Saturday night Fever

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Michel Sardou, le chanteur aux tubes légendaires, des Ricains aux Bals Populaires, du France à Musulmanes, en passant par Et mourir de plaisir ou Les Lacs du Connemara, impossible de les citer tous.  Et le spectacle JE VAIS T AIMER, va vous en proposer quelques dizaines, et  on pourrait presque concevoir un second spectacle avec d’autres titres qui ont fait chanter la France depuis 1967. Normal 26 albums, plus de 350 chansons. voila le bilan actuel de Michel Sardou, de quoi faire envie à tous les chanteurs populaires.

La mise en scène et le livret de Serge Denoucourt sont parfaits avec l’aide de Stéphane Roy pour la scénographie et la direction artistique. Nous avons rencontré un producteur heureux : Roberto Ciurleo, qui n’en n’est pas à ses premiers essais : on lui doit entre autres : Les 3 Mousquetaires, Saturday Night Fever, ou Bernadette de Lourdes.

Rencontre sur la scène de la SEINE MUSICALE:

Une comédie musicale ce sont des voix, et bien que tous les comédiens chanteurs soient parfaits, j’ai rencontré deux d’entre eux :

Hakob GHASABIAN qui joue le rôle de Nicolas:

et le second :

HOBBS dans le rôle de Mike:

Surtout ne manquez pas le final, où toute la salle est debout pour chanter avec tous les comédiens et chanteurs sur scène, et vous pourrez dire JE VAIS T’AIMER après avoir fredonné EN CHANTANT, LES LACS DU CONNEMARA, LE FRANCE et bien d’autres tubes que nous ne sommes pas prêts d’oublier.

Si cela ne tenait qu’à moi, j’aurais vu ce spectacle et revu, et revu. Après les dates parisiennes qui s’arrêtent en juin, la comédie musicale reprendra les routes de France, et nous ne sommes pas à l’abri d’un retour à Paris, avant que les succès franchissent nos frontières.

un petit bonus avec la bande annonce:

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Série culte sur Canal +, voici l’adaptation théatrale.

C’est en 1988 que Christian Fechner, Canal + et Pierre Lescure lancent Palace, et donnent carte blanche à Jean-Michel Ribes. Ce sera une série loufoque qui a permis au téléspectateur de découvrir de nouveaux visages, comme Valérie Lemercier, mais aussi des comédiens déjà célèbres, comme Jean Carmet, Philippe Khorsand, Jacqueline Maillan, Claude Pieplu (la voix des Shadoks!)=, François Rollin, François Morel, avec des apparitions de célébrités : Christian Clavier, Pierre Arditi, Roger Hanin, Gérard Lanvin, Pierre Mondy, Les Nuls, Jean Yanne ou Daniel Prévost.

 

L’époque est bien révolue où des stars faisaient ainsi des apparitions. Et pour l’adaptation théâtrale, vous vous doutez bien que la majorité n’étant plus de ce monde, ils ne peuvent donc être remplacés. Nouvelle distribution donc: Salim Bagayoko, Joséphine de Meaux, Salomé Dienis-Meulien, Mikaëm Halimi, Mgali Lange, Jocelyn Laurent, Philippe Magnan, Karina Marimon, Coline Omasson, Thibaut Orsini, Simon Parmentier, et celui qui a attiré notre regard depusi quelques comédies musicales : Gwendal Marimoutou, que l’on avait vu dans Résiste, Madiba et Saturday Night Fever.

C’est, une fois de plus vers lui que nos regards convergent, raison de plus pour le rencontrer à nouveau:

Palace, c’est au Théâtre de Paris

du mardi au samedi à 20h30 et dimanche à 15h30

Tarifs flash jusqu’au 9 novembre : de 12 à 32€

la bande annonce :

 

 

 

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Tout le monde se souvient du film de Christophe Barratier, en voilà la version scénique, plus musicale, aux Folies Bergère.

Le film Les Choristes, remake d’un film de Jean Dréville de 1945, fut le plus grand succès cinématographique de l’année 2004, qui avait largement dépassé les 8 millions de spectateurs, et la musique de Bruno Coulais, et plus particulièrement Va Sur Ton Chemin fut un tube. Les comédiens étaient tous parfaits : Gérard Jugnot ( le nouveau pion, Clément Mathieu), François Berléant, (le directeur de l’institution), Kad Merad (le prof de sport), Jean-Paul Bonnaire (le père Maxence, infirmier) et surtout le tout jeune Jean-Baptiste Maunier (Pierre Morhange) à la voix superbe.

Cinquante ans après l’histoire principale, Pierre Morhange, devenu chef d’orchestre, revient en France après avoir appris la mort de sa mère avant un de ses concerts. Un vieil ami, Pépinot, sonne à sa porte et lui apporte l’ancien journal intime de Clément Mathieu, un des anciens surveillants de l’école qu’ils fréquentaient . Les deux amis lisent le journal ensemble, qui commence en Janvier 1949.  Clément Mathieu, professeur de musique sans emploi, trouve un emploi de surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs, appelé « Fond de l’étang », où les méthodes répressives appliquées par le directeur  ne fonctionnent pas sur certains élèves.  Clément amène de la joie dans l’établissement en créant une chorale, désapprouvée par le directeur. Mais le Pion, Clément repère  Morhange pour ses talents vocaux et insiste auprès de sa mère, dont il tombe amoureux, pour qu’il entre au conservatoire. On ajoute une promenade en forêt, une disparition d’argent, un incendie, et voilà que La France tombait sous le charme, et surtout sous l’émotion.

Cette fois on retrouve la majorité des personnages sur la scène des Folies Bergère, avec Jean-Louis Barcelona (Clément Mathieu), Jean Pierre Clami (Maxence), Patrick Zard ( le directeur) et Aude Candela (la mère de Morhange), Michel Pilorgé (le prof de maths) et Victor Le Blond (Pascal Mondain, le jeune voyou, que l’on voit malheureusement trop peu. Bien entendu ce sont les enfants les plus importants, qui se partagent les rôles, et qui  issus du chœur de la prestigieuse Maîtrise des Hauts-de-Seine, Si on adore entendre les enfants chanter, qui font passer les sentiments, il est quand même difficile de retrouver toute l’émotion ressentie lorsqu’on avait vu le film. L’orchestre n’est pas sur scène, ce qui n’est pas rare, les ‘musicals’ à succès actuellement à Paris comme Saturday Night Fever, Priscilla Folle du Désert, ne l’ont pas non plus.

C’est Christophe Barratier qui a écrit le nouveau livret et qui assure la mise en scène, en gardant la partition ancienne et rajoutée de Bruno Coulais. La salle est assez hétéroclite, avec beaucoup de grands parents accompagnés de leurs petits enfants, qui font une ovation plus particulièrement  aux chœurs de la jeune chorale. Les enfants présents sur scène ont du charisme à revendre, et tout particulièrement celui qui joue le tout petit Pépino, ou celui qui interprète Pierre Morhange. Des décors sympathiques, de bons jeux de lumière, voilà de quoi plaire au plus grand nombre.

 

Toutes les photos : @ Cyril Moreau / Bestimage

Les Choristes, aux Folies Bergère, rue Richer à Paris jusqu’au 21 Mai, suivi d’une tournée en France

Représentations : jeudi et vendredi à 20h00, vsamedi à 16h00 et 20h00 et dimanche à16h00.

Durée du spectacle, 2h30 environ

Prix des places de 30 à 89 €

Réservations : leschoristes-spectacle.com

Réservation au guichet de la salle du lundi au vendredi de 14h00 à 18h00 : 32 rue Richer – 75009 Paris
La réservation est possible le samedi, le dimanche et les jours fériés, s’il y a représentation, 1h avant la représentation

dates de la tournée: (sous réserve de modification)

22 Septembre Epernay

23 Septembre Zenith de Strasbourg

29 Septembre Caen

6 Octobre Amiens

7 Octobre Lille

13 Octobre Nice

14 Octobre Marseille

20 Octobre Pau

21 Octobre Toulouse

27 Octobre Limoges

28 Octobre Bordeaux

3 Novembre St Etienne

4 Novembre Lyon

9 Novembre Orleans

0 Novembre Cournon

11 Novembre Montpellier

17 Novembre Brest

18 Novembre Nantes

24 Novembre Le Mans

25 Novembre Rennes

8 Décembre Nancy

9 Décembre Forest National en Belgique

15 Décembre Chambéry

16 Décembre Dijon

 

 

 

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Une claque! j’ai aimé d’autres comédies musicales cette année, Ce Saturday Night Fever est vraiment le top en création de cette saison.

Presque 40 ans après sa sortie en salles (en janvier 1978 en France), voilà un film culte transposé en comédie musicale sur la scène du Palais des Sports à Paris. Si le film de John Badham a lancé la carrière de John Travolta dans le rôle de Tony Manero, le nom de celle qui fut à ses côtés a disparu de nos mémoires. C’était Karen Lynn Gorney qui était Stéphanie. En revanche ce que l’on n’est pas prêts d’oublier ce sont tous les tubes qui ont lancé le film, et plus particulièrement ceux des Bee Gees, qui furent longtemps les recordmen des ventes de disques avec cette bande originale.

© Dominique Jacovides/ Bestimage

Pour la scène du Dôme de Paris, trois productions se sont jointes : Robin Production, Gilbert Coullier Productions et Twocprod, , et sous la houlette du metteur en scène: Stéphane Jarny, , la scénographie de Stéphane Roy et la chorégraphie de Malik Le Nost, ils ont réuni des talents qui ont fait et vont faire vibrer le Palais des Sports pendant plusieurs semaines avant d’entamer une tournée en France.

© Coadic Guirec – Dominique Jacovides / Bestimage

Les deux stars ont pour nom : Nicolas Archambault dans le rôle de Tony et Fauve Hautot dans celui de Stéphanie. Je cherche des superlatifs pour parler de leur prestation, mais aucun ne suffira à démontrer l’ampleur de leur talent. A ce  concert de louanges il ne faut surtout pas oublier le trio d’interprètes/chanteurs : Stephan Rizon, Nevedya et Flo Malley, qui se hissent au niveau des plus grands en nous faisant oublier le temps de quelques tubes, que ce ne sont pas les interprètes originaux, que l’on entend. pas les Bee Gees, non ce trio de choc. Tous les autres interprètes sont du même acabit, dont le conteur, Gwendal Mirimoutou, qu’on avait pu découvrir dans le musical Résiste. Autres rôles importants : Fanny Fourquez et Vinitius Timmermann. Et le tableau ne serait pas complet sans parler de la troupe de danseurs.

© Coadic Guirec – Dominique Jacovides / Bestimage

Mais je crois que ce qui restera gravé dans nos yeux, ce sont les éclairages. C’est un véritable feu d’artifice dans ce décor qui n’est pas sans rappeler une platine tourne disques de cette époque. La salle apprend à danser, et ne se gène pas pour le faire. Tous debout à se trémousser , des plus jeunes aux personnes plus âgées. Personne n’a oublié ces super titres et tout le monde se prend à rêver  qu’on se transporte le temps du spectacle loin en arrière dans le temps. Temps que nombre de spectateurs n’ont connu que par ouïe dire.

Vous aussi laissez vous transporter par cette Fièvre du Samedi soir, qui se produits à Paris jusqu’au 30 Avril,

© Dominique Jacovides/

Autre article avec Interview de Nicolas Archambault : http://www.onsortoupas.fr/saturday-night-fever-sur-la-scene-du-palais-des-sports-a-paris-des-le-9-fevrier-et-ensuite-en-tournee-dans-toute-la-france/

Représentations jeudi et vendredi soir à 20h00, samedi: 15h00 et 20h30, dimanche 15h00 et 20h00

Places de 31 à 89 €

Réservations aux guichets du palais des sports ou par Internet

 

Dates de la Tournée : les samedis à 15h00 et 20h30:

13 Mai : Epernay

20 Mai : Amnéville

3 Juin : Amiens

10 Juin : Lille

16 Septembre : Dijon

23 Septembre : Orléans

30 Septembre : Genève

7 Octobre : Toulouse

14 Octobre : Rouen

28 Octobre Marseille

4 Novembre : Bordeaux

11 Novembre : Lyon

18 Novembre : Bruxelles

25 Novembre : Nice

2Décembre : Strasbourg

9 Décembre : Montpellier

16 Décembre : Albertville

30 Décembre : Nantes

13 Janvier 2018 : Clermont Ferrand

20 Janvier 2018 : Limoges

27 Janvier : Caen

 

 

 

 

En 1977 une bombe arrive sur les écrans : Saturdy Night Fever, avec John Travolta et surtout une bande sonore signée par les Bee Gees. En 2017, c’est la comédie musicale du même titre qui va vous faire vivre ces années disco.

Vous souvenez-vous de l’histoire de Tony Manero (qui aura les traits de Nicolas Archambault), qui vit à Brooklyn, travaille dans une boutique de peinture, mais qui, le samedi soir change du tout au tout. Il est la star d’une boite de nuit, L’Odyssée 2001. Star  parce que lorsqu’il danse, c’est vraiment génial. Naturellement, il rencontre la belle Stéphanie (Fauve Hautot) et tombe amoureux. Il lui propose de faire équipe pour un concours de danse organisé par le Club. .Pour lui, la danse est en quelque sorte sa raison de vivre, alors qu’elle est indépendante, avec un caractère bien trempé. Mais tous deux sont des danseurs spectaculaires et leur duo est fantastique, débordant de vitalité et de créativité.

C’est sur la scène du Dôme ( Le Palais des Sports) de Paris que vous allez revivre, en musique pendant quelques mois, l’histoire de ce duo fantastique. Et vous ne pourrez que vivre ou revivre pour les moins jeunes, ces années où le disco était maître du monde musical, avec plus particulièrement la musique de Bee Gees, et des tubes planétaires  comme :Stayin’Alive, How deep is your love, Night Fever, More than a woman, Jive talkin’, You should be dancing, Tragedy, parmi bien d’autres, tous n’étant pas composés par les fameux frères. Des titres cultes que vous pouvez aussi retrouver, outre sur le double CD de la musique du film, sur un album Tribute, avec  des interprètes comme Jess Glynne, Julian Perreta, Kylie Minogue, Madcon, Alex Newell ou Zak Abel, là aussi parmi d’autres.

Peu de personnes en France connaissent Nicolas Archambault, alors l’équipe d’ONSORTOUPAS, l’a rencontré pour qu’il nous parle de ce spectacle et de sa carrière:

TOUTES LES PHOTOS ET VIDÉOS  (sauf la bande annonce ci dessous) : @ Guy Courthéoux et Claude Laplace / OnSortOuPas.fr

Tarifs pour les représentations à Paris : de 39 à 89 €, les prix pour la tournée sont à vérifier sur les différents sites de vente.

Représentations à Paris du 9 Février au 30 Avril 2017.

Les jeudis et vendredis à 20h00

samedis : 15h00 et 20h30 et dimanches : 15h00 et 20h00

la tournée: