Théâtre

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Une histoire que peu de nous connaissent vraiment, celle d’une reine du music hall, Joséphine Baker.

En 1969, elle a tout perdu, sa fortune, son château, et quasiment sa célébrité. Mais c’est sans compter sur Jean Claude Brialy qui est alors au début de sa carrière. Le cinéma français le découvre, et Jean-Claude se fait un devoir d’aider cette grande Dame et veut la voir remonter sur scène>. C’est pour cela qu’il rachète un cabaret : LA GOULUE.

Mais alors que Paris voit révolution culturelle et révolution historique il va falloir que ces 2 personnes fassent beaucoup d’efforts pour s’en sortir. La pièce raconte une histoire vraie que peu de personnes connaissent ou ont vécus. Ils  vont en franchir des obstacles. En fait l’histoire n’avait jamais été racontée. On se souvient se Joséphine Baker grande star du music hall de l’après guerre et de son retour sur la scène de Bobino.

J’ai vibré à cette histoire superbement racontée et mise en scène par Coralie Baroux sur un texte co-signé Clair Jazz zt Franck Le Hen.

Retrouver Franck devant notre caméra est toujours un plaisir et je n’allais pas me le refuser :

N’hésitez pas une seconde, ce spectacle c’est une heure et demie de bonheur

C’est actuellement tous les samedis à 17h00 au Théâtre de Passy:

tarifs :

— 39€ Carré Or
— 32€ 1ère catégorie
— 26€ 2ème catégorie
— 15€ visibilité réduite

Renseignements et réservations au 01 82 28 56 40

Mur Mure… Les murs ont des oreilles, et un cœur  et l’amour est de l’autre côté de la cloison !

Machine est une pianiste de talent. Enfin chez elle, elle va pouvoir se concentrer sur son concours de piano. Elle a décidé de prendre en main sa vie. Malgré sa grande sœur qui ne la pense pas capable d’être indépendante, de son mentor et professeur de musique pour qui elle est une éternelle élève.
Bien sûr le loyer est étrangement faible, même si le studio n’est pas un palace. Une fois seule, enfin débarrassée de son envahissante sœur, elle s’installe dans son nouveau royaume. Mais des bruits terribles, un tableau qui tourne, et une ambiance de manoir hanté, résonnent. Elle est vite terrorisée. Elle prend sur elle, elle ne veut pas donner raison aux oiseaux de mauvaises augures qui ont prédit qu’elle est incapable de vivre seule. A nous deux le fantôme…Très vite, elle comprend que de l’autre côté du mur vit un ours mal léché, et ce n’est pas rien de le dire.  Inventeur de génie, Machin veut une tranquillité absolue pour créer. Après une guerre d’usure des deux locataires, un badinage cloisonné va s’établir entre l’hyper timide et le misanthrope acariâtre. Ils ont
tous les deux beaucoup de points communs, ils sont un peu des OVNIS du monde moderne, ils n’aiment pas les réseaux sociaux, ils fuient un peu une société trop bruyante.
Petit à petit, une liaison sans contact les lie, ils ne veulent pas se voir, la puissance de leur voix, de leur imagination cimentent une histoire d’amour. La sœur de Machine est une amoureuse insatisfaite, l’ami souffre-douleur de Machin n’est pas un Don Juan, ils sont les confidents de cette relation mitoyennes hors du commun.

photo : ©Émilie Brouchon

Photographe : ©Émilie Brouchon

Jérémie Lippmann a choisi un décor mobile, un plateau tournant qui permet d’être dans l’un ou l’autre appartement. Le dispositif de Jacques Gabel insuffle un rythme soutenu. Boris Terral est à la fois le pygmalion détestable de Machine, et le rendez-vous malheureux de notre jolie pianiste. Il est très drôle et diablement séduisant.

MUR MURE – THÉÂTRE DE LA MICHODIÈRE
Texte de Lilou Fogli
Mise en scène de Jérémie Lippmann
Avec : Clovis Cornillac, Laurence Arné, Lilou Fogli, Arnaud Maillard et Boris Terral
Photographe : ©Émilie Brouchon

La comédie de Lilou Fogli est adaptée du film Un peu, beaucoup, aveuglément réalisé par Clovis Cornillac en 2015. Le passage sur scène est une réussite totale. Laurence Arné est absolument délicieuse, tendre et charmante. Clovis Cornillac aime beaucoup composer l’ours mal léché et atrabilaire. Lilou Flogli, Arnaud Maillard et Boris Terral sont épatants. Cette comédie romantique fait du bien, la fin est attendue, le public n’aurait pas aimé qu’il en soit autrement. On en ressort le cœur repeint en rose, et heureux.

Marie Laure Atinault, avec la (petite) collaboration de Guy Courthéoux

La bande annonce:

https://youtu.be/w5J2Z46D8XQ

MUR MURE – THÉÂTRE DE LA MICHODIÈRE
Photographe : ©Émilie Brouchon

Mur Mure
De Lilou Fogli
Mise en scène de Jérémie Lippmann
Décors : Jacques Gabel
Lumières : Jean-Pascal Pracht
Avec Clovis Cornillac, Laurence Arné, Lilou Fogli, Arnaud Maillard
et Boris Terral

Théâtre de La Michodiére

Représentations :

Du mercredi au vendredi à 20h
Le samedi à 16h30 et 20h30
Le dimanche à 15h

Durée : 1h45

Réservation 01 86 47 68 62

Rating:

La troupe de la Comédie Française, sous la houlette d’Elsa Granat, propose Une Mouette et non pas La Mouette, l’une des pièces les plus jouées d’Anton Tchekhov. Nous apprécions ce distinguo, il n’y a pas de tromperies, les intentions sont clairement exposées.

Elsa Granat propose comme toujours dans son travail une réflexion sur le patrimoine théâtral et le présent. Vision passionnante et déconcertante pour ceux qui connaissent la pièce, l’adhésion est enthousiaste pour ceux qui découvrent la Mouette, enfin cette Mouette.
Elsa Granat a composé un prélude qu’elle appelle « presquel », une « ouverture imaginaire », elle imagine le parcours d’Arkadina, l’enfance sans père de Tréplev, le fils d’Arkadina, qu’elle aime mais ne veut pas l’avoir à ses côtés preuve de son âge. Tréplev qui joue avec Macha, la fille de Chamraïev l’intendant. Sorine, le frère d’Arkadina sera toute sa famille. Toute cette société rêve d’une autre vie. L’arrivée d’Arkadina dans sa campagne anime les désirs de toute la maisonnée et ils sont assoiffés de nouvelles moscovites, ils veulent
s’étourdir des succès d’Arkadina qui est comédienne jusqu’au bout des doigts, elle est constamment en représentation. Elle est le théâtre.

Tréplev organise une représentation théâtrale, il veut « faire advenir des formes nouvelles ». Son interprète est Nina dont il est amoureux. Arkadina, insupportable, ne supporte pas de ne pas être le centre de l’attention plus d’un quart d’heure. Cette création moderne lui échappe, l’attention des autres est une offense, elle se moque et Tréplev arrête tout. L’amant de sa mère Trigorine, le seul personnage de la pièce parfaitement conscient de ce qu’il est, un auteur à succès mais médiocre, apprécie la pièce et la jeune Nina. Finalement les personnages de la Mouette sont tous en porte à faux de leur vie, Macha aime désespérément Tréplev, ici elle porte des écouteurs pour ne plus entendre sa consternante réalité, elle est en colère contre son destin. Sorine sait qu’il a raté sa vie et que l’avarisme de sa célèbre sœur le maintien dans une précarité sordide.

Le médecin est un ami, un confident, un témoin de cette langueur. Nina est fascinée par Trigorine, elle prend en main son destin, elle va à Moscou, sera comédienne, aimera son bel auteur et aura un enfant de lui. Il l’abandonnera bien sûr. Après les coulisses du prequel, les toiles peintes aux couleurs vives, la dernière partie dévoile le lac où les mouettes viennent se reposer.
Elles sont parfois tuées par des chasseurs imbéciles et désœuvrés. Arkadina est venue car son frère se meurt. Tout se noue tragiquement sans rémission, Nina ne peut s’empêcher d’aimer, de retour sur les lieux de ses débuts plein d’espoir, elle se tourmente. Tréplev n’a plus de raison de vivre et Arkadina hurlera comme une reine de théâtre. La dernière partie est d’une beauté
formelle qui nous prend aux tripes.

Quelle distribution. Cette année est l’année Marina Hands, exceptionnelle dans toutes ses compositions, du Soulier de Satin, inoubliable à Arkadina impérieuse, sublime. Julien Frison crée un
Tréplev, loin du personnage romantique et douloureux que l’on voit habituellement, il est plus cérébral, à fleurs de peau sans être caricatural. Une très belle composition. Adeline d’Hermy est Nina, elle passe de la toute jeune fille, innocente et rêveuse à la femme rompue parfaitement consciente de son malheur. Elle est bouleversante. Elle trouve ici son plus beau rôle. Inoubliable.

Une Mouette
D’après Anton Tchekhov
Adaptation et mise en scène Elsa Granat
Avec
Julie Sicard, Loïc Corbéry, Bakary Sangaré, Nicolas Lormeau,
Adeline d’Hermy, Julien Frison, Marina Hands, Birane Ba,
Dominique Parent
Comédie Française Richelieu en alternance jusqu’au 15 juillet
Réservations comedie-francaise.fr

 

Marie Laure Atinault

Rating:

Voilà certainement une des meilleures pièces de cette saison; Je dirai presque que c’est normal, parce que l’auteur, Jean-Philippe Daguerre est un grand, qui sait même  mettre une couche supplémentaire de son talent en se retrouvant sur scène, au Théâtre St Georges, pour da création : DU CHARBON DANS LES VEINES. Si, comme moi, vous vous étiez régalé avec LE PETIR COIFFEUR ou ADIEU MONSIEUR HOFFMANN, vous ne pourrez qu’être prêt pour cette oeuvre, et vous régaler une fois encore.

Vous allez vous retrouver en 1958, à Noeux-Les- Mines, petite ville minière du Nord de la France. Pierre et Vlad sont les deux meilleurs amis du monde. Ils  ont la vingtaine et partagent tout leur temps en creusant à la mine, en élevant des pigeons-voyageurs et en jouant de l’accordéon dans l’orchestre local dirigé par Sosthène « boute en train philosophe de comptoir », personnage central de cette petite sphère joviale et haute en couleurs malgré la poussière du charbon. Les premiers téléviseurs font leur apparition, et au bar de Noeux les Mines, c’est la découverte de l’appareil qui va remplacer la radio quend elle émet. N’oublions pas qu’il n’y avait qu’une chaine et qu’à cette époque, les programmes ne fonctionnaient que quelques heures chaque jour. Mais, l’arrivée d’une jeune et belle marocaine, qui a appris l’accordéon et va jouer dans l’orchestre, le monde va bien changer pour les deux amis.

La suite je vous laisse la découvrir sur scène

quelques photos :

Excellente occasion pour rencontrer à nouveau Jean Philippe Daguerre :

Je le dis et je le répète, la programmation du Théâtre St Georges  51 rue St Georges 75009 Paris… est formidable.

Du Charbon Dans Les Veines :  Représentations : du mercredi au samedi à 19h et  le dimanche à 15h

 

Prix des places:

Réservations par téléphone au 01 48 78 63 47

 

  • Catégorie or : 48€
  • 1ère catégorie : 42€
  • 2ème catégorie : 36€
  • 3ème catégorie : 25€
  • 4ème catégorie (visibilité réduite) : 10€

Toutes les photos : Copyright : © Grégoire Matzneff

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rating:

Un joli succès que cette pièce signée François Barluet.

Nous sommes en 1870, Paul Durand-Ruel, marchand de tableaux réfugié à Londres, rencontre Claude Monet. De retour à Paris, ce dernier lui présente Renoir, Degas, Pissarro… de jeunes peintres dont il perçoit aussitôt le génie et la modernité.
Enthousiasmé par le talent de ces artistes qu’on ne qualifie pas encore d’Impressionnistes, il achète sans compter jusqu’à ce que les huissiers frappent à sa porte !
Et puisque derrière chaque grand homme se cache une femme, vous découvrirez une Madame Durand-Ruel séductrice et espiègle, prête à tout pour sauver sa famille du désastre et aider son mari à vendre coûte que coûte ! Voilà l’intrigue de cette pièce avec Christelle REBOUL, Christophe de MAREUIL, Frédéric IMBERTY et Victor BOURIGAULT, dans une mise en scène de Christophe Lidon.

Une pièce passionnante, et qui vous plaira d’autant plus si vous êtes amateur d’art et de peinture.

Une rencontre avec l’auteur s’imposait, d’autant plus que j’assistais à une des premières représentations à quelques pas de son auteur.

Quelques photos :

Toutes les photos @Fabienne Rappeneau.

Représentations :

Mardi à 19h
Mercredi, jeudi, vendredi & samedi à 21h et  Dimanche à 15h

Tarifs

38€ / 22€
10 € pour les moins de 26 ans (par téléphone ou au guichet)

la bande annonce :

 

Rating:

 

 

Alex le lion est le roi de la jungle urbaine, principale attraction du zoo de Central Park à New York. Lui et ses meilleurs amis – Marty le zèbre, Melman la girafe et Gloria l’hippopotame – ont passé toute leur vie en captivité heureuse devant un public admiratif et avec des repas réguliers qui leur étaient fournis. L’adaptation du film culte Madagascar des studios DREAMWORKS par Philippe Hersen en comédie musicale est une réussite totale destinée aux plus jeunes. J’avais autour de moi des gamins de 4/5 ans, qui participaient, découvraient le spectacle, entourés de leurs parents; Et je n’en ai pas vu un seul montrer des signes de fatigue, bien au contraire. Ils avaient des yeux sur ces peluches , et plus particulièrement les pingouins, alors que les adultes s’amusaient avec le lion, la girafe et les autres animaux , preuve que la pièce peut se voir sous différents angles. Et je me suis régalé également, presque autant que pour le musical CHARLIE ET LE CHOCOLATERIE, qu’avait alors adapté Philippe Hersen.

Le plus simple est quand même de donner la parole à Philippe Hersen:

Costumes Basés sur des créations originales de TOM ROGERS
Direction musicale Laurent BERTAUD
Chorégraphies CAIN & CÉLINE assistés par Laure TOUTON
Création Vidéo Jérome LEDOUX
Création lumière Jacques Rouveyrollis assisté de Jessica Duclos
Maquillage Zoé Cattelan
Consultant artistique et technique en marionnette Jérôme Caggia
Metteur en scène Philippe HERSEN
Assistant(e) mise en scène Hélène LASCOMBES
Adaptation de la pièce Philippe HERSEN
Livret de Kevin DEL AGUILA
Musique originale et chanson de George NORIEGA et Joël SOMEILLAN
Traduction et adaptation des chansons Ludovic-Alexandre VIDAL

 

Les artistes : Alexandre Dupuis, Emeric Payet, Julien Salvia, Mathilde Offer, Armonie Coiffard, Arnaud Denissel, Joshua Lebraud, Latitia Gwawiec, Benjamin Cohen, Baptiste Judge

quelques photos:

Infos pratiques :

A ce jour : jusqu’au 9 Mars au Théâtre du Gymnase Marie Bell,  38 Blvd Bonne Nouvelle 75010 Paris

représentations : à 14.00 samedi et dimanche, et pendant les vacances scolaires à 14h du mardi au vendredi.

Attention il est plus que prudent de réserver, la spectacle affiche complet tous les jours.

Réservations : Madagascar Comédie Musicale à Paris  et sur tous les sites de réservations spectacles

Tarifs

  • Carré OR      55 €
  • Catégorie 1   46 €
  • Catégorie 2   37 €
  • Catégorie 3   26 €
  • Catégorie 4    19 €

 

 

Rating:

Un titre qui mérite une explication : La pièce se déroule à 2 époques : le 17ème et le 21ème siècle. On va vous montrer 2 destins, avec un mélange d’intrigues, avec deux fils qui recherchent l’héritage de leur père, à 2 époques différentes. Il y a aussi de l’amour et de l’amitié. En fait on va se retrouver au cœur de recherches sur la pierre philosophale, celle qui serait capable de transformer le plomb en or, et surtout de prolonger la vie. Les amateurs vont apprécier, et c’est ce que l’auteur et metteur en scène, qui cette fois ne sera pas sur scène va vous conter. En effet Benoit Solés est un auteur  qui a connu la célébrité avec LA MACHINE DE TURING, qui s’est joué et se joue encore depuis sa création au Théâtre Michel et qui est toujours visible dans la superbe salle du théâtre du Palais Royal. Il y a eu aussi LA MAISON DU LOUP, dans le théâtre Rive Gauche, où il revient avec LE SECRET DES SECRETS. Vous pouvez retrouver les entretiens avec Benoit sur ce site :

http://www.onsortoupas.fr/la-maison-du-loup-au-theatre-rive-gauche-entretien-avec-lauteur-comedien-benoit-soles/

RETOUR de LA MACHINE DE TURING au Théâtre Michel, entretien avec Benoit Soles | onsortoupas.fr

LA MACHINE DE TURING au THEATRE MICHEL, entretien avec l’auteur et comédien , Benoit Solès | onsortoupas.fr

 

Il fallait donc retrouver Benoit Solés, qui nous présente ce secret des secrets:

Les 4 jeunes interprètes sont vraiment époustouflants : Montaine Fregeai, Axel Godard, Gabriel Gozlan & Mathilde Moulinat

Quelques photos de ce spectacle :

Toutes les photos : ©-Frederique-Toulet

la bande annonce :

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Le Secret Des Secrets, c’est au Théâtre Rive Gauche, Du mercredi au samedi à 21h
Matinées les dimanches à 15h
(Relâche exceptionnelle le 1er mai 2025)

Places 49€ (Carré Or), 39€, 29€
Durée : 1h30

et : « PREMIÈRES » = DE -30 À -40%, SELON LES JOURS, JUSQU’AU 16 FÉVRIER 2025 INCLUS

 

 

 

 

 

Rating:

Une pièce sur la question de la santé mentale qui nous conte l histoire de Caspar qui est interné en asile psychiatrique aux Etats Unis dans les années 70. Vous allez vous plonger dans un univers particulier, dans un décor dénudé où le jeune homme ( magistralement interprété par Mickaël Winum ) est « traité » sans violence mais ce traitement semble complexe.

Le moins que l’on puisse dire c’est qu’on est troublé par ce texte de Claude-Alain Planchon, et sa mise en scène signée Olivier Desbordes : le jeune mec, vêtu de blanc comme dans un hôpital, avec un psy ( ou un surveillant?) , dans un décor constitué d’un socle blanc et d’un mur blanc. Néanmoins on s’intéresse rapidement à ce jeune interné, et la rencontre avec son interprète, Mickaël Winum va nous éclairer plus avant :

Quelques photos pour illustrer ces propos:

CASPAR, c’est le jeudi, vendredi et samedi à 21.00 et le dimanche à 17.00, à la MANUFACTURE DES ABBESSES, 8 rue Véron dans le 18ème.

Le prix du brigadier remis chaque année au Théâtre Montparnasse est devenu un incontournable pour le monde du théâtre …

voici simplement les discours de remerciements des lauréats

Maxime d’Aboville :

 

Geneviève Casile:

 

Delphine Depardieu :

 

Jacques Rouveyrollis