Accueil

 

Si, comme moi et des millions de spectateurs vous avez vu et revu Avatar et sa suite Avatar la voie de l’eau, vous serez impatient de découvrir l’affiche ci dessous

 

 

et les films annonce:

en VOST et en français!

 

 

Cela aurait du être l’évènement en Septembre 2020 : CARMEN au Stade de France, mais le spectacle n’a jamais eu lieu

Le décès de la cantatrice qui nous a été annoncé ce jour, me le fait d’autant regretter.

Roberto Alagna & Beatrice Uria-Monzon Carmen "Je vais danser en votre ...

Carmen / extraits: Beatrice Uria-Monzon, Uria-Monzon, Béatrice: Amazon ...

 

En fait l’avantage de Carmen sur tous les autres opéras du répertoire, c’est que tout le monde en connait les airs : Toréador, La Habanera, Bohémienne, L’amour est Enfant de Bohême, parmi d’autres.

Ce soir là, aurait du être l’occasion de les redécouvrir avec des voix magiques,  comme celles de Béatrice Uria Monzon (Carmen) Roberto Alagna (Don José) ou Aleksandra Kurzak (Micaela). Je ne vais pas vous donner toute la liste des personnes sur scènes,  300 personnes , ce n’est pas rien, chanteurs, danseurs, choeurs, orchestre… N’oublions pas toutefois l’empereur des lumières : Jacques Rouveyrollis, quinous aurait gratifié d’ effets incroyables. Et surtout la direction musicale de Giorgio Croci.

Roberto ALAGNA

L’Opéra de Georges Bizet est un des plus joué de par le monde, et certainement le plus joué en France et la mise en scène aurait été  signée  Charles Roubaud, qui avait déjà œuvré dans le Stade de France avec Nabucco en 2008 et Aïda en 2010. On nous parle de scène frontale contrairement à ce qui s’était fait auparavant.

Aleksandra-KURZAK

Ecoutons  Roberto Alagna et Béatrice Uria-Monzon lors des entretiens de présentation :
La première vidéo est une exclusivité pour Onsortoupas. Même si elle est courte, se retrouver aux côtés de ce personnage est un insigne honneur:

Les deux autres entretiens suivants ont été filmés lorsque les deux interprètes se trouvaient devant un petit parterre :

Cela vous fait quel effet de vous retrouver devant un tel nombre de spectateurs:

Un parcours qui impressionne?

Un entretien exclusif avec Béatrice Uria Monzon

 

Et un autre entretien avec le metteur en scène Charles Roubaud :  ( désolé mais difficile de demander à certains  à côté de nous, de se taire….)

La bande annonce :

Vibrant hommage à cette fabuleuse voix qui s’est éteinte ce samedi 19 Juillet, et toute l’équipe d’Onsortoupas, et plus particulièrement Marie Laure Atinault et moi même, adressons nos condoléances à la famille et aux proches de cette grande artiste.

 

Guy Courthéoux

Rating:

Il y a des films comme ça. On se souvient de les avoir vus, mais il y a longtemps. Si on me demande  ce que j’en avais pensé alors, je pense que je dirais avoir passé un bon moment, mais dans le cas de ce film de Claude Zidi : LA COURSE A L’ECHALOTTE, j’aurais été incapable de parler de l’intrigue, mes souvenirs s’arrêtant aux deux interprètes principaux: Jane Birkin et Pierre Richard

L’histoire? un employé de banque un peu farfelu, est amoureux fou d’une jeune coiffeuse qui travaille dans  l’immeuble face à ses bureaux. Mais celle-ci en a raz le bol de sa jalousie maladive, et par la suite  des aventures incroyables va les entrainer dans un train en partance vers l’Angleterre, avec la troupe de l’Alcazar. Pour les plus jeunes, l’Alcazar de Paris était un établissement de nuit où on pouvait diner avant un spectacle drôle, qui à l’époque était orchestré par Jean-Marie Rivière. J’avais travaillé à l’Alacazar comme photographe  après le départ de ce dernier, et je dois avouer que je garde des souvenirs émus de cette époque où j’avais pu dîner avec les Monty Python, entre autres célébrités, sans oublier Roger Peyrefitte ou dans un autre registre Rika Zarai.  Les scènes dans le train sont totalement raccord avec ce que j’avais connu à l’époque, une ambiance de fête, de rires, de bien être. Le cabaret situé rue Mazarine a fermé pour être repris il y a quelques années et devenir un restaurant.

Et le film me direz-vous? Je pensais qu’il avait prix quelques rides…que nenni! Je suis resté scotché à mon fauteuil pour pouvoir rire comme bon me semblait. Et si ce n’est que pour cette raison, je ne peux que vous conseiller de vous procurer ce film de Claude Zidi, qui avait quand même attiré pas loin de 3 millions de spectateurs lors de son exploitation en salles, lors de sa sortie en octobre 1975.

Ne manquez pas l’occasion de revoir et de rire avec Jane Birkin et Pierre Richard, sans oublier Michel Aumont.

Prix de vente conseillé : 19.99€

 

 

Rating:

Du premier Jurassic signé Spielberg en 1993 en passant par celui de The Lost World en 1997, puis  à celui-ci, je n’ai jamais été déçu. Certes il y avait la découverte avec le premier Jurassic Park , et chaque nouvel opus nous replonge dans ces mondes perdus, et c’est bien le cas avec ce Jurassic World Renaissance signé Gareth Edwards; à qui on doit déjà : Monsters (2010), Godzilla (2014) ou encore Rogue One, a Star War Story en 2016 puis The Creator en 2023.

 

Cinq ans après JURASSIC WORLD : LE MONDE D’APRÈS, l’environnement de la planète s’est révélé hostile pour la plupart des dinosaures. Ceux qui subsistent vivent dans des zones équatoriales isolées, aux conditions proches de celles de leur ère d’origine. Parmi ces créatures terrifiantes, trois spécimens renferment peut-être la clé d’un remède capable de changer le destin de l’humanité. Voilà ces quelques mots pour la base du film. Quelques scientifiques plus des touristes en rade se retrouvent là où quelques spécimen non éteints de ces grosses bestioles , dangereuse, bien entendu, vivent encore, suffisamment pour qu’on ne les dérange pas (!?). Bien entendu quelques ennuis vont les envoyer sur une ile déserte (pas tant que ça), qui a servi des années plus tôt à une base chargée de surveiller (?!) ces animaux préhistoriques.

The Quetzalcoatlus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards

Mosasaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards.

Moi, je suis rentré quasi immédiatement dans ce monde incroyable et j’ai vibré jusqu’aux dernières images. Peut-être suis resté un enfants ( ce qui ne m’étonnerait pas tant que ça, puisque parmi mes derniers films préférés, il y a Dragons) et que le côté fantastique au cinéma attise toujours autant ma curiosité. Je préfère m’amuser, être dépaysé, que de mourir d’ennui dans des histoires qui ne m’intéressent pas, alors qu’elles sont encensées par la critique. Peut-être parce que mes premiers films au cinéma furent des Disney, ou des comédies avec de Funés, ou Belmondo, toujours est-il que ce que je demande au cinéma est simple: qu’il me fasse vibrer, ou rire, ou me passionner , mais surtout pas qu’il m’ennuie et me raconte des drames, comme on en lit au quotidien en lisant les infos.

Mosasaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisé par Gareth Edwards.

Philippine Velge & the Spinosaurus in JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards.

Je remercie donc des réalisateurs comme Spielberg, ou Gareth Edwards dans le cas présent, de m’avoir transporté dans ce monde imaginaire, cela me donne envie de revoir tous les films de la sage. Je conseillerai toutefois de voir ce nouvel opus sur écran géant. Je l’ai vu au Grand Rex en Grand Large, et j’ai pris ma claque, croyez le.

Luna Blaise & T-Rex in JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards

On peur parler du casting. La très belle Scarlett Johansson domine l’équipe, avec , à ses côtés Jonathan Bailey, Mahershala Ali, Rupert Friend, Manuel Garcia-Rulfo ou encore Luna Blaise, David Iacono sans oublier la toute jeune Audrina Miranda.

Bechir Sylvain : Leclerc, Jonathan Bailey : Dr. Henry Loomis & Scarlett Johansson / Zora Bennett  JURASSIC WORLD REBIRTH, réalisation : Gareth Edwards.

Scarlett Johansson dans JURASSIC WORLD REBIRTH, de Gareth Edwards. jasinboland@gmail.com

La bande annonce

Rating:

Décidément, les bonnes surprises sur grand écran sont légion en ce début d’été. On ne peut passer sous silence des films comme MISSION IMPOSSIBLE ou LILO & STITCH.  Mais la meilleure des surprises, à mon avis, est le film DRAGONS. Le titre avait connu un franc succès avec 3 films d’animation, et l’exploit est de le découvrir en images réelles! Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est une réussite totale.

Sur l’île  de Beurk,  depuis des générations Vikings et dragons s’affrontent sans merci. Mais le jeune Harold fait figure d’exception. Effacé, écrasé par la stature de son père, qui est le chef de la tribu Stoïk, ce jeune rêveur défie des siècles de tradition en se liant d’amitié avec un dragon nommé Krokmou. Leur lien improbable va révéler la vraie nature des dragons et remettre en question les fondements mêmes de la société viking. Harold va devoir trouver sa voie, qui sera aidé par le forgeron du village, Gueulfor et de sa copine Astrid. Mais une dangereuse créature réémerge des brumes du passé, menaçant à la fois les Vikings et les dragons, et c’est l’amitié entre Harold et Krokmou qui semblerait  être la clef d’un nouvel avenir.  Et si tout changeait avec ces héros?

Night Fury dragon, Toothless in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

(from left) Hiccup (Mason Thames) and Night Fury dragon, Toothless, in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Stoick (Gerard Butler) in Universal Pictures’ live- action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Voilà un film en images réelles, avec des dragons volants, des jeunes héros, qui va vous transporter dans ce monde imaginaire….qui nous semble être totalement réel. J’aurais aimé faire partie de ces héros, de ces aventures vraiment hors du commun, tout en réalisant que j’avais déjà vécu une partie de ces aventures dans les films d’animation Dragons et Dragons 2 en 2010 et 2014 voire en 2019 avec le 3ème volet en animation.

N’hésitez pas une secondfe, courrez vers le cinéma le plus proche qui affiche le film? Que vous soyez un junior, un ado, un adulte ou un senior, vous allez vous régaler et pas qu’un peu!!!

(from left) Night Fury dragon, Toothless, and Hiccup (Mason Thames) in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Mason Thames (right) as Hiccup with his Night Fury dragon, Toothless, in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

(from left) Night Fury dragon, Toothless, and Hiccup (Mason Thames) in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Mason Thames (right) as Hiccup with his Night Fury dragon, Toothless, in Universal Pictures’ live-action How to Train Your Dragon, written and directed by Dean DeBlois.

Et on sait déjà que le suite en images « réelles »  de Dragons est prévu pour une sortie sur les écrans, sans que l’on puisse d’ores et déjà communiquer sur le date de sortie.

la bande annonce :

Rating:

Attendu par les fans de Tom Cruise depuis que l’avant dernier film de la série est sorti, en 2023, Mission Impossible Dead Reckoning part 1, voilà enfin le dernier épisode de la série qui a attiré des centaines de millions de spectateurs de par le monde, après avoir été une série télé du temps des téléviseurs en Noir et Blanc. Tom Cruise démontre, mais en a t il besoin, qu’il est un des grands du cinéma d’action, voire du cinéma tout court.

Ethan Hunt est donc de retour. L’intrigue se déroule donc deux mois après les événements du film précédent. Ethan  avait réussi à récupérer une clé cruciforme capable de trouver le code source de l’intelligence artificielle appelée « l’Entité » dans le sous-marin russe le Sebastopol, disparu sous la mer. Alors que Gabriel, (Esai Morales) son ennemi juré, fait pression sur lui pour récupérer le matériel lui permettant de contrôler l’Entité et de rebâtir le monde à son image, Hunt, accompagné de son équipe de la FMI, se lance dans la mission la plus périlleuse de sa vie, qui lui demandera beaucoup de sacrifices. Le film est long, plus de 2h45, mais je ne m’y suis pas ennuyé, alors que généralement quand un film dépasse les 2 heures, j’ai tendance à regarder ma montre, mais il est vrai qu’avec l’action et les scènes spectaculaires, on ne s’ennuie pas ( pardon : je ne me suis pas ennuyé!). Mais il y a bien d’autres films longs qui sont passés sans problèmes ; entre autres les films de James Cameron ou encore 2001 de Kubrick pour ne citer que les plus célèbres.

Je n’ai aucune intension de vous en dévoiler plus avant le scénario, il vous garder la surprise, et les grands moments ne manquent pas, avec entre autres une course poursuite en avion…

On peut aller voir ce film sans avoir vu les autres, mais il est quand même préférable d’avoir vu le précédent, puisque c’est la suite immédiate. Deux mois après avoir échappé à la capture dans les  Alpes en Autriche, l’agent de la Force Mission Impossible Ethan Hunt reste caché alors que l’intelligence artificielle que l’on connaît  comme « L’Entité » se révèle au monde, provoquant une panique généralisée, des troubles civils et la loi martiale. L’Entité fait l’objet d’un culte de personnes surnommées les « acolytes », persuadés que l’intelligence artificielle reconstruira la civilisation après l’apocalypse. La présidente des Etats Unis , Erika Sloane (Angela Bassett), appelle Hunt à se rendre ainsi que la clé cruciforme en sa possession, qui déverrouille le code source original de l’Entité stocké dans une chambre à l’intérieur du sous-marin russe coulé en 2012, le Sébastopol.

Rating:

Une histoire que peu de nous connaissent vraiment, celle d’une reine du music hall, Joséphine Baker.

En 1969, elle a tout perdu, sa fortune, son château, et quasiment sa célébrité. Mais c’est sans compter sur Jean Claude Brialy qui est alors au début de sa carrière. Le cinéma français le découvre, et Jean-Claude se fait un devoir d’aider cette grande Dame et veut la voir remonter sur scène>. C’est pour cela qu’il rachète un cabaret : LA GOULUE.

Mais alors que Paris voit révolution culturelle et révolution historique il va falloir que ces 2 personnes fassent beaucoup d’efforts pour s’en sortir. La pièce raconte une histoire vraie que peu de personnes connaissent ou ont vécus. Ils  vont en franchir des obstacles. En fait l’histoire n’avait jamais été racontée. On se souvient se Joséphine Baker grande star du music hall de l’après guerre et de son retour sur la scène de Bobino.

J’ai vibré à cette histoire superbement racontée et mise en scène par Coralie Baroux sur un texte co-signé Clair Jazz zt Franck Le Hen.

Retrouver Franck devant notre caméra est toujours un plaisir et je n’allais pas me le refuser :

N’hésitez pas une seconde, ce spectacle c’est une heure et demie de bonheur

C’est actuellement tous les samedis à 17h00 au Théâtre de Passy:

tarifs :

— 39€ Carré Or
— 32€ 1ère catégorie
— 26€ 2ème catégorie
— 15€ visibilité réduite

Renseignements et réservations au 01 82 28 56 40

Rating:

Lorsque la fille de ses rêves est kidnappée, Nate, un homme ordinaire, transforme son incapacité à ressentir la douleur en une force inattendue dans son combat pour la retrouver. En quelques mots, ce résumé ne donne pourtant aucune explication rationnelle de ce que vous allez découvrir au cinéma.

Si le film est violent dans de nombreuses scènes, c’est plus un prétexte à rire que de la violence gratuite. Ce n’est pas pour rien que le film est interdit aux moins de 12 ans On rit beaucoup, et plus c’est violent, plus on rit en fait. Normal, parce que le sous titre du film : Même Pas Mal est totalement adapté à la situation. Les comédiens en font des tonnes, qui tous subiront de nombreux outrages, mais c’est surtout le cas pour Jack Quaid, qui jour un personnage plus que pittoresque. En effet ce personnage ne ressent absolument aucune douleur, si vous allez voir ce film, ce que je vous conseille si vous n’avez pas de problème avec la violence et le sang, vous allez rire dans toutes les situations où Nate (Jack Quaid) se retrouve, et cela peut aller très très loin dans le délire; Les réalisateurs ( Dan Berk et Robert Olsen) et le scénariste Lar Jacobson, vont le plus loin possible dans ce délire. On se croirait dans une BD, en format géant. el es autres comédiens ne sont pas en reste :   Amber Midthunder et Ray Nicholson, Betty Gabriel et Matt Walsh en sont le parfait exemple.

Jack Quaid as “Nate » in Novocaine from Paramount Pictures.

Jack Quaid as “Nate » and Amber Midthunder as “Sherry” in Novocaine from Paramount Pictures.

Jack Quaid as “Nate » in Novocaine from Paramount Pictures.

Ray Nicholson as “Simon” in Novocaine from Paramount Pictures.

Jack Quaid as “Nate » in Novocaine from Paramount Pictures.

Ray Nicholson as “Simon” in Novocaine from Paramount Pictures.

Le film a bien débuté, en tête des recettes aux Etats Unis pour sa sortie il y a quelques jours, et il ne devrait pas connaitre de grosse concurrence en France, où le box office de cette semaine est en demi teinte avec Blanche Neige et Mamère, Dieu et Sylvie Vartan. Je me suis régalé de bout en bout, n’ayant absolument aucun a priori en me rendant à la projection, et franchement je n’ai pas été le moins du monde déçu par ce que j’ai découvert. certes, je n’y emmènerai pas ma nièce ou une jeune personne, parce que la violence est omni présente, mais emballée dans des tonnes d’humour.

 

Donc cette fois, à vous de voir. Si le mélange détonnant HUMOUR et VIOLENCE ne vous fait pas peur, courez-y, vous ne le regretterez pas

Amber Midthunder as “Sherry » and Jack Quaid as “Nate » in Novocaine from Paramount Pictures.

Amber Midthunder as “Sherry » in Novocaine from Paramount Pictures.

Ray Nicholson as “Simon” and Conrad Kemp as “Andre” in Novocaine from Paramount Pictures.

Jack Quaid as “Nate » in Novocaine from Paramount Pictures.

Matthew Walsh as “Coltraine” and Betty Gabriel as “Mincy” in Novocaine from Paramount Pictures.

Jack Quaid as “Nate » in Novocaine from Paramount Pictures.

Jacob Batalon as “Roscoe” in Novocaine from Paramount Pictures.

Comme d’habitude, c’est un film qui mérite un grand écran. Je l’ai découvert dans la salle Dolby du Pathé Beaugrenelle, qui est, à mes yeux, la meilleure salle de Paris devant Le Grand Rex, mais je ne connais pas les salles du Pathé Palace.

Le film annonce :

et en VF:

Rating:

Voilà le genre de film que je découvre. Je n’avais pas vu les deux premiers volets, réalisés par Damien LEONE, mais je pense que ce n’est pas grave. On comprend , dès les premières minutes que nous sommes très loin de Bambi ou Blanche Neige. Il faut avoir le cœur bien accroché, parce que l’on se dit….non, cela ne peut pas aller plus loin, mais je dois bien vous avouer que SI, ON VA ENCORE PLUS LOIN. Et franchement je n’ai jamais vu autant de scènes gore de toute ma vie.

 

A côté, des films comme Saw, Vendredi 13, Massacre à la tronçonneuse, Halloween, Scream et tant d’autres sont dépassés. L’hémoglobine doit couter plus cher que les héros de ce film. On ne peut pas dire que les comédiens soient connus:  Lauren LaVera, David Howard Thornton (le clown….) ou Jason Patric, par exemple, quoique ce dernier soit plus célèbre que les autres protagonistes.

L’histoire débute par une nuit de Noel où une petite fille réveille ses parents parce qu’elle entends des bruits de pas sur le toit de leur maison. Mais les parents doutent et lui font croire que ce sont les rennes du Père Noël. Et il ne faudra que quelques minutes pour que le sang coule, et abondamment sur les écrans.

Après avoir survécu au massacre d’Halloween perpétré par Art Le Clown, Sienna et son frère tentent de reconstruire leur vie. Alors que les fêtes de fin d’année approchent, ils s’efforcent de laisser derrière eux les horreurs passées. Mais au moment où ils se croyaient enfin à l’abri, Art refait surface, bien décidé à transformer Noël en un véritable cauchemar. Et franchement sous ses traits horrifiques, l’hécatombe se poursuivra jusqu’aux derniers instants du film, avec toutefois  certaines scènes bien emmenées, comme une rencontre avec un Père Noël dans un bar, ou des séances photos avec un autre Père Noël…. qui est vraiment une ordure ( Ok j’arrête là la comparaison, et je demande à Mr Jugnot de bien vouloir m’excuser) Les scènes d’horreur se suivent à un rythme d’enfer jusqu’à la dernière image, et sans nul doute on retrouvera dans quelques temps un 4ème épisode. Mais faut-il compter le nombre de films des série …Vendredi 13 , Evil Dead, Amityville, Chucky, Saw, et tant d’autres.

Ayant été bercé par le Festival d’Avoriaz entre 1973 et 1993, je peux vous dire que j’ai vu naître ce genre avec des souvenirs de films et de réalisateurs maintenant célèbres comme Steven Spielberg avec Duel, Brian de Palma avec Phantom of The Paradise, sans oublier Carrie, Halloween, Elephant Man, ce festival restera inoubliable pour tous ceux qui y ont participé. Imaginez que j’ai pu alors diner à côté de grands comme Luc Besson , mais aussi Wes Craven, Paul Verhoven, David Cronenberg, et même un certain James Cameron, qui y présenta Terminator. Ceux qui ont été badgés comme festivaliers se souviendront à tout jamais de ces soirées enneigées, alcoolisées, verglassées certains soirs, où la bonne humeur faisait suite à diverses frayeurs sur les écrans.

Certes, je ne peux pas comparer ces films avec l’œuvre de Damien Leone, mais quand même, ce genre de cinéma a de nombreux admirateurs de par le monde, et même si le genre n’est pas toujours innovant, force est de constater que ces films à budgets réduits tentent d’innover avec du gore toujours plus puissant, plus hard, comme  ici avec entre autres un ado trucidé en sortant d’une douche, qui reste un des chocs pour le public

Maintenant pourquoi interdire ce film là plus qu’un autre aux moins de 18 ans, alors que généralement c’est pour les moins de 13 ans ou 16 ans? Demandez au comité de censure, bien que j’ai ma petite idée…je n’avais jamais vu autant de sang, et de morts épouvantables à ce jour.

Vous l’avez compris : Réservé aux plus de 18 ans, avec le cœur bien accroché, évitez de manger avant de voir le film…

 

 

Rating:

Le Robot Sauvage suit l’incroyable épopée d’un robot qui après avoir fait naufrage sur une île déserte doit apprendre à s’adapter à un environnement hostile et va devoir nouer petit à petit des relations avec les animaux de l’île. Il ira jusqu’à adopter le petit d’une oie, un oison, qui se retrouve orphelin. Et leurs aventures continuent…

Le réalisateur Chris Sanders a réussi un véritable bijou avec ce film d’animation tiré de le livre de Peter Brown, qui devrait plaire au plus grand nombre, les plus jeunes, comme les adultes…pour preuve, je suis loin d’être un gamin, et je me suis régalé tout au long de ce film au point de verser quelques larmes…de bonheur à la fin. De l’émotion comme on aime en ressentir lorsqu’on va au cinéma. Tout est bon, des voix originales ( Lupita  NYONG’O, Pedro PASCAL, Kit CONNOR, Bill NIGHY, Stephanie HSU, Matt BERRY, Mark HAMILL) aux voix françaises ( SARA MARTINS, YANNICK CHOIRAT, .KYLIAN TROUILLARD, .BERNARD ALANE, CLAIRE BARADAT, YANN GUILLEMOT, RODY BENGHEZALA, ce qui est rare au cinéma. Ce ne sont pas des stars, mais des personnes connues.

@ DreamWorks Animation

@DreamWorks Animation

@DreamWorks Animation

J’aime les cinéma d’animation, j’avais à l’époque rencontré et interviewé des réalisateurs de films cultes de Disney, ou Don Bluth parmi bien d’autres et si certains m’ont marqué plus que d’autres, il est certain que je vais m’inscrire sur la liste des fans de Cris Sanders trois fois cité aux Oscars® pour : DRAGONS (avec Dean DeBlois, 2010) et LES CROODS (avec Kirk DeMicco, 2013), on lui doit aussi : En qualité de réalisateur on lui doit des films comme : LILO ET STITCH (avec Dean DeBlois, 2002), ou L’APPEL DE LA FORÊT (2020).

@DreamWorks Animation

@DreamWorks Animation

DreamWorks Anima, tion

Un très grand film d’nimation  dont voici les bandes annonces en VOST et VF :

 

 

 

Edition BluRay :

format respecté 16/9, 2.39.1

durée 1h42

Audio : Dolby Atmos en Anglais

Dolby Digital Plus 7.1 : Français,

Dolby Digital 5.1 : Néerlandais, Flamand, Espagnol, Italien,

Dolby Digital 2.0 : Français et anglais AD

Sous titres ; Français, Hollandais, Italien, Espagnol, Anglais sourds et malentendants