MIAM! une petite comédie en musique pour les petites têtes blondes (ou brunes ou rousses). Entretien avec l’auteur et une interprète

 

Voir un spectacle pour une avant première c’est assez rare, mais se retrouver dans une salle avec 90% de jeunes enfants dans les 6/8 ans peut être, c’est bien la première fois que cela m’arrive

Voici le résultat de l’après spectacle :

 

 

 

MIAM est un spectacle pop qui nous plonge dans le monde du goût et des aliments, une traversée gustative en chansons pour toute la famille.

Avec cette création musicale destinée au jeune public, Aude Léger (chant, basse), Philippe Bégin (chant, guitare) et Sébastien Buffet (chant, batterie) nous rappellent que les histoires de nourriture sont aussi souvent des histoires familiales. Un régal pour le cœur, les yeux et les oreilles !

Parti à l’autre bout du monde sur un coup de tête, le père de Mary lui a laissé la gestion de MIAM, le restaurant familial. Avec Joe le cuisinier et Elvis le serveur, Mary doit relever le défi et tout faire pour accueillir ses clients au mieux. En chemin, elle se transforme en MC Patate, reine des pommes de terre, tombe amoureuse d’un chou vert, reçoit la visite de la DDPP et replonge dans ses souvenirs de petite fille. Sur des compositions musicales originales, ce concert pop nous met l’eau à la bouche pour le plus grand plaisir des petits et des grands.

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Prochaines dates :

23/01/2025 – Le Manekine à Pont Sainte Maxence – 9h30 et 14h30

24/01/2025 – Le Manekine à Pont Sainte Maxence – 9h30 et 14h30

25/01/2025 – Le Manekine à Pont Sainte Maxence – 16h

29/01/2025 – Le Palace à Montataire – 14h30

30/01/2025 – Le Palace à Montataire – 10h et 14h30

31/01/2025 – Le Palace à Montataire – 10h et 14h30

19/02/2025 – Théâtre Cinéma du Garde Chasse aux Lilas (93) – 14h et 17h

 

Rating:

RIGOLETTO à l’Opéra Bastille, une reprise avec de superbes interprètes!

On retrouve ce décor  superbe en boite de carton gigantesque  et la mise en scène de Claus Guth pour cette nouvelle série de représentation à l’Opéra Bastille, sous la baguette du chef : Giacomo Sagripanti, avec des interprètes qui méritent des superlatifs: Roman Burdenko (Rigoletto), Rosa Feola (Gilda) et Liparit Avetisyan( Il Duca Di Montova) entre autres  sans oublier Goderdzi Janelidze ou Aude Extremo

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

 

 

On connaît bien l’intrigue qui débute lors d’un bal : Le comte Monterone accuse le Il Duca Di Mantova, grand coureur de jupons, d’avoir déshonoré sa fille. Rigoletto, bouffon bossu du Duc, se moque de lui. Monterone jette alors une solennelle malédiction sur lui ainsi que sur le Duc. Or, c’est au tour de Gilda, fille du bossu, d’être séduite par le Duc. Rigoletto, dont Gilda est le bien le plus précieux, décide donc de se venger et emploie les services d’un tueur à gages. Mais la malédiction est déjà en marche et ne tarde pas à s’accomplir. Rigoletto, dans une suite d’enchaînements malheureux, perdra son enfant adorée.

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

Claus Guth qui assure le mise en scène de cette  production, s’attache implacablement à mettre à nu les œuvres qu’il met en scène. Pour cette production, il a imaginé un spectacle traversé de fantômes et de fantasmes, où le spectateur revit la tragédie à travers le regard d’un Rigoletto brisé et socialement déclassé. L’Opéra débute avec une sorte de préambule où un Rigoletto qui a sombré dans une déchéance totale ouvre une boite en carton. La boite contient une robe blanche souillée de sang, et un costume de fou du roi. Et la scène se transforme, et on se retrouve à l’intérieur de cette boite en carton .

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

La tragédie permet à Verdi d’écrire quelques uns de ses airs les les plus célèbres comme : Questa o quella per me pari sono,  La donna è mobile, ou Caro Nomé. La mise en scène de Claus Guth les sublime, et surtout donne un allant aux interprètes.

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

Le clin d’oeil aux revues à plumes est un délice:

RIGOLETTO
Compositeur : Giuseppe Verdi
Livret : Francesco Maria Piave d’après Victor Hugo
Direction musicale : Domingo Hindoyan
Mise en scène : Claus Guth
Décors : Christian Schmidt
Costumes : Christian Schmidt
Lumières : Olaf Winter
Vidéo : Andi A. Müller
Chorégraphie : Teresa Rotemberg
Dramaturgie : Konrad Kuhn
Chef des Choeurs : Alessandro di Stefano
Distribution:
Il Duca di Mantova : Liparit Avetisyan
Rigoletto : Roman Burdenko Gilda : Rosa Feola
Sparafucile : Goderdzi Janelidze Maddalena : Aude Extrémo
Giovanna : Marine Chagnon
Il Conte di Monterone: Blake Denson
Marullo: Florent Mbia
Matteo Borsa : Manase Latu
Il Conte di Ceprano : Amin Ahangaran
La Contessa di Ceprano : Teona Todua
Paggio della duchessa: Seray Pinar
Usciere di Corte : Julien Joguet
Double de Rigoletto : Henri Bernard Guizirian
A l’Opéra Bastille, le 28 novembre 2024
Photo : Benoîte Fanton / OnP

et bien entendu les chœurs, dirigés par CAlessandro Di Stefano donnent de l’ampleur à ce spectacle superbe

TOUTES LES PHOTOS : Benoîte Fanton ( ONP) tous droits réservés

 

Représentations : à 19.30 sauf dimanches : 14.30

Samedi 7 décembre
Mardi 10 décembre
Vendredi 13 décembre
Lundi 16 décembre
Jeudi 19 décembre
Dimanche 22 décembre
Mardi 24 décembre
Samedi 10 mai
Mercredi 14 mai
Dimanche 18 mai *
Mercredi 21 mai
Samedi 24 mai *
Mardi 27 mai
Vendredi 30 mai
Mardi 3 juin
Dimanche 8 juin
Jeudi 12 juin

Durée : environ 2 h 45

TARIFS
TARIFS
200€ 180€ 163€ 145€ 125€ 100€
75€ 53€ 37€ 15€
Excepté le dimanche 8 juin 2025
180€ 162€ 147€ 131€ 113€ 90€ 68€
48€ 33€ 15€

Rien ne parle mieux que des extraits : en voici quelques uns, avec l’aimable autorisation de l’Opéra de Paris:

 

MYLELE FARMER NEVERMORE, en mini coffret 4K, c’est absolument fantastique

Je viens juste de découvrir ce concert en différents formats vu qu’il est édité sous plusieurs formats : le DVD , le bluray et le bluray UltraHD 4K, et c’est sur ce dernier que j’ai ‘re’-vécu l’expérience que j’avais découvert il y a quelques semaines au cinéma sur écran géant, qui nous proposait le montage définitif . Si les salles du groupe Pathé proposaient ce montage définitif, et que la salle affichait complet, j’avoue que je découvrais avec délice l’intégrale de ce concert auquel je n’aurais jamais pu assister, étant agoraphobe. Si je peux aller en concert dans des salles comme Le Casino de Paris, l’Olympia, le Dôme de Paris ou le Palais des congrès, l’idée de me rendre dans un stade me semble illusoire, et je me dois de remercier le producteur Thierry Suc, la star Mylène, et toute l’équipe qui nous offer ce concert que l’on peut se passer (et repasser) sur un bel écran TV.

Nevermore, c’est un peu un OVNI dans le paysage des concerts filmés. C’est du grand spectacle. On en prend plein les yeux ( et les oreilles bien entendu). l’équipe du réalisateur a employé les grands moyens et le spectateur ne peut que sortir totalement ravi et comblé. D’ailleurs sans être un fan inconditionnel de Mylène Farmer, je me suis régalé avec les concerts filmés : 2006 : Avant que l’ombre disponible en Bluray, puis 2010 au Stade de France, là aussi dans un bel écrin avec deux disques Bluray, le film du concert et un second disque avec les bonus et enfin Timeless en 2013, ou encore celui de 2019 ou de 2001 réédité en 2021.

Mais quelque soit la qualité des précédents, ce nouvel opus est incroyable, et je ne trouve pas de qualificatif pour le décrire avec des mots. Je l’ai déjà regardé 2 fois alors qu’il ne m’est parvenu que hier! quelques chiffres:  La scène est hors norme :haute de 30m de haut et large de 75m ! Sans oublier le corbeau géant de 10m qui apparaît sur scène avec Mylène dedans. C’est spectaculaire, tout autant que la statue de la faucheuse. Avec quatorze stades et 620.000 billets vendus, Nevermore est la plus grande tournée des stades de l’histoire de la musique proposée en France par une artiste.

Les titres : Prologue, Du temps, Peut-être toi, Libertine, Optimistique Moi, A tout Jamais, C’est une belle journée, Tristana, Remember, Rayon Vert, puis rêverqui s’enchaine avec le 2ème partie : L’autre, Que l’aube est belle, Sans Contrefaçon, Oui…Mais non, Ode à l’Apesanteur, Que je devienne, XXL, Désenchantée, Rallumer les etoiles, avec l’épilogue et le long générique de fin.

Le spectacle est entièrement conçu par Mylène Farmer, et produit par Thierry Suc, ce qui n’est pas nouveau! Pour les amateurs Monsieur Yvan Cassar apparait au piano et se retrouve à la direction musicale du prologue, de l’épilogue et des titres l’Autre , Rêver, et que l’Aube est belle, alors que Olivier Schultheiss assure la direction musicale du spectacle, entouré de Christophe Voisin Boisvinet.

Maintenant la mauvaise nouvelle. Il s’agirait d’un 4k en version limitée et à Paris certaines FNAC seraient d’ores et déjà en rupture de stock. Alors, les fans dépêchez-vous, il n’y en aura pas pour tout le monde dans cette version 4K, alors que les versions DVD ou Bluray devraient pouvoir faire plaisir à tout le monde. Parlons prix

le DVD : ( Fnac / Amazon : 34.99€)

Bluray : 39.99€

4K : 44.99€

 

 

 

Rating:

JFK c’est en Bluray HD 4K, et c’est une réussite totale. Quel plaisir de voir la version intégrale!

Ce film avait été acclamé lors de sa sortie en Janvier 1992, un grand moment de cinéma, malgré sa longueur (3 heures 21 mns) et c’est normal. Le réalisateur Oliver Stone, démonte toutes les théories habituelles et montre un oeil nouveau sur l’assassinat du président John Fitzgerald Kennely, à Dallas le vendredi 22 novembre 1963 à Dallas (Texas) à 12h30 (heure locale). La télévision française, avec sa seule chaine alors, avait montré en boucle  les images, et le film d’Oliver Stone s’en sert pour ses arguments. Franchement le film démonte tout l’assassinat et surtout la théorie d’Harvey Oswald comme assassin.

Dallas, 22 novembre 1963. À 12h30, alors que le couple présidentiel circule sur Dealey Plaza à bord d’une limousine décapotable, des coups de feu retentissent ! John Fitzgerald Kennedy, touché à la gorge, reçoit une deuxième balle en pleine tête. Le président américain vient d’être assassiné.  60 ans après les faits, des zones d’ombres subsistent et les théories du complot fleurissent. Pourtant, le meurtre s’était déroulé devant des centaines de témoins, la séquence avait même été filmée et diffusée en boucle sur tous les téléviseurs du monde entier!

Jim Garrison (Kevin Costner), est le personnage central du film JFK d’Oliver Stone. Procureur de la Nouvelle Orléans, il mène sa propre enquête à la fin des années 60, persuadé que l’assassinat de Kennedy a été commis par une officine anticastriste qui réunissait à la fois des agents de la CIA et des hommes de la mafia. Il perd toutefois son procès . Jimmy Carter, avec une chambre des représentants démocrates a donc autorisé l’ouverture d’une nouvelle enquête en 1976. Un comité est constitué pour reprendre les investigations. Il conclut de son côté que l’assassinat de Kennedy est probablement l’œuvre d’une conspiration, mais ne désigne pas de coupable en dehors d’Oswald.

Oliver Stone a pris nettement parti pour son film. Harvey Oswald ne peut pas être l’assassin. Il s’est entouré de comédiens tous parfaits : Tommy Lee Jones (Clay Shaw), Gary Oldman ( Lee Harvey Oswald), Jack Lemmon ( Jack Martin), Sissy Spacek (la femme de Clay), et plus encore : Joe Pesci, Vincent d’Onofrio, Walter Matthau, Kevin Bacon, Donald Sutherland, et bien d’autres. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’on reste scotché à notre fauteuil, malgré la durée du film. Le film n’a pas pris une ride, et le version 4K relève de l’exploit, vu la qualité du rendu.

Ne vous attendez pas à de nombreuses versions, le film vous est présenté , soit en version française, soit en version originale avec sous titres français, il s’agit de la version longue, director’s cut. Le coffret comprend 2 disques , La Version 4K, et la version Bluray , et vous pouvez trouver ce double disque, Anglais (DTS-HD 5.1), Français (DT-HD 5.1) sur Amazon au prix public de 29.99 €.

 

LE NOM DE LA ROSE, le génial film de Jean-Jacques Annaud avec Sean Connery, Christian Slater et Michael Lonsdales, c’est désormais en 4K Bluray HD et c’est du grand art

Le Nom de la rose – Édition Simple Combo 4K UHD / Blu-ray

Je me souvenais avoir vu ce film lors de sa sortie en salles, mais ce n’était pas hier. En effet le film est apparu sur les écrans français le 17 décembre 1986, il y a donc 38 ans. Jean-Jacques Annaud avait alors créé l’évènement  avec ce film assez long (2h12) avec une belle brochette de comédiens. Outre ceux déjà cités dans le titre il y avait aussi : Helmut Qualtinger,  F. Murray Abraham, Ron Pearlman, et le seul personnage féminin: Valentina Vargas.


Le réalisateur nous plonge  dans les années de l’inquisition, en 1327, où des moines disparaissent mystérieusement dans une abbaye bénédictine. Le franciscain, Guillaume de Baskerville aidé du jeune novice Adso von Melk va mener l’enquête. C’est l’époque où l’Eglise, en pleine crise, se voit disputer son pouvoir spirituel et temporel. C’est aussi l’apogée de l’inquisition. Un film sombre mais que l’on peut facilement qualifier de chef d’oeuvre. Le film avait attiré près de 5 millions de spectateurs en France et quelques 7.1 millions de $ sur le sol américain.

Le film a vu sa carrière se poursuivre avec la sortie an cassette VHS, puis en DVD, et c’est maintenant que la sortie en BluRay 4K  lui donne une nouvelle vie, et cela grâce à une société née en 2005, L’Atelier d’Images, qui possède quelques titres formidables à son catalogue comme : Rollerball, JFK, Hellraiser 1/2/3/4, ou encore : Né un 4 Juillet ou Barton Fink. Nous reviendrons sur ces titres.

Le 4k est absolument fabuleux, que je rentrerai parmi mes top 10.

Informations techniques :

Langues : Français 2.0, anglais 5.1, DTS Master Audio Stéréo

SOUS-TITRES : Français

FORMAT : 16:9 compatible 4/3,  format d’origine respecté 1.85

SUPPLÉMENTS :

Bonus 4K :

  • Masterclass, Institut Lumière 89 min – Inédit
  • Le Commentaire audio
  • La bande-annonce originale
  • Nouveau film annonce 2024

Bonus Blu-ray :

  • Nouveau film annonce 2024
  • Dans les archives du Nom de La rose (30 mn env.) Inédit
  • Le Commentaire audio – VF 2.0
  • L’énigme des noms (65 mn env.)
  • La bande-annonce originale
  • La bande-annonce remastérisée
Rating:

GLADIATOR II c’est du cinéma par Ridley Scott et c’est aussi bon voire meilleur que le 1er

Souvenez vous du premier film qui contait la chute du général romain Maximus Decimus (Russel Crowe), destiné à devenir le successeur de Marc Aurèle, avant que l’empereur ne soit assassiné et le général brutalement trahi et laissé pour mort par l’horrible Commode (Joaquin Phoenix)  qui allait se revêtir  de la pourpre impériale. Maximus, dont la famille a été massacrée, va devenir un esclave ,  qui va conquérir le cœur des romains par ses talents en combattant dans l’arène du Colisée et avant affronter Commode dans un ultime combat. Cette fois le héros, Lucius (Paul Mescal) qui a été fait prisonnier  dans une bataille où il verra mourir sa bien aimée, et va devoir entrer, lui aussi dans le Colisée dans une Rome décadente dirigée par 2 frangins pour le moins hystériques. mais, vu que l’avenir de Rome et de l’Empire est en jeu, Lucius va faire fi afin de rendre la gloire au peuple de Rome. Et il ne sera pas seul dans cette aventure, chaperonné par Macrinus (Denzel Washington). Ce dernier est absolument parfait qui semble tenir le film entre ses mains.

Le premier film, sorti en 2000 avait été un triomphe qui avait faite renaître le genre Peplum, très à la mode dans les années 60. Il aura fallu attendre 24 ans donc pour que ce numéro 2 arrive sur les écrans. Toujours aussi violent ( voire plus violent), il prouve, (mais en est-il besoin,) que le talent de Ridley Scott est intact. En rentre très vite dans le film, et l’action vu que l’on assiste à une gigantesque prise d’un bastion hors de Rome, où la violence est omniprésente. Et cela ne s’arrêtera pas là. Donc fuyez si la vue du sang vous rebute, mais courrez dans la première salle avec grand écran qui projette ce film qui n’est pas court : quasiment 2 heures 30. Vu que je ne vais pas vous dévoiler l’intrigue plus avant, je vous donne quelques détails sur les acteurs protagonistes outre ceux déjà cités : Pedro Pascal, Connie Lieslen, les deux frères empereurs : Joseph Quinn et Fred Hechinger, sans oublier Derek Jacobi et Lior Raz. Heureusement que Monsieur Scott a ajouté sa patte d’humour, qui atténue, un peu, la violence. Mais ce qui se déroule au Colisée va vous scotcher à votre siège tant c’est passionnant, et inventif.

Je n’ai pas senti de longueur, je suis rentré quasi immédiatement dans le sujet, avec ces personnages totalement déjantés, les deux empereurs plus particulièrement. Voilà du vrai cinéma, come on l’aime, qui vous entraîne loin, très loin de vos préoccupations du jour, Courrez-y  si vous avez plus de 12 ans, et estimez vous,  heureux parce qu’aux Etats unis, le film n’est autorisé qu’aux plus de 17 ans. Recommandations vraiment compréhensibles, âmes sensibles s’abstenir, où l’hémoglobine coule à flots. Tentez de voir ce grand film dans une salle Dolby, Dolby Atmos sur grand écran, vous ne le regretterez pas. Voilà du cinéma!

Le film annonce :

 

 

 

 

Rating:

IMPOSSIBLE : Quand la magie s’invite aux Folies Bergère, cela donne un superbe spectacle pour toute la famille

La magie, rien que ce mot fait rêver, et pas seulement les plus jeunes, il y en a pour toute la famille, et les numéros de magiciens se retrouvent sur de nombreuses scènes dans le monde, et des noms comme Houdini ou David Copperfield sont connus du grand publics, vu qu’ils ont été ovationnés par les foules. Cette année, ce sont les Folies Bergère de la rue Richer à Paris qui accueillent une troupe qui mérite le déplacement.

Luis de Matos et ses 4 comparses vont vous éblouir, vous faire rêver  et réaliser l’irréalisable. J' »ai vu ce spectacle qui dure environ 2 heures, avec un entracte de 20 minutes et j’en suis sorti ébloui. Et pourtant j’en ai vu des illusionnistes, et j’avais même vu David Copperfield à Las Vegas, puis à Paris, et je l’avais même rencontré lors d’un interview avec sa fiancée d’alors : la superbe Claudia Schiffer. Mais il ne m’avait pas fait disparaître, pas de chance pour vous, je suis encore là et m’en suis remis (lol).

Bon revenons à ce spectacle qui se joue jusqu’au 1er décembre. «  Luis de Matos IMPOSSIBLE Sur Scène  » est bien plus qu’un simple spectacle de magie ; c’est une épopée au cœur de l’émerveillement. Cinq illusionnistes exceptionnels, parmi les meilleurs au monde, vous invitent à une aventure hors du commun, bouleversant vos sens et votre perception. Ces maîtres de la magie, avec une dextérité inégalée créent des illusions à couper le souffle qui jonglent entre l’émotion, le mystère, et l’enchantement. Préparez-vous pour un spectacle inoubliable où chaque moment promet d’illuminer votre imagination et vous plonge dans un monde où tout devient possible.

Un cast all-star et des illusions à couper le souffle, avec Luis de MatosAaron CrowDan SperryNorbert FerréYu Hojin.  Ces 5 « magiciens » viennent de différents horizons, Luis de Matos , le Portugal et il y a un français : Norbert Ferré, c’est de Corée que Yu Hojin a rejoint la troupe, aux côtés de Aaron Crow (Belgique) et Dan Sperry (Etats Unis).

Ils m’ont tellement étonné par leur spectacle que le rendez-vous avec le français s’est transformé (comme par magie!?) en un entretien mémorable, et en voici le résultat :

 

Quelques photos du spectacle :

 

représentations :

Du mardi au samedi 20h00 et dimanche 17h00,

voir sur le site des Folies Bergère pour les représentations supplémentaires qui se rajoutent

Durée du spectacle :
2h avec un entracte de 20 min.

Réservations : En ligne sur www.foliesbergere.com
Par téléphone au 0800 001 650
Sur place aux Folies Bergère

Tarif : de 25 à 85 €

 

 

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VOLE EDDIE VOLE, entretien avec l’auteur et le metteur en scène/ comédiens : Benjamin LHOMMAS et Sophie ACCARD

 

Remontons le temps, et allons nous occuper des jeux Olympiques! Non, vous ne rêvez pas, je vous parle, une fois n’est pas coutume de sport!

Certains, parmi les moins jeunes se souviennent peut-être d’un sportif qui avait envie de faire une prouesse exceptionnelles lors des jeux olympiques d’hiver à Calgary en 1988. Un certain Michael Edwards, alors âgé de 25 ans , que tout le monde connaissait sous le surnom d’Eddie The Eagle, et qui fut le premier sauteur à ski représentant le fédération olympique britannique. Il détient deux records toutefois….il a terminé bon dernier aux épreuves des 70 et 90 mètres et reste donc le symbole de l’échec héroïque.

L’histoire fut de son temps un tel symbole qu’un film fut réalisé sur le contre exploit: sorti en 1996, Eddie The Eagle de Dexter Fletcher retrace les jeux de 1988 et l’expérience du contre héros. Je me souviens l’avoir vu  et m ‘être beaucoup amusé à la vision de ce film d’anti héros. Et quand je me suis retrouvé dans la salle du Petit Montparnasse, je me suis remémoré dès les premières minutes du film, et j’ai passé un excellent moment.

 

Vous voulez savoir pourquoi, regardez donc l’entretien avec les auteurs comédiens metteur en scène : Sophie Accard et Benjamin Lhommas:

L’auteur a reçu le Prix Littéraire Armand Gatti 2024 pour ce texte, qui entre au répertoire de l’Éducation nationale.
Le spectacle a reçu le label « Olympiade Culturelle Paris 2024 ».

 

Représentation au Petit Montparnasse, Mercredi, jeudi, vendredi & samedi à 21h

Tarifs :   38 € / 22 €  / 10 € pour les moins de 26 ans (par téléphone ou au guichet)

 

La bande annonce :

 

Entretien avec Stéphane Chevallier, nouvel éditeur vidéo BUBBLEPOP

 

Ce n’est pas tous les jours que le petit monde des éditeurs vidéo s’agrandit. On le sait la majorité des titres sont détenus par des ‘majors’ (Gaumont, Universal, Paramount, Warner et bien d’autres) et nombre d’entre eux se sont regroupés sous le label ESC, (ce que peu de personnes du grand public savent).

En parlant du marché de la vidéo, vous serez peut-être surpris que ce marché n’est pas en perte de vitesse, bien au contraire. Certes la VHS est morte, mais le DVD, et le BluRay se portent bien, et pour les aficionados, le HD (4K) se porte au mieux. Alors lorsqu’on nous annonce un nouvel éditeur, on a très vite envie de tout savoir, et une rencontre avec un des responsables s’avérait la meilleure manière d’entamer une nouvelle collaboration

Voilà qui est chose faite :

 

Et voilà donc les produits disponibles d’ici peu: