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C’est un classique du musical. Il a été mis  en scène à Paris depuis que Le Lido de Paris est devenu un temple de la comédie musicale. Le film se joue depuis des années au Studio Galande dans le 6ème, où les fans viennent maquillés, grimés, habillés comme les protagonistes du film: THE ROCKY HOOROR PICTURE SHOW  est de retour dans les bacs vidéo dans une version 4 K remarquable. Les images sont superbes, plus de grain, quand au son, on en redemande.

Dois-je vraiment vous raconter ce musical.? Un jeune couple se retrouve en panne sous une pluie battante. Une maison pas trop loin semble avoir de la lumière, et ils vont se rendre dans ce manoir, où le propriétaire va les entrainer dans d’étranges aventures sous fond de rock. La comédie fête ses 50 ans, et le moins que je puisse dire c’est que je ne m’en lasse pas. Je me souviens que la production du film avait invité 8 journalistes, dont moi,  pour que l’on donne notre avis sur le film, et c’était environ 4/6 mois avant que le film sorte sur les écrans français en avril 1976.

Inutile de vous dire que ce fut un choc, nul besoin des sous-titres (qui n’étaient pas encore prêts) pour rire, avoir envie de danser , chanter, et si j’ai revu le film en salles, j’attendais la sortie en cassettes vidéo VHS (pour les plus jeunes c’était le format pour les films, avant que le DVD ne pointe le bout de son nez, puis le Bluray ) et enfin le film entièrement restauré en 4K, qui est une pure merveille. Je l’ai déjà regardé 3 fois depuis qu’il est rentré sur mes étagères.

Le format est respecté 16/9,  1.66.1

la version VOST en 4K possède une piste en Dolby Atmos 7.1, en anglais . Il n’y a pas de version française, mais les sous-titres français , Anglais SME ou Néeerlandais sont possibles.

Il y a un autre disque dans ce coffret , en BLU RAY : 16/9, 1.66.1 avec sous titres français et la version sonore de ce bluray est DTS – HD M 7.1

Le coffret, en métal, contient donc 2 disques

 

Le coffret 4 K est disponible à la Fnac et Amazon, au prix de 24.99€

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Il y a eu le RUNNING MAN en 1987 réalisé par Paul Michael Glazer avec Arnold Schwarzenegger, sorti en France en 1988,  et il y a le film qui vient de sortir sur les écrans avec  Glen Powell!, mais hormis le sujet, ce sont deux films aux antipodes, bien que derrière l’histoire il y ait toujours Monsieur Stephen King

On est dans le futur, mais pas demain. Léa télévision propose des programmes dotés de prix faramineux.  The Running Man est l’émission numéro un : un jeu de survie impitoyable où des candidats, appelés les Runners, doivent échapper pendant 30 jours à des tueurs professionnels, sous l’œil avide du public captivé. Chaque jour passé augmente la récompense à la clé — et procure une dose d’adrénaline toujours plus intense.

Ben Richards (Glen Powell), est, quant à lui, un ouvrier qui vient de se faire virer . Il est désespéré et  prêt à tout pour sauver sa fille gravement malade, et va donc accepter l’impensable : participer à ce show mortel, poussé par Dan Killian (Josh Brolin), un producteur charismatique et surtout cruel, voire sadique  . Mais personne n’avait prévu que Ben, par sa rage de vivre, son instinct et sa détermination, devienne un véritable héros du peuple… et une menace pour tout le système. Alors que les audiences explosent, le danger monte d’un cran. Ben devra affronter bien plus que les Hunters : il devra faire face à un pays entier accro à le voir tomber. Autres comédiens :  William H. Macy, Lee Pace, Emilia Jones, Michael Cera, Daniel Ezra, Jayme Lawson, Colman Domingo.

Je n’ai plus guère de souvenir du premier opus, mais dans ma mémoire j’avais aimé. Cette fois, on est dans l’action à 33km/h et on ne s’ennuie pas une seconde. On rentre dans le film dès les premières minutes, juste le temps de nous expliquer la situation, et une fois ceci, le film tourne à toute vitesse, et nous n’avons pas le temps de nous ennuyer, jusqu’à la dernière minute.

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Voici donc le nouveau spectacle musical d’Alex Goude, dédié aux problèmes des hommes, qui se joue au Grand Point Virgule.

Si vous aviez aimé Menopause (Ménopause, la comédie qui bouscule les règles ! Une pièce  hilarante mise en scène et co-écrite par Alex Goude, avec entre autres  Dominique Magloire,  Marion Posta, Patricia Samuel et Marianne Vigués) qui se joue toujours au Grand Point Virgule , vous ne pouvez pas manquer la version masculine. Petit rappel de ce qu’est Menopause : Séverine, cheffe d’entreprise, Odile, comédienne, Nadine, mère de famille modèle, et Roselyne, agricultrice spécialisée des plantes mexicaines, se retrouvent coincées aux Galeries Lafayette le 1er jour de soldes. 4  héroïnes des temps modernes qui n’ont rien en commun, à l’exception près qu’elles vivent toutes ce que la moitié de l’humanité traverse irrémédiablement : la MÉ-NO-PAUSE !

La version masculine est certes différente, mais tout aussi réussie. elle est l’oeuvre d’Alex Goude et Jean Jacques Thibaud. Et cette fois on va nous faire rire et fredonner, voire chanter avec les problèmes  de virilité, ou pour parler plus crument : d’érection. Et on rit beaucoup, que l’on soit concerné (oui les mecs, qui n’a jamais connu de « panne »? ) ou non (ben oui mesdemoiselles et mesdames, cela vous concerne, indirectement mais au moins cette fois vous n’avez pas à vous en blâmer, mais vous allez le prendre avec humour.

Thomas, 58 ans, PDG d’une agence de pub, Romain, 42 ans, bibliothécaire, Jérémy, 25 ans, coach sportif, n’ont absolument rien en commun et pourtant ils traversent tous le même… coup de mou : une crise d’identité terrible de leur masculinité (et de leur virilité). Fin du patriarcat, culte de la performance, rôle des femmes, applications de rencontres, dysfonctionnements internes : leurs certitudes sont mises à … mâle et ils se demandent quelle est la place des hommes aujourd’hui. Mais heureusement, leur salut viendra d’une femme, Becky, une sexothérapeute à la méthode révolutionnaire va tenter de les faire tenir debout… de partout.  ! et tout cela avec des rires, des chansons, que dis-je, des tubes que tout le monde connait , sauf si on vient d’une autre planète!

On rit beaucoup, on chante beaucoup, et on ressort avec la banane. C’est du Théâtre Feel Good, et on en redemande!

 

Dans le rôle de Becky : Laura Masci ou Ana Adams

Dans le rôle de Romain : Edouard Collin ou Alexandre Serret

Dans le rôle de Jérémy : Pierre Vigié ou Frank Ducroz

Dans le rôle de Thomas : Philippe d’Avilla ou Pascal Nowak

Rencontre avec Edouard Collin dans les coulisses du Grand Point Virgule:

 

Représentations : du mercredi au vendredi à 21.00

samedis : 21.30  et Dimanche : 19.00

pour rappel Ménopause se joue du mercredi au vendredi à 19.00, le samedi à 18.00 et dimanche à 17.00

 

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Sans dévoiler le film, tout tourne autour d’un diamant, le plus gros au monde, avec les Cavaliers qui ont bien envie de s’en approprier. Ils sont donc sont de retour pour le braquage le plus impressionnant jamais imaginé ! Accompagnés d’un groupe de jeunes magiciens qui espèrent suivre leur trace, ils vont devoir repousser les limites de l’illusion pour orchestrer leur tour le plus spectaculaire : dérober le joyau le plus précieux du monde des mains d’une redoutable organisation criminelle.

 

Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on reste scotché à son siège pendant toute la durée du film : 1h53,  sans s’ennuyer une seule seconde, et déjà là c’est une performance. La mise en scène de Ruben Fleischer (Venom et Retour à Zombieland entre autres), et il sera aussi  à la tête du 4éme épisode de Insaisissable, prévu pour 2027.

Ce n’est pas le genre de film dont on dévoile le scénario. On se laisse porter par l’histoire, l’action, et ce dès les premières minutes. On ne va pas voir un film d’auteur, ni un film d’animation, mais on se laisse porter par l’histoire et ses très nombreux rebondissements. Les comédiens semblent ravis de participer, outre ceux déjà cités, Jesse Eisenberg, Woody Harrelson, Dave Franco, Morgan Freeman, la liste est longue, tentons de n’oublier personne : Rosamund Pike, Justice Smith, Dominic Sessa, Mark Ruffalo, Daniel Radcliffe, Ariana Greenblatt…

la bande annonce :

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C’est un peu un OVNI que cet entretien filmé avec un des chanteurs les plus populaires en France, où le chanteur, compositeur, auteur, acteur père de famille se raconte sans fard, et c’est captivant de bout en bout

Le film de Richard Melloul que nous avons pu découvrir au cinéma nous donne une nouvelle image de Michel Sardou, qui parle à la caméra, avec des entretiens avec ses fils, ainsi que des personnes qui ont largement collaboré avec lui, que ce soient les auteurs, compositeurs comme Jacques Revaux, Michel Fugain, Pierre Billon, ou d’autres collaborateurs comme Jacques Rouveyrollis, qui a réalisé les éclairages de tous ses spectacles, (et ceux de Sylvie Vartan entre autres). Des extraits de spectacles, des entretiens avec avec celle qui a partagé la scène lors des représentations théâtrales, Marie Anne Chazel , mais aussi de ses fils Romain et Davy nous montrent une autre facette de ce chanteur (mais aussi auteur et compositeur) qui chante depuis le milieu des années 60, avec des titres comme Et Mourir de Plaisir, Les Bals Populaires et des tubes absolus : comme L’an Mil, Les Lacs Du Connemara, Musulmanes, La Maladie d’Amour, La Java De Broadway, ou Etre Une Femme. Bref 60 ans de carrière quasiment jour pour jour.

Toutes les photos : @ Richard Melloul

Ce film reportage, interview est vraiment exceptionnel, et ne manquera pas de plaire aux fans de Sardou, mais pas que. Sardou est le dernier des grands de la chanson française, à l’instar des grands disparus: Hallyday ou Claude François. Une longue carrière , très longue avec des centaines de récitals, spectacles, tours de chant, selon les années. Malheureusement il n’y a que très peu de spectacles disponibles en DVD, un seul (introuvable ou à des prix très élevés en Bluray, et, à ma connaissance aucun en 4K…

Dommage, espérons que ce film donnera des idées à Phonogram pour nous offrir des récitals, comme celui filmé lors de sa dernière série de concerts, dans les meilleures qualités (4K et Bluray)

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J’avais découvert cet humoriste avec son premier spectacle, COMING OUT, il y a quelques années. Un spectacle hilarant et qui, contrairement à ce que son titre nous laisse penser, ne parle pas du tout d’un coming out gay. Loin s’en faut.

Vous pouvez découvrir ce dont il est question avec un entretien avec cet humoriste :

http://www.onsortoupas.fr/coming-out-avec-mehdi-emmanuel-djaadi-une-tres-bonne-surprise-cest-au-petit-montparnasse/

Alors, lorsqu’on m’a signifiés que Mehdi revenait avec un nouveau spectacle au studio des Champs Elysées, je n’ai pas hésité une seconde pour aller l’applaudir

Cette fois le titre laisse perplexe. De quoi va-t-il nous parler?  Même si je sais exactement de quoi il parle, vu que j’ai vu son nouveau spectacle dans une salle comble et qui riait  du début à la fin!

C’est l’histoire d’un homme croyant, tiraillé entre ses origines musulmanes, sa conversion au catholicisme et une part d’athéisme naissante, confronté à l’impossibilité de concevoir un enfant avec sa femme. Une réflexion poignante sur la masculinité, les injonctions sociales et le poids des traditions, portée par une parole où l’humour affleure, même au cœur de la fragilité.

Après le succès de « Coming-out » nommé aux Molières du meilleur seul en scène, Mehdi Djaadi revient explorer une nouvelle zone de silence : l’infertilité masculine.

Le plus simple est quand même de lui laisser la parole:

Auteur : Mehdi DJAADI
Metteur en scène : Thibault EVRARD

Représentations parisiennes les Mercredis et Jeudi à 19.00

tarif : 30€ la place

 

 

 

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Je n’avais pas eu l’opportunité de voir cette grande interprète jusqu’à ce vendredi. En vérité, j’avais contacté son service de presse, qui s’était empressé de me faire parvenir son Triple CD sorti récemment: Mon Credo, avec rien moins que 61 chansons dont des versions rares, avec bien entendu ses chansons les plus célèbres aux côtés de raretés. Et je me suis aperçu que je fredonnais la plupart de ses titres ultra célèbres comme : Mon credo, Pardonne moi ce Caprice d’enfant, Acropolis Adieu, La Paloma, Tous les enfants chantent avec moi, Bravo tu as gagné, Paris en Colère ou encore : Qu’elle est belle pour n’en citer que quelques uns. Mais en quelques décennies, il est normal que certains titres de la deuxième partie des années 60 puissent encore trotter dans nos têtes.

Alors de là à avoir envie d’enfin découvrir Mireille Mathieu sur scène, il n’y avait qu’un pas. On m’avait prévenu, les 3 concerts étaient complets, et ce depuis longtemps. Mais je crois toujours en ma chance. et me voilà le soir de la première au moment où les derniers spectateurs  étaient rentrés dans la salle, lorsqu’une personne m’aborde en me proposant un ticket à  l’orchestre, très bien placé, et quasi gratuit. J’étais donc l’heureux propriétaire d’une place au 13ème rang. La salle était conquise bien avant que ne s’ouvre le grand rideau rouge, et voilà la demoiselle d’Avignon qui arrive sous les acclamations d’une salle debout.

L’orchestre entame rapidement les premières notes de MADE IN FRANCE, ovations et les premiers bouquets ou cadeaux sont offerts , et ce sera ainsi pour toutes les chansons! LA PALOMA ADIEU suivra, toujours suivi des cadeaux offerts. puis dans l’ordre :  TOUS LES ENFANTS CHANTENT AVEC MOI, LA PREMIERE ETOILE, POURQUOI LE MONDE EST SANS AMOUR, AU NORD DU NORD, L’AVEUGLE, UNA CANZONE, L’AMOUR EN ROBE NOIRE, ON EST BIEN, HYMNE A L’AMOUR  pour terminer la première partie avec PARIS EN COLERE.
20 minutes d’entracte .
Mireille entame très fort la seconde partie avec MON CREDO, le premier titre qu’elle avait enregistré en 45 t chez Barclay, et suivront :  SANTA MARIA DE LA MER, DONNE TON COEUR DONNE TA VIE puis UN DERNIER MOT D’AMOUR et autre titre ultra connu : ACROPOLIS ADIEU. D’autres titres  avant un autre incontournable du répertoire d’Edith PIAF : NON JE NE REGRETTE RIEN, puis MAMAN, LA PLUS BELLE DU MONDE avec un écran géant qui nous montre des photos de sa maman. On enchaîne avec des tubes incontournables comme MILLE COLOMBES ou BRAVO TU AS GAGNE, avant un encore qui termine le spectacle avec un dernier hommage à PIAF …LA VIE EN ROSE.
Le public qui se levait après chaque chanson, reste debout longtemps avant que  se referme définitivement sur ce spectacle .
 Je dois bien avouer que je n’attends désormais qu’une chose: l’annonce d’une nouvelle série de représentations à Paris.
 QUELQUES PHOTOS DE CE SPECTACLE
@Guy Courthéoux

 

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Pour sonder la sincérité de Dorante, qu’on lui destine sans qu’elle ne l’ait jamais rencontrée, Sylvia échange son habit avec sa servante Lisette.

Mais la belle ignore que son prétendant a recours au même stratagème avec son valet Arlequin. Ainsi travestis, les deux couples seront donc les dupes de ce jeu de hasard et d’amour orchestré par le père de Sylvia et son fils Mario.

Parviendront ils à sortir indemnes de ce cruel labyrinthe ? L’amour peut-il triompher des préjugés sociaux ? Beaucoup de questions , n’est-ce pas?

La réponse est dans les rires de la salle!!

 

Une rencontre avec deux des comédiens s’imposait : la voilà:

 

 

 

Distribution en alternance

  • Arlequin Dennis Mader, Thomas Rio, Jérémie Guilain, Bryan Schmitt
  • Dorante Adib Cheikhi, Basile Sommermeyer, Mathias Zakhar
  • Lisette Justine Teulié, Camille Blouet, Chloé Zufferey
  • Mario Vincent Odetto, Balthazar Gouzou
  • M. Orgon Matthieu Gambier, Frédéric Cherboeuf, Marc Schapira
  • Silvia Lucile Jehel, Céline Laugier, Émilie Lehuraux

Équipe artistique

  • Mise en scène Frédéric CHERBOEUF
  • Assistant à la mise en scène
  • Création lumière Tom KLEFSTAD
  • Création sonore Stéphanie VERISSIMO
  • Costumes Emilie MALFAISAN
  • Collaboration artistique Adib CHEIKHI, Collectif L’ÉMEUTE
  • Scénographie Frédéric CHERBOEUF, Adib CHEIKHI

 

Représentation supplémentaire :

Mardi 14 avril 2026 20h45
Espace Carpeaux, Courbevoie
Le jeu de l’amour et du Hasard   De Marivaux. / Collectif l’Émeute, 6 comédiens / Mise en scène Frédéric Cherboeuf
20h45 : spectacle. Espace Carpeaux.
(à 19h45 : RV au bar La Bulle et de l’Espace Carpeaux pour un Quiz sur les classiques de la littérature)
15 bd Aristide Briand, Courbevoie
Tarifs 20 à 27€. Rés : 01 46 67 70 00

 

 

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Cédric Jimenez n’est pas un inconnu en tant que réalisateur, vu qu’il nous avait déjà offert son premier film, co réalisé avec Arnaud Duprey, Aux yeux de tous en 2012.  suivra , 2 ans plus tard La French qui réunit Jean Dujardin et Gilles Lellouche pour un autre polar marseillais. Il faudra attendre 3 ans pour le retrouver dans HHhH, avec un comédien américain, Jason Clarke. Mais le succès l’attend en 2020 avec Bac Nord et, enfin  en 2021 Novembre sur les 5 jours d’enquête suite aux attentas du 13 Novembre, au générique duquel on verra Jean Dujardin, Anaïs Demoustier, Sandrine Kiberlain et Jérémie Renier. Il est de retour avec un film coup de poing : CHIEN 51.

On est dans un futur pas vraiment proche où Paris a été divisé en 3 zones qui séparent les classes sociales et où l’intelligence artificielle ALMA a révolutionné le travail de la police.  Mais le créateur / inventeur de la situation  est assassiné.  Salia et Zem (Gilles Lelouche et Adèle Exarchopoulos),  deux policiers que tout oppose, sont forcés à collaborer pour mener l’enquête.

Le moins que l’on puisse dire sur ce film c’est qu’il est efficace et qu’il nous prend aux tripes et ce dès les premières images. Le rythme ultra rapide des premières images  nous entraine dans un autre monde. Certes on reconnait Paris, mais on est transporté dans un autre monde. Le réalisateur ne nous donne aucune information sur les dates où se déroule le film, mais fort heureusement ce n’est pas aujourd’hui.

Je suis rentré dans le film dès les premières minutes  et je ne peux même pas dire que j’en suis sorti à la fin du film, bien au contraire. Les comédiens sont tous parfaits, même les autres rôles : Louis Garrel, Romain Duris, Valeria Bruni Tedeschi, Artus. Je ne peux que dire du bien de ce polar, que je ne conseillerai toutefois pas, ou difficilement aux plus jeunes vu que la violence est omniprésente, et que cela peut choquer certains.

Quand le cinéma made in France  est à ce niveau de qualité, on ne peut qu’être fier d’en parler!

 

Le film annonce :

 

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C’était en Mai 2024 La Nouvelle Calédonie était peut-on dire à feu et à sang. L’archipel est ravagée par des émeutes extrêmement violentes. Une nuit un groupe de profs et de parents d’élèves érigent des barrages pour protéger leur collèges. On y retrouve Kevin, prof caldoche et loyaliste et Marguerite, prof kanak indépendantiste Le problème est qu’ils sont déboussolés, et qu’ils ne » savent pas s’ils auront la possibilité de sauver leur collège.

Sur ce canevas Jenny Briffa a écrit cette pièce à 2 personnages  interprétés par Laurence bolé et Stéphane Piochaud  dans une mise en scène particulièrement efficace signée Frédéric Andrau.

Rencontre avec le metteur en scène et les deux comédiens à l’issue de la représentation à La Manufacture Des Abbesses dans le 18ème.

 

les représentations :

jusqu’au 2 Novembre  à 21.00 du jeudi au samedi et dimanche à 17.00 à la Manufacture des Abbesses , 7 rue Véron 75018 Paris (métro: Abbesses ou Blanche)

réservations : 01 42 33 42 03