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La suite de Black Panther était difficile à imaginer, suite au décès de son interprète principal Chadwick Boseman, et c’est pourtant chose faire, et avec une rare intelligence. Le réalisateur, Ryan Coogler a réussi son pari! Les scènes aquatiques sont plus qu’un vrai bonheur, et bien d’autres encore! C’est du pur divertissement et le public ne s’y trompe pas. On est heureux d’être là et ça se ressent.

Black Panther: Wakanda Forever. © 2022 MARVEL.

 

Le roi T’Challa, alias Black Panther, vient de mourir. Le royaume de Wakanda va donc nommer à sa tête sa mère, la reine Ramonda (Angela Bassett), dont la fille, la princesse Shuri (Letitia Wright), a beaucoup de mal à accepter la perte de son frère. Par ailleurs, les autres nations mondiales veulent s’emparer du précieux vibranium, métal exceptionnel qui n’existe qu’au Wakanda, ce qui va obliger le royaume à protéger d’autant plus ses frontières.

Après qu’une équipe de forage tombe sur un gisement de vibranium dans les fonds marins loin du royaume, elle sera anéantie par de mystérieux êtres bleus, sous la direction de Namor

Ce dernier ouvre alors sa civilisation, secrète et sous-marine, à la princesse qui découvre un monde harmonieux, fondé au 16e siècle au Mexique. Namor confronte Shuri à un dilemme: unir les forces de Talokan et de Wakanda pour détruire le monde en surface, ou subir l’attaque de ses armées sur le royaume de Wakanda.

Lupita Nyong’O : Nakia dans Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Angela Bassett est Ramonda dans le film Marvel Studios’ BLACK PANTHER: WAKANDA FOREVER. Photo by Annette Brown. © 2022 MARVEL.

(L-R): Danai Gurira (Okoye) & Letitia Wright (Shuri) dans Marvel Studios’ BLACK PANTHER: WAKANDA FOREVER. Photo by Eli Adé. © 2022 MARVEL.

Winston Duke (M’Baku) ,  Marvel Studios’ BLACK PANTHER: WAKANDA FOREVER. Photo by Eli Adé. © 2022 MARVEL.

Tenoch Huerta Mejía (Namor) , Marvel Studios’ BLACK PANTHER: WAKANDA FOREVER. Photo by Eli Adé. © 2022 MARVEL.

Danai Gurira  (Okoye) & Angela Bassett (Ramonda) dans Marvel Studios’ BLACK PANTHER: WAKANDA FOREVER. Photo by Eli Adé. © 2022 MARVEL.

Il est rare qu’une suite de film soit égale ou supérieure à l’original, et c’est pourtant le cas. Il faut dire que le scénario est particulièrement bien écrit, qui ne laisse pas une seconde de répit aux spectateurs. Le film est assez long, 2h42 et pourtant on ne s’ennuie pas une seconde. La majorité des salles présente le film en version 3D et certaines salles nous offrent le top du top, comme les salles Dolby ( entre autres le Pathé Beaugrenelle à Paris), mais il faudra débourser 8€ en plus du prix du billet, dont 2€ pour le prêt des lunettes 3D, ce qui revient assez cher la séance. Mais il est vrai que les salles Dolby sont à ce jour ce qui existe de mieux, et la durée du film mérite un petit effort supplémentaire.

Tenoch Huerta Mejía ( Namor) in Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Tenoch Huerta Mejía – Namor in Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Letitia Wright (Shuri) in Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

The Dora Milaje dans Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Dorothy Steel ( Merchant Tribe Elder), Florence Kasumba ( Ayo), Angela Bassett ( Ramonda) Danai Gurira ( Okoye ) in Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Angela Bassett  Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Letitia Wright ( Shuri )in Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Danai Gurira (Okoye) in Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Angela Bassett dans Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

Alex Livinalli (Attuma) & Mabel Cadena ( Namora) in Marvel Studios’ Black Panther: Wakanda Forever. Photo courtesy of Marvel Studios. © 2022 MARVEL.

 

N’hésitez pas, c’est du grand spectacle, dait pour le grand écran , c’est du cinéma comme on l’aime, qui bouge, une réussite totale.

le film annonce:

 

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Lorsqu’on m’a dit qu’il me fallait voir une pièce de théâtre en noir et blanc, j’ai pensé immédiatement à une bonne blague et j’ai rangé cela dans mes oubliettes. Ben voyons, en noir et blanc comme au temps du cinéma muet, heureux encore que l’on n’ait pas rajouté, et en prime c’est muet. Quelques jours plus tard, je me suis aperçu que la farce n’en était pas une et que l’idiot c’était moi. Mais avouez qu’il y avait quand même de fortes présomptions que l’on se moquait de moi. L’invitation est arrivée  et je me suis aperçu que je connaissais quelques personnes sur ce spectacle. Je me suis donc rend à La Nouvelle Eve pour découvrir, parmi les premiers, ce spectacles intriguant!

Septembre 1910. Un bar du Nord de Londres, Un jeune homme amoureux est en retard. Une jeune femme s’impatiente. Un barman s’apprête à réaliser son rêve.
Quand le hasard s’en mêle et vous sourit…Il y a des rendez-vous qui peuvent changer une vie, d’autres qui peuvent changer l’Histoire… Il suffit de bien regarder l’affiche pour voir qui est le héros de cette histoire écrite par Nicolas Nebot et Dan Menasche, dans une mise en scène de Nicolas Nebot. Avec sur scène Alexandre Faitrouni qui est un Charlie Chaplin plus vrai que nature, entouré de Dan Menasche et de Pauline Bression et Grant Lawrens.

Toutes les photos @Jérémy Nebot

Une rencontre s’imposait donc et voici la chose faite :

 

SMILE, les jeudis, vendredis et samedis à 19h30, jusqu’à fin décembre au cabaret LA NOUVELLE EVE , 25 rue Pierre Fontaine à Paris 9ème. C’est à 2 pas du Moulin Rouge.

C’est une formule cabaret, vous êtes assis à une table, et, si vous le désirez vous pouvez commander des consommations avant et après le spectacle. Entrée de 25 à 35€. Prix des consommations: voir sur place.

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Primé à Cannes, ce film est quand même un film à part dans les salles actuellement. On pourrait penser que le sujet est sulfureux, mais il n’en est rien. Et pourtant j’ai vu ce film dans une salle quasiment vide. Pourquoi ce désintérêt? A mon avis la campagne de presse et certains articles laissaient à penser que le film était LGBT , mais avec des pré ados, donc un mélange qui ne peut que surprendre.

 

Si on lit le scénario, les deux principaux protagonistes auraient 13 ans, mais leurs traits, leurs voix, leur entourage nous feraient plutôt penser à des garçons plus jeunes d’un ou plutôt 2 ans, à l’age où la sexualité ne s’est pas encore réveillée. Léo et Rémi (Eden Dambrine & Gustav De Waele) sont les meilleurs amis qui soient. Ils passent tout leur temps ensemble dans la nature qui les entoure, vu que les parents de Léo sont d&ans l’agriculture, qui s’occupent des fleurs en Belgique. Il ne font pas que passer leurs journées ensemble, et dorment souvent l’un chez l’autre, et, faut-il le préciser, en tout bien, tout honneur, sous le regard bienveillant de leurs parents. C’est lors de la rentrée des classes que les enfants qui les entourent semblent penser qu’il existe plus que de la pure amitié entre eux, , ce qui les trouble, plus particulièrement Léo ( le blond)  qui va s’éloigner de Rémi (le brun). Le drame approche, que je ne vous dévoilerai pas.

 

KRIS DEWITTE

Photo©Thomas NOLF_Menuet

Photo©Thomas NOLF_Menuet

Photo©Menuet_Diaphana Films_Topkapi Films_Versus Production

Photo CLOSE©Menuet_Diaphana Films_Topkapi Films_Versus Production

Photo©Menuet_Diaphana Films_Topkapi Films_Versus Production

 

Il va sans dire que tout cela se déroule en milieu rural, de nos jours, et que si on comprend que les propos des autres ados restent anodins, les deux amis ont bien du mal, plus particulièrement Rémi, à accepter ces sous entendus.

Maintenant que le sujet est mis sur le tapis, que penser du film. A aucun moment il n’est scabreux ou choquant, tout au moins dans le sens sensuel, sexuel. Il n’y a rien de tel dans le film, et si on doit reprocher quelque chose, ce sera le regard des autres vis à vis des sentiments qui existent entre ces deux pré ados. C’est tout le mérite du réalisateur, Lukas Dhont, de rester dans le ton et de ne pas verser dans ce qui n’est pas. Les parents des deux enfants, et plus particulièrement les mamans ( Léa Drucker et Emilie Dequenne) sont parfaites et voient l’amitié entre leurs rejetons d’un bon œil, comme il se doit. Mais curieusement les spectateurs qui sont rentrés dès les premières minutes dans l’histoire, vont, au moment et après le drame s’intéresser moins au drame. On ne peut rien reprocher au scénario, ni à la réalisation. Nous ne sommes pas dans du cinéma d’action ou populaire, ni voyeur, ni du genre ‘enfoncez-vous ça dans le crâne)’. C’est peut-être pour cela que la salle n’était pas conquise, qui a perdu quelques spectateurs au bout d’une heure.  Les comédiens sont excellents, la mise en scène soignée, et pourtant j’en garde un petit goût amer. La sensibilité est exacerbée, et je regrette que les scènes de hockey soient trop nombreuses et ne fassent pas avancer l’histoire.

©Menuet_Diaphana Films_Topkapi Films_Versus Production

©Menuet_Diaphana Films_Topkapi Films_Versus Production

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Regardez le film annonce qui vous en dévoilera un peu plus:

 

 

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Voilà donc la première comédie romantique LGBT ( en fait gay), oeuvre du trio : Billy Eichner, Nicholas Stoller et Judd Apatow. Le public est donc dans la lignée, le film se joue sur très peu d’écrans.

Voilà la toute première comédie romantique gay, autour de deux hommes qui – peut-être – connaîtront le grand amour. Mais rien n’est sûr car ils sont tous les deux très, très occupés…

Dès les premières images le ton est donné. le héros est animateur radio, en talk show ce soir là, qui va ensuite aller dans une discothèque gay, où il va rencontrer un mec d’un soir. Que va-t-il se passer entre eux? Vous devinez déjà la suite, avec toutefois quelques surprises, mais on n’arrive pas vraiment à s’intéresser à cette relation, et ce sont surtout les personnages secondaires qui seront intéressants et apporteront une touche de fantaisie à cette bluette. L’affiche est accrocheuse, qui laisse à penser que c’est vraiment une comédie. Certes on ne pleure pas, si ce n’est du niveau de l’histoire, mais on sourit au mieux, sans aller plus loin.

Une très belle bande son, avec entre autres du David Bowie et des interprètes peu connus du grand public : Billy Eichner, Nicholas Stoller ,  Judd Apâtow, Luke MacFarlane, Ts Madison, Monica Raymund, Guillermo Díaz, Guy Branum , Amanda Bearse, Debra Messing, Bowen Yang, Harvey Fierstein, ce dernier étant à l’origine du superbe TORCH SONG TRILOGY

Bobby (Billy Eichner) & Aaron (Luke Macfarlane)

J’aurais aimé pouvoir inciter à aller le voir, mais dès les premières séances, le jeu était fait, et en 2ème semaine, rares , rarissimes, sont les écrans qui poursuivront l’aventure de BROS.. Félicitons les studios UNIVERSAL qui ont fait le pari, qui avaient quand même gagné le pari en France (et à l’étranger) avec Les Crevettes Pailletées.

le film annonce :

 

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Force est d’avouer que j’avais quelques réticences sur ce film, ayant adoré LE JOUET de Francis Véber sorti en 1976. J’en avais parlé plus tard avec le réalisateur lors de la sortie d’un autre de ses films. Et je dois dire que je suis très loin d’être déçu par ce NOUVEAU JOUET qu’a réalisé James Huth. Une vision plus actuelle de cette histoire avec des comédiens au top.

Nul n’est mieux servi que par soi -même dit le proverbe, et c’est le cas vu que le scénario a été habilement adapté par Jamel Debbouze,  James Huth et  Sonja Shilitto, bien entendu d’après le scénario original de Francis Véber, qui, ne l’oublions pas est quand même l’auteur de quelques très grands succès du cinéma français, comme Les Compères, Le Diner de cons, Les Fugitifs ou encore La chèvre, toujours servis par d’immenses comédiens.

Cette fois, un jeune fils de milliardaire français, qui a perdu sa maman peu de temps avant, enfant gâté, pourri, (Simon Fallu) va se voir offrir un cadeau qu’il choisira lui même dans un des grands magasins  que dirige son père ( Daniel Auteuil). Le moins que l’on puisse dire c’est que son choix sera des plus douteux, puisqu’il va demander son JOUET, en l’occurrence le gardien de nuit de ce grand magasin (Djamel Debbouze).  Ce dernier est totalement fauché  et n’acceptera ce deal d’une journée qu’avec compensation qui lui permettra d’aider sa femme enceinte La suite je ne vous la dévoilerai pas. Le choc entre deux mondes, les prolos et les grandes fortunes, avec un gamin  qui mérite des claques….

J’ai vu le film en salles, en soirée, et je dois bien me rendre à l’évidence, la salle a marché, a ri et j’ai pris un vif plaisir à cette comédie.  J’ai entendu de nombreux rires dans la salle, et la joie se lisait sur les visages à la sortie. Dommage que le circuit de salles se soit rétréci pour la seconde semaine d’exploitation. Le film méritait mieux, et je ne regrète pas de m’être déplacedans une salle pour passer un excellent moment.

N’hésitez pas, si ce film se joue près de chez vous, vous serez certain de passer 90 minutes agréables, même si les comédiens en font des tonnes, mais  bon, c’est une comédie, et accentuer les traits de caractère est une des ficelles dans ces cas là!

 

Le film annonce :

 

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Ce que j’aime au théâtre, c’est que l’on peut avoir de bonnes, et de très bonne surprises, tout comme il est possible de s’ennuyer à mourir. On ne sait jamais ce qui nous attend, surtout lorsqu’on fait partie des happy few, qui voient les spectacles dans les premiers jours. Je rassure tout le monde : j’ai vu LA CLAQUE et je ne m’y suis pas ennuyé, pas une seconde, et que c’est une des bonnes surprises de cette rentrée.

 

Il est vrai que la Claque, pour quasi tout le monde, sauf pour les ‘théâtreux’  est synonyme d’un soufflet, administré par la main sur la joue de quelqu’un d’autre. Mais ce n’est pas le cas ici, et vous le comprendrez aisément après avoir vu et écouté cet entretien avec Fred Radix, qui a créé ce spectacle hilarant de bout en bout.

Quelques images extraites de ce spectacle :

La Claque c’est au théâtre de la Gaité Montparnasse, les lundis et mardis à 20h30

Prix des places : de 28 à 42 €

Réservations : gaité.com  

et par téléphone au 01 43 20 60 56

Théâtre de la Gaité Montparnasse 26 rue de la Gaité 75014

Eugen Jebeleanu n’est pas encore bien connu du grand public, pourtant il mérite qu’on s’y attarde, vu qu’il est doublement dans l’actualité, avec un film et un spectacle.

Le meilleur moyen de faire sa connaissance est d’écouter cet entretien exclusif :

Quelques photos :

et le prix de l’or :

 

Rating:

Cette pièce est sans aucun doute une des meilleures surprises de cette rentrée théâtrale. La salle vibre, participe, applaudit à tout rompre, et rien de plus normal : le texte est extrêmement intelligent, et les comédiens sont parfaits. On comprend pourquoi la salle fait une telle ovation. Cette pièce mériterait une salle plus grande que celle du Petit Montparnasse,  vu que la salle est comble quasiment tous les soirs, un vrai chef d’oeuvre avec en tête de distribution un comédien que l’on découvre dans le rôle de Glenn Gould.

Ne manquez surtout pas ce spectacle! J’ai adoré, et la salle aussi, qui s’est levé immédiatement pour faire une ovation méritée, dès que les derniers mots de la piece ont été prononcés.

Quelques mots de l’auteur, Ivan Calbérac,  sur Glenn, naissance d’un prodige :

C’est l’histoire d’une mère qui fait reposer sur son fils tous les rêves qu’elle n’a pu réaliser elle-même. C’est aussi l’histoire d’une demoiselle qui tombe éperdument amoureuse d’un garçon qui lui joue trop bien du piano, garçon que la célébrité va rendre de plus en plus désirable, mais aussi, hélas, de plus en plus inaccessible. C’est enfin l’histoire d’un artiste inclassable, aussi libre dans son art qu’il était prisonnier au quotidien de ses insomnies, de ses phobies sociales, de son hypocondrie.

 

Un destin hors du commun, une réflexion sur le statut d’artiste qui sous tend la pièce, statut que Gould n’a jamais cessé d’interroger, et de réinventer. « A quoi bon jouer une œuvre de Bach, si elle a déjà été jouée comme ça ? », répétait souvent le pianiste. Son obsession était à chaque fois d’apporter sa propre lecture à une œuvre. Quitte à changer le tempo de la partition, voire parfois même, à ne pas jouer toutes les notes… ou en jouer de nouvelles.

Il fallait donc rencontrer ce jeune acteur, de 30 ans, qui joue le musicien de l’âge de 17 ans jusqu’à ses derniers jours, voilà chose faite:

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi : 21h
Dimanche à 15h

Durée du spectacle: 1h30

TARIFS

(au guichet)

1° catégorie : 37 €
2° catégorie:  21 €
– de 26 ans: 10 €

Réservations par téléphone ou par internet: + 2€ de frais

la bande annonce :

 

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5Julia Roberts & George Clooney ,  une affiche alléchante avec  2 superstars américaines qui n’avaient plus tourné ensemble depuis bien longtemps (la saga Ocean’s), sans oublier Money Monster en 2016.

Les voilà réunis dans une comédie romantique dont les américains raffolent . C’est Ol Parker (Now is good ; Mamma mia : Here we go again) qui dirige et qui respecte tous les ingrédients et autres codes : une histoire certes assez prévisible ,  autour d’une rencontre assez improbable) mais avec des réparties justes qui fusent souvent, des décors paradisiaques (essentiellement tournés à Bali) d’où le titre du film .

Les 2 têtes d’affiche sont  hauts en couleur qui se lâchent et cabotinent un peu, voire beaucoup et s’en donnent à cœur-joie pour notre plus grand bonheur et ça se voit à l’écran.

Il est question ici de l’éternelle rivalité entre homme et femme avec son lot de mauvaise foi et de dérapages , de coups bas en veux tu en voilà, de pacte de « non-agression » (mais pour combien de temps ?) et d’« opération sabotage » dans les règles du 7ème art. Là-dessus, il faut rajouter quelques séquences croustillantes  comme la soirée arrosée « Arrak-pong »), d’autres plus ou alors de réflexions sur la tolérance à avoir quand il s’agit d’un couple mixte.


On s’amuse beaucoup à les voir se chamailler et se disputer comme des enfants gâtés  ne laissant que peu de place aux autres rôles  (Kaitlyn Dever, Maxime Bouttier dont c’est le 1er film ; Lucas Bravo ou Billie Lourd.  C’est le style de production qui se laisse voir sans prétention et on ne  se prend pas la tête une seconde, qui rafraîchit l’atmosphère (George Clooney  avait déjà goûté à cette ambiance sur l’île Kauai – dans l’archipel d’Hawaï – lors du tournage de The descendants en 2011) et qui nous donne des envies de partir dans ces belles îles !

le film annonce:

 

Tout le monde connait les tubes de Grease, la comédie musicale qui avait été re-crée en France il y a 5 ans au Théâtre Mogador.

En voici une nouvelle version totalement inédite qui reprend les tubes dans de nouvelles interprétations. Onsortoupas s’est rendu en catimini au Casino de Paris pour y retrouver quelques uns des protagonistes que l’on avait rencontrés auparavant à Mogador.

Silence, on tourne entre deux répétitions dans le hall superbe du Casino de Paris:

Florie est celle qui met en scène, mais aussi se retrouve sur scène:

Un des autres protagonistes se partage antre deux spectacles mais sera là pour les soirées parisiennes: Yanis Si Ah:

Et enfin, à tout seigneur tout honneur, un des deux producteurs de ce nouveau spectacle : Alexis Loizon, qui est , bien entendu,  aussi sur scène:

Comme vous venez de l’entendre, il se fait appeler pour retourner sur scène, alors suivons le….mais restons dans la salle, pour un extrait de ce spectacle, en répétition, en exclusivité, alors on se plait à imaginer ce que ce sera sur la scène du Casino et dans la petite tournée qui va suivre en France :

 

Pour les réservations : https://www.casinodeparis.fr/

places de 29 à 69 €