Second Gala de Sylvie Vartan au Grand Rex, qui affichait archi complet ce samedi soir.
Une fois encore nous sommes sous le charme de Sylvie, qui a traversé les époques toujours avec autant de succès. Elle revient avec sa veste dorée dans la première partie et nous offre un retour dans le temps, à ses débuts dans les années 60. Cette première partie est quasiment celle que l’on avait adoré lorsqu’il a été présenté à l’Olympia, avec toutefois le retour très attendu d’un de ses titres fétiches : Irrésistiblement . Inutile de dire que les tubes sont tous là, et que le public les fredonne avec elle.
Quand tu es là My boyfriend’s back Chance C’est bon de vous voir Mister John B. Love has laid its hands on me
Est-ce que tu le sais En écoutant la pluie Bye Bye Love Tous mes copains Danse-là, chante-là Il revient Gonna Cry La plus belle pour aller danser Dis lui qu’il revienne Par amour par pitié Comme un garçon Moi je danse
garde moi dans ta poche Da dou ron ron……….
t!
TOUTES LES PHOTOS : @ Guy Courthéoux, onsortoupas.fr
Tous droits réservés. Toute utilisation doit faire l’objet d’un accord
La suite avec la seconde partie très bientôt.
Nombreuses autres photos sur d’autres spectacles sur le site. N’hésitez pas à déposer vos commentaires.
Cette année encore un beau programme pour cette Nuit de la Déprime, dont la marraine était Petula Clark.
Outre la géniale Petula, nombre de vedettes ou stars se retrouvaient dans les coulisses et sur scène. Vous pouviez y croiser Liane Foly, Juliette, Jean-Marie Bigard, Amaury Vassily, Enrico Macias, Gérard Lenorman ou Jean-Luc Lahaye, et bien d’autres encore.
Rencontrer une se ses idoles , c’est le rêve de tout un chacun. Quand en plus il s’agit d’une grande dame, le plaisir est double. C’est ce qui vient de m’arriver lors de la Nuit de la Déprime de Raphael Mezrahi, où j’ai pu m’entretenir avec Petula Clark.
Des pochettes de CD pour souvenir et un entretien que je vous laisse découvrir dans son intégralité, avec en bonus, trois vidéos enregistrées aux Folies Bergère, lors de la Nuit de la Déprime organisées par Raphael Mezrahi et coordonnées par Thierry Colby!
Attendu depuis longtemps par tous ceux qui ont aimé ou adoré l’idole, voici enfin l’intégrale de ses titres enregistrés en studio!
Photo Léonard de Raemy / Flèche
Le coffret idéal! tous les titres des années Philips (Mercury), Sony, Warner et Flèche sont regroupés dans un coffret luxueux de 20 Cd, avec 360 titres. Depuis sa disparition tragique le 11 mars 1978, Claude François a continué sa carrière et a vendu plus de disques après son décès que pendant sa trop courte carrière. Son premier succès: Belles,Belles Belles, son dernier succès de son Vivant: Magnolia For Ever, le titre qui est sorti 3 jours après sa mort, Alexandrie, Alexandra, programmé par Claude, tous ces titres et bien d’autres se retrouvent dans ce superbe coffret vendu pourtant moins de 100€.
Vous donner la liste des titres serait ridicule (vous pouvez les retrouver sur ce site dans tous les articles de La Collection Officielle : http://www.onsortoupas.fr/claude-francois-la-collection-officielle-lintegrale-de-ses-album-studios-2/ ), Sur cette intégrale on peut toutefois regretter que certaines versions alternatives, comme Sha la la, qui avait connu deux éditions, celle du 33t LP et celle du 45 tours avec une intro différente; idem pour l’édition d’Alexandrie, Alexandra, dont la version 45 T différait légèrement de celle du LP. A noter que sur le best of, de 3 CDs vous trouverez une version inédite avec un remix 2018 de ce titre, que vous ne trouverez pas sur l’intégrale en 20CD! Disco Météo, sur la version LP durait 4’17, et qui sur l’intégrale ne dure plus que 3’29. Mystères de l’industrie du disque. Pourquoi donc ne pas demander à un(e) fan de Claude François, qui a connu Claude de son vivant, de préparer en collaboration avec ses enfants et les maisons de disques concernées la future Intégrale, qui se doit d’être éditée, avec des titres introuvables, les versions alternatives, et bien d’autres choses Mais le coffret vous offre quand même un entretien réalisé le 22 Novembre 1976, d’une durée de 69 minutes.
Dans le coffret, vous allez trouver un livret de 48 pages, abondamment illustré dont voici la couverture :
Photo : Léonard de Raemy / Flèche
Les photos sur ce livret sont superbes, quelques unes sont très rares :
Photo : @ André Florent
Le coffret est en vente dès le 2 Mars
» Claude François »
– Le coffret intégrale des enregistrements studio en coffret 20CD (360 titres) en édition spéciale 40ème anniversaire + Le Livret de 48 pages à 99€
– La Compilation « For Ever » en coffret 3CD Digipack (60 titres) à 15€
– « For Ever » en édition limitée en Double Vinyle LP età 20€
Découvrir un grand orchestre dans la salle de la Philharmonie de Paris est quelque chose qui n’arrive pas tous les jours et pour ce concert vendredi 8, c’est vraiment exceptionnel.
L’acoustique de cette immense salle de concert est reconnue comme étant d’une qualité des plus rares, et l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo a pu jouir du prestige de cette salle pour un concert unique et en deux parties. La première partie était consacrée à des œuvres avec piano, comme la Fantaisie pour piano et orchestre de Claude Debussy et le Concerto en sol de Maurice Ravel, qui a permis à Jean-Efflam Bavouzet de nous montrer ses talents de pianiste, dans ces deux pièces, mais aussi avec les ‘encore’ non prévus au programme, où il se retrouvait seul face à la salle, l’orchestre étant derrière lui, mais sans jouer.
La seconde partie nous a montré l’orchestre au grand complet, toujours sous la direction de Kazuki Yamada, pour la Symphonie Fantastique de Berlioz, un régal pour les oreilles, cela va sans dire. Le directeur artistique et musical de l’Orchestre Philharmonique de Monte Carlo, a su offrir à la salle une interprétation de choix, et à croire qu’il avait eu vent qu’une des pièces classiques que je préfère , Invitation à la Danse de Carl Maria von Weber, ce fut le ‘Encore’ de ce concert exceptionnel.
Si vous avez l’occasion de voir cet orchestre, ne la manquez surtout pas, vous ne risquez qu’une seule chose : passer une des plus belles soirées musicales de votre vie!
Tout le monde se souvient du film, ou tout au moins du titre phare chanté et dansé par Gene Kelly et nombre d’entre nous avaient vu ce musical au Châtelet en 2015!
L’histoire se déroule à Hollywood, à la fin de l’ère du cinéma muet. Don Lockwood (Dan Burton) est devenu une star du cinéma muet. Lina Lamont, (Emma Kate Nelson) son insipide et antipathique partenaire, est persuadée qu’ils forment un couple à la ville comme à l’écran. Alors que Le Chanteur de Jazz, le tout premier film parlant, connaît un succès fulgurant, le directeur du studio R.F Simpson (Robert Dauney) n’a d’autre choix que de convertir le nouveau film du duo Lockwood / Lamont. L’équipe de production est confrontée à de nombreuses difficultés, notamment l’insupportable voix de crécelle de Lina Lamont. un soir Don rencontre une jeune et jolie jeune femme à la sortie de la première d’un de ses films. Il est très vite épris d’elle, Kathy Selden (Monique Young) . Le meilleur ami de Don Lockwood, Cosmo Brown (Daniel Crossley) , a l’idée d’engager Kathy pour doubler la voix de Lina et de transformer The Dueling Cavalier en comédie musicale intitulée The Dancing Cavalier. Lina découvre l’idylle entre Don et Kathy et, furieuse, exige qu’à l’avenir Kathy continue de jouer les doublures et demeure pour toujours dans l’anonymat. Cette idée révolte Simpson, mais il n’a d’autre choix que d’accepter, tout comme Kathy, liée au studio par contrat. La première de The Dancing Cavalier sera un triomphe. Le public conquis réclame une chanson de Lina. Don et Cosmo décident d’improviser : ils proposent à Lina de chanter en playback pendant que Kathy, dissimulée derrière le rideau, créé l’illusion enchantant en simultané dans un second micro….
Photo : Vincent PONTET
Photo : Vincent PONTET
C’est un enchantement de tous les instants. La mise en scène de Robert Carsten est d’une intelligence rare. En fait on met un petit moment avant de le remarquer, mais tout est en noir et blanc, les décors, les costumes, même certains éclairages. Et la couleur n’apparaît en fait qu’à la toute fin du spectacle, et alors on nage dans l’or et le jaune, sauf pour la reprise toute en couleurs de la chanson titre au final avec toute la troupe. Ce musical est-il un classique? En fait non. C’est l’adaptation toute récente du film, avec l’accord de la MGM qui distribuait le film dans les années 50. Si tout le monde connaît une des nombreuses adaptations de la chanson Singin’ in the rain ( dont la version disco de Sheila ), il y a d’autres airs connus comme Good Morning ou encore Make ’em laugh, et on se surprend à fredonner avec les comédiens sur scène. Autre excellente surprise, l’orchestre est dans la fosse, et non pas en bande enregistrée. C’est dire tout le soin apporté à cette production grandiose.
Photo : Vincent PONTET
Photo : Vincent PONTET
Si je dis que ce n’est pas un classique dans le sens des productions comme My Fair Lady, The Sound of Music -La mélodie du bonheur, ou West Side Story, il y a de fortes chances que cette version de Robert Carsten le devienne, vu les bravos . Une excellente direction musicale de Gareth Valentine, avec l’Orchestre Padeloup dans la fosse! Les costumes ont été créés par Anthony Powell et les comédiens chanteurs évoluent dans des décors signés Tim Hatley. Il faudrait saluer tout le monde pour montrer l’excellence de cette production tout en anglais avec, rassurez-vous, des surtitres français pour les non anglophones, elle pourrait être présentée partout dans le monde sans problème majeur. Pourquoi en anglais? Adapter en français le texte et les chansons aurait dénaturé totalement ce musical. Cette production au Chatelet avait été initiée par Jean-Luc Choplin qui a depuis pris les rennes de La Seine Musicale.
Le théâtre du Châtelet a vu les choses en grand pour la reprise de sa comédie musicale phare Singin’in the Rain. Cette opération hors les murs est une prouesse technique : plateau, gradins, coulisses, fosse d’orchestre, machinerie et système de cintres, loges, piscine d’eau pour faire tomber la pluie sur scène… pour la première fois, un théâtre parisien érige de toutes pièces une salle de spectacle dans la gigantesque nef du Grand Palais. Une semaine pour tout monter! De part et d’autres de la scène, nombre d’activités attendront le spectateur dans un espace avec l’ambiance d’un studio de cinéma : initiations aux claquettes, karaoké autour des comédies musicales, entre autres. C’est donc une véritable expérience qui sera ainsi proposée au public venu découvrir le spectacle, deux heures avant chaque spectacle. Quelques chiffres : – 13 500 m2 aménagés – une scène de 16m d’ouverture et de 1 040m² – une cage de scène de 25m de hauteur – une machinerie théâtrale recréée avec 30 porteuses mobiles – 140 tonnes d’échafaudages – 80 haut-parleurs – 6000 litres d’eau chaude en circuit fermé pour la pluie – plus de 100 techniciens – 40 artistes sur scène – plus de 20 musiciens dans la fosse – 2 400 places, avec un espace restauration.
Photo : Vincent PONTET
c-Sylvain-Gripoix.
TOUTES LES PHOTOS, sauf mention contraire : @Théâtre-du-Châtelet-Marie-Noëlle-Robert
Non seulement il est prudent de réserver, mais quasi obligatoire, de nombreuses soirées affichent déjà complet, et le bouche à oreille qui va suivre va vite remplir le Grand Palais
Durée du spectacle : environ 2h50 avec un entracte de 30 mns
Dates des représentations Mardi 28 novembre , Mercredi 29 novembre Jeudi 30 novembre Vendredi 1er décembre 20h
samedi 2 décembre 15h et 20h Dimanche 3 décembre 18h Mardi 5 décembre , Mercredi 6 décembre , Jeudi 7 décembre , Vendredi 8 décembre 20h
samedi 9 décembre 15h et 20h Dimanche 10 décembre 18h Mardi 12 décembre , Mercredi 13 décembre , Vendredi 15 décembre 20h
samedi 16 décembre 15h et 20h, Dimanche 17 décembre 18h Mardi 19 décembre , Mercredi 20 décembre , Vendredi 22 décembre 20h
samedi 23 décembre 15h et 20h Dimanche 24 décembre 15h et 20h Mercredi 27 décembre , Jeudi 28 décembre , Vendredi 29 décembre 20h
samedi 30 décembre 20h Dimanche 31 décembre 15h, Dimanche 31 décembre 20h, lundi 1er janvier 18h Mercredi 3 janvier , Jeudi 4 janvier , Vendredi 5 janvier 20h
samedi 6 janvier 15h et 20h Dimanche 7 janvier 18h Mardi 9 janvier Mercredi 10 janvier , et dernière le Jeudi 11 janvier 20h
Tarifs :de 23 à 143 €
Réservations :
Internet www.chatelet-theatre.com Téléphone (sauf dimanches et jours fériés) 01 40 28 28 40 Aux caisses du Grand Palais à partir du 28 novembre de 13h au début du spectacle
Encore un nouvel ouvrage sur Claude François allez-vous penser? Détrompez-vous, c’est une bible quant à la discographie de l’idole, où vous retrouverez entre autres, tous les vinyles sortis de son vivant.
Baptiste Vignol , auteur d’autres ouvrages sur la chanson française (Guy Béart, , Renaud ou Téléphone, entre autres, se penche cette fois sur la carrière incroyable de celui qui près de 40 ans après sa mort est toujours présent dans les discothèques avec ses derniers tubes comme Magnolias for Ever, Alexandrie Alexandra, Je vais à Rio par exemple. Il a été et reste un des plus grands vendeurs de disques. Une carrière pourtant assez courte ( de 1962 à 1978), il reste l’idole absolue. On a tout dit, tout écrit sur lui, du bien, du mal, du vrai du faux, mais il a créé tellement de tubes, qu’il reste encore omniprésent dans la mémoire collective. Ceux qui étaient ados ou adultes le 11 Mars 1978 se souviennent tous de ce qu’ils faisaient au moment où sa mort a été annoncée, et comment la nouvelle s’est répandue très très vite. Il faut quand même se souvenir qu’à cette époque là le net n’existait pas, qu’il n’y avait que trois stations de radio et 2 ou trois chaînes de télévision, que le téléphone (fixe) était encore un luxe. Et pourtant annoncé à 15.00, la France entière était au courant (sans aucun jeu de mot malsain) dans les 30 minutes qui suivaient. Ce livre, abondamment illustré, vous montre les pochettes de 45 tours, d’albums, mais aussi nombre de photos inédites de celui qui était Cloclo pour des millions de français. Les chansons sont ‘disséquées’, expliquées, avec les incontournables, comme Chanson Populaire ou Le Téléphone Pleure, les quasi inconnues, comme celles de son 1er 45 tours qui ne s’est pas vraiment bien vendu, où il s’appelait KOKO, avant son premier Méga Tube : Belles, belles, belles suivi de tant d’autres, qui sera suivi de dizaines d’énormes succès : Le Mal Aimé, Toi et moi contre le monde entier, Le lundi au soleil, Viens à la maison, le jouet extraordinaire, Si j’avais un marteau, je vous laisse compléter la liste.
Il y a quelques disques en italien, et quelques mois avant sa mort un début de carrière outre manche, avec la reprise de certains de ses grands succès français traduits dans la langue de Shakespeare.
Inutile de rajouter qu’un de ses titres est encore aujourd’hui une des chansons les plus interprétées au monde : Comme d’habitude….qui fut repris avec le succès que l’on sait dans une adaptation de Paul Anka pour Franck Sinatra sous le titre de My Way et qui a depuis été enregistré par des centaines, voire des milliers d’autres interprètes de par le monde : Elvis Presley, les Sex Pistols, Nina Simone côté anglo saxon, et Michel Sardou ou Florent Pagny dans l’hexagone. Sans oublier un album de reprises par M. Pokora qui s’est écoulé à plus de 500.000 exemplaires.
Cet ouvrage vous dira tout sur cette carrière exceptionnelle, avec des anecdotes recueillies auprès de ses proches, dont Jean-Pierre Bourtayre qui a été son directeur artistique, Sylvie Mathurin, son habilleuse, et vous vous rappellerez certains tubes, ses revues qu’il a créées avec beaucoup de succès pour Podium, et moins, que c’était alors un magazine de charme, Absolu. Vraiment cet ouvrage est complet, indispensable pour les fans, et un cadeau de choix pour tous ceux qui ont connu Claude François, que ce soit avant ou après sa mort.
Claude François : Je reviendrai comme d’habitude, c’est aux éditions Gründ, et c’est vendu 24.95€
Après vous avoir dit tout ce que je pensais de ce sublime spectacle qui a fait revivre toutes les années avec Sylvie Vartan, une deuxième soirée s’imposait
Reportage en photos sous l’objectif de Guy Courthéoux…
Si vous êtes très nombreux à cliquer….vous verrez encore plus de photos qui sont déjà prêtes
Merci encore Sylvie pour ces heures de bonheur pour tous vos fans!
Sylvie Vartan fête 55 ans de chansons, mais elle a gardé la grâce de la jeunesse avec des titres inoubliables!
Un concert en deux parties, de chacune bien plus d’une heure, puisque le spectacle se termine vers 23.45, alors qu’il débute environ 3 heures plus tôt avec un court entracte. Dire que la première partie est superbe ne peut pas suffire. Sylvie, toute de blanc vêtue, enchaîne tube sur tube, en majorité des années 60, avec quelques titres du début des années 70. Certes elle aurait pu en rajouter des dizaines d’autres, mais elle a choisi un maximum de titres qui bougent, et la salle était plus que ravie. Vous donner la liste des titres est quasi impossible, elle interprète même des tubes en anglais. La seconde partie reprend en majorité les titres des années suivantes, quelques balades, et beaucoup de titres rythmés.
Ce spectacle vous donne la pêche, la salle chante, se trémousse, et en fin de chaque partie nombre de spectateurs se lèvent pour approcher l’idole. J’ai vu nombre de spectacles de Sylvie Vartan, mais jamais encore je n’avais assisté à une telle proportion de titres, non pas connus, mais de véritables tubes. Les fans de Sylvie Vartan vont adorer, et , sans nul doute, la tournée qui devrait suivre démontrera qu’une idole des jeunes dans les sixties, reste une idole pour tous, même 50 ans plus tard!
Bravo Sylvie, et un merci, du fond du cœur pour cette soirée, qui restera longtemps dans nos mémoires. Les 3 choristes et les 8 ou 9 musiciens dont 3 cuivres nous offrent un son comme on l’aime, puissant, vibrant, avec des éclairages signés vraisemblablement Jacques Rouveyrollis qui retiennent aussi toute notre attention. Vous l’avez compris: grande soirée, si vous voyez Sylvie Vartan pour des concerts non loin de chez vous, précipitez-vous, cela mérite amplement le déplacement!
TOUTES LES PHOTOS @Guy Courtheoux / OnSortOuPas.fr Tous droits réservés
la liste des tubes :
1/ Quand tu es là 2/ My boyfriend’s back 3/ Chance 4/ C’est bon de vous voir 5/ Mister John B. 6/ Love has laid its hands on me
7/ Est-ce que tu le sais 8/ En écoutant la pluie 9/ Bye Bye Love 10/ Tous mes copains 11/ Danse-là, chante-là 12/ Il revient 13/ Gonna Cry 14/ La plus belle pour aller danser 15/ Dis lui qu’il revienne 16/ Par amour par pitié 17/ Comme un garçon 18/ Moi je danse / garde moi dans ta poche 19/ Da dou ron ron
20/ Danse ta vie 21/ Bye bye Leroy Brown 22/ Toi le garçon 23/ Ca va mal 24/ Solitude 25/ Qu’est ce qui fait pleurer les blondes 26/ Dieu merci 27/ Petit Rainbow 28/ Merveilleusement désenchantée 29/ Le piège 30/ Sensible 31/ Je n’aime encore que toi 32/ C’est fatal 33/ L’amour c’est comme une cigarette 34/ Je chante le blues 35/ La Maritza 36/Nicolas 37/ I don’t want the night to end 38/ Cheveux au vent
Les fans de Sylvie Vartan, seront aux anges avec ce beau livre de Benoît Cachin : La Plus Belle Pour Aller Chanter
Près de 300 pages, qui retracent la carrière fabuleuse de Sylvie, avec des tonnes de photos dont certaines quasi introuvables, les photos de toutes les pochettes, les souvenirs de Sylvie sur chaque décade.
Ce qui est appréciable, c’est le regard de l’auteur sur la carrière de celle dont je peux me targuer d’être un fan depuis très longtemps. Pour infos, vous trouverez un entretien avec cette idole dans le N° 11 de Garçon, entretien que j’ai eu la chance de faire avec celle qui reste et restera la plus belle pour aller chanter:
Un grand merci à Daniel Millet pour la splendide photo qui illustre cet article!
Curieusement , bien que je me sois toujours intéressé à la carrière de Sylvie, ce livre m’a encore appris plein de choses sur sa discographie, comme un album pour les japonais au début des années 70, et en fait tous ses disques, en différentes langues dont l’Italien, et même ses albums enregistrés en public. Sylvie a vendu des millions d’albums et nous attendons déjà avec impatience un prochain album l’année prochaine, sans oublier les rendez-vous à l’Olympia dans les jours à venir:
Encore quelques pages pour vous donner un avant goût de ce très beau livre qui fait honneur à ma bibliothèque et que ceux qui aiment Sylvie Vartan vont se dépêcher de commander. Le livre édité chez Gründ est vendu 29.95€