BluRay

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40 ans après avoir reçu 8 Oscars à Hollywood, le film de F. Murray Abraham est de retour pour le plus grand bonheur des collectionneurs, dans un coffret qui ne contient pas que le film, mais des suppléments qui en feront un des joyaux de votre vidéothèque 4K.

 

Warner sait faire saliver les amateurs de très grands films avec des coffrets formidables. Il suffit de se souvenir du génialissime coffret VAULT de 2001 l’Odyssée de l’Espace. certes c’est un de mes 10 films préférés de tous les temps, et croyez moi, je n’ai pas fait le compte de tous les films que j’ai vus depuis ma jeunesse à aujourd’hui, mais à la louche je pense à  plus de 7000 films , sans compter les films que j’ai pu visionner en cassettes vidéo, DVD, Bluray et maintenant en 4k, sachant que rien qu’en 4K j’en possède déjà 80 …

Alors quand je dis qu’un film est génial, comme c’est le cas pour Amadeus, je pense que vous pouvez me croire sur parole. Certes on est loin des Charlots ou des films avec De Funés, Bourvil, Delon, Belmondo et tant d’autres sans des comédies musicales comme Funny Girl ou West Side Story que j’ai dû revoi une bonne 100taine de fois, mais c’est tout l’intérêt du cinéma et de la vidéo…on découvre (ou en re-découvre) des films que l’on avait peut-être oubliés, dans un cadre différent de celui d’une salle de cinéma. Mais maintenant on peut se trouver un bon fauteuil, un écran géant avec une installation sonore sans voisin ( ou ceux que l’on a choisis) et no pop corn, pas plus de bruits intempestifs, on peut se mettre en pause en cas d’urgence, et on choisit le moment parfait pour voir un chef d’oeuvre ( comme c’est le cas ici) ou tout bêtement un film qu’on avait oublié ou que l’on n’avait pas vu en salles.

Bon revenons à ce chef d’oeuvre qu’est AMADEUS.

. Au beau milieu de la nuit, un vieil homme égaré crie : « Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin ! ». Les serviteurs de ce vieillard enfoncent la porte et tombent sur leur maître tenant un couteau dans la main et la gorge ruisselante de sang. Cet homme c’est Antonio Salieri, jadis musicien réputé et compositeur de la Cour. Sa tentative de suicide le conduit tout droit à l’hôpital psychiatrique, où il est entendu en confession par un prêtre. Dès l’enfance, malgré son père qui désapprouve ses ambitions musicales, il s’est voué tout entier au service de Dieu, s’engageant à le célébrer par sa musique.. La mort accidentelle de son père permettra à Antonio Salieri de prendre sa revanche et d’entamer une carrière au faîte de laquelleil sera promu compositeur de la cour de l’empereur mélomane ( Joseph II) . Son talent lui vaut durant quelques années les plus hautes distinctions. C’est alors que le monde entend parler d’un jeune garçon qui n’est autre que Mozart, que son père fait connaître à travers toute l’Europe. Il enchante les plus grands personnages et les cours les plus brillantes. En 1781 cependant, le jeune Mozart fait irruption à Vienne,  avec une spontanéité qui détonne dans l’univers compassé de la cour. Mozart est en passe de devenir le plus grand compositeur du siècle. Salieri en est le premier convaincu. Quand on a du talent mais qu’on est confronté au génie, comment survivre ? Comprenant la menace que représente pour sa carrière le jeune Mozart, Salieri, fou d’orgueil, rejette Dieu et essaie d’évincer Mozart tout en l’approchant pour savoir pourquoi il est si doué.

La version qui est proposée pour ce coffret est la première version salles de 153 minutes, et n’est pas le director’s cut qui est sorti avec 20 minutes supplémentaires. et qui est encore disponible en BluRay uniquement.  Même si vous êtes allergiques à la musique de Mozart, ce film ne pourra pas vous laisser indifférent avec toutes ses qualités , que l’on verra on ne peut mieux en revoyant ce film dans sa version 4K ULTRA HD .

Le film est disponible dans la version  telle qu’à sa sortie en salles

en voici la bande annonce :

 

 

 

Voila un film qui a été longtemps oublié, réalisé par Don Coscarrelli en 1982. Ce dernier avait déjà réalisé un film horrifique qui reste pour moi une oeuvre de référence : PHANTASM

 

Ce film nous conte les aventures de Dar, le fils du roi Zed, seul survivant d’un massacre par un sorcier Maax, aisé par les Juns. Quand l’enfant devient adulte, il possède une capacité  incroyable. Il peut communiquer avec les animaux par simple télépathie, et à ses côtés il aura un tigre, un aigle, et 2 mangoustes. Sa quête est simple  (si l’on peut dire) : Venger son peuple et combattre le mal!

Ce film est un peu dans la foulée de Conan Le Barbare, qui n’obtient pas  le triomphe escompté par ces producteurs, mais qui laissa néanmoins dans son sillage des héros  nommés Thor, Athor, Yor, Kalidor,… Quelques films surent tirer leur épingle du jeu, notamment « L’Epée Sauvage » d’Albert Pyun ou ce « Dar L’Invincible (en anglais The Beastmaster »  . Si le scénario reste très linéaire et typique du genre (lutte contre un tyran et reconquête du royaume), il introduit quelques petites astuces pour se différencier des autres productions comme le pouvoir de communiquer par télépathie avec les animaux (d’où le titre anglais « The Beastmaster » « le Maître des animaux ») ce qui lui permet d’utiliser leurs facultés. Et pour le côté plastique, tout le monde trouvera son bonheur, entre celle de Tanya Roberts pour les uns et celle de Marc Singer pour les autres, sans oublier pour les plus jeunes tous les animaux qui savent nous émerveiller.

J’avais découvert le réalisateur avec PHANTASM, un excellent film d’épouvante horreur, sorti en 1979, et qui connut quelques suites, que je n’ai pas vues en 1988, 1994 et 1998 et enfin Phantasm Ravager en 2016; qu’il n’a pas réalisé. Phantasm reste pour moi un superbe film, l’ayant découvert lors du festival du Film Fantastique à Avoriaz, où j’avais eu la chance de rencontrer le réalisateur…et de diner avec lui.

Revenons donc à cette édition en 4K  qui est tout simplement splendide!  Vous y trouverez le  FILM en HDR10
en suppléments :le commentaire audio du réalisateur, Don Coscarelli, et du co-scénariste et producteur Paul Pepperman/Introduction du film par Antoine Desrues
« Les Chroniques de Dar L’Invincible » : documentaire rétrospectif inédit (84 min) ainsi que la bande-annonce d’époque.

Le travail sur ce film mérite quelques superlatifs : Merci aux Editions ESC pour ce magnifique coffret de deux disques que vous pouvez trouver chez Amazon pour  29.99€ et sur le site d’ESC pour 26.99€

 

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Voilà le genre de film que je découvre. Je n’avais pas vu les deux premiers volets, réalisés par Damien LEONE, mais je pense que ce n’est pas grave. On comprend , dès les premières minutes que nous sommes très loin de Bambi ou Blanche Neige. Il faut avoir le cœur bien accroché, parce que l’on se dit….non, cela ne peut pas aller plus loin, mais je dois bien vous avouer que SI, ON VA ENCORE PLUS LOIN. Et franchement je n’ai jamais vu autant de scènes gore de toute ma vie.

 

A côté, des films comme Saw, Vendredi 13, Massacre à la tronçonneuse, Halloween, Scream et tant d’autres sont dépassés. L’hémoglobine doit couter plus cher que les héros de ce film. On ne peut pas dire que les comédiens soient connus:  Lauren LaVera, David Howard Thornton (le clown….) ou Jason Patric, par exemple, quoique ce dernier soit plus célèbre que les autres protagonistes.

L’histoire débute par une nuit de Noel où une petite fille réveille ses parents parce qu’elle entends des bruits de pas sur le toit de leur maison. Mais les parents doutent et lui font croire que ce sont les rennes du Père Noël. Et il ne faudra que quelques minutes pour que le sang coule, et abondamment sur les écrans.

Après avoir survécu au massacre d’Halloween perpétré par Art Le Clown, Sienna et son frère tentent de reconstruire leur vie. Alors que les fêtes de fin d’année approchent, ils s’efforcent de laisser derrière eux les horreurs passées. Mais au moment où ils se croyaient enfin à l’abri, Art refait surface, bien décidé à transformer Noël en un véritable cauchemar. Et franchement sous ses traits horrifiques, l’hécatombe se poursuivra jusqu’aux derniers instants du film, avec toutefois  certaines scènes bien emmenées, comme une rencontre avec un Père Noël dans un bar, ou des séances photos avec un autre Père Noël…. qui est vraiment une ordure ( Ok j’arrête là la comparaison, et je demande à Mr Jugnot de bien vouloir m’excuser) Les scènes d’horreur se suivent à un rythme d’enfer jusqu’à la dernière image, et sans nul doute on retrouvera dans quelques temps un 4ème épisode. Mais faut-il compter le nombre de films des série …Vendredi 13 , Evil Dead, Amityville, Chucky, Saw, et tant d’autres.

Ayant été bercé par le Festival d’Avoriaz entre 1973 et 1993, je peux vous dire que j’ai vu naître ce genre avec des souvenirs de films et de réalisateurs maintenant célèbres comme Steven Spielberg avec Duel, Brian de Palma avec Phantom of The Paradise, sans oublier Carrie, Halloween, Elephant Man, ce festival restera inoubliable pour tous ceux qui y ont participé. Imaginez que j’ai pu alors diner à côté de grands comme Luc Besson , mais aussi Wes Craven, Paul Verhoven, David Cronenberg, et même un certain James Cameron, qui y présenta Terminator. Ceux qui ont été badgés comme festivaliers se souviendront à tout jamais de ces soirées enneigées, alcoolisées, verglassées certains soirs, où la bonne humeur faisait suite à diverses frayeurs sur les écrans.

Certes, je ne peux pas comparer ces films avec l’œuvre de Damien Leone, mais quand même, ce genre de cinéma a de nombreux admirateurs de par le monde, et même si le genre n’est pas toujours innovant, force est de constater que ces films à budgets réduits tentent d’innover avec du gore toujours plus puissant, plus hard, comme  ici avec entre autres un ado trucidé en sortant d’une douche, qui reste un des chocs pour le public

Maintenant pourquoi interdire ce film là plus qu’un autre aux moins de 18 ans, alors que généralement c’est pour les moins de 13 ans ou 16 ans? Demandez au comité de censure, bien que j’ai ma petite idée…je n’avais jamais vu autant de sang, et de morts épouvantables à ce jour.

Vous l’avez compris : Réservé aux plus de 18 ans, avec le cœur bien accroché, évitez de manger avant de voir le film…

 

 

Rating:

Le Robot Sauvage suit l’incroyable épopée d’un robot qui après avoir fait naufrage sur une île déserte doit apprendre à s’adapter à un environnement hostile et va devoir nouer petit à petit des relations avec les animaux de l’île. Il ira jusqu’à adopter le petit d’une oie, un oison, qui se retrouve orphelin. Et leurs aventures continuent…

Le réalisateur Chris Sanders a réussi un véritable bijou avec ce film d’animation tiré de le livre de Peter Brown, qui devrait plaire au plus grand nombre, les plus jeunes, comme les adultes…pour preuve, je suis loin d’être un gamin, et je me suis régalé tout au long de ce film au point de verser quelques larmes…de bonheur à la fin. De l’émotion comme on aime en ressentir lorsqu’on va au cinéma. Tout est bon, des voix originales ( Lupita  NYONG’O, Pedro PASCAL, Kit CONNOR, Bill NIGHY, Stephanie HSU, Matt BERRY, Mark HAMILL) aux voix françaises ( SARA MARTINS, YANNICK CHOIRAT, .KYLIAN TROUILLARD, .BERNARD ALANE, CLAIRE BARADAT, YANN GUILLEMOT, RODY BENGHEZALA, ce qui est rare au cinéma. Ce ne sont pas des stars, mais des personnes connues.

@ DreamWorks Animation

@DreamWorks Animation

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J’aime les cinéma d’animation, j’avais à l’époque rencontré et interviewé des réalisateurs de films cultes de Disney, ou Don Bluth parmi bien d’autres et si certains m’ont marqué plus que d’autres, il est certain que je vais m’inscrire sur la liste des fans de Cris Sanders trois fois cité aux Oscars® pour : DRAGONS (avec Dean DeBlois, 2010) et LES CROODS (avec Kirk DeMicco, 2013), on lui doit aussi : En qualité de réalisateur on lui doit des films comme : LILO ET STITCH (avec Dean DeBlois, 2002), ou L’APPEL DE LA FORÊT (2020).

@DreamWorks Animation

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DreamWorks Anima, tion

Un très grand film d’nimation  dont voici les bandes annonces en VOST et VF :

 

 

 

Edition BluRay :

format respecté 16/9, 2.39.1

durée 1h42

Audio : Dolby Atmos en Anglais

Dolby Digital Plus 7.1 : Français,

Dolby Digital 5.1 : Néerlandais, Flamand, Espagnol, Italien,

Dolby Digital 2.0 : Français et anglais AD

Sous titres ; Français, Hollandais, Italien, Espagnol, Anglais sourds et malentendants

 

 

Rating:

Il y a de grandes réussites cette année au cinéma, comme ce fut le cas avec LE COMTE DE MONTE CRISTO,  ou encore Un P’TIT TRUC EN PLUS ou encore EMILIA PEREZ. J’ajoute immédiatement à cette liste le biopic co-signé par Grand Corps Malade et Mehdi Idir.

 

 

Fils de réfugiés, petit, pauvre, à la voix voilée, on disait de lui qu’il n’avait rien pour réussir. À force de travail, de persévérance et d’une volonté hors norme, Charles Aznavour est devenu un monument de la chanson, et un symbole de la culture française. Avec près de 1200 titres interprétés dans le monde entier et dans toutes les langues, il a inspiré des générations entières. Découvrez le parcours exceptionnel et intemporel de MONSIEUR AZNAVOUR., avec ce film qui devrait satisfaire tout le monde. En effet, nul besoin d’être fan du GRAND CHARLES pour se régaler pendant les 133 minutes que dure le biopic. De ses débuts avec  Pierre Roche à ses tubes immenses, Aznavour a enregistré près de mille deux cents chansons,  interprétées en plusieurs langues : français, anglais, italien, espagnol, allemand, arménien, napolitain, russe et sur la fin de sa carrière en kabyle. Il a écrit ou coécrit plus de mille chansons, que ce soit pour lui-même ou d’autres artistes.

En 1941, à l’âge de 17 ans, il rencontre Pierre Roche (interprété ici par Bastien Bouillon), pianiste, compositeur et « directeur » de l’École du Music-Hall avec lequel il se lie d’amitié. Ensemble, ils formeront le duo Roche et Aznavour qui se produit dans différents galas. En 1946, Francis Blanche leur propose une participation à une émission en public de la RTF qu’il anime où aura lieu la rencontre déterminante d’Aznavour avec Édith Piaf, (avec les traits de Marie-Julie Baup )qui le prend sous son aile et à ses côtés. Il vivra dans l’ombre de Piaf pendant 8 ans, en étant à la fois  son homme à tout faire, son secrétaire en plus d’être son confident.

Les premiers tubes arrivent dans les années 60 : Tu t’laisses aller, Il faut savoir, Les Comédiens ,  La Mamma, Et pourtant, For Me Formidable , Que c’est triste Venise, La Bohème, Emmenez moi, Désormais… Charles Aznavour écrit aussi 2 titres 1 pour Johnny Hallyday : Retiens la nuit, et Sylvie Vartan : La plus belle pour aller danser . Il a écrit pour bien d’autres comme Mireille Mathieu sans oublier une collaboration avec Claude François.  Autres tubes : Comme ils disent, Les plaisirs démodés, une carrière bien remplie. Le film nous fait découvrir les amours, la vie familiale de Charles Aznavour. J’ai eu personnellement la chance de le rencontrer pour 2 très longs entretiens dans ses bureaux, et vous ne pouvez pas imaginer sa gentillesses, face à un journaliste somme toute encore très jeune. Au point qu’il a accepté une seconde rencontre immédiatement quelques mois plus tard. J’en garde un souvenir vraiment fort. Une telle célébrité qui accepte un entretien pour une radio, c’était un rêve total pour moi. Je l’ai vu plusieurs fois sur scène, au Palais des Congrès entre autres ( dont ceux avec Liza Minelli en 1991).

Alors le film?  Je suis resté scotché à mon fauteuil. Les 2 réalisateurs ont réussi à retranscrire ce que l’on connaissait et nous font découvrir d’autres aspects.  Les comédiens sont impressionnants de justesse, plus particulièrement Tahar Rahim dans le rôle titre, mais pas que qui fait une véritable performance. On ne s’ennuie pas une seconde, et, pour les plus jeunes, c’est le moment ou jamais de découvrir la vie de ce grand Monsieur sur l’ écran de votre téléviseur, vu que le film sort en DVD et Bluray…dommage que Pathé n’ait pas prévu à ce jour de sortie en 4K.

 

 

Les détails de l’édition BluRay :

Format 2.39 respecté, prévu pour écran en 16/9 compatible 4/3

durée du film 2h13

langues : français uniquement avec possibilité de sous titres pour sourds et malentendants

 

 

Rating:

Ce film se déroule pendant la guerre de Secession aux Etats Unis et raconte l’histoire du premier régiment noir de l’histoire des Etats Unis, le 54ème régiment du Massachussetts. Il rassemble Matthew Broderick, qui incarne le colonel Robert Gould Shaw, aux côtés de son pote  (Cary Elwes)et il  se retrouve à la tête de ce régiment avec des recrues comme Denzel Washington, Morgan Freeman, parmi bien d’autres tous blacks. . Le jeune Robert Gould Shaw est promu colonel du premier régiment de soldats noirs, engagés volontaires dans une guerre qu’ils croient être la leur. Mais ils se trompent. Assignés à des tâches subalternes, méprisés par leurs officiers, ils se révoltent, Shaw à leur tête, pour partir au feu…

Réalisé par Edward Zwick, sur un scénario signé Kevin Jarre, le film s’est inspiré de 2 romans de Peter Burchard et Lincoln Kirstein et le moins que l’on puisse dire c’est qu’onn est scotché à notre fauteuil dès les premières minutes du film. On ne voit pas le temps passer que c’est déjà l’apothéose finale, que je ne vous dévoilerai pas. Le film dure 2h00,  passionnant de bout en bout avec quelques scène délicates qui ne seront pas pour les plus jeunes entre autre beaucoup de sang et de morts violentes, mais c’est un film de guerre et on essaie de s’approcher au plus de la réalité.

Parmi les suppléments : Bande annonce cinéma,

Pour les détails techniques : Pour le film

Format respecté : 1.85:1

Le film : en anglais : 7.1.4 dolby Atmos, Français, Allemand, Anglais, Espagnol, Italien, Japonais 5.1 DTS HD MA

Hongrois, Portugais, Thai : 5.1 Dolby Digital

Sous titres : Français, Anglais, Allemand, Néerlandais, Danois, Italien, Espagnol, Portugais, Grec, Turc, Arabe, Chinois, Anglais SME

pour les suppléments :  format standard et HD, en anglais uniquement, avec des sous titres : Français, Allemand, Italien, Espagnol, Japonais, Anglais SME

 

la bande annonce :

 

 

Rating:

Emilia Perez, le film de Jacques Audiard, c’est vraiment une énorme claque. A voir absolument en bluray ou mieux encore en 4K ULTRA HD

Ce n’est pas tous les jours qu’on voit un film at que l’on prend vraiment une grosse claque, et c’est ce qui m’est arrivé avec un réalisateur que je classe désormais comme l’un des plus grands de sa génération : Jacques Audiard. Certes il de qui tenir, son père Michel Audiard fut un des plus grands scénaristes et dialoguistes français si ce n’est le meilleur  entre les années 50 et 80, qui s’est amusé à réaliser quelques comédies loufoques  . Bon sang ne saurait mentir, son fils a quand même mis en scène : De battre mon cœur s’est arrêté ou Un Prophète entre autres, et qui depuis ses débuts derrière la caméra a collectionné les récompenses, Césars, Cannes comme d’autres collectionnent les tableaux. Je crois que vous avez déjà compris que j’étais admirateur de Monsieur Jacques Audiard, et qu’après Emilia Perez, je suis prêt à créer son fan club, si ce n’est déjà fait.

Le film a raflé de très belles récompenses aux Golden Globes en plus de celles récoltées à Cannes (prix du jury et prix d’interprétation) : prix du meilleur film international, de la meilleure comédie, de la meilleure actrice dans un second rôle pour Zoe Saldaña, et de la meilleure chanson. Et ce n’est pas fini, car il est dans la ligne de mire pour quelques Oscars à Hollywood.

Rita use de ses talents d’avocate au service d’un cabinet plus enclin à blanchir des ordures criminelles qu’à servir la justice, elle fait office de main d’œuvre alors qu’elle est plus que qualifiée . Mais une porte de sortie inespérée autant qu’incroyable se présente à elle, une proposition difficile à refuser si on n’a pas froid aux yeux : aider le chef de cartel Manitas à se retirer des affaires et disparaître à jamais. Manitas a un plan qu’il peaufine en secret depuis des années : devenir, enfin, la femme qu’il a toujours rêvé d’être. Voilà pour le début de l’histoire. Tout cela sous fond musical, comme une comédie musicale ( pardon, nous sommes plus proche de la tragédie que de La Mélodie du Bonheur). 

C’est un film à la gloire des femmes, d’ailleurs les actrices Zoe Saldana, Karla Sofia Gascon, Adriana Paz et Selana Gomez se sont partagées le prix d’interprétation féminine lors du dernier Festival de Cannes. À 52 ans, Karla qui a entamé sa transition de genre à 46 ans en 2018, est la révélation de ce film dont elle tient le rôle principal : celui d’un narcotrafiquant qui se sent profondément femme et change de genre pour changer de vie. Mais il s’aperçoit du manque qu’il ressent envers ses enfants, et va vouloir les revoir.  Le film ne se raconte pas, je vous en ai dévoilé la trame, mais il faut le voir, le vivre pour comprendre qu’on ne ressort pas indemne du cinéma. La violence est d’usage, elle est omniprésente et va crescendo. Pourtant je n’ai pas ressenti l’envie de mettre mes mains devant les yeux pour cacher certaines violences.

Ce film est certes à réserver à un public adulte et averti mais si on aime le cinéma en tant qu’œuvre, on ne doit pas manquer ce film inclassable qui m’a vraiment pris aux tripes . On est très loin de Spielberg et encore plus de Disney, de James Cameron, de Visconti ou Pasolini. Jacques Audiard nous entraine dans un monde de violence dont on ne sort pas indemne, même s’il a su suggérer plus que montrer, et c’est peut-être là qu’il faut le féliciter.

Ce film est aussi et dirais je surtout musical avec des chansons de Clément DUCOL et Camille, et des chorégraphies de Damien JALET qui valent plus que le détour, et c’est un vrai fan de comédies musicales qui vous le dit.

Quelques détails techniques sur le BLURAY et le 4K:

‎ Français (DTS-HD 7.1) et Espagnol Dolby Atmos compatible 7.1 Dolby True HD, piste audiovision stéréo DTS HD MA.

Nombreux suppléments / entretien avec le réalisateur

Le film annonce :

 

 

 

WILLOW, réalisé par Ron Howard avec Val Kilmer et Joanne Whalley et produit par Georges Lucas sort en 4K Ultra-bluray

Je me souvenais avoir vu ce film il y a très longtemps, mais je l’ai totalement re-découvert dans sa version 4K qui est absolument magnifique. Alors remontons le temps et revenons en 1988, où Ron Howard nous proposait un peu d’héroïc Fantasy avec ce film, produit par Georges Lucas… Il avait déjà connu de beaux succès au box office avec Splash et Cocoon et n’en restera pas là avec des oeuvres comme Backdraft, Horizons Lointains, Apollo 13, The Grinch, ou encore le Da Vinci Code parmi tant d’autres films mémorables.

Au casting de ce Willow, Val Kilmer et Joanne Whalley et surtout Warwick Davies, qui a un rôle merveilleux que celui d’un homme de petite taille, qui voudrait être magicien, et qui, au départ vit dans un village où tous sont de sa taille, avec une belle famille, et c’est l’arrivée inopinée d’un bébé, que la méchante reine Bavmorda (Jean March) veut absolument détruire, car les mages ont prédit un destin funeste si le bébé reste en vie…Vous comprenez que ce n’est pas facile dé décrire plus avant. L’apprenti sorcier se doit de protéger le bébé, et va donc partir sans savoir de quoi il en résulte et son chemin va croiser celui de Madmartigan (Val Kilmer). Je me garderai de vous en dévoiler plus. Mais je suis resté scotché à mon écran  jusqu’à la dernière image. Le film n’a pas pris une ride, même si les effets spéciaux en étaient encore à leurs balbutiements, vu que le film date de 1988, et que les effets spéciaux  avaient pris de l’importance avec Star Wars, une dizaine d’années plus tôt. Et tout est parfait à ce niveau, où les effets entre les mini nains,( taille d’un doigt), les nains, et les humains sont vraiment superbes;

Quand je dis que le film n’a pas pris une ride, c’est vrai, même s’il est certain que si le film devait faire l’objet d’un remake de nos jours, il pourrait être perfectionné, mais pas changé à 100%. La qualité de ce 4K est remarquable, et les éditeurs ont compris que le 4K était l’avenir, en proposant 2 disques dans le fourreau : le 4 K  et le Bluray ‘normal’  où vous aurez en suppléments : Des scènes coupées présentées par Ron Howard, mais aussi : *Willow un héros improbable +le journal Vidéo de Warwick Davis, un making of, les coulisses d’une aventure avec Ron Howard, et un petit documentaire : du ‘morf’ au ‘morphing’ avec Denis Muren – Matta Paintings.

Présentation des 2 disques :

le 4k UltraBluray 2160p 16/9 2.39

  • Langue ‏ : Anglais (DTS-HD 5.1), ‎Français (DTS 5.1), Français (DTS-HD High Res Audio Polonais (Dolby Digital 5.1), Italien (DTS 5.1), Allemand (DTS 5.1), Anglais (DTS-HD 5.1), Allemand (DTS-HD High Res Audio),, Castillan (DTS 5.1), Japonais (Dolby Digital 5.1)
  • Sous titres :  Français, Néerlandais,  Allemand, Castillan

le bluray : 1080p haute def 16/9, 2.39

son : DTS  5.1 : français, , allemand, espagnol, italien, castillan et anglais en DTS 5.1

la bande annonce

 

 

Rating:

Des ‘Alien’ sur grand écran, puis en vidéo cela ne manque pas depuis le  premier  opus en 1979  signé Ridley Scott avec Sigourney Weaver. Puis celui de James Cameron en 1986, le 3 de David Fincher en 1992 et ce n’est pas fini, Jean-Pierre Jeunet prit le relève en 1997 avec Alien Résurrection alors que Ridley Scott s’attelait aux 2 suivants : Prometheus et  Alien Covenant en 2012 et 2017.  Ce nouveau film Alien Romulus est signé Fede Alvarez où un groupe de jeunes gens va devoir affronter les Xénomorphes.

 

Alors qu’il entreprend des fouilles dans une station spatiale abandonnée, un groupe de jeunes voyageurs se retrouve confronté à la forme de vie la plus terrifiante de l’univers… et bien entendu, perdus dans l’espace, ils ont bien peu de chances de s’en sortir. Les jeunes interprètes ( Cailey Spaeny, David Jonsson, Isabella Merced et Archie Renaux sont plutôt convaincants et tous les autres sont des inconnus, comme Spike Fearn, Aileen Wu,  ). Si on voit le nom de Ridley Scott au générique…ce n’est pas parce qu’il a réalisé le film, mais c’est qu’il l’a produit. Donc une certaine garantie de qualité que de voir sa signature sur ce 7 opus. Et il faut bien avouer que cette suite réussit à garder toute notre attention. On sait ce qu’on va voir, et on ne peut pas être trop surpris. Sans être un très grand film, cela se laisse regarder avec la dose de frissons qui tient ses promesses. le scénario est l’œuvre de l’uruguayen  Rodolfo Sayagues

(L-R): Cailee Spaeny as Rain Carradine and David Jonsson as Andy in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo by Murray Close. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Cailee Spaeny as Rain Carradine in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Xenomorph in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Les surprises  et les différents aliens vont réjouir les spectateurs. Je ne dirai pas que c’est le meilleur, mais ce n’est pas non plus le pire de la série.  On ne s’ennuie pas, on frémi souvent et c’est quand même ce qui nous pousse à aller voir ce genre de films

David Jonsson as Andy in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Isabela Merced as Kay in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Aileen Wu as Navarro in 20th Century Studios’ ALIEN: ROMULUS. Photo courtesy of 20th Century Studios. © 2024 20th Century Studios. All Rights Reserved.

Les caractéristiques techniques : SORTIE LE 18 DECEMBRE  PRIX AMAZON : 29.99€

POUR LE 4 K

Langues :

Dolby Digital Plus : Français, Allemand Italien

Dolby Atmos 7.1 : Anglais

Digital Surround 5.1 : Espagnol Castillan

Dolby Digital 2.0 Anglais audio description

Pour le Bluray :

Dolby Digital Plus 7.1 : Français et Allemand

DTS HDMA 7.1 : Anglais

Dolby Digital 2.0 Anglais audiodescription

 

  • Sous-titres : ‏ : ‎ Finnois, Italien, Castillan, Danois, Polonais, Néerlandais, Allemand, Norvégien, Français, Suédois, Tchèque

le film annonce :

 

 

MYLELE FARMER NEVERMORE, en mini coffret 4K, c’est absolument fantastique

Je viens juste de découvrir ce concert en différents formats vu qu’il est édité sous plusieurs formats : le DVD , le bluray et le bluray UltraHD 4K, et c’est sur ce dernier que j’ai ‘re’-vécu l’expérience que j’avais découvert il y a quelques semaines au cinéma sur écran géant, qui nous proposait le montage définitif . Si les salles du groupe Pathé proposaient ce montage définitif, et que la salle affichait complet, j’avoue que je découvrais avec délice l’intégrale de ce concert auquel je n’aurais jamais pu assister, étant agoraphobe. Si je peux aller en concert dans des salles comme Le Casino de Paris, l’Olympia, le Dôme de Paris ou le Palais des congrès, l’idée de me rendre dans un stade me semble illusoire, et je me dois de remercier le producteur Thierry Suc, la star Mylène, et toute l’équipe qui nous offer ce concert que l’on peut se passer (et repasser) sur un bel écran TV.

Nevermore, c’est un peu un OVNI dans le paysage des concerts filmés. C’est du grand spectacle. On en prend plein les yeux ( et les oreilles bien entendu). l’équipe du réalisateur a employé les grands moyens et le spectateur ne peut que sortir totalement ravi et comblé. D’ailleurs sans être un fan inconditionnel de Mylène Farmer, je me suis régalé avec les concerts filmés : 2006 : Avant que l’ombre disponible en Bluray, puis 2010 au Stade de France, là aussi dans un bel écrin avec deux disques Bluray, le film du concert et un second disque avec les bonus et enfin Timeless en 2013, ou encore celui de 2019 ou de 2001 réédité en 2021.

Mais quelque soit la qualité des précédents, ce nouvel opus est incroyable, et je ne trouve pas de qualificatif pour le décrire avec des mots. Je l’ai déjà regardé 2 fois alors qu’il ne m’est parvenu que hier! quelques chiffres:  La scène est hors norme :haute de 30m de haut et large de 75m ! Sans oublier le corbeau géant de 10m qui apparaît sur scène avec Mylène dedans. C’est spectaculaire, tout autant que la statue de la faucheuse. Avec quatorze stades et 620.000 billets vendus, Nevermore est la plus grande tournée des stades de l’histoire de la musique proposée en France par une artiste.

Les titres : Prologue, Du temps, Peut-être toi, Libertine, Optimistique Moi, A tout Jamais, C’est une belle journée, Tristana, Remember, Rayon Vert, puis rêverqui s’enchaine avec le 2ème partie : L’autre, Que l’aube est belle, Sans Contrefaçon, Oui…Mais non, Ode à l’Apesanteur, Que je devienne, XXL, Désenchantée, Rallumer les etoiles, avec l’épilogue et le long générique de fin.

Le spectacle est entièrement conçu par Mylène Farmer, et produit par Thierry Suc, ce qui n’est pas nouveau! Pour les amateurs Monsieur Yvan Cassar apparait au piano et se retrouve à la direction musicale du prologue, de l’épilogue et des titres l’Autre , Rêver, et que l’Aube est belle, alors que Olivier Schultheiss assure la direction musicale du spectacle, entouré de Christophe Voisin Boisvinet.

Maintenant la mauvaise nouvelle. Il s’agirait d’un 4k en version limitée et à Paris certaines FNAC seraient d’ores et déjà en rupture de stock. Alors, les fans dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde dans cette version 4K, alors que les versions DVD ou Bluray devraient pouvoir faire plaisir à tout le monde. Parlons prix

le DVD : ( Fnac / Amazon : 34.99€)

Bluray : 39.99€

4K : 44.99€