Marlène Dietrich, une icône que les plus jeunes ne connaissent pas. L’occasion de la découvrir grâce à Cyrielle Clair sur la scène du Théâtre de la Tour Eiffel.
Certes les plus jeunes ne connaissent pas vraiment cette actrice, chanteuse, qui fut une égérie du cinéma et qui tourna sous la direction des plus grands: Joseph Von Sternberg, Maurice Tourneur, Rouben Mamoulian, Henry Hathaway, Ernst Lubitsch, George Marshall, Raoul Walsh, René Clair, Billy Wilder, Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Orson Wells, Stanley Kramer. Sans oublier ses partenaires : Gary Cooper, James Stewart, John Wayne, Edward G. Robinson, Jean Gabin, Tyrone Power, Charlton Heston, Janet Leigh, Spencer Tracy, David Bowie…. Elle s’engage contre le nazisme dès les années 30, et participe activement entre 1944 et 1945 à la seconde guerre mondiale, rendant célèbre la chanson Lily Marleen, et obtenant en 1947 la plus haute distinction militaire américaine que peut recevoir un civil : The Medal of Freedom. Née en 1901, elle débute en 1920. Elle s’est éteinte en mai 1992 à Paris.
Quelques photos de Marlène Dietrich :
Ecoutons Cyrielle Clair, qui a co-écrit et adapté ce spectacle avec Gérard Chambre: elle sera Marlene sur scène
voici quelques extraits filmés lors des répétitions au Théâtre de la Tour Eiffel;
photos Cyrielle Clair by Guy Courthéoux / onsortoupas.fr
Et quelques extraits de chansons interprétées par Marlène Dietrich:
48 ans avant il y avait un film, signé Jacques Demy, tiré du conte de Charles Perrault…en voici la version scénique:
On ne raconte pas le conte de Perrault, mais tout le monde se souvient du film de Demy qui réunissait Catherine Deneuve, Jean Marais et Jacques Perrin, avec des musiques et des chansons de Michel Legrand. Impossible d’oublier ces airs, qui depuis sont devenus cultes, et surtout totalement impossible de ne pas se souvenir de ces robes incroyables. On pourrait penser que rien ne ferait oublier le film, mais c’est sans compter sur des talents réunis. Tout d’abord le directeur de théâtre Marigny qui a rouvert ses portes récemment : Monsieur Jean-Luc Choplin. Le créateur de la musique, Michel Legrand, a adapté ses chansons du film vers la scène. La mise en scène mérite bien des éloges (merci Emilio Sagi); les costumes, et notamment ceux de l’héroïne peuvent faire oublier ceux du film. Merci cette fois à toute l’équipe de création : Daniel Bianco, Pepa Ojanguren, Nuria Castejon.
Mais les yeux se tournent surtout vers la belle héroïne : Marie Oppert, que l’on retrouve devant notre caméra, en salle de maquillage et de coiffure:
Vous aussi êtes tombé sous son charme? rien de plus normal. Non seulement elle est charmante, gentille dans le meilleur sens du terme, elle a une voix et une prestance sur scène. ce n’est pas de la graine de star, non, c’est une jeune star de 21 ans, qui ne se la joue pas. Elle est Peau d’âne, mais c’est elle qui chante, qui joue la comédie, et qui éclipse quasiment tous les autres protagonistes, sans pour autant chercher cela. Profitez des dernières représentations, essayez de trouver encore quelques places, cette féerie vous enchantera dès les premières minutes, avec l’apparition de Claire Chazal dans le rôle de celle qui raconte l’histoire, et toute la troupe : Michael Denart, Emma Kate Nelson, Olivier Fredj, Marie Agnès Gillot, Christine Gagneux, Franck Lopez.
TOUTES LES PHOTOS / @ JULIEN BENHAMOU
Peau d’âne, c’est au Théâtre Marigny, jusqu’au 17 Février
Du mardi au samedi : soirée à 20h et en matinée à 15h le samedi et à 16h le dimanche
Les Moines de Shaolin reviennent avec un nouveau spectacle pour la saison 2019.
Que nous offrent ces moines de Shaolin? un spectacle entre le kung fu et la danse, avec des ‘numéros’ pour le moins époustouflants que le public applaudit comme il se doit. Difficile de dévoiler les détails de ce que vous pourrez voir avec ces 12 moines et leur ‘instructeur’ sur scène. Ils sautent, virevoltent, et montrent la force de résistance à certaines douleurs. Tout cela grâce au Kung Fu. Qu’est-ce exactement que le Kung Fu? C’est l’ensemble des arts martiaux chinois qui intègre trois aspects fondamentaux : le physique, le mental et le spirituel. Il est à l’origine de la plupart des arts martiaux que nous connaissons aujourd’hui. Berceau des arts martiaux, la ville de Shaolin et son célèbre monastère se situe dans la province du Henan en Chine centrale. Elle concentre aujourd’hui les plus grands maîtres du Kung-fu.
La tradition relate qu’au VIème siècle, le moine indien Bodhidharma, fondateur en Chine du bouddhisme de la secte Chan, aurait rendu visite aux moines du monastère Shaolin. Vivant alors dans la débauche ces derniers auraient refusé de le laisser entrer. Bodhidharma se serait alors assis en tailleur devant le monastère et y serait resté à méditer pendant neuf années. Les moines du monastère auraient alors accepté de l’accueillir et de recevoir son enseignement, composé à la fois d’éléments spirituels et de technique martiales. Il leur enseigna, en plus du Ch’an, des techniques de renforcement qu’il avait lui-même appris dans sa jeunesse, étant précédemment, dans sa vie laïque, prince de la caste des guerriers. Ces techniques, découlaient directement de pratiques guerrières visant à renforcer le corps en alliant la respiration à des mouvements (le Qi gong), mais dans une optique de santé et non de recherche martiale. Les moines de Shaolin, rompus aussi bien aux techniques de méditation qu’aux techniques martiales, ont acquis une solide réputation de combattants, notamment au bâton.
Xavier Garnault, producteur, à la tête de You Prod, a débuté sa carrière en tant que comédien . Avec son professeur Michel Galabru, il crée sa première société de production « Les Tournées Galabru », pour produire La Femme Du Boulanger. Depuis 1997, Xavier Garnault a produit les plus grands artistes : Ennio Morricone dans toute l’Europe de 2000 à 2005 et notamment son premier concert symphonique avec des chœurs polyphoniques; mais aussi Michel Legrand dans les plus grandes salles du monde, ainsi que Maurice Jarre , Steven Seagal et Manitas de Plata. C’est lui qui produit les Moines de Shaolin depuis plus de 15 ans, dont les tournées ont connu succès partout dans le monde.
Comédienne adorée des français, auteur de talent, Anny Duperey revient pour quelques jours sur la scène du Théâtre Edouard VII
Ce n’est pas vraiment un seul(e) en scène, vu qu’elle est accompagnée par Simon Mimoun au violon, ce n’est pas vraiment une lecture de son livre Les Chats du Hasard, parce que cette comédienne adorable vit son histoire, nous captive, joue, virevolte, devant une salle subjuguée. Quel talent! que de bonheur dans cette belle salle, la mise en scène est parfaite, signée Ninon Brétecher ! On pourrait rester des heures à l’écouter, à la regarder, et plus particulièrement si on a un animal à 4 pattes, félin si possible. On se sent concernés, on écoute encore plus attentivement.
Ce ne fut pas ma première rencontre avec cette immense comédienne, nous nous étions rencontrés dans un Festival de cinéma dans les sommets d’Avoriaz, il y a bien des années. Mais le plaisir de l’interviewer est resté intact :
Profitez des dernières représentations avant la fin de l’année, ne vous laissez pas immobiliser par des gilets quelque soit leur couleur. Venez passer un pur moment de délices .
Les Chats de Hasard, c’est au théâtre Edouard VII, 10 place Edouard VII (tout proche de l’Olympia)
Du jeudi au samedi à 19h00 et les dimanches à 18h00, jusqu’au 30 Décembre
Touche à tout du spectacle, de la radio, Jean François Derec arrive sur la scène du Petit Montparnasse avec l’adaptation de son roman paru chez Denoël : Le Jour où j’ai appris que j’étais Juif.
L’action se passe à Grenoble. Derec 10 ans. Christine, 11 ans, elle propose de montrer ses seins si lui baisse son pantalon. Il est timide et décline la proposition. Elle rétorque : « Je sais pourquoi tu ne veux pas me le montrer. Parce que tu es juif et que tu as le zizi coupé en deux ! » Le ciel lui tombe sur la tête. Sa mère était-elle au courant qu’elle avait mis au monde un enfant juif ? Comment arrêter d’être juif et devenir un vrai Grenoblois comme tout le monde ?
Jean François Derec en parle lui-même: « Il s’agit de l’adaptation au théâtre de mon roman autobiographique éponyme paru chez Denoël. C’est l’histoire d’un petit garçon qui, dans les années 60, découvre qu’il est Juif, alors que ses parents, survivants juifs polonais, ont déployé une énergie surhumaine pour le lui cacher. Et comment il met 40 ans à régler ce petit problème. C’est l’histoire d’une mère juive qui, toute sa vie, poursuit un rêve : Tout oublier, tirer un trait sur son passé, devenir une vraie Française, encore plus française que les Françaises, c’est-à-dire… Grenobloise. Le devoir de mémoire ? De la rigolade. Pour elle, c’était plutôt le devoir du trou de mémoire qui s’imposait. C’est l’histoire d’un futur comique qui apprend l’humour par son père. Et l’angoisse par sa mère »
Mais une rencontre avec ce Monsieur s’imposait, après avoir vu son spectacle lis en scène avec brio par Georges Lavaudant, un spectacle émouvant et drôle, où il ne mâche pas ses mots.
Voici cette rencontre filmée:
Jean-François Derec a débuté dans les années 68, en se lançant dans le café théâtre qui vit ses premiers jours. À la télévision on le remarque dans le « Théâtre de Bouvard » en 82, puis dans « La Classe , et plus tard, avec Laurent Ruquier, (également à la radio). Sur scène, il invente son personnage de Gérard Bouchard, l’homme au bonnet rouge. Au théâtre il joue notamment dans : « Nuit d’ivresse » , » La boutique au coin de la rue », «Espèces menacées» « La presse est unanime » de L. Ruquier, parmi d’autres. Il joue aussi dans une cinquantaine de films dont « Marche à l’ombre », « Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes » Il a écrit plusieurs romans, notamment «Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes »(J-C. Lattès) et « Le jour où j’ai appris que j’étais juif »
LE JOUR Où J’AI APPRIS QUE J’éTAIS JUIF, au Petit Montparnasse, du mardi au samedi à 21h00, et le dimanche à 15h00
Relâches exceptionnels les 25 décembre & 1er janvier Représentation supplémentaire le lundi 31 décembre à 21h
Une comédie ballet lyrique, drôle d’idée, mais qui va certainement plaire à un large public.
Tout en respectant les textes de Molière, Nicolas Rigas a eu l’idée d’en faire un spectacle à la fois nouveau ( because Offenbach, mais classique ( la comédie ballet a connu ses heures de gloire du temps de Molière). Intrigué, j’ai voulu rencontrer celui qui a mis en scène ce spectacle, Nicolas Rigas, qui est aussi sur scène…
Rencontre avec Nicolas Rigas :
30 représentations exceptionnelles au Théâtre Déjazet, du 1er au 31 décembre
du mardi au samedi à 20h45, matinées le samedi à 16h00
Bernadette de Lourdes, un spectacle musical, qui sera représenté dans la ville de Lourdes à partir de juillet prochain!
Chose rare et notable, si le spectacle a de fortes chances d’être présenté dans d’autres pays au monde, la France devra se contenter de la ville de Lourdes, c’est ce que nous confie, lors d’un entretien exclusif, un des producteurs, Roberto Ciurleo, qui a déjà monté le Roi Soleil, puis Robin Des Bois, les 3 Mousquetaires et enfin Saturday Night Fever, avant ce spectacle dont on nous a proposé 11 extraits lors d’une présentation presse devant un parterre d’environ 400 personnes au coeur de l’Église du Val de Grâce à Paris dans le 5ème.:
Un premier extrait, interprété par Eyma : AQUERO.
Ayma, que nous avons rencontrée pour un petit entretien:
autre titre : Allez Dire
Autre rencontre, cette fois avec un compositeur de génie: Grégoire:
Grégoire qui a composé tous les titres de ce musical dont celui qui suit : Madame
Autre titre : Sans un Père
Autre entretien avec deux garçons, dont la voix n’a d’égale que leur humour : David Ban et Gregory Deck
Bernadette de Lourdes ce sera à partir du 1er Juiillet 2019 à L’espace Robert Hossein de Lourdes,
Places en individuel de 25 € (mobilité réduite) à 69 €, accompagnant et enfants 52€
TOUTES LES PHOTOS & VIDEOS @ Guy Courthéoux / Onsortoupas.fr
Après le Théâtre du Marais et la Comédie de Paris, Tristan Lopin s’installe au Théâtre Trévise avec son spectacle culte Dépendance Affective.
Fraîchement largué – ça fait 8 ans quand même – Tristan Lopin nous conte ses déboires amoureux. Pour lui la rupture est la meilleure manière de prendre un nouveau départ… Mais pas facile de rêver entre une copine totalement dépressive, des potes over-en couple dans l’over-construction et une tante raciste et homophobe. Avec un regard acéré, il donne son avis sur une société qui voudrait tous nous faire rentrer dans le moule. Tristan cultive sa différence et continue de rêver secrètement au prince charmant, mais un prince qui répondrait rapidement aux textos, cette attente interminable, c’est vraiment insupportable !
Toutes les photos @ Thomas Braut
Un spectacle chaud et haut en couleurs qui débute avec distribution de bonbons et sucettes dans la salle qui adore ça. Le reste, je vous laisse le découvrir. Comme tout bon humoriste, Tristan choisit une personne dans la salle qu’il ‘draguera’ ouvertement, mais chaleureusement avec tout l’humour qu’il faut pour que la salle l’approuve.
Tristan Lopin est déjà célèbre avec son spectacle qui poursuit sa carrière, et une rencontre avec ce grand garçon très sympathique s’imposait!
voilà qui est fait :
Si vous ne pouvez pas voir cet entretien avec le son sur votre smartphone, essayez le lien direct : https://youtu.be/PlUvmIx2ROI
Casse Noisette, de Tchaïkovsky , dans une version toute nouvelle du ballet, par le Ballet National de Chine
Le Ballet National de Chine s’était déjà produit à Paris au Palais Garnier en 2009, puis au Chatelet en 2013, sous la direction artistique de Feng Ying et revient pour nous présenter une version toute neuve et inédite d’un des ballets les plus célèbres du répertoire : Casse Noisette, de Piotr IIyich Tchaïkovsky. Il y a nombre de représentations du Casse Noisette, dont les plus célèbres sont celle de Vassili Vainonen, ou de Rudolph Noureïev ou Barichnikov. Sans oublier la notoriété due à Walt Disney dans son Fantasia de 1940, où seuls des extraits furent mis à l’écran.
Sur la grande scène de la Seine Musicale, vous serez nombreux à vous émerveiller avec ce ballet venu de Chine, avec l’orchestre Pasdeloup, avec 60 musiciens et plus de 70 danseurs et même 13 enfants de la Maîtrise des Hauts de Seine. Vous allez vous plonger avec délice dans la culture chinoise, tout en conservant l’idée originale de l’oeuvre, avec nombre d’éléments issus du folklore de Chine, comme les costumes, les peintures, les décors, les monstres et surtout les grues qui sont des oiseaux très populaire dans ce pays où ils ont la signification de longévité et sagesse.
Ceux qui ont vu le Casse Noisette dans une autre version seront peut-être surpris, mais tomberont vite sous le charme de cette troupe de grande classe, sous la direction de Feng Ying, qui est directrice et directrice artistique de ce corps de ballet. Impossible de vous citer tous les danseurs et danseuses, qui jouent tous en alternance, en voici toutefois quelques uns : Cao Shusi, Qiu Yunting, Wang Yo, Xy Yan, Ma Xiaodong, Run Ruichen, , Wu Sicong, Li Wentao…
Images populaires hautes en couleurs, décors de rêve, plus la présence de l’orchestre dans la fosse, tout ici est réuni pour passer un excellent moment
Casse Noisette, à la Seine Musicale, jusqu’au 4 Novembre : à 20h30 les mardi et vendredi avec matinées samedi à 16h00 et dimanche à 16h00
Le retour du Grand Guignol dans un endroit qui nous réserve souvent de bonnes surprises : Le Théâtre Tristan Bernard.
Le Grand Guignol, qui était un théâtre parisien pour faire peur, qui n’avait pas peur de trancher des membres humains, couper des têtes, a fermé ses portes depuis belle lurette. Qu’importe? Sébastien Azzopardi et Sacha Danino le font revivre à leur manière…. avec qualité au Théâtre Tristan Bernard avec Chapitre XIII. Vous vous retrouvez dans une chambre d’un monastère où un écrivain, Franz Muller, est en train de peaufiner son nouveau roman. Jusque là, tout va bien. Sauf qu’au même moment un moine se fait trucider dans les bois voisins et que le meurtre ressemble comme une goutte d’eau au dernier chapitre qu’il vient de décrire dans son roman. Coïncidence? Meurtre maquillé pour accuser qui? Nous rentrons alors dans un suspense policier avec plus d’un protagoniste. les 6 acteurs ( THOMAS RONZEAU, TADRINA HOCKING, PATRICE LATRONCHE, ALEXANDRE JÉRÔME, MARICA SOYER, PHILIPPE DE MONTS) ont souvent plusieurs rôles, vu que les crimes se poursuivent, tous bien sanglants. Les habitués des films d’horreur ou d’épouvante gagnent un petit plus, surtout s’ils se trouvent dans les premiers rangs, puisque le sang gicle de tous les côtés, et plus particulièrement des cadavres qui arrivent sur la scène. Mais, si les tout petits ne sont pas dans la salle, les ados et les adultes se réjouissent de toutes les péripéties, surtout si tout cela est du meilleur effet macabre. Tête tranchée, doigts coupés, éviscération, vous en aurez plein la vue, et si vous êtes dans les premiers rangs, les risques d’aspersion existent. Mais ne vous affolez pas, le sang est incolore, mais la sensation quand on en reçoit provoque des élans d’hilarité. Quel bonheur pour les spectateurs, qui sont à la fois captivés par la recherche de l’assassin, qui est, ….suspense…Dzkdjgbzreliuvbd (je n’allais quand même pas vous donner d’indice, ce serait dommage. De toutes façons vous allez bien le découvrir vu que nombre de protagonistes passent de vie à trépas tout au long de la pièce.
Je n’avais pas connu le Grand Guignol, dont les spectacles, ai-je compris, ne brillaient pas par leur qualité. Ce qui n’est pas le cas ici. Les deux auteurs nous ont concocté un cocktail explosif ( non, pas de risque d’explosion dans la salle!!) d’une rare intelligence, et surtout avec une dose d’humour qui fait qu’on ressort de la salle avec le sourire.Sébastien Azzopardi a trouvé ce qu’il fallait pour que la mise en scène soit totalement efficace. A aucun moment nous n’avons envie de sortir. L’histoire est passionnante, les acteurs excellents, on passe une superbe soirée dans ce chapitre XIII. Pourquoi ce titre? Réponse au théâtre!! il ne s’agit pas du remake d’un jeu vidéo!
Toutes les photos : @CHAPITREXIII_EmilieBrouchon
Chapitre XIII, au Théâtre Tristan Bernard
Du mardi au vendredi à 21h00 et le samedi à 16h00 et 21h00. Je ne conseillerai pas ce spectacle aux moins de 12 ans, mais les ados plus âgés et les adultes de tous poils devraient se régaler
Une offre spéciale est en cours actuellement : 1 place achetée plein tarif en 1ère catégorie ( achetée par téléphone uniquement) 1 place offerte, dans la limite des places disponibles. Attention cette offre n’est valable que mardi, jeudi et vendredi à 21h00 et samedi à 16h00