Théâtre

Rating:

Rire pendant 90 minutes quasiment sans s’arrêter, voilà ce que nous propose LA MOUSTACHE au Théâtre de la Gaîté Montparnasse!

Sylvain Sabourdin (Patrick Mille) est un homme discret, réservé, qui est gentil avec tout le monde et qui n’aime pas contrarier les gens. Il vit avec sa compagne (Pauline Lefevre), et ils acceptent un de ses amis (Fabrice Donnio) qui squatte chez eux depuis des lustres! Un drôle de concierge (Sacha Judaszko)  , homme à tout faire de l’immeuble passe son temps chez eux!
Aujourd’hui est un grand jour : il doit rencontrer son futur beau-père (Jean Benguigui), il doit passer un entretien d’embauche et doit prendre de grandes décisions. Mais alors qu’il se prépare et se rase avec un rasoir électrique, une panne d’électricité l’empêche de se raser complètement et le laisse avec une moustache… la moustache d’Hitler.

A partir de ce moment, donc quelques minutes après le début de la pièce, on enchaîne quiproquos, jeux de mots, situations incroyables et d’un burlesque total pour l’immense plaisir de la salle, qui est pliée en deux de rires. Il faut avouer que les situations, l’écriture et le jeu des comédiens qui s’en donnent à coeur joie, font que la pièce fonctionne au maximum.

Intile de dire que tous les comédiens sont au top, et que Jean Benguigui est parfait. Sacha Judaszko en fait des tonnes, et franchement on ne s’en lasse pas. A certains moments on a envie de crier: encore, tant c’est drôle. Mais les situations évoluent pour que le spectateur n’ait pas le temps de s’ennuyer. La pièce tourne à 100 à l heure, et la mise en scène de Jean-Luc Moreau est d’une efficacité à toute épreuve. Il faut bien avouer que les auteurs : Sacha Judaszko et Fabrice Donnio ont tout compris à l’écriture d’une comédie réussie!

Franchement, croyez moi sur parole quand je vous dit que c’est une soirée vraiment superbe que vous allez passer au théâtre de la Gaité Montparnasse, avec cette joyeuse bande de comédiens, et que vous aurez envie en sortant d’y envoyer tous vos amis, et même d’y retourner. C’est une heureuse surprise, ne manquez pas cette occasion de vous tordre de rires. Toutefois, ce spectacle n’est pas recommandé aux incontinents qui n’ont pas pris leurs précautions.

 

La Moustache, au Théâtre de la Gaité Montparnasse,

DU MARDI AU SAMEDI À 21H, LE SAMEDI ET LE DIMANCHE À 16H

TARIFS : DE 19€ À 41€ – LE SAMEDI SOIR : DE 19€ À 45€

LOC : 01 43 22 16 18

WWW.GAITE.FR

la bande annonce :

 

 

Rating:

Un comédien connu Philippe Torreton, un musicos ultra célèbre, Richard Kolinka ( ex TELEPHONE) et aux claviers :  Aristide Rosier…..c’est MEC !

Un concept curieux : déclamer des textes de chansons d’un auteur méconnu, Allain Leprest, avec deux musiciens, qui ne jouent pas la musique que ce chanteur avait écrite sur ces paroles. Et pourtant ça fonctionne, et même très bien, servi par cet excellent comédien, détenteur d’un César en 1997 pour Capitaine Conan, Philippe Torreton. Un spectacle qui mérite le détour et surtout une explication, alors quoi de mieux que de demander à Monsieur Philippe Torreton :

 

MEC ! c’est au théâtre Edouard VII jusqu’au 21 Octobre, du jeudi au samedi à 19h00, et le dimanche à 18h00.

Locations: sur place, 10 place Edouard VII , ou par téléphone : 01 47 42 59 92

les lundis de 11h00 à 18h00, du mardi au samedi : de 11h00 à 21h00 et le dimanche de 11h00 à 18h00

 

Rating:

Le livre Misery est un des meilleurs de Stephen King, et l’adaptation cinéma avec Kathy Bates, géniale. Voilà la version théâtre!

 

Paul, qui pourrait être  Stephen King, est un écrivain à gros tirage. Il  souhaite changer de registre, de style et mettre un terme à l’interminable saga à laquelle il doit son succès. Pour cela il vient de terminer un roman où il fait mourir son héroïne : Misery. Mais un accident de voiture le met à la merci d’Annie, une lectrice psychopathe qui l’admire plus que tout. Elle commence par le sauver, le recueillir, le soigner mais bientôt elle le séquestre avec une rare cruauté et l’oblige à écrire son prochain roman comme elle l’entend.

Ils sont deux sur scène, dans cette pièce tirée du chef d’oeuvre de Stephen King, adaptée en français par Viktor Lazlo d’après William Goldman qui en a écrit le texte pour le théâtre , et mis en scène par Daniel Benoin. En plus des deux comédiens, des projections sur écran montrent la cruauté d’Annie, la fan N° 1 de l’écrivain, et sa folie quasi meurtrière. On est dans le grand art sur la scène du Théâtre Hébertot avec ces 2 comédiens absolument fantastique (Stephen King / Fantastique….mmm on se répète!). Myriam Boyer est fabuleuse dans le rôle de cette folle psychopathe, alors que Francis Lombrail se doit de jouer un mec blessé (au sens propre autant qu’au figuré) On frémit, on sourit, on est captivé de la première à la dernière seconde, preuve que le théâtre peut encore surprendre avec de grands textes, de bonnes mises en scènes, et surtout d’excellents acteurs.

TOUTES LES PHOTOS : @ Nathalie Sternalsky 

Décidément le Théâtre Hébertot a une programmation de choc, avec aussi les  »12 hommes en colère »  qui se joue à 19h00

Misery au Théâtre Hébertot

du mardi au samedi à 21h00 et matinée dimanche à 15h00

PAR TÉLÉPHONE

01 43 87 23 23

Du lundi au samedi de 11h à 18h

et le dimanche (quand il y a un spectacle) de 11h à 14h

AU GUICHET DU THÉÂTRE

78 bis boulevard des Batignolles – 75017 Paris
Comment venir ?

Du lundi au samedi de 11h à 18h

 

via internet :

Prix des places de 15 à 55 € ( tarifs réduits : voir directement avec le théâtre)

la bande annonce :

 

Il y a quelques jours, je vous parlais d’un coup de poing  quand j’avais vu VIPERE AU POING au Théâtre du Ranelagh. Il n’en fallait pas plus pour que je rencontre un excellent comédien dans un seul en scène qui mérite le détour :

Voici donc Aurélien Houver  qui a co adapté et qui est seul sur la scène du Théâtre.

vous voulez re-lire l’article sur la pièce : c’est ici :

VIPERE AU POING, à découvrir pour un comédien vraiment hors pair : Aurélien Houver, c’est au Théâtre du Ranelagh

Une série de portraits distrayants entre un jeune homme et une femme plus mature!

Ils sont 2 sur scène,  Dominique FROT et Florian HESSIQUE qui se glissent dans la peau de différents personnages contemporains tout au long d’un spectacle découpé en sketchs. Ainsi, pendant plus d’une heure, ces différents personnages mettent le doigt, avec humour, sur les absurdités et aberrations du quotidien de Monsieur et Madame tout le monde. De la case « Pôle emploi » en passant par les services de « la poste » ou les petits arrangements entre amis de la politique, ce duo cynique à l’humour grinçant revisite les travers de la société… Ecrit par Florian Hessique, ce ‘BONHEUR AU QUOTIDIEN’ montre que ce jeune homme sait écrire, avec un peu d’acide dans la plume, et qu’il est aussi bon comédien. La mise en scène de Michel Alexandre donne son rythme à ces diverses situations, dont la première dans une mairie d’une petite ville de province ne manque pas de piquant.

Florian Hessique est à la fois acteur, réalisateur et scénariste . Il effectue ses débuts à la télévision en 2010 avec sa toute première création, à savoir la série  « AUTOROUTE EXPRESS ». En plus d’être actif derrière la caméra, le jeune homme y interprète Sébastien, un pompiste dragueur et incompétent. Après trois saisons du programme, il  réalise et scénarise un long-métrage « LE CASSE DES CASSES » sorti en 2014, au sein duquel il campe également l’un des rôles titre. Au casting, : entre autres Philippe Vasseur et Jean-Pierre Castaldi. Il contribue également à la fiction de TF1 « NOS CHERS VOISINS » en prêtant ses traits au fils de Jean-Pierre Lambert, incarné par Martin Lamotte. Dès 2015, les téléspectateurs peuvent reconnaître le comédien sur MyTF1 VoD ET MCE TV dans « A VOTRE SERVICE », centrée sur le quotidien d’un jeune chauffeur de VTC .

Rencontre avec cet homme aux multiples talents :

le teaser:

https://vimeo.com/287878107

 

LE BONHEUR AU QUOTIDIEN c’est au  THEATRE DAUNOU Du mardi au samedi à 19h00.

Réservations au 01 42 61 69 14 et sur : http://www.theatre-daunou.com

Prix des places de 20 à 35€

Rating:

Le roman ultra célèbre d’Hervé Bazin, a  été adapté pour la télévision ( qui ne se souvient d’Alice Sapritch en 1971?), puis au cinéma en 2004 avec Catherine Frot et Jacques Villeret, voici  la version théâtre, pour la première fois, et avec un seul en scène.

Seul sur scène, Jean, aussi appelé Brasse Bouillon, nous conte sa vie de famille, avec ses frères, son père et surtout sa mère une femme cruelle, qui les déteste tous. Elle est tellement méchante avec eux qu’ils l’ont surnommée Folcoche. On est donc très loin des relations idylliques parents enfants. Ici c’est la haine qui domine, et que nous raconte Jean (Aurélien Houver). Le roman d’Hervé Bazin est adapté par Victoria Ribeiro et Aurélien Houver, et la mise en scène est assurée par Victoria Houver. Un décor sobre, un grand arbre, ou une partie seulement de cet arbre, et en 80 minutes on est pris aux tripes par ce texte, par cette histoire. Le public est sous le charme, parents comme enfants, qui étaient en nombre dans la salle et qui visiblement écoutaient ce texte.

Il faut dire qu’Aurélien Hoover se donne à fond dans ce rôle difficile, qui doit mettre en scène différents membres de la famille, et toujours avec sa voix. Une vraie performance qui mérite force louanges. J’y allais sans à priori, dans l’espoir de découvrir cette adaptation. Mais quelle heureuse surprise, une vraie claque!  Certes, on ne se tord pas de rire et on le savait avant d’entrer dans la salle , mais on ne voit pas le temps passer, et de nos jours on ne peut pas dire que cela nous arrive tous les soirs. Comme quoi le théâtre peut toujours surprendre, même avec des sujets aussi connus que celui de Vipère au poing.

 

Lorsque j’ai écrit qu’il y avait des enfants dans la salle, cela ne signifie pas pour autant que c’est un moment de théâtre réserve aux scolaires. Le public allait vraiment de 7 à 77 ans, peut-être même plus. mes voisins, étaient des personnes âgées qui ont adoré,  Je crois que c’était l’unanimité dans la salle du Théâtre du Ranelagh.

 

TOUTES LES PHOTOS : @ Ben Dumas, tous droits réservés

Vipère au Poing, d’Hervé Bazin au Théâtre du Ranelagh

THÉÂTRE LE RANELAGH – 5, rue des Vignes – 75016 Paris

Jusqu’au 13 JANVIER 2019
du mercredi au samedi à 19h et le dimanche à 15h

RENSEIGNEMENTS / RÉSERVATION
Le Ranelagh 01 42 88 64 44
Réservation en ligne www.theatre-ranelagh.com

TARIFS
32€ 1ère catégorie
28€ 2ème catégorie
10€ jeune de moins de 26 ans

 

la bande annonce :

 

 

Rating:

Eric Emmanuel Schmitt est certainement le plus grand auteur dramatique actuel, il a écrit nombre de pièces, adapté bien d’autres et actuellement il se produit sur la scène de son théâtre, le Rive Gauche, dans Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran.

Dans le Paris des années 60, Momo, 12 ans trouve l’amitié en la personne de Monsieur Ibrahim, le voisin épicier arabe de la rue Bleue à qui il chaparde de quoi se sustenter. La mère est décédée, le père absent, qui part un jour pour ne plus jamais revenir. Les liens entre le vieux monsieur et le jeune garçon  au franc parler vont être très profond, et Eric Emmanuel Schmitt est sur la scène, il EST les 2 personnages, et force est de reconnaître qu’on est totalement sous le charme de ses mots, de cette histoire vraiment extraordinaire. C’est avec des pièces comme celle-là qu’on a envie d’aller au théâtre, envie d’y retourner, et c’est le génie de cet auteur de nous entraîner dans son sillon. Rarement un seul en scène m’a autant ému!  Mis en scène par Anne Bourgeois, ce Monsieur Ibrahim est une magnifique leçon d’humanité, le texte devrait être joué dans le scolaire!

Rencontre avec un magicien des mots, un géant du théâtre, et pourtant un MONSIEUR simple, qui ne manque pas d’humour. Une rencontre inoubliable:

 

Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran:

Au théâtre Rive Gauche,

Du mercredi au samedis à 21h – Matinées les dimanches à 15h (relâche exceptionnelle le samedi 29 septembre 2018) Durée : 1h30

Locations : .01 43 35 32 31
Prix des places 26 et 35€

la bande annonce :

 

 

 

Il y a quelques jours, nous vous avions parlé de la pièce Françoise par Sagan, qui se joue au Lucernaire:

Voici, en exclusivité pour onsortoupas.fr, un entretien avec l’auteure, la comédienne qui a pris les traits, et les intonations de Françoise Sagan : Caroline Loeb:

 

 

FRANÇOISE PAR SAGAN, Caroline Loeb dans la peau d’une grande auteure littéraire

 

Entretien réalisé par Guy Courthéoux

Rating:

Plaidoiries, le titre résume tout.

C’est un seul en scène avec Richard Berry, qui nous fait revivre les plaidoiries de 5 grands procès qui ont marqué les annales des tribunaux. Le texte est tiré du livre : Les grandes plaidoiries des ténors du barreau , de Mathieu Aron.

Premier procès, un infanticide de Véronique Courjault, qui avait tué 3 de ses bébés, par ‘simple’ déni de grossesse. La défense était alors assurée par Maître Henri Leclerc en 2006. .Seconde plaidoirie, celle de Michel Zaoui pour le procès de Maurice Papon qui revisite des heures vraiment sombre de l’histoire de France, pour un procès qui a eu lieu à la fin des années 1990. Troisième procès, peut-être le plus célèbre, celui de Christian Ranucci, défendu alors par Paul Lombard, et le procès est vraiment retentissant de par le jugement rendu. Quatrième procès, beaucoup plus récent, celui défendu par Maître Jean-Pierre Mignard,  qui se déroulait à Clichy sous Bois où 2 jeunes adolescents, Zyed Benna et Bouna Traoré, avaient trouvé la mort dans une centrale EDF. On termine par une des plus émouvantes, défendue par Maître Gisèle Halimi, qui défendait l’avortement.

 

Dans une mise en scène à la fois simple et ultra efficace signée Eric Théobald, Richard Berry, nous donne toute la mesure de son talent. On boit ses mots, on admire ses gestes. Il n’en fait jamais trop. Il se contente d’être un de ces 5 grands du barreau et défend la vérité. Je suis reste abasourdi de ce travail des mots, et très étonné quand j’ai vu que le spectacle se terminait. J’avais l’impression d’être dans un Tribunal, être un des jurés peut-être et chercher systématiquement quelle aurait été ma décision. Plaidoiries s’avère un des grands moments de cette rentrée théâtrale, qui mérite les applaudissements nourris de la salle qui a fait une véritable ovation, à MONSIEUR Richard Berry, ou dois-je dire Maître Richard Berry.

Plaidoiries, c’est au Théâtre Antoine, jusqu’au 17 Novembre, et c’est à 19h00. du mercredi au samedi.

Prix des places : de 20 à 50€ (carré or)

Le théâtre Antoine, c’est au 14 Boulevard de Strasbourg Paris 10ème

réservations : 01 42 08 77 71 et sur internet : www.theatre-antoine.com

 

Rating:

Caroline Loeb revient avec la pièce qui a connu un franc succès, nommée aux Molières, Françoise par Sagan, et cette fois c’est au Lucernaire.

Qui mieux que Caroline Loeb, que beaucoup ont connu avec un énorme succès discographique dans les années 80, C’est La Ouate, qui, mieux qu’elle peut nous expliquer comment est née cette rencontre avec Sagan :

 » Ma rencontre avec ces interviews de Sagan publiées chez Stock sous le titre de Je ne renie rien, a tout d’un coup de foudre. J’ai d’abord vu le livre chez Alex Lutz, alors que nous travaillions encore sur le spectacle autour de George Sand. Je ne connaissais de Sagan que le personnage, quelques moments de télévision mémorables, mais quand j’ai ouvert ce livre, une compilation d’interviews qu’elle a données entre 1954 et 1993, j’ai été bouleversée par l’honnêteté, la drôlerie, l’intelligence et l’humour de l’auteure de Bonjour Tristesse. J’y ai trouvé énormément de choses qui me touchaient profondément, et qui me semblaient d’une pertinence, d’une force et d’une évidence absolues. »

Elle a présenté alors son projet à son ami Alex Lutz :

« Quand Caroline Loeb m’a fait part de son projet de mettre sur scène les textes de Je ne renie rien, j’ai tout de suite eu envie de la mettre en scène. J’ai voulu que l’on retrouve la silhouette de Sagan, sa mèche blonde, derrière laquelle elle se cachait, ses épaules rentrées, cette attitude à la fois timide et frondeuse. Mais Sagan, c’était aussi une voix. Il a fallu, sans jamais chercher à l’imiter, trouver un phrasé, une musique dans la voix qui évoque cette façon tellement particulière qu’elle avait de parler.  Donner corps à ce phrasé curieusement rythmé, rapide, boulé, une forme de bouderie presque enfantine parfois dans le ton, une manière mélodique de rendre les propos imparables et évidents »

C’est donc ainsi qu’est né ce spectacle, qui est un véritable bonheur, et une belle performance de Caroline Loeb. On ne voit pas Loeb, on voit, on entend, on écoute Sagan. Il y a beaucoup d’émotions, signe qui ne trompe pas. Le public est conquis dès les premières minutes et s’il écoute, il sait réagir à tout ce qui se déroule devant ses yeux dans la petite salle du Paradis du Lucernaire. Quand je l’ai vu la salle était pleine, et , comme toujours, j’écoute les commentaires à la sortie. Je n’entendais que des éloges, avec quelques superlatifs amplement mérités. Ce seul(e) en scène est un excellent moment de théâtre et de réflexion . On a l’impression que Madame Sagan est revenue à la vie pour un peu plus d’une heure, de l’entrée en scène jusqu’aux saluts où Caroline Loeb redevient Caroline Loeb.

Françoise par Sagan, c’est au Lucernaire jusqu’au 10 Novembre à 19h00, du mardi au samedi

RELÂCHES EXCEPTIONNELLES LES 22 ET 28 SEPTEMBRE 16, 17 et 18 OCTOBRE 2018.

Réservations :

• sur internet: www.lucernaire.fr
• par téléphone au 01 45 44 57 34
• sur place aux horaires d’ouvertures

tarifs :  SEMAINE : 26 € – W – E : 28 € / + DE  65 A N S : 22 € / ÉTUDIANT, DEMANDEUR D’EMPLOI , RSA , INTERMITTENT : 18 € / – DE  26 A N S : 10 €

la bande annonce :

ARVE Error: Mode: lazyload not available (ARVE Pro not active?), switching to normal mode