Spectacles

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Edith Piaf, un mythe français, une voix, une présence inoubliable. La chanteuse française la plus célèbre au monde revient sous les traits de MTATIANA sur la scène du Lucernaire.

Ce n’est pas la première fois, et ce ne sera certainement pas la dernière qu’Edith Piaf sera célébrée sur une scène, ou à l’écran. Plusieurs films lui ont été consacrées, sans oublier le théâtre. Cette fois c’est un retour puis que I LOVE PIAF n’en est pas à sa première série de représentations sur une scène parisienne. La version proposée, écrite par Jacques Pessis, et mise en scène par un spécialiste des spectacles musicaux, François Chouquet,  est un régal. On connaît François Chouquet pour sa contribution à de nombreux spectacles adulés du public : Les 10 Commandements, Le Roi Soleil, Mozart l’Opéra Rock, 1789 les amants de la Bastille  et surtout Mistinguett.

Pour ce spectacle il a trouvé l’interprète idéale en la personne de MTatiana, et le spectacle nous raconte, en chansons, l’histoire de la môme Piaf, qui a traversé les époques. On y retrouve quelques uns des titres les plus célèbres de cette artiste immortelle, comme : La Vie En Rose, L’Hymne à l’Amour, Milord, Non je ne regrette Rien, L’Homme à la Moto, Sous le ciel de Paris, La Foule, parmi une vingtaine de titres célèbres ou moins connus. Pour conter l’histoire, deux personnes jouent en alternance : l’auteur, Jacques Pessis ou Patrice Mktav, avec MTatiana dans le rôle titre, et un(e) accordéoniste, ici aussi en alternance : Aurélien Noël ou Maryll Abbas. La production a eu l’heureuse idée de surtitrer le spectacle en anglais, pour les touristes anglo saxons.

Une rencontre avec MTatiana, qui incarne Piaf s’imposait :

I love Piaf, c’est au Lucernaire, du mercredi au samedi à 21 h 00, jusqu’au 18 Août

Le Lucernaire, 53 rue Notre Dame Des Champs à Paris 6ème

Réservations : 01 45 44 57 34 ou www.lucernaire.fr

Tarif : 26€

Nombreuses réductions possibles : – 26 ans, seniors, se renseigner sur le site ou sur place

la bande annonce :

 

 

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C’est parti pour la tournée 2018 d’Opéra en plein air, avec cette année Carmen, mise en scène par Radu Milaileanu

Comme chaque année Opéra en plein air propose un opéra célèbre, et cette année, il s’agit de l’Opéra le plus joué au monde: Carmen de Georges Bizet. Mise en scène de Radu Mihaileanu. Une nouveauté, cette année, un parrain va présenter chaque spectacle, et le premier de ces parrains est un comédien célèbre et adulé du public : Antoine Duléry. . La direction musicale est assurée par Vincent Renaud,  l’Orchestre et le premier violon, Anne Gravoin pour le Music Booking Orchestra. . La scénographie est l’oeuvre de Bastien Forestier, et les lumières sont celles du magicien de la lumière, Monsieur Jacques Rouveyrollis.  On le sait dans Carmen  les chœurs sont importants, et particulièrement celui des enfants, et ce sont les chœurs de l’Opéra National de Paris, sous la direction de Gael Darchen avec la Maîtrise des Hauts de Seine.

La mise en scène : Radu Mihaileanu:

 

le parrain de cette année : Antoine Duléry :

 

En ce premier soir de représentation, voilà les voix que l’on a pu applaudir : Gala El Hadidi (Carmen ) qui peut être remplacée dans d’autres lieux par Marion Lebègue. Don José est Eric Fennel, Micaela: Olga Tenyakova, Escamilo : Pierre Doyen, Frasquita : Gaëlle Méchaly, Mercédes: Pauline Sikirdji, Zuniga : Andriy Gnatiuk, Moralès : Tiago Matos, Le Dancaïre : Franck Lopez, Remendado : Sahy Ratia

extrait :

 

Prochaines représentations : Champ de Bataille (27) les 22 et 23 Juin à 20h30, Prix des places : de 25 à 75 €

Château de Vincennes les 29 et 30 juin à 20h30, Prix des places de 25 à 85€

Cité de Carcassonne (11) le 3 juillet à 21h30, Pris des places 56 et 66 €

Domaine National de Saint Germain en Laye (78), les 6 et 7 Juillet à 20h30, Prix des places de 25 à 85 €

Château de Haroué (54) les 31 Août et 1er Septembre  à 20h30, Prix des places de 25 à 85 €

et enfin à l’Hotel National des Invalides (Paris) les 5, 6, 7 & 8 Septembre à 20h30, Prix des places de 25 à 95 €

Pour les réservations : www.operaenpleinair.com

0892 68 36 22 ( N° surtaxé à 0.34€ la minute!)

et dans les points de vente billetterie, Fnac, Carrefour etc

pour Château du champ de bataille :possibilité d’achat à l’office du tourisme du Pays du Neubourg ( 02 32 35 40 57) ou Office de Tourisme du Grand Evereux ( 02 32 24 04 43)

Pour le Château de Vincennes : office de tourisme de Vincennes (01 48 08 13 00)

Pour Carcassonne : festivaldecarcassonne.fr  (04 68 11 59 15)

Pour le Domaine de Saint Germain en Lhaye : office de tourisme (01 30 87 20 63

Pour Château de Haroué : Nancy Tourisme (03 83 35 22 41), Office de tourisme d’Epinal (03 29 82 543 32) et Label Ln ( 03 83 45 81 60)

Bon à savoir: pour les personnes à mobilité réduite un accès facilité est prévu en signalant la venue à l’avance à la production, avec possibilité d’un parking VIP, une place garantie en orchestre (quel que soit le prix payé).

Premier Violon : Anne Gravoin

 

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J’ai pris un plaisir énorme à voir cette pièce et je vous encourage vivement à en faire autant.

Retour à Berlin dans les années où le nazisme apparaissait, où il ne faisait pas bon être juif , homosexuel ou communiste, et où les allemands appréciaient d’aller dans des cabarets un peu glauques, tels qu’on les a connus par exemple dans le célèbre film Cabaret. L’atmosphère est la même, l’histoire différente, qui est l’oeuvre de Stephan Druet, à qui on doit déjà des pièces comme :

  • Évita, amour, gloire etc.,  ou Renata avec Sebastian Galeota toutes 2 à la Comédie Bastille
  • ou plus récemment:
  • L’Histoire du Soldat (du livret de Charles-Ferdinand Ramuz) avec Julien Alluguette ( Molière 2018 de la comédie musicale)

 

 

 

BERLIN KABARETT , mise en scene Stephane Druet Marisa Berenson, Sebastian Galeota, photo : Victor Tonelli

Ce cabaret est mené par Kirsten (Marisa Berenson) qui a eu un fils Viktor, homosexuel exploité par sa mère au cabaret, fils qu’elle déteste (Sebastain Galeota) , et dans ce cabaret on y retrouve un pianiste compositeur, un ex amant de Kisten, ainsi que deux autres musiciens (Fritz :Stéphane Corbin en alternance avec Simon Legendre,  Karl ;Jacques Verzier en alternance avec Olivier Breitman, Loïc Olivier ou Hugo Chassagnol aux percussions, Victor Rosi, cornet) . Les costumes sont superbes et bien dans le ton, créés par Denis Evrard. Intelligemment la petite salle en sous sol du Théâtre de Poche Montparnasse a été totalement transformée pour l’occasion, on se croirait dans un cabaret, avec tables et chaises et consommations possibles si vous êtes à table. Stephan Druet a ainsi créé un cadre propice aux chansons interprétées par les principaux protagonistes, et on est totalement sous le charme. Certes Marisa Berenson n’avait rien à prouver, et elle est vraiment parfaite dans le rôle de cette femme aussi aigrie que méchante. Mais la découverte pour beaucoup sera Viktor, Sebastian Galeota, venu d’Argentine, qui chante, danse, virevolte, nous offre des pirouettes , et qui est au centre de cette pièce. C’est plus qu’une performance qu’il nous offre, comme il l’avait déjà fait dans Renata ou Evita, mais cette fois c’est encore plus fort et plus marquant, et j’espère bien rencontrer ce Monsieur pour un entretien prochainement.

Sebastian Galeota

Quand je vous dit que c’est du grand art, je ne suis pas le seul à le penser, parce que le public ne s’y trompe pas. Le spectacle affiche complet tous les soirs, et vu que le nombre de représentations est limité, on ne peut que réserver le plus possible en avance, en espérant que le Poche Montparnasse reprenne ce spectacle pour une durée encore plus longue tant c’est mérité.

 

Réservations OBLIGATOIRES, si vous voulez faire partie des 75 privilégiés à applaudir chaque soir Berlin Kabarett comme il se doit.

Renseignements et réservations par téléphone au 01 45 44 50 21 ou au guichet du théâtre les lundi, mardi, jeudi et vendredi de 14h à 18 h, les mercredi, samedi et dimanche de 11h à 18h

Réservations possibles sur le site : www.theatredepoche-montparnasse.com

Jusqu’au 15 juillet du jeudi au samedi à 21h et dimanche à 17h30

Tarifs à partir de 18€

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Quand un producteur (Laurent Ruquier) veut faire plaisir à ses amies, à un célèbre compositeur, Claude Bolling et à lui-même, cela donne un spectacle fort sympathique: Les Parisiennes.

A moins d’être né avant les années 60, peu de chance que ce nom vous dise quelque chose. Les Parisiennes. Il y avait bien un dessinateur humoristique (Kiraz) qui les caricaturait chaque semaine dans un magazine appartenant à Marcel Dassault ( Jours de France) mais il y avait un groupe de 4 jeunes femmes qui ont connu un immense succès, sous la houlette de Claude Bolling en 1964 avec ce titre : Il fait trop beau pour travailler, qui sera suivi par beaucoup d’autres titres pendant une dizaine d’années, mais la majorité de ces titres étaient passés dans les oubliettes. C’était sans compter Laurent Ruquier. L’animateur de RTL et de France 2  a dû garder des souvenirs émus de ces 4 jeunes femmes dont je serais totalement incapable de me souvenir, que ce soit de leur nom ou de leur physique, et a décidé de re-créer un groupe version 2018, avec Arielle Dombasle, Mareva Galanter, Helena Noguera et Inna Modja, qui ont ré enregistré certains titres des Parisiennes années 60, en ajoutant un immense succès populaire du à Sandie Shaw, qui avait remporté l’Eurovision avec ce titre anglais : Puppet On A String , dont la version française, par la même artiste s’appelait Comme Un Tout Petit Pantin, et qu’avaient repris Les Parisiennes. D’autres titres nous reviennent en mémoire quand elles les interprètent sur scène , comme L’Argent Ne Fait Pas Le Bonheur , mais il faut bien avouer que le temps a fait son oeuvre, et que la majorité des titres restent inconnus.

 

La mise en scène de Stéphane Jarry est alerte, les nombreux costumes des 4 protagonistes sont très kitch, et les danseurs ajoutent un peu de piment à la sauce. Certes nous ne parlons pas de performance, ni de spectacle de l’année ici, mais juste d’une soirée sympathique aux Folies Bergère. On se souvient quand même que Monsieur Claude Bolling qui affiche aujourd’hui 88 printemps, a composé de nombreuses partitions pour des films, entre autres : Borsalino, Le Magnifique,  L’homme en Colère, L’année Sainte, Le mur de l’Atlantique

le clip Il fait trop beau pour travailler :

et un extrait du final du spectacle :

 

 

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Le dernier spectacle de Sheila, il y a quelques mois a connu un énorme succès qui s’est joué à guichets fermés. On attendait le Bluray,: le voilà, et on attend déjà son retour sur une scène parisienne, ce sera chose faire le 28 décembre prochain, à la salle Pleyel.

Le son et l’image sont de tout beauté, vous avez le choix entre le son Dolby Digital et la version en DTS

Un petit making of vous réserve quelques surprises:

Quant aux titres interprétés : en voici la liste. Elle est accompagnée sur scène par le groupe H Taag

Kennedy Airport ;

Le tam-tam du vent ;

Blancs, jaunes, rouges, noirs ;

Je suis comme toi ;

Partir ; (inédit)

Johnny, Sylvie, Cloclo et moi ;

Si je chante encore ;

Pop Art ;

Bang Bang ;

Medley cajun (Le folklore américain, L’heure de la sortie, Enfin réunis, Prends la vie comme elle vient, Onle Jo) ;

Emmenez-moi ;

Belle journée ;

Pour sauver l’amour ;

L’écuyère ;

Little Darling ;

Tangue au ;

Ooh La La ; (inédit)

Mélancolie ;

Spacer ;

Les rois mages ;

Aimer avant de mourir.

©C.Boulmé

 

La tournée actuelle :

Le 27/04 – Woincourt (80) – Vim’ Arts
– Le 28/04 – Roye (80) – Théâtre de Roye
– Le 17/05 à Nevers (58) – Maison de la Culture
– Le 20/05 à Alizay (76)
– Le 31/08 à Barbezieux (16)
– Le 06/09 à Châlons-en-Champagne (51) – Parc des expositions
– Le 22/09 à Fraize (88)
– 01/12 à Bretteville l’Orgueilleuse (14) – Le Studio
– Le 14/12 à Lyon (3ème) – Bourse du Travail

et le 28 décembre à la salle Pleyel à Paris

 

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C’est dans cette deuxième partie que le tour de chat a nettement changé, de par l’hommage à Johnny Hallyday  en fin de spectacle. Hommage d’une durée de plus de 30 minutes

 

Toutes les photos : @ Guy Courthéoux

Et voici une photo signée Daniel Millet, que je remercie pour ce cliché souvenir :

Pour voir les photos de la première partie :

SYLVIE VARTAN au grand Rex à Paris, les photos de la première partie

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Adaptation française d’un spectacle canadien d’une grande intelligence, Patrick et ses fantômes n’est pas un spectacle qui fait peur, loin s’en faut.

Tout d’abord il faut savoir une chose : les fantômes sont ceux de grands compositeurs: Bach, Mozart, Beethoven qui apparaissent par la magie d’une ‘Flûte Enchantée’. Il y a certes  en fin de spectacle l’arrivée de Satie, mais on en reparlera plus tard. Patrick est seul dans l’appartement d’Edgar, au Canada, et il somnole, lorsque des bruits le ‘réveillent’. Il s’agit de Papageno, le héros de la Flûte Enchantée de Mozart, qui va lui laisser deux objets en souvenir : une boule de cristal contenant les connaissances de l’humanité et une Flûte dont il serait mieux de ne pas jouer. Mais c’est alors qu’on découvre, caché derrière le rideau un orchestre de 25 musiciens sur scène….et tout débute, un premier morceau interprété fera apparaître Johann Sebastian Bach,  qui va converser avec lui, et découvrir que son nom est resté célèbre avec les siècles passés, puis ce sera au tour de Wolgang Amadeus Mozart, qui se chamaille avec Bach, avant que le rideau termine la première partie avec l’arrivée d’un troisième compositeur ultra célèbre : Ludwig Van Beethoven. Le rideau se lève pour la 2ème partie avec les trois illustres personnages, toujours accompagnés par l’orchestre, et pendant le spectacle, on entendra bien d’autres compositions qui ne sont pas signées d’eux, comme La Veuve Joyeuse, des extraits de Johan Strauss, Franz Léhar, Giuseppe Verdi et bien d’autres. En fait l’orchestre va faire, excusez le terme, mais je ne vois pas d’autre qualificatif : un ‘best of’ du classique. Des airs que tout le monde connaît, même ceux qui ne sont pas amateurs de ce genre de musique. La salle vibre, entonne, fredonne, c’est un spectacle magique avec PPDA tel qu’on peut l’imaginer sans le connaître, qui domine la distribution et jongle avec les mots et les dialogues des compositeurs. On en redemande. Un seul bémol (je ne pouvais pas ne pas faire ce genre d’à peu près), la présence d’un compositeur plus proche de nous, Erik Satie, dont les oeuvres n’ont pas franchi le temps, et dont la présence ne se h=justifie que par le quartier de lune  au dessus des musiciens. . Cela ne gâche pourtant pas le plaisir de ce spectacle, mais on peut malgré ce petit bémol parler de perfection!

 

Les comédiens qui entourent Patrick Poivre d’Arvor sont tout aussi talentueux : Vincent Bilodeau est Bach, André Ritaille est Mozart, Sylvain Massé Beethoven et Gilbert Lachance est Satie.  L’auteur, Normand Chaurette est venu assister à la première représentation  en France, dans une mise en scène de Normand Chouinard ( en France : André Robitaille). L’orchestre est dirigé avec brio par  Jean-Pascal Hamelin, et on ne peut passer sous silence celui qui a eu l’idée de ce spectacle : Jean Claude Dumesnil.

 

Voilà un spectacle musical intelligent qui devrait plaire tout autant à ceux qui écoutent du classique qu’à ceux qui viennent ici pour le découvrir.

 

Rencontrer un grand homme comme PPDA pour nous parler de ce spectacle est un grand moment:

 

Interview de Patrick Poivre d’Arvor : @Guy Courthéoux / onsortoupas.fr

Les extraits sonores : tous droits réservés, production

 

Patrick et ses fantômes, c’est au CASINO DE PARIS jusqu’au 13 Mai

du mercredi au vendredi à 20.30, les samedis: 15.00 et 20.30 et dimanches : 15.00

Prix des places : de 35 à 89€

Réservations : www.casinodeparis.fr

au guichet : 16 rue de Clichy – 75009 Paris

Du lundi au vendredi de 14h00 à 17h00
Ouverture les samedi, dimanche et jour férié
uniquement en cas de représentation,
1 heure avant le début de la séance

par téléphone (surtaxé) : 08 926 98 926 (0.40€ la minute)

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Second Gala de Sylvie Vartan au Grand Rex, qui affichait archi complet ce samedi soir.

Une fois encore  nous sommes sous le charme de Sylvie, qui a traversé les époques toujours avec autant de succès. Elle revient avec sa veste dorée dans la première partie et nous offre un retour dans le temps, à ses débuts dans les années 60. Cette première partie est quasiment celle que l’on avait adoré lorsqu’il a été présenté à l’Olympia, avec toutefois le retour très attendu d’un de ses titres fétiches : Irrésistiblement . Inutile de dire que les tubes sont tous là, et que le public les fredonne avec elle.

Vous voulez lire l’article sur l’Olympia 2017 et voir d’autres photos: http://www.onsortoupas.fr/sylvie-vartan-a-lolympia-un-concert-exceptionnel-et-inoubliable-photos-exclusives/ 

ou encore : http://www.onsortoupas.fr/sylvie-vartan-le-samedi-16-septembre-2017-a-lolympia-avec-des-photos-exclusives/

 Quelques titres de cette première partie:

Quand tu es là
My boyfriend’s back
Chance
C’est bon de vous voir
Mister John B.
Love has laid its hands on me

Est-ce que tu le sais
En écoutant la pluie
Bye Bye Love
Tous mes copains
Danse-là, chante-là
Il revient
Gonna Cry
La plus belle pour aller danser
Dis lui qu’il revienne
Par amour par pitié
Comme un garçon
Moi je danse

garde moi dans ta poche
Da dou ron ron……….

t!

TOUTES LES PHOTOS : @ Guy Courthéoux, onsortoupas.fr

Tous droits réservés. Toute utilisation doit faire l’objet d’un accord

La suite avec la seconde partie très bientôt.

Nombreuses autres photos sur d’autres spectacles sur le site. N’hésitez pas à déposer vos commentaires.

Après avoir été à l’affiche du Théâtre Le Comedia de janvier à avril 2016, revoilà le spectacle, avec quelques changements en tournée, en France et à l’étranger, avec quelques jours à l’Olympia.

Le musical de Jean-Pierre Hadida sur un livret d’Alicia Sebrien et Jean-Pierre Hadida revient en France pour une tournée. la mise en scène est assurée par Pierre Yves Duchesnes, avec la participation de Gwendal Marimoutou et Claire Jomard, et surtout les chorégraphies de Johan Nus. L’histoire de celui qui est devenu un symbole débute dans les années 50 à Johannesbourg où Nelson Mandela (Jean-Louis Garçon) ouvre le premier cabinet d’avocats pour les noirs en Afrique du Sud. L’apartheid, le massacre de Shapeville seront au coeur des problèmes avant qu’il ne soit arrêté et condamné à la prison à vie. 20 ans plus tard le jeune Sam (Jean-Luc Guizonne) se retrouve dans cette même prison et fait connaissance avec Madiba qui sera son modèle. On ajoute une histoire d’amour entre une belle black (Juliette Behar) et Will (Gwendal Marimoutou, qui assure aussi la direction artistique du spectacle) le fils du chef de la Police , un Africaner blanc (Roland Karl). On connaît la suite. Après 27 ans derrière les barreaux, Nelson Mandela retrouve la liberté et deviendra Président de la République.

 

Si la tournée française dont voici les dates ci-dessous va faire connaître ce spectacle, les dates à l’Olympia sont très attendues:

 

Et ce n’est pas tout, le spectacle va se retrouver aux antipodes de la France :  le musical sillonnera l’Australie à partir de Septembre.  Le spectacle sera présenté en avant-première du 27 au 29 septembre au Lighthouse Theatre de Warrnambool puis sera au Comedy Theatre à Melbourne du 3 au 21 octobre avant Sydney du 1er au 11 novembre au State Theatre puis enfin à Canberra au Canberra Theatre Centre. You Prod et The Prestige Presents produisent cette première tournée internationale de Madiba, le musical qui devrait être suivie de plusieurs autres sur un autre continent.

Il n’en fallait pas plus pour succomber à l’envie d’un entretien avec ce jeune comédien chanteur, Gwendal Marimoutou, qui s’est déjà fait un nom dans les comédies musicales. et voilà le résultat:

Gwendal est une véritable révélation, qui va faire un long chemin, il est certain qu’on va le retrouver  régulièrement sur ce site.

Prix des places à l’Olympia : de 29 à 79 €

Pour la tournée, voir les détails pour les tarifs sur :  http://www.infoconcert.com/artiste/madiba-le-musical-143812/concerts.html

la bande annonce :

 

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Elel a 28 ans, vient de Liège, elle a connu un franc succès au Festival d’Avignon l’an dernier, avant de venir sur scène à Paris au point Virgule il y a quelques semaines.

 

 

Manon Lepomme  est considérée comme la révélation belge de l’humour au Festival d’Avignon 2017, qui se distingue avec un One Woman show ( je sais on dit seule en scène, mais j’ai le droit d’écrire comme je le veux, non?) désopilant, avec sa présence devant un public rapidement conquis. Seule sur scène? en fait non, il y a une petite table, et sur cette table une assiette et un petit gâteau! Elle ne manque pas de répartie, ni d’auto dérision.

Photos : Sébastien Lelièvre

Bref on l’aime au premier regard. pour vous faire partager ce moment, je l’ai rencontrée au Grand Point Virgule, à quelques jours de sa tournée française:

 

 

 Le tournée:

Mazingarge le 2 mars à 20.00

Huy le 3 Mars à 20.00

Thorigny sur Marne / Le Moustier, le 6 Mars 20.30

Lille, le 7 mars  20.30

Saint Guislain, le 8 mars 18.30

Drogenbos le 9 mars  21.00

Flémalle, le 10 mars à 19.00

Saint Gervais, le 12 Mars à 20.00

Lille, 14 Mars 21.30

Festival de Vienne, le 14 Mars 20.30

Verviers, le 17 mars 20.00

Charleroi, le 19 mars 20.30

Lille, le 21 mars 21.30

Jambes, le 22 Mars 20.30

Enghien, 24 Mars 20.00 et 25 mars 15.00

Lille, 28 mars 21.30

Auderghem, le 30 Mars  20.00 et 21.45

Aix en Provence , les 12, 13, 14, et 15 avril à 21.00

Liège, le 19 avril à 20.00

Albi, les 20 et 21 avril à 21.00

Grenoble, le 26, 27 et 28 avril à 21.00 et 3, 4 et 5 mai à 21.00

Habay, le 17 mai à 20.00

Liège , le 18 et 24 mai à 20.00

Fismes, le 26 mai à 20.00

Versailles, les 1 et 2 juin à 20.30

Toulouse, les 7, 8 et 9 Juin à 20.00

Rennes, les 12, 13, 14, 15 et 16 juin à 20.00

Bois de Lessine le 23 juin à 21.00