Il y a de belles rencontres avec des personnages sympathiques, ce fut le cas avec Frédéric Zernati. Son nom ne vous dit certainement pas grand chose, c’est pourtant un grand admirateur de Charles Aznavour, et il va le prouver le dimanche 1er octobre en se produisant sur le scène de Bobino à Paris en chantant Aznavour.
L’entretien s’est fait il y a quelques jours et en voici l’intégralité :
Il a fait quelques autres rencontres, comme le prouvent des quelques photos :
Vous les avez tous reconnus, bien entendu.
Vu qu’il parle de Claude François, voilà deux vidéos disponibles sur YouTube :
et un duo Aznavour / Claude François
Rappelons que ce sera le dimanche 1er octobre à Bobino à 18h00
Depuis quelques jours en salles, un grand film de science fiction: The Creator, par celui qui avait réalisé Rogue One en 2017: Gareth Edward
On se trouve dans un futur assez proche proche, au moment où les humains et des intelligence artificielle (IA) se livrent une guerre sans merci. Soldat américain infiltré en Asie, Joshua ‘John David Washington) est séparé de sa femme Maya (Gemma Chan) au cours d’un assaut. Supposant que celle-ci est décédée, il rentre aux États-Unis, complètement dévasté. Cinq ans plus tard, l’armée lui demande de revenir sur le terrain, craignant qu’une puissante intelligence artificielle n’ait créé une arme qui permette à l’Orient de gagner la guerre qu’elle livre à l’Occident. Sentant son utilisation proche, elle souhaite qu’il la trouve et la détruise. Lorsque la colonelle Jean Howell (Alison Janney) apprend à Joshua que Maya est peut-être en vie et qu’elle se trouverait dans la zone de combat, celui-ci trouve soudainement un nouvel enjeu dans cette mission qu’il avait tout d’abord accepté à contrecœur. Cependant, peu après son arrivée en Asie, il découvre que l’arme en question n’est autre qu’une petite fille de 6 ans prénommée Alphie (Madeleine Yuna Voyles) . Dès lors, Joshua commence à remettre en question ses convictions sur l’IA . L’entente avec la fillette est totale, La relation ressemble étrangement à celle de père/fille.
Le film est réellement l’oeuvre de Gareth Edward, vu qu’il a plusieurs casquettes . outre celle de réalisateur, il en est aussi le scénariste et le producteur. Le film est certes assez long, 2 H13, mais les images sont de toute beauté, et bien que certaines scènes soient violentes, elles restent supportables. Le film 20th Century Fox est distribué par Disney, et on nous recommande vivement de le voir en IMAX, vu que le film a été tourné avec ce format. Mais il y a très peu de salles IMAX en France, et j’ai vu ce film dans des conditions tout aussi parfaites au Pathé Beaugrenelle dans leur salle Dolby, qui reste à mes yeux ce qui se fait de mieux au niveau confort, les fauteuils sont superbes, le son Dolby Atmos en font pour moi, et de loin, la meilleure salle de Paris.27
La Jordanie est un pays encore mal connu des français. Pourtant nombre de français, qui s’y sont rendus, y reviennent et conseillent ce pays aux multiples facettes.
A l’occasion du salon professionnel du tourisme ( top Resa) qui se tiendra au Parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris du 3 au 5 Octobre, j’ai pu rencontrer madame Samia Bouteiller et lui poser quelques questions sur cette destination. L’entretien s’est déroulé sur une péniche, en extérieurs, avec un petit vent, d’où de légers problèmes de son.
et pour mieux illustrer ces propos, voici quelques photos :
Touristes dans la mer morte, Jordan, Middle East, Orient
Jordan
La citadelle de la ville d’Amman en Jordanie . Le temple d’Hercule de la citadelle d’Amman (Jabal al-Qal’a)
La signature de Kenneth Branagh pour un film dont le héros est Hercule Poirot est gage de qualité, et ce nouvel opus en est la preuve.
On se retrouve à Venise, à la veille de la Toussaint, quelques années après la fin de la Seconde Guerre Mondiale. C’est là où se trouve le célèbre détective Hercule Poirot (Kenneth Branagh), qui a décidé d’y vivre sa retraite en effet, il a renoncé à sa vocation d’enquêteur. Ce dernier reçoit chez lui une vieille amie, Ariadne Oliver, la plus célèbre auteur de romans policiers au monde, qui lui assure que le motif de sa visite n’a aucun rapport avec un crime : elle aimerait qu’il l’accompagne à une séance de spiritisme convaincue qu’il s’agit d’une imposture. Intrigué, Poirot accepte à contrecœur d’y assister et se retrouve alors dans un palais décrépi et soi-disant hanté, appartenant à la célèbre cantatrice Rowena Drake. Lorsque l’un des participants est sauvagement assassiné, toutes les personnes présentes deviennent de potentiels suspects. Le détective belge se retrouve une nouvelle fois plongé dans un monde sinistre d’ombres et de secrets…
Vous avez déjà compris que Poirot devra découvrir et élucider ces mystères, avec tous les protagonistes sur place. Voilà donc une histoire de fantômes qui se déroule dans une maison hantée au cours d’une nuit de terreur.
Le réalisateur s’est offert à nouveau le beau rôle, en s’entourant d’une pléiade de comédiens : Kelly Reilly (Rowena Drake chanteuse d’opéra en retraite), Tina Fey (Ariadne Oliver, auteure de romans policiers), Jamie Dornan (Docteur Leslie Ferrier, médecin de la famille Drake), Jude Hill ( à 12 ans in est Léopold Ferrier, fils du précédent), Camille Cottin (Olga Seminoff, fidèle gouvernante de Rowena Drake), Michelle Yeoh (la medium de renommée mondiale), Ali Khan ( Nicholas Holland, assistant de Jayce Reynolds), Riccardo Scarmarcio ( Vitale Portfogliuo, un ancien policier), Kyle Allen (Maxime Gerard) , Emma Laird (Desdemona Holland, la soeur de Nicholas).
le film est une intrigue policière inspirée par un des livres d’Agatha Christie, mais sans en être une adaptation. En 104 minutes vous vous retrouverez dans un des palais vénitiens, avant de découvrir qui a fait quoi, et ne comptez pas sur moi pour vous le dévoiler.
Le film est dans la lignée des récentes adaptations de l’auteur au cinéma. Ce n’est pas le chef d’oeuvre de l’année, mais cela se regarde avec plaisir et quelques petits frissons. Normal quand le chef d’orchestre n’est autre que Monsieur Kenneth Branagh.
Assister à un concert quasi privé dans la belle salle du 1er étage de la Tour Eiffel, c’est toujours un grand moment
Cette fois on célébrait la sortie d’un CD Avec l’orchestre National de Bretagne, sous la direction d’Adrien Perruchon, avec Hughes Borsarello au violon, et une participation de Thomas Dutronc, Franck Braley et Gautier Capuçon
rencontre avec le directeur de l’orchestre : Marc Feldman:
Chaque saison débute par des surprises, il y en a de très mauvaises et aussi d’heureuses surprises, et pour une bonne surprise, COURGETTE au théâtre Tristan Bernard en est une!
Quand on ne sait pas ce que l’on va voir, tout est possible? Plus particulièrement quand on découvre une pièce lors de sa première représentation dans un théâtre parisien, ce qui est le cas, vu que la pièce a déjà été jouée en province, mais qu’elle débarque à Paris. Adaptée du roman de gilles Paris « Autobiographie d’une courgette’, et mis en scène par Pamela Ravassard, voilà qui devrait surprendre, plaire, faire vibrer bon nombre de spectateurs Bon je vous rassure, vous n’allez pas voir pousser un légume, loin s’en faut. Non! C’est l’histoire d’Icare, surnommé Courgette, qui a bientôt 10 ans et qui vit seul avec sa mère alcoolique. Un jour Icare (Garlan Le Martelot) trouve un révolver, ou un petit fusil et en voulant tuer le ciel , trop sombre pour lui, l’accident tragique arrive et sa mère disparait. Il est placé dans un foyer, LES FONTAINES où il va rencontrer d’autres enfants tout aussi écorchés ou mal adaptés. La rencontre avec un gendarme, Raymond (Vincent Viotti) va changer sa vie, l’adulte va lui redonner le gout à la vie. L’espoir renait pour tous, qui sont interprétés par la troupe : Vanessa Cailhol, Florian Choquart, et Lola Roskis Gingembre, tous ayant plusieurs rôles tout au long de la pièce.
Une rencontre s’imposait : le comédien qui a le rôle principal (Garlan Le Martelot) et celle qui a mis en scène pour le théâtre Pamela Ravassrad:
Franchement , il ne faut pas manquer cette pièce, on est ému, on vibre avec les comédiens, on ne s’ennuie pas une seule seconde, et c’est assez rare pour le noter
photo tous droits réservés. Toute diffusion, utilisation interdite sans autorisation de l’auteur.
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Représentations jusqu’au 2 décembre, mais prolongations possibles
Mardi – Mercredi 20h Vendredi 19h Samedi 17h et 20h30
Chaque année le Théâtre de Nesle dans la petite rue de Nesle, toute proche du Pont Neuf, sur la Rive Gauche vous propose un évènement sur quelques jours
Cette année ce sera du 8 septembre jusqu’au 1er octobre, et à cette occasion nous nous sommes rendus au théâtre pour y rencontrer sa directrice :
Dans l’Espace de Nesle (au fond de la cour partagée avec le théâtre), du 15 au 17 septembre 2023 :
Mo Varenne : collages
Pascal Humbert : photographies
Telmo Herrera : dessins
Léonidas Herrera : affiches et dessins
15 septembre : ouverture à 16h, vernissage à 18h.
16 septembre : 11h-21h.
17 septembre : 13h-20h.
Dans l’accueil du théâtre, tout au long du festival :
Un retour au Royaume de France en 1793 avec VAINCRE OU MOURIR
Le film a été produit par Le Puy Du Fou, réalisé par Vincent Mottez et Paul Mignot a connu un certain succès lors de sa sortie, et on était en droit d’attendre une belle sortie vidéo, C’est le cas avec cette édition BluRay aux Editions du Puy Du Fou avec, outre le film un making of de 25 minutes, et des extraits de l’avant( première parisienne, sans oublier des bandes annonces.
Depuis 3 ans Charette, officier de la Marine Royale s’en est retourné en Vendée dans le château où il est né. La révolution a laissé derrière elle de totales désillusions dans le pays vendéen et la colère gronde pour le ‘petit peuple’. Les paysans se révoltent et veulent que Charette dirige leur mouvement de protestation contre le gouvernements mis en place. Celui-ci finit par accepter le challenge, et devient un chef charismatique qui dirige ces paysans, mais aussi femmes et enfants. C’est le combat pour la liberté.
Le Nouveau Roi de Vendée
Le Nouveau Roi de Vendée
Le Nouveau Roi de Vendée
Le Nouveau Roi de Vendée
Le Nouveau Roi de Vendée
Le Nouveau Roi de Vendée
Dans le rôle principal, le comédien Hugo Becker est parfait, qui domine le film de bout en bout
C’est un épisode peu connu de l’Histoire de France et on ne peut que saluer les réalisateurs qui nous offrent un film surprenant et tout à la fois prenant aux tripes.
Pour l’édition Bluray, la version française offre le master HD en 5.1, avec audio description disponible, et bien entendu le format 16/9, 2.65 respecté.
Au générique, outre Hugo Becker : Rod Paradot, Gilles Cohen, Grégory Fitoussi, Constance Gay, Jean-Hughes Anglade, Francis Renaud ou Dorcas Copin
Franchement l’excellente surprise de ce 15 Août. Je ne m’y attendais pas du tout!
Fraîchement diplômé de l’université, Jaime Reyes (Xolo Maridueña) revient chez lui, plein d’ambitions dans la tête, mais il découvre que la situation a bien changé depuis son départ, surtout pour sa famille, qui risque fort de perdre sa maison.
Tandis qu’il cherche une place pour travailler, Jaime se retrouve par hasard en possession du Scarabée, suite à sa rencontre fortuite avec l’héritière d’une fortune colossale, Jenny Kord (Bruna Marquezine) qu’elle devrait partager avec Victoria Kord ( Susan Sarandon) qui ne l’entend pas de cette oreille. On comprend très vite que Victoria est une ‘SUPER MECHANTE’. Lors de sa visite dans l’immeuble Ford, Jaime se retrouve avec un curieux objet que lui confie Jenny, qui lui précise bien de ne pas toucher à cette ancienne relique d’une biotechnologie extraterrestre. C’est sans compter sur la famille de Jaime. Dès lors que le Scarabée choisit de faire de Jaime son hôte, le jeune homme se voit revêtu d’une armure hors du commun qui lui octroie des pouvoirs extraordinaires – et pour le moins imprévisibles. Tout bascule alors pour Jaime qui devient le super-héros Blue Beetle.
L’excellente surprise c’est qu’on s’intéresse dès les premiers plans aux aventures pour le moins hors normes de ce jeune héros. Son entourage nous interpelle, et pour ceux qui vont voir le film dans sa version sous titrée, vous aurez à la fois de l’espagnol et de l’anglais selon que vous entendrez les membres de sa famille, sa mère (Elpidia Camilo), la grand-mère , la tante ou l’ami de la famille. Tout ce petit monde devra faire tout ce qui est possible pour aider Jaime et Jenny.
L’humour ne manque pas, loin s’en faut, je me suis surpris à rire aux éclats à de nombreuses reprises, tant je me suis pris au jeu. On est certes dans les comics, de DC cette fois, distribués par Warner. Le film ne manque de rien, ni des effets spéciaux, ni de dialogues savoureux, ni de situations hilarantes.
Voilà exactement le genre de distraction qui devrait plaire au plus grand monde. Je l’ai vu dans la salle Dolby Atmos du Pathé Beaugrenelle, qui est selon moi, la meilleure salle de Paris, ou du 15ème si on ne veut pas faire de jaloux parmi les exploitants !
Le film signé Angel Manuel Soto m’a vraiment surpris, tout particulièrement parce que je n’en attendais rien, ne connaissant pas le héros ni la BD, ni le réalisateur ni le héros. Peut-être est-ce un effet contraire aux grandes batteries que l’été nous a offertes avec des têtes d’affiches comme Harrison Ford ou Tom Cruise, que je ne renierai absolument pas, ayant pris un grand plaisir à les voir.
TOUTES LES PHOTOS / @ Warner Bros /DC Marvel
A vous de juger, franchement on passe 115 minutes avec ce super héros qui fera le bonheur des jeunes, des moins jeunes et des autres.
Sylvie Vartan, Sheila, Françoise Hardy et France Gall, ces 4 filles squattaient la tête de tous les hit parades dès les années 60. Les frères Cazalot ont eu l’heureuse idée, après avoir beaucoup écrit sur Sylvie Vartan, d’écrire à 4 mains cet ouvrage de près de 400 pages sur les carrières croisées de ces idoles, de leurs débuts jusqu’à ces dernières années, avec la place belle à leurs débuts, mais aussi aux moments clés de leurs carrières.
Le livre contient un cahier central avec de nombreuses photos illustrant ces 4 filles que nous sommes nombreux à adorer encore. Il suffit de voir les spectacles récents de 2 d’entre elles pour comprendre qu’elles ne sont pas oubliées. Si France Gall n’est plus de ce monde, on peut encore l’entendre sur les ondes, Françoise Hardy ne se produit plus sur scène, mais ses titres les plus récents sont encore programmés, alors que les 2 autres ne s’entendent plus sur aucune radio, ce qui est bien dommage. Surtout quand on voit leurs spectacles. Certes la tournée style récital de Sylvie Vartan ne restera pas dans les mémoires alors que le spectacle de Sheila est une performance totale. On oublie son âge. C’est une jeune femme qui chante et danse, et la voir à la salle Pleyel il y a peu de temps montre que son public ne l’a pas oublié, et il n’y avait pas que des ‘anciens’ qui se trémoussaient dans la salle. Sincèrement j’ai été époustouflé . Si vous avez l’occasion de la voir n’hésitez pas une seule seconde. C’est absolument génial!!
Revenons au livre. Je l’ai dévoré en 2 jours, et j’ai appris bien des choses, n’ayant vécu les débuts de ces 4 filles que par on dit. Je me doutais quand même que la championne toute catégorie en vente de disques était, de loin Sheila qui arrivait à des centaines de milliers de vente de chaque 45 tours ( on dit single maintenant qu’il n’existe plus de petit format avec 4 titres). C’est le plus belle carrière qui a connu gloire dans d’autres pays, en tête des charts américains avec plus d’un titre de sa période disco. Autre carrière à l’étranger, celle de Sylvie, qui a vendu de nombreux disques en Italie et eu Japon, entre autres. France Gall a connu la célébrité en Allemagne quand sa carrière attendait l’arrivée de Michel Berger pour renaître de plus belle. Françoise Hardy a fait de la scène à ses débuts, en France et à l’étranger et ses titres les plus récents ne semblent pas avoir pris une ride.
Des explications?
Le plus simple est de rencontrer un des auteurs, Eric Cazalot:
Le livre est disponible au prix de 21.90€ éditions XO
Quelques titres des années 60 , merci à YouTube :
et juste pour le fun quelques pochettes de disques