Théâtre

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C’était en Mai 2024 La Nouvelle Calédonie était peut-on dire à feu et à sang. L’archipel est ravagée par des émeutes extrêmement violentes. Une nuit un groupe de profs et de parents d’élèves érigent des barrages pour protéger leur collèges. On y retrouve Kevin, prof caldoche et loyaliste et Marguerite, prof kanak indépendantiste Le problème est qu’ils sont déboussolés, et qu’ils ne » savent pas s’ils auront la possibilité de sauver leur collège.

Sur ce canevas Jenny Briffa a écrit cette pièce à 2 personnages  interprétés par Laurence bolé et Stéphane Piochaud  dans une mise en scène particulièrement efficace signée Frédéric Andrau.

Rencontre avec le metteur en scène et les deux comédiens à l’issue de la représentation à La Manufacture Des Abbesses dans le 18ème.

 

les représentations :

jusqu’au 2 Novembre  à 21.00 du jeudi au samedi et dimanche à 17.00 à la Manufacture des Abbesses , 7 rue Véron 75018 Paris (métro: Abbesses ou Blanche)

réservations : 01 42 33 42 03

 

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Vous n’aurez pas ma haine c’est un roman signé Antoine Leiris, qui conte l’histoire du Bataclan, où il a perdu sa femme, et tout ce qui a suivi, où il doit s’occuper de leur bébé. De ce livre on a tiré un film il y a quelques années et le Théâtre La Bruyère nous en propose l’adaptation théâtrale, mis en scène par Olivier Desbordes. Et c’est l’interprétation plus que remarquable de Mickaël Winum qui va vous bouleverser. Et qui m’a bouleversé, comme vous allez pouvoir en juger dans l’entretien qu’il nous a accordé.

Le récit bouleversant qu’il a fait paraître après la mort de sa femme le 13 novembre 2015, lors de l’attentat du Bataclan l’auteur, Antoine Leiris, et ce après une lettre ouverte qu’il avait publiée sur Facebook le lendemain. Son seul moyen de faire face à la situation sera ce livre où il raconte son quotidien  avec son fils qui est alors âgé de quelques mis. Le livre avait été chaleureusement accueilli. Et c’est maintenant Mickaël Winum qui l’interprète sur scène après que Raphael Personnaz se soit déjà accaparé le rôle. Un rôle extrêmement difficile, et qui nous tient en haleine pendant toute la représentation

Rencontre avec Mickaël :

 

la bande annonce :

 

Durée

1h25

Horaires

Les lundis et mardis à 21h

Tarifs

De 20€ à 37€
– de 26 ans* : 12€

Théâtre La Bruyère

5 RUE LA BRUYÈRE, 75009 PARIS

ACCUEIL & BILLETTERIE :   01 48 74 76 99

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Un couple, Adam et Caroline (Isabelle Gélinas & Gérard Darmon) reçoit un de leurs amis très poche à dîner. Au départ de ce dernier Adam fait une crise de jalousie à sa femme et ils entendent du bruit dans leur maison. C’est Vincent, leur ami ( Stéphan Wojtowicz) qui a une panne de voiture. Je m’arrête là, pour ne pas dévoiler la suite.

La pièce signée Hadrien Raccah et mise en scène par Serge Postigo, ne peut pas se raconter plus avant. Il n’est pas possible d’en dire plus, même si le sujet semble bien mince raconté ainsi. Sachez toutefois que les rebondissements vont se succéder, et que les surprises ne manqueront pas. On est  loin toutefois des comédies légères ou de boulevard auquel le théâtre des Nouveautés nous avait habitués. Le talent des comédiens est indéniable qui vous fera passer une excellente soirée. Les applaudissements dans la salle ne manquent pas avant que le rideau ne tombe et c’est quand même là que l’on juge de la qualité (ou non) d’une pièce.

On ne peut pas dire que les comédiens jouent dans la tranquillité,  loin s’en faut, qui font tous une vraie performance, et ils savent nous amener là où l’auteur a choisi de nous diriger. On va de surprise en surprise sans que le tout soit surjoué, et c’est ainsi que je me suis laissé entraîner là où l’auteur avait envie que l’on aille, et la salle était unanime .

Crédit photos : Cyril Bruneau

 

Un château de cartes , c’au Théâtre des Nouveautés, 24 boulevard Poissonnière à Paris

représentations  du mardi au vendredi à 21.00, le samedi à 16h30 et 21.00, et le dimanche à 16.00.

Places de 15.00 à 65.00 euros

 

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Une adaptation bien réussie de PETITE MISERES DE LA VIE COINJUGALE de Balzac, adaptée pour la scène par Pierre-Olivier Mornas, qui se joue depuis le 28 Aooût au Poche Montparnasse.

La femme pleine de foi en celui qu’elle aime est une fantaisie de romancier. Pour toute Caroline qui n’est ni Hollandaise, ni Anglaise, ni Belge,ni d’aucun pays marécageux, l’amour est un prétexte à souffrance. Dès qu’un homme aimé s’absente, la Caroline imagine qu’il court à quelque bonheur tout prêt. Tous ceux qui possèdent des trésors craignent les voleurs.
Sous ce rapport, les femmes dotent les hommes de facultés surhumaines.  La peur agrandit tout, elle dilate les yeux, le cœur : elle rend une femme insensée.
Où va monsieur ? Que fait monsieur ? Pourquoi me quitte-t-il ? Pourquoi ne m’emmène-t-il pas ?
Ces quatre questions sont les quatre points cardinaux de la rose des soupçons, et régissent la mer orageuse des soliloques. »
Honoré de BALZAC

Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse

Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse

Une adaptation souriante de Pierre-Olivier Mornas, que l’on retrouve en compagnie d’Alice d’Arceaux, devant la caméra de Guy Courthéoux / onsortoupas.fr

Représentations du mardi au samedi à 19h00 et le dimanche à 15.00

75 blvd du Montparnasse paris

réservations : 01 45 44 50 21 ou www.thearedepoche-montparnasse.com

Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse
Adaptation et mise en scène de Pierre-Olivier Mornas avec Alice D’Arceaux et Pierre-Olivier Mornas

Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse
Adaptation et mise en scène de Pierre-Olivier Mornas avec Alice D’Arceaux et Pierre-Olivier Mornas

Petites misères de la vie conjugale de Balzac, filage Théâtre de Poche-Montparnasse
Adaptation et mise en scène de Pierre-Olivier Mornas avec Alice D’Arceaux et Pierre-Olivier Mornas

 

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Tout le monde a vu ou connait la fameuse trilogie marseillaise de Marcel Pagnol : Marius, Fanny et César qui a été présentée à de maintes reprises sur les chaines télé. Peu, en revanche ont vu cette trilogie au théâtre, alors voici une bonne idée de sortie, que de découvrir la première pièce à Paris, Marius, dans une mise en scène de Jean-Philippe Daguerre.

Comme tout le monde j’ai vu cette trilogie sur un téléviseur, et en noir et blanc, avec Raimu, Oriane Demazis et Pierre Fresnay dans les rôles principaux.  Sur le vieux port de Marseille,  Marius travaille au   BAR DE LA MARINE  dont son père César est le propriétaire mais il ne rêve que d’embarquer pour de lointaines destinations. Il est fou amoureux de Fanny, mais il a un rêve, celui de s’embarquer sur un bateau  pour parcourir le monde. Et c’est justement dans ce bar de la marine que les spectateurs parisiens sont conviés pour voir ce chef d’oeuvre qui est né en 1929.

J’ai été ébloui par ce que j’ai redécouvert au théâtre du Ranelagh dans le 16ème au point que j’ai eu envie de rencontrer 2 des comédiens :   Romain LAGARDE,  et Geoffrey PALISSE entourés  sur scène de : Juliette BEHAR, Grégoire BOURBIER, Teddy MELIS,  Christophe MIE, Solange MILHAUD.

En voici le résultat :

 

Marius au theâtre du Ranelagh, rue des Vignes  Paris 16

Du jeudi au Samedi à 20h45 et le dimanche à 17h00 jusqu’au 11 Janvier

Moins de 26 ans : 12.95€    tarif adulte réduit 32.50 au lieu de 43€ selon disponibilités

 

 

 

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Une histoire que peu de nous connaissent vraiment, celle d’une reine du music hall, Joséphine Baker.

En 1969, elle a tout perdu, sa fortune, son château, et quasiment sa célébrité. Mais c’est sans compter sur Jean Claude Brialy qui est alors au début de sa carrière. Le cinéma français le découvre, et Jean-Claude se fait un devoir d’aider cette grande Dame et veut la voir remonter sur scène>. C’est pour cela qu’il rachète un cabaret : LA GOULUE.

Mais alors que Paris voit révolution culturelle et révolution historique il va falloir que ces 2 personnes fassent beaucoup d’efforts pour s’en sortir. La pièce raconte une histoire vraie que peu de personnes connaissent ou ont vécus. Ils  vont en franchir des obstacles. En fait l’histoire n’avait jamais été racontée. On se souvient se Joséphine Baker grande star du music hall de l’après guerre et de son retour sur la scène de Bobino.

J’ai vibré à cette histoire superbement racontée et mise en scène par Coralie Baroux sur un texte co-signé Clair Jazz zt Franck Le Hen.

Retrouver Franck devant notre caméra est toujours un plaisir et je n’allais pas me le refuser :

N’hésitez pas une seconde, ce spectacle c’est une heure et demie de bonheur

C’est actuellement tous les samedis à 17h00 au Théâtre de Passy:

tarifs :

— 39€ Carré Or
— 32€ 1ère catégorie
— 26€ 2ème catégorie
— 15€ visibilité réduite

Renseignements et réservations au 01 82 28 56 40

Mur Mure… Les murs ont des oreilles, et un cœur  et l’amour est de l’autre côté de la cloison !

Machine est une pianiste de talent. Enfin chez elle, elle va pouvoir se concentrer sur son concours de piano. Elle a décidé de prendre en main sa vie. Malgré sa grande sœur qui ne la pense pas capable d’être indépendante, de son mentor et professeur de musique pour qui elle est une éternelle élève.
Bien sûr le loyer est étrangement faible, même si le studio n’est pas un palace. Une fois seule, enfin débarrassée de son envahissante sœur, elle s’installe dans son nouveau royaume. Mais des bruits terribles, un tableau qui tourne, et une ambiance de manoir hanté, résonnent. Elle est vite terrorisée. Elle prend sur elle, elle ne veut pas donner raison aux oiseaux de mauvaises augures qui ont prédit qu’elle est incapable de vivre seule. A nous deux le fantôme…Très vite, elle comprend que de l’autre côté du mur vit un ours mal léché, et ce n’est pas rien de le dire.  Inventeur de génie, Machin veut une tranquillité absolue pour créer. Après une guerre d’usure des deux locataires, un badinage cloisonné va s’établir entre l’hyper timide et le misanthrope acariâtre. Ils ont
tous les deux beaucoup de points communs, ils sont un peu des OVNIS du monde moderne, ils n’aiment pas les réseaux sociaux, ils fuient un peu une société trop bruyante.
Petit à petit, une liaison sans contact les lie, ils ne veulent pas se voir, la puissance de leur voix, de leur imagination cimentent une histoire d’amour. La sœur de Machine est une amoureuse insatisfaite, l’ami souffre-douleur de Machin n’est pas un Don Juan, ils sont les confidents de cette relation mitoyennes hors du commun.

photo : ©Émilie Brouchon

Photographe : ©Émilie Brouchon

Jérémie Lippmann a choisi un décor mobile, un plateau tournant qui permet d’être dans l’un ou l’autre appartement. Le dispositif de Jacques Gabel insuffle un rythme soutenu. Boris Terral est à la fois le pygmalion détestable de Machine, et le rendez-vous malheureux de notre jolie pianiste. Il est très drôle et diablement séduisant.

MUR MURE – THÉÂTRE DE LA MICHODIÈRE
Texte de Lilou Fogli
Mise en scène de Jérémie Lippmann
Avec : Clovis Cornillac, Laurence Arné, Lilou Fogli, Arnaud Maillard et Boris Terral
Photographe : ©Émilie Brouchon

La comédie de Lilou Fogli est adaptée du film Un peu, beaucoup, aveuglément réalisé par Clovis Cornillac en 2015. Le passage sur scène est une réussite totale. Laurence Arné est absolument délicieuse, tendre et charmante. Clovis Cornillac aime beaucoup composer l’ours mal léché et atrabilaire. Lilou Flogli, Arnaud Maillard et Boris Terral sont épatants. Cette comédie romantique fait du bien, la fin est attendue, le public n’aurait pas aimé qu’il en soit autrement. On en ressort le cœur repeint en rose, et heureux.

Marie Laure Atinault, avec la (petite) collaboration de Guy Courthéoux

La bande annonce:

https://youtu.be/w5J2Z46D8XQ

MUR MURE – THÉÂTRE DE LA MICHODIÈRE
Photographe : ©Émilie Brouchon

Mur Mure
De Lilou Fogli
Mise en scène de Jérémie Lippmann
Décors : Jacques Gabel
Lumières : Jean-Pascal Pracht
Avec Clovis Cornillac, Laurence Arné, Lilou Fogli, Arnaud Maillard
et Boris Terral

Théâtre de La Michodiére

Représentations :

Du mercredi au vendredi à 20h
Le samedi à 16h30 et 20h30
Le dimanche à 15h

Durée : 1h45

Réservation 01 86 47 68 62

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La troupe de la Comédie Française, sous la houlette d’Elsa Granat, propose Une Mouette et non pas La Mouette, l’une des pièces les plus jouées d’Anton Tchekhov. Nous apprécions ce distinguo, il n’y a pas de tromperies, les intentions sont clairement exposées.

Elsa Granat propose comme toujours dans son travail une réflexion sur le patrimoine théâtral et le présent. Vision passionnante et déconcertante pour ceux qui connaissent la pièce, l’adhésion est enthousiaste pour ceux qui découvrent la Mouette, enfin cette Mouette.
Elsa Granat a composé un prélude qu’elle appelle « presquel », une « ouverture imaginaire », elle imagine le parcours d’Arkadina, l’enfance sans père de Tréplev, le fils d’Arkadina, qu’elle aime mais ne veut pas l’avoir à ses côtés preuve de son âge. Tréplev qui joue avec Macha, la fille de Chamraïev l’intendant. Sorine, le frère d’Arkadina sera toute sa famille. Toute cette société rêve d’une autre vie. L’arrivée d’Arkadina dans sa campagne anime les désirs de toute la maisonnée et ils sont assoiffés de nouvelles moscovites, ils veulent
s’étourdir des succès d’Arkadina qui est comédienne jusqu’au bout des doigts, elle est constamment en représentation. Elle est le théâtre.

Tréplev organise une représentation théâtrale, il veut « faire advenir des formes nouvelles ». Son interprète est Nina dont il est amoureux. Arkadina, insupportable, ne supporte pas de ne pas être le centre de l’attention plus d’un quart d’heure. Cette création moderne lui échappe, l’attention des autres est une offense, elle se moque et Tréplev arrête tout. L’amant de sa mère Trigorine, le seul personnage de la pièce parfaitement conscient de ce qu’il est, un auteur à succès mais médiocre, apprécie la pièce et la jeune Nina. Finalement les personnages de la Mouette sont tous en porte à faux de leur vie, Macha aime désespérément Tréplev, ici elle porte des écouteurs pour ne plus entendre sa consternante réalité, elle est en colère contre son destin. Sorine sait qu’il a raté sa vie et que l’avarisme de sa célèbre sœur le maintien dans une précarité sordide.

Le médecin est un ami, un confident, un témoin de cette langueur. Nina est fascinée par Trigorine, elle prend en main son destin, elle va à Moscou, sera comédienne, aimera son bel auteur et aura un enfant de lui. Il l’abandonnera bien sûr. Après les coulisses du prequel, les toiles peintes aux couleurs vives, la dernière partie dévoile le lac où les mouettes viennent se reposer.
Elles sont parfois tuées par des chasseurs imbéciles et désœuvrés. Arkadina est venue car son frère se meurt. Tout se noue tragiquement sans rémission, Nina ne peut s’empêcher d’aimer, de retour sur les lieux de ses débuts plein d’espoir, elle se tourmente. Tréplev n’a plus de raison de vivre et Arkadina hurlera comme une reine de théâtre. La dernière partie est d’une beauté
formelle qui nous prend aux tripes.

Quelle distribution. Cette année est l’année Marina Hands, exceptionnelle dans toutes ses compositions, du Soulier de Satin, inoubliable à Arkadina impérieuse, sublime. Julien Frison crée un
Tréplev, loin du personnage romantique et douloureux que l’on voit habituellement, il est plus cérébral, à fleurs de peau sans être caricatural. Une très belle composition. Adeline d’Hermy est Nina, elle passe de la toute jeune fille, innocente et rêveuse à la femme rompue parfaitement consciente de son malheur. Elle est bouleversante. Elle trouve ici son plus beau rôle. Inoubliable.

Une Mouette
D’après Anton Tchekhov
Adaptation et mise en scène Elsa Granat
Avec
Julie Sicard, Loïc Corbéry, Bakary Sangaré, Nicolas Lormeau,
Adeline d’Hermy, Julien Frison, Marina Hands, Birane Ba,
Dominique Parent
Comédie Française Richelieu en alternance jusqu’au 15 juillet
Réservations comedie-francaise.fr

 

Marie Laure Atinault

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Voilà certainement une des meilleures pièces de cette saison; Je dirai presque que c’est normal, parce que l’auteur, Jean-Philippe Daguerre est un grand, qui sait même  mettre une couche supplémentaire de son talent en se retrouvant sur scène, au Théâtre St Georges, pour da création : DU CHARBON DANS LES VEINES. Si, comme moi, vous vous étiez régalé avec LE PETIR COIFFEUR ou ADIEU MONSIEUR HOFFMANN, vous ne pourrez qu’être prêt pour cette oeuvre, et vous régaler une fois encore.

Vous allez vous retrouver en 1958, à Noeux-Les- Mines, petite ville minière du Nord de la France. Pierre et Vlad sont les deux meilleurs amis du monde. Ils  ont la vingtaine et partagent tout leur temps en creusant à la mine, en élevant des pigeons-voyageurs et en jouant de l’accordéon dans l’orchestre local dirigé par Sosthène « boute en train philosophe de comptoir », personnage central de cette petite sphère joviale et haute en couleurs malgré la poussière du charbon. Les premiers téléviseurs font leur apparition, et au bar de Noeux les Mines, c’est la découverte de l’appareil qui va remplacer la radio quend elle émet. N’oublions pas qu’il n’y avait qu’une chaine et qu’à cette époque, les programmes ne fonctionnaient que quelques heures chaque jour. Mais, l’arrivée d’une jeune et belle marocaine, qui a appris l’accordéon et va jouer dans l’orchestre, le monde va bien changer pour les deux amis.

La suite je vous laisse la découvrir sur scène

quelques photos :

Excellente occasion pour rencontrer à nouveau Jean Philippe Daguerre :

Je le dis et je le répète, la programmation du Théâtre St Georges  51 rue St Georges 75009 Paris… est formidable.

Du Charbon Dans Les Veines :  Représentations : du mercredi au samedi à 19h et  le dimanche à 15h

 

Prix des places:

Réservations par téléphone au 01 48 78 63 47

 

  • Catégorie or : 48€
  • 1ère catégorie : 42€
  • 2ème catégorie : 36€
  • 3ème catégorie : 25€
  • 4ème catégorie (visibilité réduite) : 10€

Toutes les photos : Copyright : © Grégoire Matzneff

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Un joli succès que cette pièce signée François Barluet.

Nous sommes en 1870, Paul Durand-Ruel, marchand de tableaux réfugié à Londres, rencontre Claude Monet. De retour à Paris, ce dernier lui présente Renoir, Degas, Pissarro… de jeunes peintres dont il perçoit aussitôt le génie et la modernité.
Enthousiasmé par le talent de ces artistes qu’on ne qualifie pas encore d’Impressionnistes, il achète sans compter jusqu’à ce que les huissiers frappent à sa porte !
Et puisque derrière chaque grand homme se cache une femme, vous découvrirez une Madame Durand-Ruel séductrice et espiègle, prête à tout pour sauver sa famille du désastre et aider son mari à vendre coûte que coûte ! Voilà l’intrigue de cette pièce avec Christelle REBOUL, Christophe de MAREUIL, Frédéric IMBERTY et Victor BOURIGAULT, dans une mise en scène de Christophe Lidon.

Une pièce passionnante, et qui vous plaira d’autant plus si vous êtes amateur d’art et de peinture.

Une rencontre avec l’auteur s’imposait, d’autant plus que j’assistais à une des premières représentations à quelques pas de son auteur.

Quelques photos :

Toutes les photos @Fabienne Rappeneau.

Représentations :

Mardi à 19h
Mercredi, jeudi, vendredi & samedi à 21h et  Dimanche à 15h

Tarifs

38€ / 22€
10 € pour les moins de 26 ans (par téléphone ou au guichet)

la bande annonce :