vu que Mademoiselle Gaby Deslys mourut à l’âge de 38 ans. Elle fut célèbre en France, mais se renommée et ses spectacles ont franchi la Manche et même l’Atlantique, vu qu’elle s’est produite aux Etats Unis avec un énorme succès.
Vous comprenez mieux maintenant que Jean-Christophe Born a eu l’idée de nous offrir ce spectacle sur des textes de Mireille Doering Norn. Après avoir vu ce spectacle qui se joue encore pour quelques jours au Théâtre de Passy ( et des prolongations -bis) ne sont pas totalement exclues à ce jour, j’ai eu très envie de rencontrer celle qui a prêté ses traits, et son talent pour être Gaby Deslys: Cléo SENIA.
Ce spectacle raconte, non pas toute la vie de cette star, mais les années où elle fut sur scène. On se passionne de bout en bout pour cette histoire, qui nous offre bien entendu des moments de chansons, avec l’aide d’un pianiste : Mark Nadler.
On voit les premiers pas sur scène, et même s’il est difficile de créer le grand escalier tel que certains ont pu connaître au Casino de Paris ou peut-être aux Folies Bergère, les costumes, les chapeaux, les tenues nous mettent totalement dans le bain. Certes il n’y a pas d’énorme ‘tube’ mais certains titres nous semblent quelque peu familiers.
Il en faut du talent pour être ainsi sur la scène de ce Théâtre de Passy, et recevoir des applaudissements mérités. C’est un des bons spectacles musicaux à découvrir actuellement, même si votre culture musicale commence bien après Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Sheila, ou même quelques décennies avant avec Fernandel, Bourvil, Luis Mariano ou Edith Piaf.
Vous voulez voir qui fut la vraie Gaby Deslys : voici quelques photos d’époque
La bande annonce :
Gaby Deslys, c’est au Théâtre de Passy, 95 rue de Passy 75016 Paris,
actuellement les lundis et mardis à 20.00 jusqu’à fin Mai
J’aime avoir de bonnes surprises au cinéma, et ce fut le cas pour LAPLUS BELLE POUR ALLER DANSER. Fan de Sylvie Vartan depuis des lustres, je ne pouvais quand même pas manquer un film qui porte le titre le la chanson que Monsieur Charles Aznavour avait créé pour elle. Mais pas de Vartan dans le film, même si on entend la chanson interprétée par quelqu’un d’autre.
Dans ce feel good movie, on s’intéresse à la vie d’une jeune ado, interprétée par Brune Moulin, qui vit avec son père (Philippe Katerine) dans une maison qui accueille des personnes du 3ème age, mais qui n’est pas une maison de retraite, et parmi les locataires, Pierre Richard, Guy Marchand, Firmine Richard ou Olivier Sarrazin.
Marie-Luce , 14 ans, est élevée par son père dans une joyeuse pension de famille pour seniors qu’il dirige. C’est bientôt la soirée du nouveau collège de Marie Luce , mais son père ne veut pas qu’elle y aille même si elle elle n’y est pas invitée. Mais poussée par Albert, son meilleur ami de 80 ans ( Pierre Richard) , Marie-Luce, s’y incruste, habillée en homme. Ce soir-là, tout le monde la prend pour un garçon… un garçon que l’on regarde et qui plait. Elle décide alors de s’inventer un double masculin prénommé Léo pour vivre enfin sa vie d’ado. Parce qu’elle est sous le charme d’Emile, (Loup Pinard), gay, Comme on l’imagine cela complique quelque peu les choses côté amours !
Victoria Bedos, qui avait écrit La Famille Bélier, passe cette fois à la réalisation, avec un talent certain. Le sujet pouvait être ‘casse-gueule’, mais elle s’en sort avec les félicitations du jury ( et de moi entre autres). C’est un film plein de fraicheur et de bonnes intentions qui se laisse voir avec beaucoup de plaisir, et qui fut d’ailleurs présenté au festival de l’Alpe D’Huez, où la jeune et jolie Brune Moulin est remporté le prix d’interprétation féminine.
Il n’en fallait pas plus pour que j’ai très envie de la rencontrer, et c’est chose faite :
Pour qu’il n’y ait pas de jaloux, son partenaire, Loup Pinard au aussi eu les honneurs de la caméra :
Mais cela ne pouvait pas être suffisant, j’avais trop envie de rencontrer celle qui a écrit et réalisé ce film : Victoria Bedos :
Quelques photos pour vous mettre dans l’ambiance :
C’est certainement l’exposition la plus attendue de cette année. L’Egypte ancienne a toujours attiré les foules et toutes les expositions qui ont présenté des objets de cette époque très ancienne ont toujours attitré les foules. RAMSES, dès son ouverture au public, n’a pas fait exception à la règle.
Un de mes meilleurs souvenirs de voyage restera, et c’est certain la remontée du Nil en bateau, avec les visites des tombeaux. Ce fut un émerveillement de tous les instants, et depuis, je n’ai manqué aucune exposition à Paris sur le sujet, et certainement pas Toutankhamon en 2019
Et le commissaire de cette exposition n’est pas un inconnu, que je retrouve avec un plaisir certain, Dominique Farout, qui connaît tout-ou presque- sur l’Egypte ancienne.
J’ai toutefois un regret, qui va me conduire à revoir cette exposition, je n’ai pas pu assister à une séance de la réalité virtuelle:
UNE EXPÉRIENCE
IMMERSIVE UNIQUE
L’exposition propose aux visiteurs une expérience de réalité virtuelle immersive présentant les monuments sans doute les plus impressionnants de Ramsès II : les temples d’Abou Simbel et la tombe de la reine Néfertari. Le fantôme de celle-ci accueillera le visiteur et l’entraînera à travers une aventure palpitante. L’expérience de réalité virtuelle (casque VR)
est une option avec un supplément tarifaire de 15 euros.
Quelques détails pratiques :
RAMSÈS & L’OR DES PHAR AONS
Exposition du 7 avril au 6 septembre 2023
Grande Halle de la Villette
211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris – France
HOR AIRES D’OUVERTURE DE L’EXPOSITION :
Tous les jours de 10h à 19h
Dernière séance à 17h30
Billets en vente sur : www.expo-ramses.com
Billetterie sur place uniquement aux guichets dédiés
de l’exposition à la billetterie de la Grande Halle située
à l’extérieur, à droite des portes d’entrée de l’exposition.
TARIFS
Billet daté :
Adulte : 24 €
Enfant de 4 à 14 ans : 20 €
Gratuit pour les enfants de moins de 4 ans
Groupes et CSE (supérieur ou égal à 20 personnes) : 22 €
PSH : 22 €
Billet open :
Adulte/enfant : 32 €
Gratuit pour les enfants de moins de 4 ans
Groupes et CSE (supérieur ou égal à 20 personnes) : 30 €
Visite guidée :
Adulte : 38 €
Enfant de 4 à 14 ans : 34 €
Groupes (supérieur ou égal à 20 personnes) : 36 €
CSE : 36 €
PSH : 36 €
Les 3 Mousquetaires d’après Alexandre Dumas a été l’objet de nombreuses adaptations au cinéma: le premier en 1912, le plus connu en France en 1953 signe André Hunnebelle avec Georges Marchal, Jean Martinelli, Jacques François, Gino Cervi et Bourvil, puis la version de Richard Lester en 1974, parmi bien d’autres. Si on ajoute celles du Masque de Fer, on dépasse largement les 40 films et adaptations plus ou moins libres comme Les 4 Charlots mousquetaires ou bien Zorro et les 3 mousquetaires, que l’on ne cite que pour l’anecdote.
® Julien Panie
® Julien Panie
® Julien Panie
® Julien Panie
® Julien Panie
Cette fois, l’adaptation est une réussite totale, œuvre signée Martin Bourboulon, (Réalisateur d’Eiffel) qui verra une deuxième partie en décembre prochain. Cette version 2023 est une réussite totale, due en grande partie aux comédiens: Tout d’abord D’ARTAGNAN sous les traits de François Civil qui crève l’écran, sans pour autant effacer les autres comédiens mousquetaires : Vincent Cassel, Romain Duris ou Pio Marmaï.
® Ben King
® Ben King
® Ben King
Je ne vous ferai pas honte en vous racontant l’histoire, que tout le monde connait : En France sous Louis XIII, le royaume est divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, et une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France. On ne peut passer sous silence Eva Green, Milady, qui devrait être encore plus importante dans le second opus.
® Ben King
® Ben King
® Ben King
® Ben King
Pour être totalement honnête, j’avais envie de voir ce films, sans plus. je ne peux pas dire que cela faisait partie de mes préoccupations. Mais je l’ai vu avec un tel plaisir que je ne peux que le recommander, et toutes les personnes à qui je l’ai conseillé, sont totalement d’accord avec moi pour dire que ce film est magnifique de bout en bout. On ne voit pas le temps passer et pourtant le film dure 2 heures et 1 mn. Voilà comment le cinéma français sait plaire au public, et sans nul doute le film devrait bien s’exporter. Sans le comparer aux 2 comédies qui ont marque le début d’année, Astérix et Alibi.2, on voit bien que les films français savent trouver leur public, comme ça a aussi été le cas avec Sage Homme, et je l’espère avec le nouveau film de Victoria Bedos : LA PLUS BELLE POUR ALLER DANSER, dans un genre totalement différent.
Courrez donc au cinéma, profitez des meilleures salles et des grands, voire très grands écrans pour voir ce film d’aventures, qui fait honneur au cinéma hexagonal.