Du premier Jurassic signé Spielberg en 1993 en passant par celui de The Lost World en 1997, puis à celui-ci, je n’ai jamais été déçu. Certes il y avait la découverte avec le premier Jurassic Park , et chaque nouvel opus nous replonge dans ces mondes perdus, et c’est bien le cas avec ce Jurassic World Renaissance signé Gareth Edwards; à qui on doit déjà : Monsters (2010), Godzilla (2014) ou encore Rogue One, a Star War Story en 2016 puis The Creator en 2023.
Cinq ans après JURASSIC WORLD : LE MONDE D’APRÈS, l’environnement de la planète s’est révélé hostile pour la plupart des dinosaures. Ceux qui subsistent vivent dans des zones équatoriales isolées, aux conditions proches de celles de leur ère d’origine. Parmi ces créatures terrifiantes, trois spécimens renferment peut-être la clé d’un remède capable de changer le destin de l’humanité. Voilà ces quelques mots pour la base du film. Quelques scientifiques plus des touristes en rade se retrouvent là où quelques spécimen non éteints de ces grosses bestioles , dangereuse, bien entendu, vivent encore, suffisamment pour qu’on ne les dérange pas (!?). Bien entendu quelques ennuis vont les envoyer sur une ile déserte (pas tant que ça), qui a servi des années plus tôt à une base chargée de surveiller (?!) ces animaux préhistoriques.

The Quetzalcoatlus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards

Mosasaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards.
Moi, je suis rentré quasi immédiatement dans ce monde incroyable et j’ai vibré jusqu’aux dernières images. Peut-être suis resté un enfants ( ce qui ne m’étonnerait pas tant que ça, puisque parmi mes derniers films préférés, il y a Dragons) et que le côté fantastique au cinéma attise toujours autant ma curiosité. Je préfère m’amuser, être dépaysé, que de mourir d’ennui dans des histoires qui ne m’intéressent pas, alors qu’elles sont encensées par la critique. Peut-être parce que mes premiers films au cinéma furent des Disney, ou des comédies avec de Funés, ou Belmondo, toujours est-il que ce que je demande au cinéma est simple: qu’il me fasse vibrer, ou rire, ou me passionner , mais surtout pas qu’il m’ennuie et me raconte des drames, comme on en lit au quotidien en lisant les infos.

Mosasaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards.

Philippine Velge & the Spinosaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards.
Je remercie donc des réalisateurs comme Spielberg, ou Gareth Edwards dans le cas présent, de m’avoir transporté dans ce monde imaginaire, cela me donne envie de revoir tous les films de la sage. Je conseillerai toutefois de voir ce nouvel opus sur écran géant. Je l’ai vu au Grand Rex en Grand Large, et j’ai pris ma claque, croyez le.

Luna Blaise & T-Rex in JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards
On peur parler du casting. La très belle Scarlett Johansson domine l’équipe, avec , à ses côtés Jonathan Bailey, Mahershala Ali, Rupert Friend, Manuel Garcia-Rulfo ou encore Luna Blaise, David Iacono sans oublier la toute jeune Audrina Miranda.

Bechir Sylvain : Leclerc, Jonathan Bailey : Dr. Henry Loomis & Scarlett Johansson / Zora Bennett JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisation : Gareth Edwards.

Scarlett Johansson dans JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards. jasinboland@gmail.com
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