Sam Bernett n’est pas un homme de l’ombre pour les Vieilles Canailles. Il les a connus à leurs débuts et jusqu’aux derniers concerts ensemble. Une rencontre avec ce géant de la radio, entre autres, s’imposait.
Il est vrai que nombre d’entre nous ont connu Sam Bernett quand il ‘faisait’ de la Rdio sur les grandes ondes, que ce soit à RTL ou à Europe 1. J’ai eu l’occasion de travailler sur les ondes FM, et j’ai gardé de lui le souvenir d’un mec BIEN. Il n’a pas fait que de la radio vu qu’il a aussi été un des instigateurs du Disney Village, et un des directeurs de Disneyland Paris. C’est dire qu’il a des choses à raconter. La parution de son nouveau livre : VIEILLES CANAILLES, Un Fabuleux Destin, aux éditions du Cherche Midi a été l’occasion de le croiser à nouveau, et je n’attends qu’une chose, une nouvelle occasion de l’écouter et de vous faire participer.
Magique non? On se laisse bercer par ces récits. On s’imagine l’effet que cela doit faire d’être l’ami des ces canailles, mais aussi de tous les autres, que ce soit Claude François, Michel Sardou, Sylvie Vartan parmi ceux qui l’ont marqué. En feuilletant ce livre, on vibre avec lui, avec ces 3 potes qui se sont connus de la fin des années 50 au Golf Drouot jusqu’au jour funeste du décès de Mr Jean-Philippe Smet, parce que Johnny n’est pas mort, et ne le sera jamais pour ses fans.
J’ai retrouvé quelques photos dont je ne peux pas créditer leur auteur. Ce que je ferai volontiers s’il s’agit de vous.
Sam a aussi quelques photos à partager avec vous. Certaines de ces photos sont inédites et on ne peut que le remercier une fois encore:
Eddy Barclay & Sam Bernett
Dick Rivers, Henri Leproux, Sam Bernett
Jacques DUTRONC, la guitare sur l’ épaule et une poupée à la main, se promenant au jardin des Tuileries
Eddy & Johnny
Eddy Mitchell et Jacques Dutronc sur la scène du Golf-Drouot à Paris. 1965 Photo André Crudo
Le Paradis Latin innove, en créant une revue totalement familiale qui est présentée en matinée les mercredis, samedis et dimanche après midi et tous les jours lors des vacances scolaires. Le nom de cette revue : MON PREMIER CABARET.
Il faut bien avouer que depuis que Monsieur Walter Butler a repris les rênes de ce cabaret historique ( L’histoire du Paradis Latin commence au tout début du XIXe siècle. Érigé à 500 mètres de Notre-Dame de Paris par Napoléon, le lieu fut d’abord un théâtre où bourgeois, intellectuels, commerçants, ouvriers et étudiants se croisaient. On pouvait alors y rencontrer Balzac, Alexandre Dumas ou Prosper Mérimée. Détruit par un incendie durant la guerre franco-prussienne de 1870, ce n’est qu’en 1889, avec la reconstruction par Gustave Eiffel, que le Paradis Latin devient un incontournable lieu d’émerveillement et de distractions nocturnes. En 1973 le promoteur immobilier Jean Kriegel achète l’immeuble et découvre la salle. C’est Jean-Marie Rivière qui reprendra la formule cabaret en 1977, après avoir quitté l’Alcazar de la rue Mazarine. En 1995 c’est la famille Israël qui rachète les lieux et depuis 2018 LE PARADIS LATIN appartient à Walter Butler, qui a confié la création de ses spectacles à Kamel Ouali, que les français connaissent bien, avec la revue L’OISEAU PARADIS depuis 2019, et depuis quelques semaines, Kamel a créé cette revue totalement familiale:
Entretien avec Kamel Ouali, sur les marches de ce cabaret :
Petit tour en catimini dans les coulisses :
Vu que nous sommes dans les coulisses, je frappe à la porte de Stéphanie :
Jetons un coup d’oeil sur ces escaliers alors que les premiers spectateurs arrivent :
Maintenant le spectacle va débuter, et pour vous donner l’envie de voir tout ce spectacle, en voici quelques extraits :
Avant d’autres extraits, retour aux entretiens, cette fois avec le big Boss des lieux, Walter Butler :
Et Cassy Covin, le directeur artitique :
Et enfin l’incontournable, le cancan, spectaculaire!
Vous l’avez compris, si le soir le spectacle est moins ‘familial’, celui de l’après-midi, avec le rendez-vous à 13h30 est visible par tous. Petits et grands apprécient. Moi qui suis loin d’être un enfant, je me suis régalé de bout en bout, j’ai quand même gardé mon regard d’enfant pour vibrer avec toutes ces familles.
Les places , en tables ( sans service, ni consommation) de 30 à 70€ selon le placement. Pour profiter au mieux, je ne peux que vous recommander la première catégorie.
Tous les extraits ( sauf la bande annonce) copyright : Guy Courthéoux / onsortoupas.fr, ces extraits ont été filmés avec l’accord du Paradis Latin. Tous droits réservés: Le Paradis latin
Pour ce 3e et dernier opus de la saga Irish Celtic, on retrouve les emblématiques Paddy Flynn et Diarmuid. Père et fils tiennent le pub familial qui résonne des musiques traditionnelles, des rires et des discussions des clients… Pour casser cette routine et transmettre à Diarmuid ce qu’il doit savoir de son identité culturelle, de son histoire familiale, Paddy l’invite à entreprendre un voyage initiatique où se mêlent valeurs, légendes et traditions. Diarmuid pourra ainsi prendre toute la mesure de l’amour filial, mieux comprendre ses racines, s’ancrer encore davantage dans sa terre natale et ancestrale. Cette balade irlandaise porte le nom de Chemin des Légendes !
C’est un pur régal de voir évoluer cette troupe de danseurs / danseuses, et de les écouter quand ils nous émerveillent avec leurs danses, mais surtout avec leurs claquettes qui sont impressionnantes de vitalité et de justesse;
Si la troupe passe près de chez vous, précipitez-vous pour trouver des places, cela vaut le déplacement.
Attention, vos pieds vont bouger tous seuls au son de ces danses, et vous n’aurez alors qu’une envie, celle de monter sur scène avec eux….mais il vous faudra vous restreindre parce que le spectacle n’admettrait pas de participation autre que les ovations et les applaudissements
Je n’avais rien lu sur le film, le titre m’a accroché, ainsi que l’affiche. Bien m’en a pris, je me suis régalé avec ce Sage-Homme.
Pas de chance pour Léopold ( Melvin Boomer) qui ne rêve que d’une chose : rentrer en école de médecine. Il ne fait pas partie des candidats cette année, et sol lot( de consolation est qu’il peut intégrer l’école des Sages-Femmes. Malheureusement, il ne peut pas avouer son échec à sa famille et à ses proches. Comme son nom l’indique cette école est typiquement pour le sexe féminin. Il va y aller à reculons, mais les choses vont évoluer avec celle qui va lui apprendre toutes les ficelles de ce métier, Nathalie (Karin Viard). Voilà pour le début du film, et la suite sera à la hauteur. Le public ne s’y trompe pas . je l’ai vu en plein après midi dans la salle Onyx du Pathé Beaugrenelle, et j’ai été étonné de voir que la salle , sans être remplie, affichait un beau taux de remplissage.
Le film repose sur les deux principaux interprètes, qui s’en tirent avec les félicitations du jury ( bon, ok, c’est moi le jury en l’occurrence). Je me suis laissé entraîner par cette histoire qui ne m’a pas ennuyé une seule seconde. Un scénario bien écrit et bien réalisé par Jennifer Devoldère qui a écrit le script spécialement pour Karin Viard. et le choix de Melvin Boomer semble s’être fait rapidement lors des auditions. Il faut bien avouer que ce jeune mec crève l’écran, et qu’il joue merveilleusement bien.
Si tous les films français étaient de cette qualité, il y aurait certainement plus de monde pour les voir, et avec ces jours du printemps du cinéma, nul doute que le bouche à oreille va bien fonctionner; ne vous y trompez pas, ce n’est pas un film féministe, uniquement destiné à la gent féminine. il s’agit d’une belle histoire, bien mise en images, que j’ai vraiment envie de vous recommander. Quant aux autres rôles, c’est aussi un sans faute avec Steve Tiencheu, Tracy Gotoas, Bruce Dombolo, Nadia Roz & Théodore Levisse.
Souvenir d’une rencontre avec Marcel Amont, un des vétérans de la chanson française.
Ce grand monsieur de la chanson française s’est éteint à l’âge de 93 ans , ce mercredi 8 mars
Monsieur Marcel Amont a été un homme plus que sympathique, qui nous avait réservé un accueil hors pair. En toute simplicité il s’était confié devant la caméra d’ONSORTOUPAS.FR, lors d’un intervention pour la NUIT DE LA DEPRIME de Raphaël Mezrahi
Et il n’a rien perdu de sa voix et de son humour, comme il le prouve à son arrivée sur la scène des Folies Bergère lors de la nuit de la déprime
Le titre américain est bien plus explicite : Cocaïne Bear, qui donne une idée assez précise de ce à quoi s’attendre pour cette comédie horrifique dont le titre français (ça ne s’invente pas) est : Crazy Bear
Tout d’abord, pour être honnête, il faut préciser que le film est basé sur des faits réels, qui se sont déroulés en 1985 : Le 11septembre 1985, le corps d’un trafiquant de drogue avait été retrouvé dans une allée de quartier à Knoxville, dans le Tennessee. Il s’agissait de Andrew Thornton, fils de riches éleveurs de chevaux du Kentucky. Un avion est retrouvé écrasé quelques heures plus tard dans les montagnes de Caroline du Nord avec 9 sacs de voyage remplis de cocaïne autour de la carcasse. Selon les enquêteurs, Andrew Thornton a fait une chute mortelle lorsqu’il a sauté de l’avion en parachute tout cela parce qu’il portait une charge trop lourde sur lui. Mais ce n’est pas le fin mot de l’histoire puisque 3 mois plus tard, on découvre un ours mort dans la forêt nationale de Chattahoochee, au sud de la frontière entre le Tennessee et la Géorgie. Les enquêteurs tombent sur le grizzly alors qu’ils sont à la recherche du dixième sac de voyage tombé de l’avion. Un sac de voyage et 40 paquets déchirés qui contenaient chacun un kilo de cocaïne sont identifiés près de l’ours, soit un festin d’environ 20 millions d’euros. Mais il semblerait que l’ours n’ait ingéré qu’une infime partie du butin.
Mais le film ne fait que s’inspirer de ce fait divers. la réalisatrice Elizabeth Banks a préféré un ours totalement déjanté suite à la prise de cocaïne, et qui est devenu totalement addict. Pour corser le tout, deux ados en vadrouille, non autorisée par les parents, une garde-chasse en pleine opération de séduction sur un inspecteur des eaux et forêts, une bande d’ados qui vont voler quelques friandises chez la garde chasse, et on ajoute un détective qui adore son bichon maltais et pour corser le tout de vrais délinquants adultes cette fois. il y a d’autres randonneurs, une équipe médicale pour corser le tout. Ce mélange détonnant nous donne, sous la houlette d’un scénariste, Jimmy Warden, un film qui oscille entre la comédie hilarante et les scènes un peu gore. Le mélange est pour le moins réussi, on rit énormément, on est un peu effrayé, et on passe un super moment. Une jolie brochette de comédien(ne)s, la famille : Keri Russel (la mère), sa fille Brooklynn Prince , le grand ami de celle-ci : Christian Convery, quant aux autres protagonistes : O’Shea Jackson, Jr, Alden Ehrenreich et Ray Liotta ( dont ce fut le dernier rôle avant de décéder en mai dernier), qui sont les criminels de l’histoire, on n’oublie pas les jeunes délinquants Aaron Holliday, J.B. Moore, Leo Hanna et enfin les forces de l’ordre :- Isiah Whitlock Jr., la génialement drôle garde chasse : Margo Martindale, Jesse Tyler Ferguson, Ayoola Smart, Kahyun Kim et enfin Scott Seiss. Mais le personnage le plus fou est quand même l’ours, qui est plus vrai que nature, effrayant certes, mais qui nous amuse par la grâce de la réalisatrice.
Ranger Liz (Margo Martindale), Sari (Keri Russell) & Peter (Jesse Tyler Ferguson)
Sari (Keri Russell), Dee Dee (Brooklynn Prince) & Henry (Christian Convery)
Eddie (Alden Ehrenreich), Stache (Aaron Holliday) & Ponytail (Leo Hanna)
Daveed (O’Shea Jackson, Jr.), Eddie (Alden Ehrenreich), Officer Reba (Ayoola Smart), Syd (Ray Liotta)
Daveed (O’Shea Jackson, Jr.), Officer Reba (Ayoola Smart), Eddie (Alden Ehrenreich) & Syd (Ray Liotta)
Bob (Isiah Whitlock Jr.) & Officer Reba (Ayoola Smart)
CRAZY BEAR, titre français (??) du film, et qu’on pet traduire par l’ours fou, est moins évocateur que le titre américain, beaucoup plus explicite, mais il n’en reste pas moins que l’on s’amuse de bout en bout, malgré quelques scènes bien sanglantes qui ne sont pas à recommander aux plus jeunes. Au moment où j’écris ces lignes le film n’a pas été visionné par la commission de censure. La sortie est prévue le 15 Mars prochain sur les écrans français. Je me suis vraiment amusé, j’ai été un petit peu effrayé, mais je retiens surtout mes rires pour cette excellente série B .
Sari (Keri Russell), Peter (Jesse Tyler Ferguson& Ranger Liz (Margo Martindale)
Dee Dee (Brooklynn Prince) & Henry (Christian Convery) in Cocaine Bear
Un nouveau Spielberg sur les écrans : The Fabelsman
Portrait profondément intime d’une enfance américaine au XXème siècle, The Fabelmans de Steven Spielberg nous plonge dans l’histoire familiale du cinéaste qui a façonné sa vie personnelle et professionnelle. À partir du récit initiatique d’un jeune homme solitaire qui aspire à réaliser ses rêves, le film explore les relations amoureuses, l’ambition artistique, le sacrifice et les moments de lucidité qui nous permettent d’avoir un regard sincère et tendre sur nous-mêmes et nos parents.
Passionné de cinéma, Sammy Fabelman passe son temps à filmer sa famille. S’il est encouragé dans cette voie par sa mère Mitzi, dotée d’un tempérament artistique, son père Burt, scientifique accompli, considère que sa passion est surtout un passe-temps. Au fil des années, Sammy, à force de pointer sa caméra sur ses parents et ses sœurs, est devenu le documentariste de l’histoire familiale ! Il réalise même de petits films amateurs de plus en plus sophistiqués, interprétés par ses amis et ses sœurs. Mais lorsque ses parents décident de déménager dans l’ouest du pays, il découvre une réalité bouleversante sur sa mère qui bouscule ses rapports avec elle et fait basculer son avenir et celui de ses proches.
The FABELSMAN de Steven Spielberg, c’est un peu (et même beaucoup), son histoire , dans sa famille,. Il a suffi d’une soirée au cinéma pour y voir « Sous le plus grand chapiteau du monde » de Cecil B de Mille en 1953, avec une pléiade de stars dont Charlton Heston, James Stewart et Dorothy Lamour, la séquence où le train déraille va changer la vie du petit Sammy Fabelsman, qui va vouloir le reproduire avec son train électrique, puis filmer l’accident avec la petite caméra super 8. Et ce n’est que le début de l’aventure, si on peut s’exprimer ainsi, parce que pendant les 151 minutes du film, on va suivre ce déjà passionné de cinéma qui a les traits de Gabriel LaBelle, ainsi que ses parents : Paul Dano et Michelle Williams, ainsi que ses 3 sœurs, on verra l’évolution de la petite caméra vers le 16 mm, puis les petites œuvres de fiction qu’il va réaliser alors qu’il est tout juste ado. Il faut bien une histoire d’amour et Steven Spielberg nous entraine dans son sillon. On est très loin des Dents de la Mer, ET, Les Aventuriers de l’Arche Perdue, mais tout aussi loin de ses films plus ’sérieux’ comme La Liste de Schindler, Lincoln ou West Side Story.
A mes yeux, il reste le plus grand réalisateur de sa génération, tout en étant le plus prolifique. L’autre grand américain, James Cameron, est loin d’avoir autant de films à son actif. Parlons chiffres : plus de 100 millions de spectateurs pour ses films, 32 Oscars (avant ceux possibles pour la prochaine cérémonie), bref tout le monde a vu un de ses films entre les immenses succès qu’il a dirigés ou produits (comme Jurassic Park).
Burt Fabelman (Paul Dano), le jeune Sammy Fabelman (Mateo Zoryan Francis-DeFord)& Mitzi Fabelman (Michelle Williams)
Avec ce FABELSMAN, Steven Spielberg nous parle de lui, de ses souvenirs, de son amour pour le cinéma depuis son plus jeune âge, et c’est émouvant, intéressant, drôle parfois, et toujours avec une image soignée.
Alors que cette œuvre est entrée au répertoire de l’Opéra Bastille en 1995, elle fut reprise dans la mise en scène de Andrei Serban plusieurs fois : en 1995, 1996, 1998, 2000, 2006, 2013 puis 2016.
Dans les collines de Lammermoor, au sud de l’Écosse, Lucia retrouve à chaque aurore un mystérieux jeune homme dont elle est amoureuse : Edgardo, de la lignée des Ravenswood. Mais comme dans Roméo et Juliette de Shakespeare, les amants sont issus de deux familles ennemies et n’ont pas le droit de s’aimer. L’histoire authentique de Janet Dalrymple – qui assassina son mari pendant sa nuit de noces et le paya de sa raison – avait déjà inspiré un roman à Walter Scott. En la mettant en musique, Gaetano Donizetti offre à l’opéra romantique italien l’un de ses emblèmes, avec notamment « l’air de la folie » de Lucia, qui exige de son interprète une technique exceptionnelle et une grande sensibilité dramatique.
La mise en scène de cette œuvre peut désorienter. Il est vraiment difficile de voir les belles collines d’Ecosse dans ce décor de gymnase. Mais bon il faut bien avouer que bien des œuvres ont été ainsi revues et corrigées de par leur mise en scène, et Andrei qui a créé celle-ci en 1995, a permis que celle-ci ne souffre pas d’avoir vieilli. Mais il est vrai que je ne l’ai pas vu dans les versions précédentes, où se sont succédés, entre autres : June Anderson et Roberto Alagna en 95, June revint en 2000, Natalie Dessay en 2006, et plus récemment : Nina Minasyan ou Pretty Ynde en 2016.
Cette fois c’est sous la direction musicale bien inspirée de Aziz Shokhakimov que Lucia Di Lammermmor que nous pouvons applaudir les interprètes : Mattia Olivieri (Enrico Ashton), Brenda Rae (Lucia Di Lammermoor), Javier Camarena (Edgardo Di Ravenswood), Thomas Bettinger (Arturo Bucklaw), Adam Palka (Raimondo Bibebent), Julie Pastureau (Alisa) et enfin, Eric Huchet (Normanno). On ne peut que saluer unanimement les interprètes et tout particulièrement Branda Rae, qui est exceptionnelle.
Représentations : à 19h30 sauf le dimanche 26 Février à 14h30
25 ans et pas le plus petite ride, voilà ce qu’est peut-être le plus grand film de l’histoire du cinéma!
Le 7 janvier 2008, le film TITANIC sortait sur les écrans et James Cameron faisait alors trembler le box-office mondial qui a remporté onze Oscars, un record seulement égalé par Ben Hur et Le Retour Du Roi.
Pendant douze ans, le long-métrage est resté le plus grand succès de l’histoire du box office mondial il sera détrôné par Avatar du même réalisateur. Aujourd’hui il reste toujours dans le top 3 des films avec le plus de spectateurs en salles !
Pour célébrer ses 25 ans, le film aux 11 Oscars est ressorti dans les salles il y a quelques jours (le 8 Février) dans une version remasterisée 3D 4K HDR (High Dynamic Range). Revoir ce film dans la version IMAX ou mieux encore dans la salle Dolby du Pathé Beaugrenelle à Paris, est un pur bonheur. En fait j’avais déjà vu Titanic plusieurs fois lors de sa sortie en 2008, et je dois avouer que si je me souvenais parfaitement de certains moments, j’ai redécouvert ce chef d’œuvre dans les meilleures conditions. J’ai une fois de plus été émerveillé par les détails, ayant oublié quelques moments, et je dois avouer que pour moi Titanic est et reste le 1er dans mon cœur !
Voici le top 5 des films ayant le plus marché au box-office mondial chiffres actualisés il y a quelques jours, mais il pourrait bien changer avec les entrées des 2 films de James Cameron actuellement sur les écrans.
Avatar : 2,923
Avengers : Endgame 2,799 milliards
Titanic: 2,217 milliards de dollars
Avatar : La Voie de l’eau 2,214 milliards de dollars
Star Wars : Episode VII : Le Réveil de la Force 2,069 milliards de dollars
Un spectacle d’un nouveau genre le 3 mars à 20.00 à la salle Pleyel à Paris, puis partout en France en Tournée
The Sound of U2 » Beyond The Music », groupe Irlandais, est né de l’idée d’honorer les plus grands albums des plus grands artistes et de la volonté d’embellir les titres emblématiques du rock, grâce à des arrangements orchestraux subtils, tout en restant fidèle aux morceaux d’origine. C’est un voyage musical et une reconnaissance pour les albums des plus grands artistes et leurs chansons qui ont contribué à façonner nos générations.
Leur premier projet a été d’aller au-delà de la musique (Beyond The Music) de l’album révolutionnaire de U2 “The Joshua Tree”. Toutes les orchestrations ont été arrangées et enregistrées avec le Prague FILM’harmonic Orchestra, plusieurs fois primé, dans un premier album intitulé « Beyond The Music – Perform The Joshua tree ».
Sur scène, le chanteur, Nigel Connell, et son groupe rendent hommage à ce puissant album qu’est “The Joshua Tree » accompagnés d’un orchestre à cordes de 12 musiciens et de la chorale The Dublin Gospel Choir.
On m’avait parlé de sa performance à Marrakech, j’ai donc voulu voir son spectacle actuellement au Palais des Glaces à Paris, et bien m’en a pris, Ilyes Djadel est
F O R M I D A B LE.
Salle comble lorsque je m’y suis rendu, et bien m’en a pris. J’ai ri de bout en bout, même lorsqu’il m’a choisi comme tête de turc, pour preuve :
Mais peut-être que je sais reconnaître le talent, je l’ai donc attendu à la sortie du spectacle pour lui dire tout le bien que je pensais de son spectacle, et j’ai pris rendez-vous pour un entretien , que je vous laisse découvrir :
A noter que je fais une très grosse erreur dans cet entretien, Charlie Chaplin était ami avec Albert Einstein et non Sigmund Freud! mea culpa!!!!