Il y a des spectacles qui vous prennent aux tripes et c’est le cas de cette oeuvre qui parle de la nuit épouvantable du Bataclan, il y a 10 ans
Il fallait un interprète plus que talentueux pour nous faire vivre le livre d’Antoine Leiris, alors qu’il a perdu sa femme dans cet attentat et cet interprète, c’est Michael Winum, qui nous fait vibrer tout le long de son récit.
le voici devant la caméra d’ONSORTOUPAS:
Les lundis et mardis soir à 21.00 au Théâtre La Bruyère jusqu’à fin décembre
Cédric Jimenez n’est pas un inconnu en tant que réalisateur, vu qu’il nous avait déjà offert son premier film, co réalisé avec Arnaud Duprey, Aux yeux de tous en 2012. suivra , 2 ans plus tard La French qui réunit Jean Dujardin et Gilles Lellouche pour un autre polar marseillais. Il faudra attendre 3 ans pour le retrouver dans HHhH, avec un comédien américain, Jason Clarke. Mais le succès l’attend en 2020 avec Bac Nord et, enfin en 2021 Novembre sur les 5 jours d’enquête suite aux attentas du 13 Novembre, au générique duquel on verra Jean Dujardin, Anaïs Demoustier, Sandrine Kiberlain et Jérémie Renier. Il est de retour avec un film coup de poing : CHIEN 51.
On est dans un futur pas vraiment proche où Paris a été divisé en 3 zones qui séparent les classes sociales et où l’intelligence artificielle ALMA a révolutionné le travail de la police. Mais le créateur / inventeur de la situation est assassiné. Salia et Zem (Gilles Lelouche et Adèle Exarchopoulos), deux policiers que tout oppose, sont forcés à collaborer pour mener l’enquête.
Le moins que l’on puisse dire sur ce film c’est qu’il est efficace et qu’il nous prend aux tripes et ce dès les premières images. Le rythme ultra rapide des premières images nous entraine dans un autre monde. Certes on reconnait Paris, mais on est transporté dans un autre monde. Le réalisateur ne nous donne aucune information sur les dates où se déroule le film, mais fort heureusement ce n’est pas aujourd’hui.
Je suis rentré dans le film dès les premières minutes et je ne peux même pas dire que j’en suis sorti à la fin du film, bien au contraire. Les comédiens sont tous parfaits, même les autres rôles : Louis Garrel, Romain Duris, Valeria Bruni Tedeschi, Artus. Je ne peux que dire du bien de ce polar, que je ne conseillerai toutefois pas, ou difficilement aux plus jeunes vu que la violence est omniprésente, et que cela peut choquer certains.
Quand le cinéma made in France est à ce niveau de qualité, on ne peut qu’être fier d’en parler!
C’était en Mai 2024 La Nouvelle Calédonie était peut-on dire à feu et à sang. L’archipel est ravagée par des émeutes extrêmement violentes. Une nuit un groupe de profs et de parents d’élèves érigent des barrages pour protéger leur collèges. On y retrouve Kevin, prof caldoche et loyaliste et Marguerite, prof kanak indépendantiste Le problème est qu’ils sont déboussolés, et qu’ils ne » savent pas s’ils auront la possibilité de sauver leur collège.
Sur ce canevas Jenny Briffa a écrit cette pièce à 2 personnages interprétés par Laurence bolé et Stéphane Piochaud dans une mise en scène particulièrement efficace signée Frédéric Andrau.
Rencontre avec le metteur en scène et les deux comédiens à l’issue de la représentation à La Manufacture Des Abbesses dans le 18ème.
les représentations :
jusqu’au 2 Novembre à 21.00 du jeudi au samedi et dimanche à 17.00 à la Manufacture des Abbesses , 7 rue Véron 75018 Paris (métro: Abbesses ou Blanche)
Vous n’aurez pas ma haine c’est un roman signé Antoine Leiris, qui conte l’histoire du Bataclan, où il a perdu sa femme, et tout ce qui a suivi, où il doit s’occuper de leur bébé. De ce livre on a tiré un film il y a quelques années et le Théâtre La Bruyère nous en propose l’adaptation théâtrale, mis en scène par Olivier Desbordes. Et c’est l’interprétation plus que remarquable de Mickaël Winum qui va vous bouleverser. Et qui m’a bouleversé, comme vous allez pouvoir en juger dans l’entretien qu’il nous a accordé.
Le récit bouleversant qu’il a fait paraître après la mort de sa femme le 13 novembre 2015, lors de l’attentat du Bataclan l’auteur, Antoine Leiris, et ce après une lettre ouverte qu’il avait publiée sur Facebook le lendemain. Son seul moyen de faire face à la situation sera ce livre où il raconte son quotidien avec son fils qui est alors âgé de quelques mis. Le livre avait été chaleureusement accueilli. Et c’est maintenant Mickaël Winum qui l’interprète sur scène après que Raphael Personnaz se soit déjà accaparé le rôle. Un rôle extrêmement difficile, et qui nous tient en haleine pendant toute la représentation
Un couple, Adam et Caroline (Isabelle Gélinas & Gérard Darmon) reçoit un de leurs amis très poche à dîner. Au départ de ce dernier Adam fait une crise de jalousie à sa femme et ils entendent du bruit dans leur maison. C’est Vincent, leur ami ( Stéphan Wojtowicz) qui a une panne de voiture. Je m’arrête là, pour ne pas dévoiler la suite.
La pièce signée Hadrien Raccah et mise en scène par Serge Postigo, ne peut pas se raconter plus avant. Il n’est pas possible d’en dire plus, même si le sujet semble bien mince raconté ainsi. Sachez toutefois que les rebondissements vont se succéder, et que les surprises ne manqueront pas. On est loin toutefois des comédies légères ou de boulevard auquel le théâtre des Nouveautés nous avait habitués. Le talent des comédiens est indéniable qui vous fera passer une excellente soirée. Les applaudissements dans la salle ne manquent pas avant que le rideau ne tombe et c’est quand même là que l’on juge de la qualité (ou non) d’une pièce.
On ne peut pas dire que les comédiens jouent dans la tranquillité, loin s’en faut, qui font tous une vraie performance, et ils savent nous amener là où l’auteur a choisi de nous diriger. On va de surprise en surprise sans que le tout soit surjoué, et c’est ainsi que je me suis laissé entraîner là où l’auteur avait envie que l’on aille, et la salle était unanime .
Crédit photos : Cyril Bruneau
Un château de cartes , c’au Théâtre des Nouveautés, 24 boulevard Poissonnière à Paris
représentations du mardi au vendredi à 21.00, le samedi à 16h30 et 21.00, et le dimanche à 16.00.
TRON : ARES suit l’étonnante aventure d’un Programme hautement sophistiqué du nom d’Ares, envoyé du monde numérique au monde réel pour une mission dangereuse qui marquera la première rencontre de l’humanité avec des êtres dotés d’une intelligence artificielle…
Heureusement que j’ai pu lire ces lignes avant d’écrire ces lignes, parce que je dois bien avouer que je n’ai strictement rien compris à ce film, que je m’y suis ennuyé comme rarement malgré la présence de quelques acteurs que j’apprécie, comme Jared Leto ou Gillian Anderson ou encore, au générique de ce film signé Joachim Ronning , réalisateur norvégien à qui on devait déjà un autre film pour les studios Disney: Maléfique, le pouvoir du mal avec Angelina Jolie, Elle Fanning et Harris Dickinson, film que je n’ai pas vu, ni en salles ni en vidéo. Autres comédiens(nes) : Greta Lee, Jeff Bridges, Evan Peters, Hasan Minaj, Jodie Turner-Smith, Arturo Castro XII,
Revenons à Tron: si je n’ai rien compris au scénario, peut-être est-ce du à la fatigue ( bien que je l’ai vu en première séance , donc en matinée) ou que je ne suis pas assez intelligent pour tout comprendre. Les images digitales sont belles, beaucoup de rouge, les courses poursuites bien filmées, mais il faut bien avouer qu’à mes yeux cela ne suffit pas pour qu’on s’intéresse à cette histoire futuriste tout autant que rocambolesque . Je pense que vous avez compris mes ressentis sur ce film, et je ne vais pas continuer à écrire, de crainte de vous lasser, comme les spectateurs qui sortaient bien avant la fin du film, dans la salle où je l’ai vu.
Voilà une exposition qui mérite plus que votre attention, et qui se doit d’être visitée.
Elle se situe à l’entrée du côté de la rue de l’Université, et ne nécessite pas de monter dans les étages, même s’il existe des ascenseurs pour les personnes à mobilité réduite. C’est un monde de couleurs qui va s’offrir à vos yeux.
On est très loin du cliché de la grande forêt vierge habitée de peuples figés dans le temps, parce que cette exposition met en lumière l’Amazonie du point de vue autochtone, un monde vibrant, ancré dans le présent, où coexistent une multitude d’entités.
Si on parle généralement de sa biodiversité, l’Amazonie possède une véritable richesse culturelle . Cette exposition, Amazonia, vous donne un nouvel éclairage sur les collections dites «ethnographiques » des musées européens.
En mettant en dialogue les collections du musée avec des oeuvres contemporaines d’artistes autochtones, L’exposition invite à repenser les frontières entre art traditionnel et art contemporain. Les « artefacts » y sont considérés comme des oeuvres d’art à part entière aux côtés des arts dits éphémères comme la danse, les arts oraux, les peintures corporelles, qui sont des témoignages de la richesse et de la vitalité des cultures amazoniennes.
Cette exposition vous montre l’Amazonie sous des angles nouveaux, où les traditions ancestrales se mélangent intelligemment avec la modernité.
Une adaptation bien réussie de PETITE MISERES DE LA VIE COINJUGALE de Balzac, adaptée pour la scène par Pierre-Olivier Mornas, qui se joue depuis le 28 Aooût au Poche Montparnasse.
La femme pleine de foi en celui qu’elle aime est une fantaisie de romancier. Pour toute Caroline qui n’est ni Hollandaise, ni Anglaise, ni Belge,ni d’aucun pays marécageux, l’amour est un prétexte à souffrance. Dès qu’un homme aimé s’absente, la Caroline imagine qu’il court à quelque bonheur tout prêt. Tous ceux qui possèdent des trésors craignent les voleurs. Sous ce rapport, les femmes dotent les hommes de facultés surhumaines. La peur agrandit tout, elle dilate les yeux, le cœur : elle rend une femme insensée. Où va monsieur ? Que fait monsieur ? Pourquoi me quitte-t-il ? Pourquoi ne m’emmène-t-il pas ? Ces quatre questions sont les quatre points cardinaux de la rose des soupçons, et régissent la mer orageuse des soliloques. » Honoré de BALZAC
Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse
Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse
Une adaptation souriante de Pierre-Olivier Mornas, que l’on retrouve en compagnie d’Alice d’Arceaux, devant la caméra de Guy Courthéoux / onsortoupas.fr
Représentations du mardi au samedi à 19h00 et le dimanche à 15.00
75 blvd du Montparnasse paris
réservations : 01 45 44 50 21 ou www.thearedepoche-montparnasse.com
Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse Adaptation et mise en scène de Pierre-Olivier Mornas avec Alice D’Arceaux et Pierre-Olivier Mornas
Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse Adaptation et mise en scène de Pierre-Olivier Mornas avec Alice D’Arceaux et Pierre-Olivier Mornas
Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse Adaptation et mise en scène de Pierre-Olivier Mornas avec Alice D’Arceaux et Pierre-Olivier Mornas
Une des plus petites républiques au monde, qui se situe dans la péninsule italienne, voila San Marino.
Et quoi de mieux que de voir et écouter sa représentante en France pour l’IFTM : Bianca Rastelli
voici quelques photos qui vous donneront certainement envie d’aller visiter cette petite république (en taille, cela va sans dire!)
The moon sets during golden hour behind the second tower of San Marino, Cesta. The third tower, Montale, is visible in the background. Taken from the top of the first tower, Guaita.
Dans ma vie, j’ai toujours eu une véritable passion pour les animaux. Déjà enfants, nous avions toujours un chien à la maison, qu’il fut caniche ou cocker. Et encore aujourd’hui j’ai ma chienne cocker qui dort à mes pieds alors que j’écris ces lignes, alors que la chatte n’est pas loin. Mais il y a un rêve qui n’a pas abouti, et ce rêve, c’est de faire un safari ( non, pas de fusil, juste une caméra), et découvrir ces étendues encore sauvages, où les animaux sont dans leur habitat.
Alors, lorsque j’ai eu la possibilité de rencontrer un organisateur de safaris, j’ai sauté sur l’occasion lors du dernier salon IFTM à la Porte de Versailles, et en voici le résultat :
Découvrez l’âme de la Tanzanie avec ceux qui l’ont vécue : Serengeti, Ngorongoro, Zanzibar et bien plus encore. Visitez notre stand pour un voyage né de la passion, de l’aventure et de moments inoubliables
Fondée en 2007, l’ entreprise de safari est née d’une profonde passion pour faire découvrir au monde la beauté époustouflante des safaris en Tanzanie. » Des plaines infinies du Serengeti aux paysages grandioses du cratère du Ngorongoro, nos propres expériences de voyage ont nourri notre désir de partager les merveilles naturelles de la Tanzanie. Qu’il s’agisse d’admirer la Grande Migration ou de se détendre sur les plages paisibles de Zanzibar, nous y avons été — et aujourd’hui, nous voulons vous emmener vivre un voyage inoubliable. »