Théâtre

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Un classique de la littérature, une adaptation théâtrale réussie, un succès mérité,  arrive au Théâtre La Bruyère

 

Faire un voeu et s’apercevoir qu’il se réalise, voilà ce qui arrive au jeune Dorian Gray (Mickael Winum). Alors qu’il se faire peindre son portrait par Basil (Fabrice Scott ou  Maxime de Toledo), il fait ce voeu de demeurer pour toujours dans la splendeur de sa jeunesse. Il fait ce voeu en la présence de celui qui deviendra son ami et mentor (voire plus?) (Thomas Le Douarec). Ajoutons Celle qui jouera plusieurs rôles : en alternance Caroline Devisme ou Solenn Mariani, et les cartes sont placées. Le roman d’Oscar Wilde est superbe, classique de la littérature et tout le monde, ou presque, connaît l’histoire de ce tableau qui vieillit  alors que celui qui a posé garde à jamais les traits de la jeunesse.

Thomas Le Douarec  est l’auteur et le metteur en scène de cette fable pour la scène. La pièce a déjà connu le succès partout où elle a été jouée. Cet homme de théâtre a de nombreux succès à son actif, citons, entre autres, Vol au dessus d’un nid de coucous (Théâtre de Paris), Le Dindon de Feydeau (Théâtre La Bruyère), Arrête de pleurer Pénélope ( Café de la gare, Palais des glaces) qui a attiré plus d’un million de spectateurs! C’est donc avec des assurances de qualité qu’on peut se rendre au Théâtre le Ranelagh pour voir cette version du Portrait de Dorian Gray. Et il est certain qu’on ne peut pas être déçu. On tombe immédiatement sous le charme de celui qui incarne Dorian : Mickael Winum.

Pour que vous en soyez assurés, une rencontre filmée s’est imposée: la voici dans son intégralité :

Le spectacle se joue en français du mardi au samedi à 21h00, matinées samedi à 16h30 et dimanche à 15h00

Renseignements et Réservations : 01 48 74 76 99

Pris des places : 22 à 32 €

Théâtre la Bruyère 5 rue La bruyère 75009 Paris, Métro : St Georges (ligne 12)

 

Toutes les photos : @ Ben Dumas

 

Comédien, réalisateur, auteur, j’en passe, voilà un véritable homme de spectacle : Marc Jolivet

Marc sera avec sa fille Camille sur la scène du Théâtre de la Tour Eiffel à partir du 28 Février. Comme personne ne saurait mieux que lui nous parler du spectacle, le plus simple était de le rencontrer:

Donnons lui donc la parole:

Comme vous avez pu le noter, Marc, tout autant que Camille, vont à coup sur vous transporter dans un monde de comédie lors des représentations d’ADN à partir du 28 Février au Théâtre de la Tour Eiffel.  Au lieu du Stand Up, Marc Jolivet pratique le Lie Down, il dialogue avec sa voiture (trop) intelligente, sort vainqueur d’une attaque de drone, remet le César du meilleur dictateur, fait le bilan pas très carbone de Nicolas Hulot et d’Emmanuel Macron.

Il offre des bitcoins aux spectateurs et des coquelicots aux spectatrices (il est le parrain de l’Appel des Coquelicots), imite une tranche de foie de veau grillée, fait l’amour à sa tablette grâce à la biotechnologie.

Pendant que Victor Hugo rencontre Johnny Hallyday au Paradis.

 

Il danse, il chante, il délire, le monde change, pas lui !

Au Théâtre de la Tour Eiffel
Du jeudi au samedi à 19h et le dimanche à 15h

TARIFS

Carré Or : 39€
1ère Cat. : 34€
2ème Cat. : 28€

Réservations :
Guichet billetterie ouvert du mardi au vendredi à partir de 13H, le samedi à partir de 11H et le dimanche à partir de 14H –
Téléphone : 01 40 67 77 77 

 

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Un jeune comédien, qui n’a rien d’un débutant, auteur de quelques pièces déjà: Rudy Milstein est actuellement sur la scène du Théâtre Lepic avec une pièce formidable : J’AIME VALENTINE, MAIS BON….

Si le nom Rudy Milstein ne vous dit rien, peut-être vous souvenez-vous de ce mec brun, cheveux hirsutes, barbe clairsemée qui a joué dans la Troupe à Palmade, et dans des comédies qui ont marqué le théâtre ces dernières années : L’Entreprise, Cousins Comme Cochons, ou C’est encore mieux l’après midi, lors des représentations au Théâtre Hébertôt. Auteur, sa première pièce, les Malheurs de Rudy, avait connu un franc succès dans plusieurs salles à Paris. Plus récemment il était aux côtés de Richard Berry dans LA NOUVELLE au théâtre de Paris.

Pour sa nouvelle pièce, qui se joue dans un théâtre racheté récemment pas Salomé Lelouch (ex Théâtre XIII), le théâtre Lepic, il se retrouve, sous la houlette du metteur en scène Mikael Chirinian, aux côtés d’Agnès Miguras (Valentine) et Farid Bouzenad (Marc) . Il est Idal , un mec paumé, mais pas trop, qui a envie d’être heureux, mais qui est plutôt flemmard, amoureux de Valentine, qui a gardé d’excellents contacts avec son ex, Marc. Il y a  des  juifs, des goys, un peu des musulmans aussi. On mélange, on secoue, et on obtient des rires dans la salle.

Une rencontre s’imposait, tant ce comédien respire la sympathie:

la bande annonce :

Les bons moments de théâtre où on rit tout en gardant l’esprit éveillé, sans pour autant nous mettre martel en tête, sont rares, en voici un, ne le manquez pas.

 

 

TOUTES LES PHOTOS : ©FabriceROBIN

J’AIME VALENTINE, MAIS BON c’est au Théâtre Lepic ,

Du mercredi au samedi à 21h00

Réservations :

Par téléphone à partir de 17h :
01 42 54 15 12 (paiement CB).

Sur place aux mêmes horaires.      1 avenue Junot, Paris 18ème.

En ligne sur le site de réservation :
theatrelepic.com

 

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48 ans avant il y avait un film, signé Jacques Demy, tiré du conte de Charles Perrault…en voici la version scénique:

On ne raconte pas le conte de Perrault, mais tout le monde se souvient du film de Demy qui réunissait Catherine Deneuve, Jean Marais et Jacques Perrin, avec des musiques et des chansons de Michel Legrand. Impossible d’oublier ces airs, qui depuis sont devenus cultes, et surtout totalement impossible de ne pas se souvenir de ces robes incroyables. On pourrait penser que rien ne ferait oublier le film, mais c’est sans compter sur des talents réunis. Tout d’abord le directeur de théâtre Marigny qui a rouvert ses portes récemment : Monsieur Jean-Luc Choplin. Le créateur de la musique, Michel Legrand, a adapté ses chansons du film vers la scène. La mise en scène mérite bien des éloges (merci Emilio Sagi); les costumes, et notamment ceux de l’héroïne peuvent faire oublier ceux du film. Merci cette fois à toute l’équipe de création : Daniel Bianco, Pepa Ojanguren, Nuria Castejon.

Mais les yeux se tournent surtout vers la belle héroïne : Marie Oppert, que l’on retrouve devant notre caméra, en salle de maquillage et de coiffure:

 

Vous aussi êtes tombé sous son charme? rien de plus normal. Non seulement elle est charmante, gentille dans le meilleur sens du terme, elle a une voix et une prestance sur scène. ce n’est pas de la graine de star, non, c’est une jeune star de 21 ans, qui ne se la joue pas.  Elle est Peau d’âne, mais c’est elle qui chante, qui joue la comédie, et qui éclipse quasiment tous les autres protagonistes, sans pour autant chercher cela. Profitez des dernières représentations, essayez de trouver encore quelques places, cette féerie vous enchantera dès les premières minutes, avec l’apparition de Claire Chazal dans le rôle de celle qui raconte l’histoire, et toute la troupe : Michael Denart, Emma Kate Nelson, Olivier Fredj, Marie Agnès Gillot, Christine Gagneux, Franck Lopez.

TOUTES LES PHOTOS / @ JULIEN BENHAMOU

Peau d’âne, c’est au Théâtre Marigny, jusqu’au 17 Février

Du mardi au samedi : soirée à 20h et en matinée à 15h le samedi et à 16h le dimanche

Prix des places de 36€ à 105€

Réservations : theatremarigny.fr ou 01 76 49 47 12

quelques extraits :

 

Après 2 immenses succès public, 12 Hommes en Colère et Misery, voici 7 morts sur ordonnance, écrit par Francis Lombrail et Anne Bourgeois, inspiré du film de Jacques Rouffio du même titre.

Basé sur des faits divers qui se sont déroulés fin des années 60, Jacques Rouffio en avait tiré un film  en 1975 qui réunissait Gérard Depardieu, Michel Piccoli, Jane Birkin et Marina Vlady , sur un scénario original de Georges Conchon. Francis Lombrail en a gardé une base de la trame, comme il nous le révèle au micro d’Onsortoupas :

Beaucoup de protagonistes masculins sur scène, mais le charme de Julie Debazac va opérer sur les spectateurs à n’en pas douter, vu qu’il a fonctionné à fond sur moi:

7 Morts sur Ordonnance, c’est à partir du  29 Janvier du mardi au samedi à 21h00 et le dimanche à 15h30

Prix des places : 15 à 56 €

Réservations : www.theatrehebertot.com

par téléphone :  01 43 87 23 23 du lundi au samedi de 11h00 à 18.00, et le dimanche : 11h à 14h (si spectacle)

2 extraits :

 

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Comédienne adorée des français, auteur de talent, Anny Duperey revient pour quelques jours sur la scène du Théâtre Edouard VII

Ce n’est pas vraiment un seul(e) en scène, vu qu’elle est accompagnée par Simon Mimoun au violon, ce n’est pas vraiment une lecture de son livre Les Chats du Hasard, parce que cette comédienne adorable vit son histoire, nous captive, joue, virevolte, devant une salle subjuguée. Quel talent! que de bonheur dans cette belle salle, la mise en scène est parfaite, signée Ninon Brétecher ! On pourrait rester des heures à l’écouter, à la regarder, et plus particulièrement si on a un animal à 4 pattes, félin si possible. On se sent concernés, on écoute encore plus attentivement.

 

Ce ne fut pas ma première rencontre avec cette immense comédienne, nous nous étions rencontrés dans un Festival de cinéma dans les sommets d’Avoriaz, il y a bien des années. Mais le plaisir de l’interviewer est resté intact :

Profitez des dernières représentations avant la fin de l’année, ne vous laissez pas immobiliser par des gilets quelque soit leur couleur. Venez passer un pur  moment de délices .

Les Chats de Hasard, c’est au théâtre Edouard VII, 10 place Edouard VII (tout proche de l’Olympia)

Du jeudi au samedi à 19h00 et les dimanches à 18h00, jusqu’au 30 Décembre

Réservations au 01 47 42 59 92

ou www.theatreedouard7.com

 

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La pièce française la plus jouée au monde, Boeing Boeing, revient sur les planches parisiennes, dans une version plus courte adaptée aux normes actuelles:

Créée en 1960 par Marc Camoletti, cette pièce a été jouée plus de 25.000 fois de par le monde,  la voilà de retour dans une grande salle parisienne après une longue absence. Il est vrai que la pièce a subi quelques changements, quelque cure de rajeunissement. Lors de sa création, la ‘norme’ du théâtre était d’une durée de 2h00, voire plus, maintenant, on est beaucoup plus proche des 90 minutes. Philippe Hersen qui a mis en scène cette nouvelle mouture a donc dû procéder à quelques coupes, ne serait-ce que pour rajeunir, et conserver le rythme. On est dans la véritable comédie de boulevard, avec portes qui claquent. Le spectateur  suit le rythme, qui rit de bout en bout.

On est dans un bel appartement parisien, qui appartient à Robert (Frank Leboeuf), éternel célibataire qui jongle avec ses 3 maîtresses (Cundy Cayrasso, Marinelly Vaslon, Caroline Ami), toutes hôtesses de l’air, et qui ne se sont jamais croisées. Mais aujourd’hui, un petit accroc va tout changer dans cette mécanique bien huilée. Berthe, la bonne à tout faire, accueille un ami de son patron va ouvrir les portes de l’appartement à un ami de jeunesse de Robert (Thierry Samitier), qui ne sait pas vraiment dans quel monde il débarque. Si tous les rôles sont bien huilés et superbement joués, celui de Berthe est vraiment merveilleux pour une comédienne.

Nous avons rencontré Véronique Demonge, qui possède une bonne dose d’humour :

La salle est comble tous les soirs, les rires fusent de toutes parts, on comprend que cette pièce, adaptée au cinéma avec Tony Curtis et Jerry Lewis en 1965, retrouve le succès public. Il est quand même rare de rire autant, et de voir la salle complice, qui réagit immédiatement aux bons mots, aux situations. Même si vous l’aviez déjà vu, la pièce semble ne pas avoir pris de ride, c’est la meilleure preuve que c’est une réussite!

Boeing, Boeing, c’est au Théâtre Daunou, 7 rue Daunou  Paris

du mardi au samedi à 21h00 avec matinée samedi à 17h00.

Prix des places : 22 à 47 €

Réservations : 01 42 61 69 14

Thierry Samitier, Caroline Ami, Frank Lebœuf, Marinelly Vaslon, Cindy Cayrasso et Véronique Demonge « Boeing Boeing » au théâtre Daunou à Paris, à l’arrière en chemise rouge, le metteur en scène, Philippe Hersen.

Touche à tout du spectacle, de la radio, Jean François Derec arrive sur la scène du Petit Montparnasse avec l’adaptation de son roman paru chez Denoël : Le Jour où j’ai appris que j’étais Juif.

L’action se passe à Grenoble. Derec 10 ans. Christine, 11 ans, elle propose de montrer ses seins si lui baisse son pantalon. Il est timide et décline la proposition. Elle rétorque : « Je sais pourquoi tu ne veux pas me le montrer. Parce que tu es juif et que tu as le zizi coupé en deux ! » Le ciel lui tombe sur la tête. Sa mère était-elle au courant qu’elle avait mis au monde un enfant juif ? Comment arrêter d’être juif et devenir un vrai Grenoblois comme tout le monde ?

Jean François Derec en parle lui-même: « Il s’agit de l’adaptation au théâtre de mon roman autobiographique éponyme paru chez Denoël. C’est l’histoire d’un petit garçon qui, dans les années 60, découvre qu’il est Juif, alors que ses parents, survivants juifs polonais, ont déployé une énergie surhumaine pour le lui cacher. Et comment il met 40 ans à régler ce petit problème. C’est l’histoire d’une mère juive qui, toute sa vie, poursuit un rêve : Tout oublier, tirer un trait sur son passé, devenir une vraie Française, encore plus française que les Françaises, c’est-à-dire… Grenobloise. Le devoir de mémoire ? De la rigolade. Pour elle, c’était plutôt le devoir du trou de mémoire qui s’imposait. C’est l’histoire d’un futur comique qui apprend l’humour par son père. Et l’angoisse par sa mère »

 

Mais une rencontre avec ce Monsieur s’imposait, après avoir vu son spectacle lis en scène avec brio par Georges Lavaudant, un spectacle émouvant et drôle, où il ne mâche pas ses mots.

Voici cette rencontre filmée:

Jean-François Derec a débuté dans les années 68, en se lançant dans le café théâtre qui vit ses premiers jours.  À la télévision on le remarque dans le « Théâtre de Bouvard » en 82, puis dans « La Classe , et plus tard, avec Laurent Ruquier, (également à la radio). Sur scène, il invente son personnage de Gérard Bouchard, l’homme au bonnet rouge. Au théâtre il joue notamment dans : « Nuit d’ivresse » ,  » La boutique au coin de la rue », «Espèces menacées» « La presse est unanime » de L. Ruquier, parmi d’autres. Il joue aussi dans une cinquantaine de films dont « Marche à l’ombre », « Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des  parents communistes » Il a écrit plusieurs romans, notamment «Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des  parents communistes »(J-C. Lattès) et « Le jour où j’ai appris que j’étais juif »

 

LE JOUR Où J’AI APPRIS QUE J’éTAIS JUIF, au Petit Montparnasse, du mardi au samedi à 21h00, et le dimanche à 15h00

Relâches exceptionnels les 25 décembre & 1er janvier
Représentation supplémentaire 
le lundi 31 décembre à 21h

Réservations : 01 43 22 77 74, ou www.theatremontparnasse.com

Tarifs:

1° catégorie : 34 €
2° catégorie : 22 €
– de 26 ans: 10 €

Tarifs exceptionnels pour le réveillon du 31 décembre à 21h
1° catégorie : 44€
2° catégorie : 28€

 

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Radieuse Vermine: drôle de titre pour cette comédie à l’humour british, difficile à décrire mais servie par des comédiens qui se donnent à fond.

Fleur (Joséphine Berry) et Olive (Louis Bernard) attendent un enfant. Ils ont envie d’une vie meilleure et flânent en rêvant à une belle cuisine, une belle chambre, etc. Une lettre glissée dans la boite leur propose une offre difficilement récusable. Mais ils doivent rénover cette maison, actuellement sans eau ni électricité. Ils vont accepter cette proposition quasi diabolique, pour le  « bonheur de leur futur enfant ». Mais qui est donc cet agent immobilier (Floriane Andersen) qui leur fait miroiter monts et merveilles? . Une mécanique loufoque et macabre se met en place. Jusqu’où vont-ils aller dans leur quête du bonheur matériel ?

 

Difficile de mieux résumer la pièce, sans trop en dévoiler. La mécanique mise en marche, on se demande quelle serait notre réaction devant une proposition aussi alléchante. Philip Ridley, auteur du texte original n’a pas été trahi par l’adaptateur du texte pour la France : Louis Bernard. La mise en scène reste dans la ton, signée David Mercatali.

 

Toutes les photos : Copyright : Jessica Forde

Double occasion pour rencontrer ce personnage, pour un entretien qui commence ( et se termine) dans le rire et la bonne humeur:

Radieuse Vermine, c’est au Petit Montparnasse, du mercredi au samedi à 19h00, matinées samedi à 16h00 et le dimanche à 17h15

Places 18 à 32 €. Moins de 26 and : 10€ mercredi et jeudi selon disponibilités

Réservations : www.theatremontparnasse.com ou par téléphone : 01 43 22 77 74

 

la bande annonce :

 

 

 

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Il y a quelques mois, vous aviez pu lire sur ce site tout le bien que je pensais de cette comédie.:

http://www.onsortoupas.fr/deux-mensonges-et-une-verite-au-theatre-rive-gauche-des-comediens-excellents

Pour aller plus loin, nous avons rencontré les 2 auteurs, qui ne manquent ni de talent, ni d’humour. On s’amuse presque autant à les écouter qu’à voir leurs textes joués sur scène.

Vous allez comprendre que cette rencontre est, sinon explosive, tout du moins fort intéressante :

Et , si vous n’avez pas encore eu l’occasion d’entendre leur prose, ou si, comme les spectateurs de la salle, vous avez trop ri pour entendre 100% du texte, un éditeur a eu l’excellente idée de sortir le texte en intégrale:

 

Deux Mensonges et Une Vérité, c’est du mardi au samedi à 21.00 et en matinée le dimanche à 15.00 au Théâtre Rive Gauche, 6 rue de la Gaîté (Métro Edgar Quinet)

Prix des places aux guichets du Théâtre : de 27 à 45€

Réservations possibles sur le site : www.theatre-rive-gauche.com ou par téléphone au 01 43 35 32 31.

la bande annonce :

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