Stephen Mear

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Une des plus belles salles de spectacle de Paris, le  Théâtre du Chatelet, nous propose, pour cette fin d’années un retour dans le temps avec une comédie musicale avec claquettes, superbes décors, mise en scène soignée et chanteurs, danseurs qui font de véritables prouesses.

Il faut dire que tous ceux qui aiment les comédies musicales sont aux anges en cette fin d’année avec un spectacle familial LE ROI LION à Mogador, une reprise intelligente de CABARET au LIDOPARIS, une comédie choc LA PETITE BOUTIQUE DES HORREURS à l’Opéra Comique,  et ce 42d STREET au Chatelet. Franchement tous méritent des éloges et ont chacun leur public. Personnellement je les ai toutes adorées et toutes méritent des éloges, même si toutes ne sont pas destinées au même public, bien que tous ceux qui aiment le musical en prendront plein les yeux et les oreilles.

Il faut bien avouer que ce grand théâtre qu’est le Chatelet et un temple qui a vu bien des programmes musicaux depuis sa création. il y a plus d’un siècle, les premiers spectacles créés dans les années 1860. Les spectacles de Francis Lopez furent créés ici, avec les opérettes les plus célèbres du compositeur, et depuis des années la programmation est un peu différente, mais avec chaque saison des comédies musicales, des concerts dans leur programmation.

Cette fois c’est du grand spectacles qui nous arrive de Broadway, avec ce 42d Street qui mérite des louanges et qui est applaudi à tout rompre.

Dans le New York des années 1930, la machine à rêves de Broadway tourne à plein régime et il est dur de s’y faire une place. La jeune et talentueuse Peggy Sawyer tente sa chance au sein d’une compagnie qui monte un nouveau spectacle, Pretty Lady. Mais il n’est pas facile de devenir une star !

Cette comédie musicale, qui fit sensation dès son lever de rideau devenu iconique, retrace les coulisses du show business. L’envers du décor n’est pas toujours rose mais l’amour du spectacle et du métier est plus fort que tout.  Démonstration de claquettes, pluie de paillettes, 16 tableaux, plus de 300 costumes… 42nd Street est de retour au Châtelet avec une nouvelle distribution pour le plaisir de tous.

Nous nous retrouvons à New York à la fin de la récession, en 1933. Le metteur en scène Julien Marsch (Alex Hanson)  voudrait retrouver sa place à Broadway avec une nouvelle comédie musicale intitulée PRETTY LADY. On se retrouve pour les auditions des danseurs danseuses, chanteurs chanteuses, et la star sera Dorothy Brook ( Rachel Stanley), aux côté d une jeune premier, Billy Lawlor (Jack North) La star n’a plus été à l’affiche depuis plus de 10 ans, mais son dernier amant en date a mis beaucoup d’argent dans ce projet. Une jeune danseuse, totalement inconnue veut tenter sa chance et se présente aux auditions. Je vous laisse la surprise pour la suite.

Inutile de dire que je suis totalement fan et que j’ai adoré chaque minute de ce spectacle, et si j’avais le choix, il est certain que j’y reviendrai avant les fin des représentations. C’est du grand et beau spectacle, le public applaudit à tout rompre.

Musique HARRY WARREN et Lyrics AL DUBIN

Livret MICHAEL STEWART et MARK BRAMBLE

Direction musicale GARETH VALENTINE
Mise en scène et chorégraphie STEPHEN MEAR

 

TOUTES LES PHOTOS @ THOMAS AMOUROUX

LA DISTRIBUTION :

Julian Marsh Alex Hanson
Dorothy Brock Rachel Stanley
Peggy Sawyer Emily Langham
Billy Lawlor Jack North
Maggie Jones Annette McLaughlin
Bert Barry Cedric Neal
Ann Reilly (Annie) Jess Buckby
Andy Lee Daniel Crossley
Pat Denning Darren Bennett
Abner Dillon Duncan Smith
Phyllis Dale Lauren Hall
Lorraine Flemming Charlie Allen
Diane Lorimer Talia Duff
Ethel Gabby Antrobus
Oscar Liam Wrate
Mac, Doc, Thug Ian Mowat

Le spectacle est présenté dans sa version originale avec surtitres parfaitement lisibles

Représentations : 13, 14, 15, 16 décembre à 20 h

samedi 17 à 15h00 et 20h00

dimanche 18 : 15h00  20h00

20, 21 22, 23 à 20h00

24 à 15h00 et 20h00

25 à 15h00

27, 28, 29, 30 décembre 20h00,

31 décembre  15h00 et 20h00

4, 5, 6 janvier 20h00

samedi 7 janvier 15h00 et 20h00

dimanche 8 janvier 15h00 et 20h00

10, 11, 12, 13 janvier 20h00

samedi 14 15h00 et 20h00

dimanche 15 15h00 et 20h00

places de 12 à 109€ sauf 31 décembre soirée de 15 à 130€

 

Réservations : https://www.chatelet.com/programmation/saison-2022-2023/42nd-street/

 

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Le film ultra célèbre de William Wyler qui a fait débuter Barbra Streisand au cinéma en 1968 , fut d’abord une comédie musicale qui fit les beaux soirs à Broadway en 1964….avec Barbra Streisand. Et c’est la version théâtre que nous pouvons découvrir enfin à Paris. Et c’est une totale réussite! Au point que vu le triomphe que lui fait le public à chaque représentation, le spectacle est prolongé jusqu’aui 7 mars 2020.

Funny Girl est tiré d’une histoire vraie, celle de Fanny Brice, une comédienne américaine très connue dans les années 1920/30, vedette des revues à grand spectacle des Ziegfeld Follies. L’histoire débute alors que Fanny n’a qu’une envie, de se produire sur les planches. Seul problème, elle est très loin d’être une reine de beauté, et ses bagages ne sont qu’une belle voix. Elle vit avec sa mère dans le quartier juif de New York, le Lower East Side, et personne ne croit en son talent, sauf elle et un ami qu’elle va rencontrer dans un théâtre local : Eddie Ryan, un danseur,  qui va lui apprendre le chant et la danse. Pas très douée côté danse, elle se rattrape avec une solide dose d’humour et une voix superbe. Le grand Florenz Ziegfeld entendra parler d’elle et elle se retrouvera quelques mois plus tard dans le plus célèbre des music-halls de New York. Une rencontre avec un joueur invertébré, Nick Arnstein, dont elle va tomber éperdument amoureuse, et la suite, c’est simple : soit, comme moi vous connaissez le film par coeur, soit vous allez découvrir ce musical et vous lever au final pour acclamer la troupe, et plus particulièrement celle qui interprète Fanny Brice : Christina Bianco. Certes elle domine la troupe, mais les autres protagonistes méritent quand même qu’on les félicite pour leur prestation : Christina Bianco , Ashley Day,  Rachel Stanley,  Matthew Jeans,  Shirley Jameson,  Mark Inscoe , Ashley Knight , Jessica Buckby,  Isabel Canning,  Jennifer Louise Jones, Jinny Gould.

Impossible de passer sous silence la mise en scène remarquable de STEPHEN MEAR, avec décors et costumes de PETER MCKINTOSH. Tout est fait pour que le spectateur passe une soirée inoubliable, éclairages, jeux de scène, chorégraphies. On en prend plein les yeux pendant les 2h45 du spectacle dont un entracte d’une 20taine de minutes. Vous aimez entendre le son d’un orchestre, vous ne serez pas déçu, le chef, James McKeon en alternance avec  Bastien Still ouvrent la bal avec les airs les plus connus du spectacle  avant le lever de rideau : People, Don’t rain on my parade, I’m The Greatest Star, His love makes me beautiful, entre autres. Bien entendu il y a d’autres morceaux de bravoure que vous découvrirez dans ce musical.

 

Inutile de dire que je n’ai pas aimé, j’ai A D O R E chaque minute. certes je connaissais trop bien le film pour ne pas fredonner (sans gêner mes voisins) mes airs préférés. Voilà ce qu’on aime dans la comédie musicale. On vibre de bonheur. Tous est prévu pour que le spectacle plaise au public, et le public est sous le charme ( c’est en tous cas ce que j’ai entendu comme commentaires à la sortie, après avoir vu la salle faire une standing ovation à Christina Bianco.

Funny Girl, au Théâtre Marigny, dirigé de main de maître par Jean-Luc Choplin, nous a déjà offert en musical :  Peau d’Ane pour sa réouverture, puis Guys and Dolls, en version originale avec surtitres français, comme c’est le cas pour Funny Girl!

 

Toutes les photos : (c) Julien Benhamou

Funny Girl, pour 60 représentations exceptionnelles
Jusqu’au 7 Mars 2020
En soirée du mardi au samedi à 20 h et en matinée à 15 h le samedi et 16 h le dimanche

Tarifs : semaine : 15€ à 89€, week end : 19€ à 99€, tarifs spéciaux pour certains soirs dont le 31 décembre

Réservations sur le site du théâtre Marigny : https://www.theatremarigny.fr/spectacle/funny-girl-the-broadway-musical/  

ou par téléphone : 01 76 49 47 12

Quelques vidéos en répétitions :

 

 

et un petit extrait avec Barbra Streisant : Don’t Rain on my Parade :

 

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Décidément le théâtre Marigny sait nous envoyer au firmament des comédies musicales. Après le superbe PEAU D’ÂNE, voila GUYS AND DOLLS!

À New York (Broadway), des amateurs de jeux de hasard (craps) et  une Mission locale de l’Armée du Salut. Sky Masterson , qui ne sait pas refuser un pari, surtout lorsqu’il est certain de gagner accepte le pari proposé par Nathan Detroit : séduire la première jeune femme qu’il lui montrera et l’emmener dîner à Cuba (La Havane) Nathan lui désigne Sarah Brown, une sœur de la Mission,  et Sky entreprend de la séduire en prétendant aider la Mission qui connaît des difficultés. Mais l’amour va déjouer les plans de Nathan (qui tente de monter un établissement de jeux) et de Sky ; le premier a pour « fiancée depuis 14 ans » la chanteuse de night-club ‘Miss’ Adelaide qui voudrait vraiment qu’on lui passe enfin la bague au doigt ; le second ne sera pas insensible aux charmes de Sarah, et réciproquement…

Jean-Luc Choplin qui dirige le Théâtre Marigny a eu l’heureuse idée de présenter cette comédie musicale qui n’avait jamais été montée en France.

This is why Broadway was born (Voilà pourquoi est né!) , pouvait-on lire dans Newsweek, au lendemain  de la première de Guys and Dolls, le 24 novembre 1950.  À l’affiche du 46 street Theater, à Broadway, le musical y reste pour 1 200 représentations, jusqu’en 28 novembre 1953. Un record et une pluie de récompenses, cinq Tony Awards en 1951 : meilleur musical, meilleure chorégraphie, meilleure direction musicale, meilleur acteur (Robert Alda) et meilleure actrice (Isabel Bigley). Dès 1953 Guys and Dolls  traverse l’Atlantique pour le West End de Londres et enchaîne 555 représentations au London Colliseum. Hollywood s’empare de cette histoire pour en faire un film qui sort en 1955. Pour porter à l’écran, Guys and Dolls qui venait de connaître un succès  colossal sur scène, à Broadway, le producteur  Samuel Goldwyn veut des stars.; Marlon Brando dans le rôle de Sky Masterson et Frank Sinatra dans celui de Nathan Detroit. Le titre français : Blanches Colombes et vilains messieurs ! Et avec le réalisateur Joseph L. Mankiewicz aux commandes !

 

TOUTES LES PHOTOS : @ Julien BENHAMOU

Et maintenant pour une série limitée de représentations, voici Guys And Dolls sur une scène parisienne, en version originale avec des comédiens, chanteurs, danseurs qui méritent amplement la standing ovation à laquelle ils ont droit :

Delycia Belgrave:  Agatha, Brendan Cull : Calvin,  Adam Denman : Liver Lips Louie,  Emily Goodenough : Martha, Matthew Goodgame :  Sky Masterson, Joanna Goodwin :  Margie, Swing,  Clare Halse : Sarah Brown,  Christopher Howell : Nathan Detroit,  Barry James : Arvide Abernathy,  Ria Jones :  Miss Adelaide, Ian Gareth Jones :  Lt. Brannigan, Rachel Izen :  Générale Cartwright,  Thomas-Lee Kidd : Angie the Ox,  Bobbie Little : Mimi,  Louis Mackrodt : Jackson the Jock, Swing,  Ross McLaren:  Harry the Horse,  Robbie McMillan:  Society Max,  Joel Montague : Nicely-Nicely Johnson

Jo Morris :Betsy ,  Jack North : Rusty Charlie,  Alexandra Waite-Roberts : Mabel,  Matthew Whennell-Clark:  Benny Southstreet, Joey Biltmore,  Gavin Wilkinson : Big Jule

 

Ria Jones est vraiment la perle rare, qui reçoit toutes les ovations,même s’il faut bien souligner que les 4 rôles principaux, dont le sien, sont extraordinaires. On vibre avec eux, dans cette mise en scène pétillante signée Stephen Mear, qui signe aussi la chorégraphie dans des décors somme toute assez simples de Peter McKintosh, et des éclairages de Tim Mitchell. Si seulement toutes les comédies musicales étaient de cet acabit, de cette qualité, le nombre amateurs décuplerait. J’ai pris un plaisir énorme à cette production. Il faut dire que je faisais totale confiance  à Jean-Luc Choplin qui après avoir créé des spectacles dans les premières années d’existence de Disneyland, avait ensuite pris les rennes du Chatelet, où il avait pu monter ou offrir les tournées des plus célèbres comédies musicales, comme LA MELODIE DU BONHEUR, HELLO DOLLY, CARROUSEL, 42d STREET, UN AMERICAIN A PARIS, SINGIN’ IN THE RAIN, LE ROI ET MOI, MY FAIR LADY, parmi bien d’autres comme Les Misérables (dans sa version anglaise). Croyez bien que je n’ai pas regretté cette soirée, et que j’attends avec impatience de savoir quelles surprises nous réserve le Théâtre Marigny pour la saison prochaine!

120 représentations  jusqu’ au 27 juillet 2019

En soirée à 20h et en matinée à 15h le samedi et 16h le dimanche
Tarif : à partir de 36 euros jusqu’à 105€ en Carré Or

Réservations : 01 76 49 47 12

HORAIRES DES GUICHETS :

Lundi : 13H00 à 17H00

Mardi au Samedi : 13H00 à 18H00

Dimanche : 13H00 a 17H00

bande annonce et extraits :

 

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Tout le monde se souvient du film, ou tout au moins du titre phare chanté et dansé par Gene Kelly et nombre d’entre nous avaient vu ce musical au Châtelet en 2015!

 

L’histoire se déroule à Hollywood, à la fin de l’ère du cinéma muet. Don Lockwood (Dan Burton) est devenu une star du cinéma muet. Lina Lamont, (Emma Kate Nelson) son insipide et antipathique partenaire, est persuadée qu’ils forment un couple à la ville comme à l’écran. Alors que Le Chanteur de Jazz, le tout premier film parlant, connaît un succès fulgurant, le directeur du studio R.F Simpson (Robert Dauney) n’a d’autre choix que de convertir le nouveau film du duo Lockwood / Lamont. L’équipe de production est confrontée à de nombreuses difficultés, notamment l’insupportable voix de crécelle de Lina Lamont. un soir Don rencontre une jeune et jolie jeune femme à la sortie de la première d’un de ses films. Il est très vite épris d’elle, Kathy Selden (Monique Young) . Le meilleur ami de Don Lockwood, Cosmo Brown (Daniel Crossley, a l’idée d’engager Kathy  pour doubler la voix de Lina et de transformer The Dueling Cavalier en comédie musicale intitulée The Dancing Cavalier.  Lina découvre l’idylle entre Don et Kathy  et, furieuse, exige qu’à l’avenir Kathy continue de jouer les doublures et demeure pour toujours dans l’anonymat. Cette idée révolte Simpson, mais il n’a d’autre choix que d’accepter, tout comme Kathy, liée au studio par contrat. La première de The Dancing Cavalier sera un triomphe. Le public conquis réclame une chanson de Lina. Don et Cosmo décident d’improviser : ils proposent à Lina de chanter en playback pendant que Kathy, dissimulée derrière le rideau, créé l’illusion enchantant en simultané dans un second micro….

Photo : Vincent PONTET

Photo : Vincent PONTET

C’est un enchantement de tous les instants. La mise en scène de Robert Carsten est d’une intelligence rare. En fait on met un petit moment avant de le remarquer, mais tout est en noir et blanc, les décors, les costumes, même certains éclairages. Et la couleur n’apparaît en fait qu’à la toute fin du spectacle, et alors on nage dans l’or et le jaune, sauf pour la reprise toute en couleurs de la chanson titre au final avec toute la troupe. Ce musical est-il un classique? En fait non. C’est l’adaptation toute récente du film, avec l’accord de la MGM qui distribuait le film dans les années 50. Si tout le monde connaît une des nombreuses adaptations de la chanson Singin’ in the rain ( dont la version disco de Sheila ), il y a d’autres airs connus comme Good Morning ou encore Make ’em laugh, et on se surprend à fredonner avec les comédiens sur scène. Autre excellente surprise, l’orchestre est dans la fosse, et non pas en bande enregistrée. C’est dire tout le soin apporté à cette production grandiose.

Photo : Vincent PONTET

Photo : Vincent PONTET

Si je dis que ce n’est pas un classique dans le sens des productions comme My Fair Lady, The Sound of Music -La mélodie du bonheur, ou West Side Story, il y a de fortes chances que cette version de Robert Carsten le devienne, vu les bravos . Une excellente direction musicale de Gareth Valentine, avec l’Orchestre Padeloup dans la fosse! Les costumes ont été créés par Anthony Powell et les comédiens chanteurs évoluent dans des décors signés Tim Hatley. Il faudrait saluer tout le monde pour montrer l’excellence de cette  production tout en  anglais avec, rassurez-vous, des surtitres français pour les non anglophones, elle pourrait être présentée partout dans le monde sans problème majeur. Pourquoi en anglais? Adapter en français le texte et les chansons aurait dénaturé totalement ce musical. Cette production au Chatelet avait été initiée par Jean-Luc Choplin qui a depuis pris les rennes de La Seine Musicale.

Le théâtre du Châtelet a vu les choses en grand pour la reprise de sa comédie musicale phare Singin’in the Rain.
Cette opération hors les murs est une prouesse technique : plateau, gradins, coulisses, fosse d’orchestre, machinerie et système de cintres, loges, piscine d’eau pour faire tomber la pluie sur scène… pour la première fois, un théâtre parisien érige de toutes pièces une salle de spectacle dans la gigantesque nef du Grand Palais.  Une semaine pour tout monter!
De part et d’autres de la scène, nombre d’activités attendront le spectateur dans un espace  avec l’ambiance d’un studio de cinéma : initiations aux claquettes, karaoké autour des comédies musicales, entre autres.
C’est donc une véritable expérience qui sera ainsi proposée au public venu découvrir le spectacle, deux heures avant chaque spectacle.
Quelques chiffres :
– 13 500 m2 aménagés –  une scène de 16m d’ouverture et de 1 040m² – une cage de scène de 25m de hauteur – une machinerie théâtrale recréée avec 30 porteuses mobiles – 140 tonnes d’échafaudages – 80 haut-parleurs – 6000 litres d’eau chaude en circuit fermé pour la pluie – plus de 100 techniciens – 40 artistes sur scène – plus de 20 musiciens dans la fosse – 2 400 places, avec un espace restauration.

 

Photo : Vincent PONTET

c-Sylvain-Gripoix.

TOUTES LES PHOTOS, sauf mention contraire : @Théâtre-du-Châtelet-Marie-Noëlle-Robert

Non seulement il est prudent de réserver, mais quasi obligatoire, de nombreuses soirées affichent déjà complet, et le bouche à oreille qui va suivre va vite remplir le Grand Palais

Durée du spectacle : environ 2h50 avec un entracte de 30 mns

Dates des représentations
Mardi 28 novembre ,  Mercredi 29 novembre Jeudi 30 novembre  Vendredi 1er décembre 20h

samedi 2 décembre 15h et 20h Dimanche 3 décembre 18h
Mardi 5 décembre , Mercredi 6 décembre ,  Jeudi 7 décembre ,  Vendredi 8 décembre 20h

samedi 9 décembre 15h et 20h Dimanche 10 décembre 18h
Mardi 12 décembre , Mercredi 13 décembre ,  Vendredi 15 décembre 20h

samedi 16 décembre 15h et 20h, Dimanche 17 décembre 18h
Mardi 19 décembre , Mercredi 20 décembre ,  Vendredi 22 décembre 20h

samedi 23 décembre 15h  et  20h Dimanche 24 décembre 15h et 20h
Mercredi 27 décembre , Jeudi 28 décembre , Vendredi 29 décembre 20h

samedi 30 décembre 20h Dimanche 31 décembre 15h, Dimanche 31 décembre 20h, lundi 1er janvier 18h
Mercredi 3 janvier , Jeudi 4 janvier , Vendredi 5 janvier 20h

samedi 6 janvier 15h et  20h Dimanche 7 janvier 18h
Mardi 9 janvier  Mercredi 10 janvier , et dernière le  Jeudi 11 janvier 20h

Tarifs  :de 23 à 143 €

Réservations :

Internet www.chatelet-theatre.com
Téléphone (sauf dimanches et jours fériés) 01 40 28 28 40
Aux caisses du Grand Palais à partir du 28 novembre de 13h au début du spectacle

bande annonce :