Une pièce sur la question de la santé mentale qui nous conte l histoire de Caspar qui est interné en asile psychiatrique aux Etats Unis dans les années 70. Vous allez vous plonger dans un univers particulier, dans un décor dénudé où le jeune homme ( magistralement interprété par Mickaël Winum ) est « traité » sans violence mais ce traitement semble complexe.
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est troublé par ce texte de Claude-Alain Planchon, et sa mise en scène signée Olivier Desbordes : le jeune mec, vêtu de blanc comme dans un hôpital, avec un psy ( ou un surveillant?) , dans un décor constitué d’un socle blanc et d’un mur blanc. Néanmoins on s’intéresse rapidement à ce jeune interné, et la rencontre avec son interprète, Mickaël Winum va nous éclairer plus avant :
Quelques photos pour illustrer ces propos:
CASPAR, c’est le jeudi, vendredi et samedi à 21.00 et le dimanche à 17.00, à la MANUFACTURE DES ABBESSES, 8 rue Véron dans le 18ème.
Quand il s’agit de comédies musicales, je réponds toujours PRESENT. J’en ai vu beaucoup depuis que je chronique les spectacles, que ce fut en radio, en presse écrite, ou désormais sur ce site. Et encore, je me rince souvent les oreilles et revoyant des classiques du genre, parmi lesquels Hello Dolly ou Funny Girl avec Barbra Streisand, les Miz en public à Londres, The Phantom Of The Opéra, toujours enregistré à Londres, sans oublier Mama MIA et sa suite en film, ou encore WEST SIDE STORY, THE ROCKY HORROR PICTURE SHOW, GREASE, EVITA, et j’en passe. J’ai découvert Starmania avec Balavoine, France Gall etc… sur la scène du Palais des Congrès, tout comme d’autres musicals made in France. Alors quand on m’a dit STAR MUSICAL, je n’ai pas hésité, et j’y suis allé un peu à l’aveuglette en me demandant quand même de quoi il s’agissait.
STARMUSICAL
Sa bande son est la plus chantée de l’histoire, sur scène le défilé ininterrompu de chansons et de chorégraphies font de STARMUSICAL la comédie musicale Feelgood par excellence ! C’est l’histoire généreuse et drôle d’un homme qui découvre avec stupéfaction l’héritage que lui a légué son défunt père; une bâtisse austère, bardée d’affiches et de tags, aux abords désaffectés… Par curiosité, il ouvre une de ses portes et entre comme par magie dans les coulisses hautes en couleurs du cabaret de vos stars préférées. Un voyage rythmé par les plus grands tubes des comédies musicales témoins de ces 50 dernières années, de Hair à Starmania, et The Greatest Showman, Roméo & Juliette, Les 10 Commandements, Mamma Mia, Babylon, Moulin Rouge, Cabaret, Priscilla Folle du Désert, 1789, Mozart, Notre Dame de Paris…Hormis The Greatest Showman, les autres musical(s) ont été montés sur scène à Paris. Sur scène c’est une troupe de 15 artistes, accompagnés par 5 musiciens et 10 danseurs, qui reprennent en solo, duo ou en collégiale les grands standards du patrimoine musical.
STARMUSICAL est une production artistique pilotée par David Alexis (Metteur en scène), Éric Melville (Directeur musical) et Delphine Attal (Chorégraphe), les 400 costumes ont été dessinés par Gianluca Falaschi et confectionnés dans les ateliers de Paola D’Inzillo à Rome, les 100 délirantes perruques et le maquillage ont été pensés par Audrey Borca.
Le spectacles est haut en couleurs, et on peut facilement envisager que ce serait le premier volet d’une série. Des idées de suite peuvent foisonner : les meilleures chansons des dessins animés, les meilleurs musicals de Broadway puisque la majorité n’a pas été monté en français, comme The Phantom of The Opera, alors que Mama Mia poursuit sa carrière, mais pas le second film. Les Miz a connu un triomphe dans le monde entier, après que Robert Hossein l’ait monté à Paris, et que le Chatelet l’ai repris avec un tel succès qu’une nouvelle série de représentations est d’ores et déjà prévue au Chatelet. La liste est longue, le nouveau temple de la comédie musicale, Le Lido a déjà monté quelques spectacles de Broadway ou de Londres comme le Rocky Horror Show ou Hello Dolly et il est certain que cela ne va pas s’arrêter. Il suffit de voir LE ROI LION, qui entame sa 4ème saison en faisant salle comble quasiment tous les soirs.
Voici quelques extraits et photos de STAR MUSICAL ( réalisés par votre serviteur et en partie, pour les photos exclusivement, par la prod)
Voilà un spectacle qui devait ravir tout le monde, même les homophobes. On se régale de bout en bout avec cette troupe qui sait plaire à tous, qui sait chanter, danser, virevolter dans des décors bien colorés. du 17 au 26 janvier 2025 : Vendredi et samedi à 21h30 – Dimanche à 17h
Ici pas de playback, ils chantent, et mieux encore : ils chantent parfaitement ce qui se comprend, quand on sait que la compagnie fêtes ses 40 ans
Sur un livret et une mise en scène de Denis Evrard, les protagonistes grimés sont à la ville : Sylvain Angonion de Reu, Michaël Baderot, Vincent Baillet, Jerome Cuvilliez, François Dussillol-Godar, Duarte Fernandez, Kaï, Laurent Giordanengo, Amaury Guiraud, Jérôme Guerin, Franck Mignot, Olivier Segrettin, Yohann Sassier, Jean-Philippe Vincifore, et je serai bien embêté de vous dire sui est qui sur le scène. Le plus simple c’est d’aller les voir, surtout pour ces dernières représentations où les Caramels Fous vous proposent des places à super prix!
Voila de quoi réjouir les fans des Caramels Fous, un entretien exclusif avec le metteur en scène (et pas que) et un des comédiens, grimé, quelques minutes avant leur entrée en scène :
Le Paradis Latin innove régulièrement et depuis quelques semaines, 2 nouvelles têtes d’affiche sont les stars de MON PREMIER CABARET
Quelle raison d’attendre pour les interviewer?
Voilà le résultat :
Et si on parlait des adultes? Voilà l’entretien avec le nouveau chef du Paradis Latin, François Courcier, qui vous dévoile quelques plats, créés par Guy Savoy pour que les palais exigeants soient totalement satisfaits
SYLVIE VARTAN, Ma Vie De Scène en Scène, entretien avec l’auteur de ce superbe ouvrage, Benoit Cachin
Après avoir passé la plus grande partie de sa vie sur scène, Sylvie Vartan nous a annoncé, il y a quelques mois, que c’est fini. Elle quitte la scène fin janvier, et la décision e »st définitive. Elle affiche 80 printemps, et a commencé à se produite sur scène alors qu’elle n’avait que 16 ans. Ses admirateurs sont nombreux, très nombreux et les 2 fois 3 soirées, celles au Dôme de paris, terminées, et celles fin janvier au Palais des Congrès marqueront donc la fin d’une époque, et nous sommes nombreux à nous remémorer ses passages sur scène. Pour ma part, je n’ai pas compté, mais je pense l’avoir vu à de nombreuses reprises, mais toujours à Paris, dans diverses salles, et lors de rendez-vous o=pour des entretiens. Olympia, Palais des Sports / Dôme de Paris, aux Folies Bergère, au Casino de Paris, à la salle Pleyel, au Théâtre Edouard 7, et même en plein air, en banlieue parisienne, où elle avait donné un petit concert estival il y a quelques années. Je n’oublie pas certains concerts de sa tournée intime commencée au Théâtre Edouard VII.
Si Benoit Cachin a travaillé sur ce livre, il ne l’a pas fait en solitaire, Sylvie s’est remémoré, comme vous pourrez le lire, ses souvenirs de ces spectacles, de ses concerts à ses débuts en première partie de Gilbert Bécaud en 1961, le concert de la place de la Nation aux côtés de Johnny Hallyday en 1963, puis la tournée d’été avec Claude François qui suivit, et un an plus tard le fameux Olympia avec Les Beatles. On connait la suite, avec de grands moments dans la salle mythique de Bruno Coquatrix, boulevard des Capucines à Paris, et enfin les grandes salles comme le Palais des Congrès où elle s’est produite devant des milliers de spectateurs dans cette immense salle à de nombreuses reprises : en 1975 où ce fut un triomphe. Elle y est revenur de nombreuses fois, toujours pour de longues semaines, avant de tenter le Palais des Sportzs ( maintenant appelé Le Dôme de Paris)
Vous saurez tout sur ces spectacles avec le superbe livre de Benoit Cachin, que vous allez découvrir en entretien exclusif :
Pour les collectionneurs, les vidéos de ces spectacles ont été éditées : en voici les jaquettes :
Il y en a quelques autres :
Il en manque quelques uns,, c’est certain, mais je ne possède que les DVDs, alors que les cassettes vidéos sont abimées. Il n’y a , à ce jour qu’un seul spectacle en format BluRay, c(‘est la dernière série de concerts à la salle Pleyel. Espérons que le spectacle du Dôme et du Palais des Congrès seront filmés, et qu’il existera DVD + Bluray et , peut-on l’espérer le 4K ultra HD..
Le très beau livre de Benoit Cachin, en collaboration avec Sylvie Vartan et disponible , vendu 39.95€
Quand on m’a proposé un spectacle avec un pianiste seul en scène, j’avoue que j’y allais un peu à reculons. Grand bien m’en a pris d’y aller et de découvrir un spectacle qui m’a captivé dès les premières notes, et cela grâce à un pianiste François Moschetta qui a co-écrit, vraisemblablement avec sa dulcinée Camille, ce spectacle qui va vous en mettre plein les oreilles.
Difficile de donner le ton de ce spectacle, mais je vais vous dresser le décor: un homme jeune ( 30 ans environ), devant un piano à queue qui va nous parler de Mozart, mais pas de n’importe quelle manière. Il y aura certes du piano classique, et François Moschetta est un véritable virtuose, qui sait nous entraîner, là où il veut qu’on aime ». On est captivé des les premières minutes ( ou dosi-je dire les premières notes) car il joue sans aucune partition. Tout est dans sa tête, ou plutôt dans ses doigts. En fait ce n’est pas un récital, c en’est pas un stand up, , c’est un mélange subtile de ces deux domaines avec beaucoup d’humour et bien entendu de musique, ce qui est somme toute normal quand on parle de ce musicien de génie qu’a été Wolfgang Amadeus Mozart.
Ce qu’on apprécie c’est ce mélange subtil de texte avec des extraits du célèbre compositeur, mais pas que. Une rencontre s’imposait, et la meilleure façon de vous donner envie de le voir, c’est de le retrouver pour parler devant son piano:
Le spectacles est court (1h15) mais on aimerait en voir un peu plus. La salle est sous le charme au bout de quelques minutes et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si on n’est pas un fan du célèbre compositeur. Franchement la salle est conquise dès les premières minutes et montre bien à quel point elle apprécie. N’hésitez pas une seconde, et allez voir MOZART ONE PIANO SHOW. C’est dans la petite salle du Théâtre Libre et vous allez être conquis. Un petit plus, François vous verra, si vous le désirez, à la sortie où vous pourrez partager vos sentiments sur son spectacle, et c’est tellement rare qu’il fallait le signaler.
François Moschetta est sur scène jusqu’au 29 décembre, du jeudi au samedi à 19.00 et le dimanche à 15h et 17h00 ( avec relâche les jeudis et vendredis en décembre. Il nous annonce être en tournée à partir de Mai 2025. Mais il a déjà un beau pedigree avec des prix comme L’académie Jaroussky, Prix filleul Charles Cros). Avec lui la musique classique est vivante et personnelle et on a envie de lui dire : Monsieur, on peut en avoir un tout petit peu plus…
Ne manquez pas ce spectacle, c’est un moment que l’on a envie de revivre
RIGOLETTO à l’Opéra Bastille, une reprise avec de superbes interprètes!
On retrouve ce décor superbe en boite de carton gigantesque et la mise en scène de Claus Guth pour cette nouvelle série de représentation à l’Opéra Bastille, sous la baguette du chef : Giacomo Sagripanti, avec des interprètes qui méritent des superlatifs: Roman Burdenko (Rigoletto), Rosa Feola (Gilda) et Liparit Avetisyan( Il Duca Di Montova) entre autres sans oublier Goderdzi Janelidze ou Aude Extremo
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
On connaît bien l’intrigue qui débute lors d’un bal : Le comte Monterone accuse le Il Duca Di Mantova, grand coureur de jupons, d’avoir déshonoré sa fille. Rigoletto, bouffon bossu du Duc, se moque de lui. Monterone jette alors une solennelle malédiction sur lui ainsi que sur le Duc. Or, c’est au tour de Gilda, fille du bossu, d’être séduite par le Duc. Rigoletto, dont Gilda est le bien le plus précieux, décide donc de se venger et emploie les services d’un tueur à gages. Mais la malédiction est déjà en marche et ne tarde pas à s’accomplir. Rigoletto, dans une suite d’enchaînements malheureux, perdra son enfant adorée.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Claus Guth qui assure le mise en scène de cette production, s’attache implacablement à mettre à nu les œuvres qu’il met en scène. Pour cette production, il a imaginé un spectacle traversé de fantômes et de fantasmes, où le spectateur revit la tragédie à travers le regard d’un Rigoletto brisé et socialement déclassé. L’Opéra débute avec une sorte de préambule où un Rigoletto qui a sombré dans une déchéance totale ouvre une boite en carton. La boite contient une robe blanche souillée de sang, et un costume de fou du roi. Et la scène se transforme, et on se retrouve à l’intérieur de cette boite en carton .
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
La tragédie permet à Verdi d’écrire quelques uns de ses airs les les plus célèbres comme : Questa o quella per me pari sono, La donna è mobile, ou Caro Nomé. La mise en scène de Claus Guth les sublime, et surtout donne un allant aux interprètes.
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
Le clin d’oeil aux revues à plumes est un délice:
RIGOLETTO Compositeur : Giuseppe Verdi Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo Direction musicale : Domingo Hindoyan Mise en scène : Claus Guth Décors : Christian Schmidt Costumes : Christian Schmidt Lumières : Olaf Winter Vidéo : Andi A. Müller Chorégraphie : Teresa Rotemberg Dramaturgie : Konrad Kuhn Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano Distribution: Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo Giovanna : Marine Chagnon Il Conte di Monterone: Blake Denson Marullo: Florent Mbia Matteo Borsa : Manase Latu Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran La Contessa di Ceprano : Teona Todua Paggio della duchessa: Seray Pinar Usciere di Corte : Julien Joguet Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024 Photo : Benoîte Fanton / OnP
et bien entendu les chœurs, dirigés par CAlessandro Di Stefano donnent de l’ampleur à ce spectacle superbe
TOUTES LES PHOTOS : Benoîte Fanton ( ONP) tous droits réservés
Représentations : à 19.30 sauf dimanches : 14.30
Samedi 7 décembre Mardi 10 décembre Vendredi 13 décembre Lundi 16 décembre Jeudi 19 décembre Dimanche 22 décembre Mardi 24 décembre Samedi 10 mai Mercredi 14 mai Dimanche 18 mai * Mercredi 21 mai Samedi 24 mai * Mardi 27 mai Vendredi 30 mai Mardi 3 juin Dimanche 8 juin Jeudi 12 juin
Je viens juste de découvrir ce concert en différents formats vu qu’il est édité sous plusieurs formats : le DVD , le bluray et le bluray UltraHD 4K, et c’est sur ce dernier que j’ai ‘re’-vécu l’expérience que j’avais découvert il y a quelques semaines au cinéma sur écran géant, qui nous proposait le montage définitif . Si les salles du groupe Pathé proposaient ce montage définitif, et que la salle affichait complet, j’avoue que je découvrais avec délice l’intégrale de ce concert auquel je n’aurais jamais pu assister, étant agoraphobe. Si je peux aller en concert dans des salles comme Le Casino de Paris, l’Olympia, le Dôme de Paris ou le Palais des congrès, l’idée de me rendre dans un stade me semble illusoire, et je me dois de remercier le producteur Thierry Suc, la star Mylène, et toute l’équipe qui nous offer ce concert que l’on peut se passer (et repasser) sur un bel écran TV.
Nevermore, c’est un peu un OVNI dans le paysage des concerts filmés. C’est du grand spectacle. On en prend plein les yeux ( et les oreilles bien entendu). l’équipe du réalisateur a employé les grands moyens et le spectateur ne peut que sortir totalement ravi et comblé. D’ailleurs sans être un fan inconditionnel de Mylène Farmer, je me suis régalé avec les concerts filmés : 2006 : Avant que l’ombre disponible en Bluray, puis 2010 au Stade de France, là aussi dans un bel écrin avec deux disques Bluray, le film du concert et un second disque avec les bonus et enfin Timeless en 2013, ou encore celui de 2019 ou de 2001 réédité en 2021.
Mais quelque soit la qualité des précédents, ce nouvel opus est incroyable, et je ne trouve pas de qualificatif pour le décrire avec des mots. Je l’ai déjà regardé 2 fois alors qu’il ne m’est parvenu que hier! quelques chiffres: La scène est hors norme :haute de 30m de haut et large de 75m ! Sans oublier le corbeau géant de 10m qui apparaît sur scène avec Mylène dedans. C’est spectaculaire, tout autant que la statue de la faucheuse. Avec quatorze stades et 620.000 billets vendus, Nevermore est la plus grande tournée des stades de l’histoire de la musique proposée en France par une artiste.
Les titres : Prologue, Du temps, Peut-être toi, Libertine, Optimistique Moi, A tout Jamais, C’est une belle journée, Tristana, Remember, Rayon Vert, puis rêverqui s’enchaine avec le 2ème partie : L’autre, Que l’aube est belle, Sans Contrefaçon, Oui…Mais non, Ode à l’Apesanteur, Que je devienne, XXL, Désenchantée, Rallumer les etoiles, avec l’épilogue et le long générique de fin.
Le spectacle est entièrement conçu par Mylène Farmer, et produit par Thierry Suc, ce qui n’est pas nouveau! Pour les amateurs Monsieur Yvan Cassar apparait au piano et se retrouve à la direction musicale du prologue, de l’épilogue et des titres l’Autre , Rêver, et que l’Aube est belle, alors que Olivier Schultheiss assure la direction musicale du spectacle, entouré de Christophe Voisin Boisvinet.
Maintenant la mauvaise nouvelle. Il s’agirait d’un 4k en version limitée et à Paris certaines FNAC seraient d’ores et déjà en rupture de stock. Alors, les fans dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde dans cette version 4K, alors que les versions DVD ou Bluray devraient pouvoir faire plaisir à tout le monde. Parlons prix